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BELGICATHO - Page 1998

  • Réfléchir sur la nouvelle évangélisation avec Benoît XVI

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    Lors de la messe d'ouverture du synode consacré à la nouvelle évangélisation, le pape a prononcé une homélie dont on trouvera ci-dessous de larges extraits :

    "...je voudrais réfléchir brièvement sur la « nouvelle évangélisation », en la mettant en rapport avec l’évangélisation ordinaire et avec la mission ad gentes. L’Église existe pour évangéliser. Fidèles au commandement du Seigneur Jésus Christ, ses disciples sont allés dans le monde entier pour annoncer la Bonne Nouvelle, en fondant partout les communautés chrétiennes. Avec le temps, elles sont devenues des Églises bien organisées avec de nombreux fidèles. À des périodes historiques déterminées, la divine Providence a suscité un dynamisme renouvelé de l’activité évangélisatrice de l’Église. Il suffit de penser à l’évangélisation des peuples anglo-saxons et des peuples slaves, ou à la transmission de l’Évangile sur le continent américain, et ensuite aux époques missionnaires vers les populations de l’Afrique, de l’Asie et de l’Océanie. (...)

    Dans notre temps, l’Esprit Saint a aussi suscité dans l’Église un nouvel élan pour annoncer la Bonne Nouvelle, un dynamisme spirituel et pastoral qui a trouvé son expression la plus universelle et son impulsion la plus autorisée dans le Concile Vatican II. Ce nouveau dynamisme de l’évangélisation produit une influence bénéfique sur deux « branches » spécifiques qui se développent à partir d’elle, à savoir, d’une part, la missio ad gentes, c’est-à- dire l’annonce de l’Évangile à ceux qui ne connaissent pas encore Jésus Christ et son message de salut ; et, d’autre part, la nouvelle évangélisation, orientée principalement vers les personnes qui, tout en étant baptisées, se sont éloignées de l’Église, et vivent sans se référer à la pratique chrétienne. L’Assemblée synodale qui s’ouvre aujourd’hui est consacrée à cette nouvelle évangélisation, pour favoriser chez ces personnes, une nouvelle rencontre avec le Seigneur, qui seul remplit l’existence de sens profond et de paix ; pour favoriser la redécouverte de la foi, source de grâce qui apporte la joie et l’espérance dans la vie personnelle, familiale et sociale. Évidemment, cette orientation particulière ne doit diminuer ni l’élan missionnaire au sens propre, ni l’activité ordinaire d’évangélisation dans nos communautés chrétiennes. En effet, les trois aspects de l’unique réalité de l’évangélisation se complètent et se fécondent réciproquement.

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  • A propos des profanations antichrétiennes

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    Famille Chrétienne pose la question : "La christianophobie gagne-t-elle du terrain ?"

    Pas une semaine sans qu’un cimetière ou une église de France ne soient la cible d’actes de vandalisme ou de profanation. Ainsi à Albi des dizaines de croix ont été brisées ou retournées conformément à une symbolique satanique. Dans le même temps, les évêques de Terre sainte sont obligés de protester contre une certaine incitation au rejet…

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  • Le sanctuaire de Banneux fait face aux difficultés de l'heure

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    Nous lisons sur L'Avenir.net :

    Au sanctuaire de la Vierge des Pauvres à Banneux, lieu bien connu des pèlerins en Belgique, même constat qu'à Lourdes: le nombre de visiteurs individuels reste assez stable, mais les pèlerins qui viennent en groupe pour un séjour plus long, eux, sont de moins en moins nombreux. Et avec eux, les dons et les offrandes qui sont les seules ressources du sanctuaire, qui ne reçoit aucun financement public.

    «Nous accueillons les pèlerins, les personnes malades ou handicapées. Nous ne sommes pas là pour faire du bénéfice, mais nous devons payer le personnel et les infrastructures… », dit un des employés du sanctuaire.

    En comptant les religieuses, 30 à 40 personnes travaillent sur le site pendant la «saison des pèlerinages » qui doit se terminer le 14 octobre. Un peu moins le reste de l’année.

    Heureusement, le sanctuaire de Banneux peut compter sur ses bénévoles : «Il y a toute une équipe et chacun a son rôle. Sans eux, certains postes ne seraient pas maintenus. »

    Pourtant, à Banneux, on ne se plaint pas de la situation : «Les gens donnent moins, c’est compréhensible, chacun regarde dans son porte-monnaie. C’est pareil dans toutes les structures, même dans la structure familiale : les gens vont partir en vacances une semaine au lieu de deux, ou ils iront moins loin. Parfois, on doit vraiment tirer sur la ficelle et reporter certains travaux à plus tard. Mais c’est comme ça partout et pour tout le monde… »

    A.Vt.

  • En Allemagne, il est interdit de scolariser ses enfants à la maison

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Allemagne : des parents faisant l'école à la maison se voient retirer la garde de leurs enfants

    Un tribunal de district à Darmstadt, Allemagne, a retiré de la garde de leurs parents quatre enfants dont il a ordonné la remise aux services publics de la jeunesse, la JugendAmt, parce qu'ils sont scolarisés à la maison. Pour le moment, la JugendAmt a émis une lettre indiquant que les enfants peuvent continuer de demeurer chez leur parents, mais cette permission est assortie d'une injonction d'inscrire les enfants dans une école.

    C'est sur dénonciation de leurs voisins que les parents, récemment retournés en Allemagne après plusieurs tentatives d'installation dans d'autres pays de l'Union européeenne en vue d'échapper aux lois obligeant à la scolarisation « institutionnelle », ont dû répondre devant la justice de leur choix.Dirk Wanderlich, le père  de famille, qui refuse de revenir sur son choix de faire l'école à la maison, craint de voir l'Etat venir effectivement lui prendre ses enfants. Il a expliqué qu'il n'avait en rien le sentiment de mal faire : "Nous sommes très fatigués du fait de toute cette pression. Je ne comprends pas mon propre pays. Quel mal faisons-nous ? Nous faisons ce que n'importe qui devrait avoir le droit de faire. "

    La scolarisation à domicile a été interdite par une loi adoptée sous Hitler, toujours en vigueur, et qui ces dernières années a été appliquée avec une rigueur croissante, note John Jalsevac qui donne ces informations sur LifeSite.

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  • La culture ecclésiastique réduite à faire du "sur place" ?

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    En écoutant ou en lisant le discours ecclésiastique tenu dans nos tribunes catholiques ou nos feuilles paroissiales, on a l'impression de toujours subir le même "ressassé" d'idées convenues, une sorte de mixte d'idées post-conciliaires et post-soixante-huitardes. La génération Vatican II s'accroche, mais y a-t-il une autre génération pour prendre la relève ? L'abbé Guillaume de Tanoüarn s'interroge sur cet "immobilisme" :

    "un certain immobilisme..."

    L’affaire semble entendue, en tout cas pour les tradis: la «génération Vatican II» s’accroche, d'où la place qu'elle tient encore dans les comités paroissiaux ou dans ce qui reste de pensée catholique. Elle s’accroche, tandis que le mouvement normal veut que chaque génération pousse la précédente – en douceur mais sûrement, comme une vague chasse l’autre. 

    Gérald de Servigny est prêtre du diocèse de Versailles. Dans Monde&Vie (mai 2012) il présente son livre «Orate Fratres» sur la liturgie traditionnelle – au détour il explique pourquoi la génération Vatican II est si présente:

    «La vie de l’Eglise se renouvelle surtout par le renouvellement des générations ; mais il se fait plus difficilement aujourd’hui : les enterrements sont plus nombreux que les baptêmes, et les promotions d’ordination ont été divisées par 10 en 70 ans. Tout cela explique un certain immobilisme de la culture ecclésiale en France aujourd’hui.»

    Autrement dit, et en forçant le trait : si la génération Vatican II n’est pas chassée par la suivante, c’est que... il n’y a pas de génération suivante – ou si peu. Aïe.

  • Pie XII, authentique rempart de la vérité et du droit

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    De l'Osservatore Romano : Le cardinal Bertone évoque la mémoire de Pie XII en l'anniversaire de sa mort :

    Une vérité confirmée par l'histoire

    « Dans les bouleversements du monde, l'Eglise, fondée sur le roc à travers la profession de saint Pierre, possède un fondement très solide qui lui permet de ne pas être ébranlée, secouée, car elle est profondément ancrée en Dieu ». En rappelant, en l'anniversaire de sa mort, le « authentique rempart de la vérité et du droit » qu'a été Pie XII, le cardinal Tarcisio Bertone, secrétaire d'Etat, a dit que « la capacité de repousser les pièges du malin », propre au ministère de tout Souverain Pontife, « est assurée par la prière spéciale du Seigneur Jésus pour la foi de Pierre et de ses successeurs: 'J'ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas. Et toi, une fois converti, confirme tes frères' ». Une vérité confirmée par l'histoire. Samedi 6 octobre, dans les grottes vaticanes, le cardinal a célébré la Messe votive de saint Pierre apôtre à la mémoire du Pape Pacelli, mort le 9 octobre 1958.

  • 26ème dimanche ordinaire : "Tous deux ne feront plus qu'un"

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    L'enseignement de Benoît XVI,  dans l'encyclique « Deus Caritas Est », § 9-11, éclaire les lectures du jour :

    « Tous deux ne feront plus qu'un »

    Dans la Bible, la relation de Dieu avec Israël est illustrée par les métaphores des fiançailles et du mariage ; et par conséquent, l'idolâtrie est adultère et prostitution. Mais l'amour-eros de Dieu pour l'homme est en même temps totalement l'amour-agapè. Non seulement parce qu'il est donné absolument gratuitement, sans aucun mérite préalable, mais encore parce qu'il est un amour qui pardonne. Dans la Bible, donc, nous nous trouvons d'une part devant une image strictement métaphysique de Dieu : Dieu est en absolu la source originaire de tout être ; mais ce principe créateur de toutes choses, la raison primordiale, est d'autre part quelqu'un qui aime avec toute la passion d'un véritable amour. De la sorte, l'amour-eros est ennobli au plus haut point, mais, en même temps, il est ainsi purifié jusqu'à se fondre avec l'amour-agapè. La première nouveauté de la foi biblique consiste dans cette image de Dieu ; la deuxième, qui lui est essentiellement liée, nous la trouvons dans l'image de l'homme.

    Le récit biblique de la création parle de la solitude du premier homme, Adam, aux côtés duquel Dieu veut placer une aide... L'idée que l'homme serait en quelque sorte incomplet de par sa constitution, à la recherche, dans l'autre, de la partie qui manque à son intégrité, à savoir l'idée que c'est seulement dans la communion avec l'autre sexe qu'il peut devenir « complet », est sans aucun doute présente. Le récit biblique se conclut ainsi sur une prophétie concernant Adam : « À cause de cela, l'homme quittera son père et sa mère, il s'attachera à sa femme et tous deux ne feront plus qu'un » (Gn 2,24).

    Deux aspects sont ici importants : l'eros est comme enraciné dans la nature même de l'homme ; Adam est en recherche et il « quitte son père et sa mère » pour trouver sa femme ; c'est seulement ensemble qu'ils représentent la totalité de l'humanité, qu'ils deviennent « une seule chair ». Le deuxième aspect n'est pas moins important : selon une orientation qui a son origine dans la création, l'eros renvoie l'homme au mariage, à un lien caractérisé par l'unicité et le définitif ; ainsi, et seulement ainsi, se réalise sa destinée profonde. À l'image du Dieu du monothéisme, correspond le mariage monogamique. Le mariage fondé sur un amour exclusif et définitif devient l'icône de la relation de Dieu avec son peuple et réciproquement : la façon dont Dieu aime devient la mesure de l'amour humain.

  • Dix-huit mois de prison pour Paolo Gabriele

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    Paolo Gabriele, le majordome du pape qui lui a dérobé de nombreux documents, y compris des documents très confidentiels concernant la santé du souverain pontife, a été condamné ce matin à trois ans de prison qui ont été ramenés à une peine effective de dix-huit mois. Il est même question que cet homme qui prétend avoir agi "par amour de l'Eglise" soit grâcié par Benoît XVI.

    La presse se montre singulièrement indulgente à l'égard d'un collaborateur qui a gravement trompé la confiance du pape et qui a fourni des documents à un (ou des ?) journaliste(s) qui en a (ont) fait usage pour publier de prétendues "révélations". Dans le contexte actuel de "cathophobie" généralisée, on ne s'étonne pas que de telles pratiques aient été utilisées sans vergogne pour éclabousser l'Eglise, et que le principal bénéficiaire de ces "fuites" n'ait pas encore été prié de s'expliquer devant la justice pour recel (et exploitation) de documents volés. 

    Voir : http://benoit-et-moi.fr

  • "Ainsi soient-ils" ou quand la provoc d'Arte fait pschit

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    Critique de cette série télévisée sur "PadreBlog"

    "Une immersion inédite dans les couloirs de l’Eglise : c’est ainsi qu’Arte présente « Ainsi soient-ils », la série qui sort ce 11 octobre.

    Faut-il craindre le pire ? Nous avons visionné pour vous les huit épisodes.

    Les affiches sont partout ou presque : orchestrée par une agence de publicité parisienne, la promotion d’Ainsi soient-ils a fait le choix de la provocation. Les visuels sont sans ambiguïté : une aube, un calice, mais aussi des mains tatouées, une liasse de billets de banque, une main de femme enserrant la taille. C’est le cocktail classique violence/pouvoir/sexe.

    Les slogans sont accrocheurs : « Dieu reconnaîtra les siens » ; « vous pouvez faire une croix sur vos jeudis soirs ». Bref, après Golgota Picnic et Piss Christ, on imagine une énième tentative pour salir et choquer.

    Caricatures, grisaille et tristesse

    Si la réalisation est soignée et les acteurs crédibles (Michel Duchaussoy en cardinal autoritaire et imbu de sa personne est même assez fascinant), on n’y retrouve rien ou pas grand chose de la vraie vie du séminaire. Quel curieux lieu que ce « séminaire des capucins » où les candidats au sacerdoce n’ont ni cours, ni exposés, ni examens, ni mémoires à rendre, ni recherches en bibliothèque ! ...

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  • Repenser la notion de "famille" ?

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    "En plein débat sur la famille (en France), Anne Josnin et François-Xavier Huard, de la Fraternité des Chrétiens indignés, nous proposent (sous le titre "Vous avez dit "famille traditionnelle") leurs réflexions sur l’urgence qu’il y a à repenser la notion même de famille aujourd’hui." 

    Le débat qui occupe en ce moment nos concitoyens porte sur la famille, telle que nous la voyons aujourd’hui. Il est de bon ton dans nos milieux de s’en référer comme à un mantra à la « famille traditionnelle ». Encore faudrait-il savoir ce qu’on entend par là. La famille de l’Antiquité était cellule économique et éducative autant que cellule reproductive et consommatrice, et par le chef de famille, membre de sa corporation, siégeant au conseil de village, etc, acteur politique. C’est ainsi que le bœuf, ou mieux l’esclave, selon Aristote, en faisaient partie : ils partageaient la pitance et la chaleur du foyer. Ce qui caractérise la famille d’alors, c’est donc à la fois qu’elle a toutes les prérogatives de la société, en « mini », et ceci peut-être regretté, oui, mais aussi qu’elle se fonde sur l’inégalité des rapports, homme-femme d’une part, maître –esclave de l’autre, avec un droit de vie ou de mort sur l’enfant comme sur l’esclave : on retrouve donc au cœur de la famille la violence constitutive des mœurs de l’Antiquité. On voit donc que si elle peut nous être source d’inspiration, en aucun cas elle ne peut servir de modèle pour aujourd’hui.

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  • Bruxelles, 9-11 novembre : week-end "Jeunesse 2000"

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    tract j2000.pngtract paint.png" Tu ne sais plus où tu en es dans ta foi?"

    "Tu veux renconter d'autres jeunes croyants?"

    "Tu veux découvrir une Eglise jeune?"

    "Tu es fatigué(e) et as besoin d'un plein d'énergie?"

    Alors viens au week-end JEUNESSE 2000.

    Jeunesse 2000, c'est un weekend pour les jeunes de 16-30 ANS organisé par des Jeunes (ce qui garantit donc un week-end vivant !) . Le week-end aura lieu du 9 au 11 novembre 2012 au centre scolaire "Marie la Sagesse" (plus d'infos en lien)

    C'est un rendez-vous immanquable pour rencontrer Dieu, découvrir d'autres jeunes (croyants ou non, pratiquants ou non), pour redécouvrir qui on est et partager ses doutes et ses joie.

    Mais parce que nous avons besoin de témoins, et de points de repères, des enseignements seront donnés par différents prêtres. Mais après, en groupe de partage, chacun aura la possibilité de donner son avis, et de se situer. Des jeunes témoigneront de leur foi. De comment ils sont devenus cathos, et comment ils vivent leur foi au quotidien. Et puis, il y a tout le reste. Des temps de louange, l’eucharistie, le sacrement de réconciliation…

    Convaincu ou pas, tu es le bienvenu. Je t’invite à être curieux, et à venir découvrir les multiples trésors dont recèle notre Eglise. N'hésite pas à venir avec tes amis...

    PS : inscriptions et plus d'information: www.jeunesse2000.org (weekend - novembre- Bruxelles)

  • Une tentative au Conseil des Droits de l'Homme de l'ONU pour créer un droit à l'avortement

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    Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, de son siège genevois, est passé près d’affirmer que l’avortement est un droit de l’homme. Il a en effet passé une résolution cautionnant de nouvelles lignes directrices sur la mortalité maternelle. Or ces lignes directrices ont été rédigées en collaboration avec des militants de l’avortement, et reflètent des opinions qui ont été rejetées par les Etats membres à l’Assemblée Générale de l’ONU.

    Cette résolution, qui bénéficie du soutien de la Nouvelle Zélande, du Burkina Faso, de la Colombie, consacre une « orientation technique » du Haut Commissaire de l’Onu pour les droits de l’homme qui inclut l’avortement aux termes de « droit à la santé sexuelle et reproductive ».

    Alors que la résolution a été adoptée sans vote, 20 des 47 membres du Conseil ont soumis un mémorandum d’opposition destiné à accompagner le projet de résolution lorsque l’Assemblée Générale de l’ONU en fera l’examen ce mois-ci. Les opposants ont objecté au fait que « tout le texte [de la résolution] vise à faire diffuser et appliquer un document jamais négocié entre les Etats, dont l’utilité n’a pas fait l’objet d’un examen [approfondi] », et qui promeut de nouveaux droits non définis dans les déclarations et instruments internationaux [de protection] des droits de l’homme existants, en particulier la référence aux « droits à la santé sexuelle et reproductive ».

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