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Actualité - Page 1553

  • En rire ou en pleurer ?

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    Bonjour,

    Merci de bien vouloir prendre connaissance du communiqué de presse de notre association ci-après (et pièce jointe) :

     

    Soutien à Sandrine Mazetier. Il faut renommer l' "école maternelle" !

     

    Notre association soutient l'initiative de la députée de Paris Sandrine Mazetier, qui a demandé au ministre de l'Education de remplacer "école maternelle" par une dénomination neutre.

     

    En effet, "école maternelle" traduit une conception de l'éducation qui en fait le domaine réservé des mères ou plus largement des femmes. Il s'agit d'une conception archaïque : dans leur apprentissage de la société et de la vie, les enfants des deux sexes ont besoin du contact et de l’exemple de personnes des deux sexes.

     

    Bien évidemment, ce changement de nom, n'ayant qu'une portée symbolique, ne saurait être qu'un point de départ. Il devrait être complété par deux politiques fortes : l'une de revalorisation du rôle des pères dans l'éducation, l'autre de recrutement de personnels masculins dans le corps enseignant, où les hommes sont désormais très minoritaires.

     

    Bonne journée.

     

    Patrick Guillot

     

    Groupe d'études sur les sexismes (GES)

  • L’Église de France se décomplexe

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    Dans "Valeurs Actuelles":

    Mgr%20Aillet%20-%203976.png"L’engagement des catholiques dans le débat sur le mariage homosexuel est un jalon important d’une évolution qui voit l’Église rompre progressivement avec une certaine timidité en matière politique.

    « Ce serait indigne de ne rien dire », déclarait à la veille de la “manif pour tous” le cardinal Barbarin au journal la Croix. Pour la plupart des catholiques, les interventions répétées depuis des mois de l’Église contre le projet de loi Taubira (lire notre article « L’Église dans l’arène » dans Valeurs actuelles du 17 janvier) ont semblé une chose absolument naturelle. Et pourtant… si l’on jette un regard sur les décennies passées, cet engagement massif n’avait rien d’évident. En 1974, lors des débats préparatoires au vote de la loi Veil légalisant l’avortement, c’est par un silence assourdissant que s’était signalée l’Église. En 1999, alors que plus de 100 000 Français descendent dans la rue contre le pacs, parmi lesquels beaucoup de catholiques, pas un seul évêque n’est présent ; la Conférence des évêques de France s’était contentée, quelques mois plus tôt, de faire connaître sa position par un communiqué, d’ailleurs assez ferme, contre « une loi inutile et dangereuse ».

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  • Les chrétiens sont les plus persécutés parce qu'ils sont les moins conformes

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    Benoît XVI aux séminaristes : les chrétiens sont « les plus persécutés » parce que les moins « conformes »


    2013-02-09 Radio Vatican 
    Comme chaque année à l’occasion de la fête de Notre Dame de la confiance, la Patronne du Grand Séminaire de Rome, le Pape est allé à la rencontre ce vendredi soir des séminaristes étudiant à Rome dont il est l’évêque.
    Devant 190 étudiants des cinq séminaires de Rome réunis au palais du Latran, le Pape âgé de 85 ans a affirmé dans un discours improvisé de trente minutes sans note ou aucun support, que « malgré les chutes graves, dangereuses », l'arbre de l'Eglise n'est pas mourant, car « l’Eglise est l’arbre de Dieu qui vit pour toujours et porte en lui l’éternité ».
    « Si ici ou là, l’Eglise meurt à cause des péchés des hommes, à cause de leur manque de foi, dans le même temps, elle nait à nouveau. Le futur est réellement Dieu, telle est la grande certitude de notre vie, le grand le vrai optimisme que nous connaissons », a affirmé Benoît XVI. Contre un faux pessimisme qui annonce « que le christianisme a fait son temps, eh bien non, il commence à nouveau », a dit le Pape qui a exhorté vendredi les séminaristes a un « sain réalisme ».
    En occident, « tout en étant chez eux », les chrétiens « vivent comme des étrangers »
    Le Pape n’a pas ignoré les persécutions dont les chrétiens font l’objet. Ils forment « le peuple le plus persécuté, a-t-il dit, parce qu'ils sont non-conformes, contre les tendances de l'égoïsme et du matérialisme ». Bien qu’ayant contribué à la formation de la culture occidentale, les chrétiens « tout en étant chez eux » vivent depuis toujours en minorité comme des étrangers. 
    « Prions pour que le Seigneur nous aide à accepter cette mission de vivre dispersés, comme des minorités dans un certain sens, et de vivre comment des étrangers en étant malgré tout responsables pour les autres, donnant la force du bien à notre monde.
    « Nous devons être joyeux, car Dieu nous a donné cette grâce, cette beauté de connaître pleinement la vérité de Dieu, la joie de son amour ». C’est un don. Etre « élu » signifie « privilège et humilité », en aucun cas « triomphalisme ». Citant longuement la première lettre de Pierre, le Pape a enfin rappelé aux séminaristes que « personne ne peut être chrétien sans suivre le Crucifix, sans accepter aussi le martyr ».
  • De graves propos au sujet de Vatican II

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    C'est Sandro Magister qui les partage sur Chiesa.Espresso :

    L'impossible "road map" de la paix avec les lefebvristes

    Un représentant de pointe du camp traditionaliste dicte les conditions nécessaires pour mettre fin au schisme. Il y en a quatre, mais trois d'entre elles paraissent impossibles à réaliser. Les critiques que le père Divo Barsotti adressait au concile Vatican II 

    par Sandro Magister

    ROME, le 9 février 2013 – Dans son nouveau livre, qui est sous presse ces jours-ci, le professeur Enrico Maria Radaelli – philosophe, théologien et disciple préféré de l’un des plus grands penseurs catholiques traditionalistes du XXe siècle, le Suisse Romano Amerio (1905-1997) – cite trois passages des carnets inédits du père Divo Barsotti (1914-2006).

    Dans les passages en question, ce mystique et maître spirituel génial et estimé – qui fut appelé, en 1971, à prêcher les exercices de Carême devant le pape et la curie romaine – exprimait de fortes critiques contre le concile Vatican II.

    Le père Barsotti écrivait ceci :

    "Je suis perplexe en ce qui concerne le concile : la pléthore de documents, leur longueur, souvent leur langage, me font peur. Ce sont des documents qui témoignent d’une sûreté tout humaine plutôt que d’une fermeté simple de la foi. Mais ce qui m’indigne surtout, c’est le comportement des théologiens".

    "Le concile et l'exercice suprême du magistère ne sont justifiés que par une nécessité suprême. La gravité impressionnante de la situation actuelle de l’Église ne pourrait-elle pas découler justement du fait que l’on a voulu, avec légèreté, provoquer et tenter le Seigneur ? Peut-être a-t-on voulu contraindre Dieu à parler alors que cette nécessité suprême n’existait pas ? Peut-être en est-il ainsi ? Pour justifier un concile qui a voulu rénover toutes choses, il fallait affirmer que tout allait mal, ce qui est fait sans cesse sinon par les évêques, en tout cas par les théologiens".

    "Rien ne me paraît plus grave, contre la sainteté de Dieu, que la présomption des clercs qui croient, avec un orgueil qui est seulement diabolique, qu’ils peuvent manipuler la vérité, qui veulent renouveler l’Église et sauver le monde sans se renouveler eux-mêmes. Dans toute l’histoire de l’Église il n’y a rien de comparable au dernier concile, dans lequel l'épiscopat catholique a cru pouvoir renouveler toutes choses en n’obéissant qu’à son orgueil, sans s’efforcer à la sainteté, en une opposition si patente à la loi de l’évangile qui nous impose de croire que l'humanité du Christ a été l’instrument de la toute-puissance de l'amour qui sauve, dans sa mort".

    Il y a, dans ces affirmations du père Barsotti, deux éléments qui sont impressionnants.

    Tout d’abord, ces critiques proviennent d’un homme à la vision théologale profonde, ayant une réputation de sainteté, très obéissant envers l’Église.

    Et, en second lieu, les critiques ne s’adressent pas aux déviations de l’après-concile, mais au concile en soi.

    Ces deux impressions, on les ressent aussi à la lecture du nouveau livre de Radaelli, intitulé : "Il domani - terribile o radioso ? - del dogma" ["Les lendemains - terribles ou radieux ? - du dogme"].

    Lire la suite sur le site de S. Magister

  • Pour nos amis français : "allez go, go, go!"

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    La pétition auprès du CESE et les signatures pour lutter contre cette foutue loi, c'est maintenant ! C'est possible, ça afflue et ça doit affluer encore ! Le moment n'est pas aux ronchonnements, aux questions de pertinence stratégique, de calculs et de conjectures. Que les dépressifs systémiques nous les lâchent, et que les « ça-ne-marchera-jamais » prennent leur carte à gauche, au moins ils enquiquineront les autres. Pour l'heure et pour les autres, nous devons y aller, aller chercher une par une ces signatures. L'internet, c'est fait. Et, comme nous n'aurons pas dix minutes au 20 heures pour expliquer la démarche à nos concitoyens, c'est donc à « la mano » qu'il faut aller les chercher.

    Comme cette mère de famille qui a fait signer son boucher, lequel a demandé un paquet de feuilles car, dit-il, « je connais des clientes qui devraient être d'accord »... et voilà quinze pétitions supplémentaires postées ! Il y a aussi cette vielle dame qui s'est coltinée les résidents de sa maison de retraite. Allez zou ! Trente signatures. Là au moins, ils étaient tous majeurs ! La subsidiarité, c'est aussi ça, chacun dans son domaine de compétences et de relation.

    Au-delà des signatures et du nombre de pétitions que nous devons impérativement avoir, c'est la redécouverte de l'action de proximité, du militantisme « de paroisse », de la certitude que je change le monde quand, ici et maintenant, je fais ce que je dois faire ; c'est ça l'action chrétienne, et si la rue appartient à celui qui y descend, alors elle doit être à nous.

    Allez mes bons amis, vous n'avez pas épuisé toutes les possibilités autour de vous, il y a encore des « pétitionneurs » à dénicher ! Non, nous ne militons pas quand nous nous scandalisons devant les déclarations des uns et des autres, nos états d'âme devant l'écran d'ordi ou de télé ne changent rien. Les blogs et les forums Internet, bravo à eux, font un remarquable travail de suivi et d'information en temps réel, L'Homme Nouveau, un vrai travail de réflexion et d'analyse. Donc voilà votre ordonnance : deux à trois fois par jour les blogs et forums de réinformation, et deux fois par mois L'Homme Nouveau. Et entre-temps, la rue, le militantisme, les pétitions,… Bref… « l'action directe ». Allons les amis ! J'vous laisse, j'ai des pétitions à aller chercher.

    Télécharger et signer la pétition CESE à adresser à la Manif Pour Tous, 15 rue Pottier – 78150 LE CHESNAY avant le 12 février.

  • Les derniers films sortis sur les écrans (8.2.2012)

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    Sur le site tout neuf de l'Ecran :

    Dernières critiques
    Hitchcock
    A défaut d'oscar, le cinéma rend hommage (il était temps !) à Alfred Hitchcock en consacrant un long-métrage à l'un de ses projets les plus ambitieux : Psychose. Le film, mené seul par le réalisateur qui en hypothéqua sa...
     
    Gambit, arnaque à l’anglaise
    Dans Gambit, arnaque à l'anglaise, l’intrigue est cousue de fil blanc, prévisible et manquant de rebondissements : un expert d’art désargenté tente de vendre à son patron, aussi riche qu’odieux, une fausse toile de Monet (que ce dernier...
     
    Gangster Squad
    Virage à 180 degrés pour le réalisateur Ruben Fleischer ! Après la comédie horrifique Bienvenue à Zombieland, il s’attaque au film de gangster de la grande époque ! Bienvenue dans le Los Angeles des années 1940, ses voitures...
     
    Arrêtez-moi (libre accès)
    Arrête-moi tu le peux. L'intrigue saisit d'emblée : pourquoi cette femme avoue-t-elle le meurtre de son mari alors que l’enquête l’avait innocentée ? C’était il y a dix ans. Est-ce le remords ? Devant elle, la policière refuse...
     
  • Pour la protection de l'embryon humain : "One of Us"

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    L'initiative européenne « un de nous »: présentation
    Pour la protection de l'embryon humain

    Grégor Puppinck

    ROME, 6 février 2013 (Zenit.org) - L’initiative européenne « un de nous »

    (http://www.oneofus.eu)

    Présentation

    Le 11 mai 2012, la Commission européenne a enregistré l’Initiative Citoyenne Européenne « Un de Nous » (http://www.oneofus.eu/). Cette initiative a pour objectif d’obtenir de l'Union européenne qu’elle arrête de financer directement ou indirectement l’avortement et les pratiques scientifiques et technologiques impliquant la destruction d’embryons humains. Cette initiative a été lancée au printemps 2012 à l’instigation du député européen Carlo Casini, Président du Mouvement italien pour la Vie. Des représentants de diverses associations européennes actives dans la défense de la vie soutiennent et participent à cette initiative, dans l’objectif de réunir un million de signatures avant le 1er novembre 2013.

    Formellement, la proposition législative de l’initiative « Un de Nous » demande aux institutions communautaires d’assurer « la protection juridique de la dignité, du droit à la vie et à l'intégrité physique de tout être humain depuis sa conception dans les domaines de compétence de l'UE où cette protection s'avère d'une importance particulière. » A cette fin, l’initiative propose :

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  • Sur le 10e blog "international" du top blogs e-buzzing...

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  • Le christianisme, une "contre-culture" ?

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    De "Chrétiens dans la Cité" :

    Le christianisme est-il une contre-culture ? Denis Sureau a développé une réponse dans une conférence donnée dans le cadre du séminaire de master Pertinence ou impertinence des discours et pratiques chrétiens organisé en collaboration par le Centre d'études du Saulchoir (Père Bernard Bourdin o.p.) et le Theologicum, faculté de théologie de l'Institut Catholique de Paris (Père Laurent Villemin).


    Le texte de cette intervention est disponible ici.

  • L'euthanasie en Belgique a un bel avenir devant elle

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    L'augmentation du nombre d'euthanasies en Belgique est impressionnante. "La Belgique a enregistré en 2012 un nombre record d’euthanasies, a indiqué la commission chargée de contrôler cette pratique légale depuis 10 ans, alors que le Sénat entame un débat sur son extension aux mineurs et aux malades d’Alzheimer. La Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie a ainsi reçu l’an dernier 1 432 déclarations d’euthanasie, en hausse de 25 % par rapport aux 1 133 cas enregistrés en 2011." (source

    Mais de nouvelles perspectives s'ouvrent devant cette pratique comme en témoignent ces informations communiquées par l'Institut Européen de Bioéthique :

    • Extension tous azimuts de la loi euthanasie : 13 propositions de loi
    C’est ce mercredi 6 février que s’est réunie la commission Justice & Affaires sociales du sénat pour discuter les différentes propositions de loi dont 11 visent à l’extension de la loi dépénalisant l’euthanasie.

    A souligner, les 2 propositions de loi à contre-courant : l’une vise l’introduction d’un filtre palliatif obligatoire pour tout patient en fin de vie et l’autre propose une amende administrative de 250 euros au médecin qui ne respecterait pas l'obligation de déclaration d’euthanasie.

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  • De Richard III d’Angleterre à Notger de Liège

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    Lu sur le « Forum catholique » :

    "Depuis plus de cinq siècles, personne ne savait où reposait le corps du roi anglais Richard III. Mais après de longues investigations, les scientifiques de l’université de Leicester l’ont retrouvé. Un squelette exhumé en août 2012 sous un parking de la ville, dans les restes d’un monastère, est bien celui de Richard III.

    Euronews.com:  Une datation au carbone 14 a permis de déterminer l‘âge du squelette. Et les scientifiques ont comparé son ADN à celui de plusieurs descendants de Richard III. Des experts en armes, en alimentation, en blessures, ont également été convoqués pour analyser le cadavre. C’est bien lui. 

    “Le squelette présente un certain nombre de caractéristiques peu communes”, explique l’ostéologue Jo Appleby. “Il est élancé, il présente une scoliose et il a subi de nombreux traumatismes dus aux combats. Cela recoupe les informations que nous avions quant à la vie de Richard III et quant aux circonstances de sa mort. J’ajoute qu’il s’agit d’un homme d’envrion 32 ans. Donc tout ceci nous porte à croire qu’il s’agit bien de Richard III.

    On sait que Richard III est mort au combat en 1485 lors de la bataille de Bosworth Field, remportée par son rival Henri Tudor, le futur Henri VII. Les nombreuses blessures osseuses constatées sur son squelette amènent à penser qu’il aurait perdu son bouclier pendant le combat.

    Jusqu’ici, Richard III était surnommé “le roi perdu”. Décédé en 1485, le dernier souverain de la dynastie des Plantagenêt jouit d’une réputation aussi sulfureuse que monstrueuse. Vaincu par les Tudors au cours de l’illustre bataille de Bosworth, celle qui clôtura la Guerre des Roses entre les deux familles royales, il offrît son royaume contre un cheval. Dépeint comme un monarque infâme par Shakespeare, on raconte que sa dépouille fût exhibée dans les rues de Leicester avant d’être jetée dans la rivière. Ce ne sont que des spéculations infondées, voire des mensonges éhontés, selon les historiens, qui reconnaissent simplement que le lieu de sa sépulture est resté secret des années durant (…). 

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  • Rendez-nous le petit catéchisme ?

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    Lu sous la plume de Jean Madiran, sur le « Forum catholique » :

    • Le débat autour des conséquences directes ou indirectes de Vatican II semble continuer à ignorer le comment et le pourquoi de la longue disparition du catéchisme catholique.

    Ici comme ailleurs avait joué la rumeur, rapidement devenue opinion dominante, que ce qui était antérieur au Concile devait désormais être tenu pour périmé. Tous les catéchismes existants furent disqualifiés. 

    Pendant vingt-sept années, de 1965 à 1992, l’Eglise s’est trouvée sans catéchisme officiel. L’espace d’une génération, il y eut une vacatio catechismi. Et de 1965 à aujourd’hui, l’absence de petit catéchisme pour enfants baptisés est une vacatio de quarante-huit ans dont on n’aperçoit pas la fin.

    -Le plus grand nombre des catholiques le sont parce que leurs parents les ont fait baptiser à leur naissance et ont veillé sur leur éducation catholique romaine : 

    « Une âme de petit enfant baptisé, écrivait Henri Charlier, a besoin d’un enseignement chrétien constant pour nourrir le germe que le baptême a déposé dans son âme. Sans quoi le germe s’étiole et meurt.

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