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Actualité - Page 1705

  • Première visite de Benoît XVI dans l’hispanité américaine : le Mexique et Cuba

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    Dans « Le Figaro », Jean-Marie Guénois commente :

    (...) Le Mexique, second pays catholique du monde en population après le Brésil, connaît une guerre ouverte du gouvernement contre de féroces prédateurs: les parrains de la drogue. Le bilan, invraisemblable mais certifié, est aujourd'hui de 45.000 morts. Le Pape devrait donc dénoncer la sauvagerie des bandes rivales, paradoxalement marquées par une forte religiosité.(…).Son message, il le délivrera surtout dimanche lors de l'homélie de la grande messe, sur le thème du «tu ne tueras pas». Elle sera célébrée près du sanctuaire du Christ roi de Léon, cœur battant de cet État du Mexique, Guanajuato, du nom de sa capitale et centre géographique exact du pays. Autre rendez-vous important, l'après-midi, avec tous les évêques d'Amérique latine et du Mexique, autant dire près d'un quart de l'épiscopat mondial. Cette région du monde est stratégique pour l'avenir de l'Église. Le propos portera sur la lutte contre les évangéliques, ces groupuscules protestants qui gagnent partout du terrain.(…).

    L'autre partie de cette tournée commencera lundi par une seconde étape : à Cuba. Benoît XVI est attendu en début d'après-midi (à 21 heures heure de Paris) à Santiago de Cuba, seconde ville de l'île, située à 800 km de La Havane. Il y a là un sanctuaire marial majeur, celui de la sainte patronne de l'île, «la Vierge de la Charité del Cobre». Des pêcheurs avaient retrouvé cette statue de bois, déjà séculaire, en 1612.(…).Le lendemain, mardi après-midi, Benoît XVI reprendra l'avion pour gagner La Havane, où l'attendra Raul Castro, président en titre, ainsi probablement que son frère Fidel. Le Vatican a fait savoir que le Pape était «disponible» pour rencontrer cette haute figure de Cuba. Fidel Castro avait accueilli Jean-Paul II, il y a quatorze ans, en 1998. Le pape polonais avait célébré une messe historique sur la place de la Révolution à La Havane. Benoît XVI reproduira ce geste dans la matinée de mercredi avant de rentrer par un vol de nuit à Rome, où il doit arriver jeudi matin prochain.

    Voir tout le commentaire de Jean-Marie Guénois ici :Le Mexique et Cuba attendent Benoît XVI

  • Le voyage du pape au Mexique

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    Radio Vatican rend compte des moments forts du périple pontifical :

    Benoît XVI : "le premier devoir de l'Eglise est d'éduquer les consciences à la responsabilité morale"

    Benoît XVI est arrivé au Mexique

    Voyage au Mexique et à Cuba : Benoît XVI accueilli dans la liesse

    Discours du pape à son arrivée au Mexique

    Aucun pouvoir n'a le droit de dévaloriser la dignité humaine

    Voir, sur KTO :

    Samedi 24 mars

    09h35 : Flash matin ‘Le pape dans l'avion'

    20h35 : Flash soir ‘Mexique les enjeux de la visite'

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  • Marche pour la Vie, un soutien massif de l'Eglise ?

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    Lors du débat sur l'avortement à l'émission "Et Dieu dans tout ça?" du 18 mars dernier, il a été fait état d'un "soutien massif de l'Eglise catholique" à l'organisation de la Marche pour la Vie. Cette affirmation paraît bien exagérée lorsqu'on sait que seule la participation de deux évêques est annoncée, lorsqu'on constate que les médias catholiques n'ont fait qu'annoncer timidement l'organisation de cette marche, lorsqu'on s'aperçoit que l'agenda de dimanche prochain n'a pas été libéré pour inciter les fidèles à y participer, lorsque - la plupart du temps - les affiches pour la marche ne sont pas présentes au fond des églises, etc. Affirmer que les clercs, même mitrés, se sont mobilisés avec beaucoup de conviction pour participer à cette Marche et/ou pour la soutenir constitue, à notre sens, une appréciation peu conforme à la réalité.

    Mais il y a d'heureuses exceptions allant jusqu'à des prises de position courageuses : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/

  • L'avortement serait-il rentable ?

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    Lu sur Liberté Politique :

    Le 28 février dernier, le gouvernement Obama a donné son assentiment : Pepsi pourra utiliser des cellules d'enfants avortés dans l'élaboration de sa recette. Après tout, c'est un produit comme un autre, un ordinary business.

    Un certain nombre d'associations américaines, canadiennes, polonaises, britaniques, irlandaises, écossaises, espagnoles, portugaises, australiennes et néo-zélandaises ont décidé de bouder la boisson gazeuse.

    En France, la société civile s'organise plus pour nous déconseiller le Coca-cola (parce qu'il prive les Keralais du sud de l'Inde, d'eau potable) que le Pepsi qui finira par nous faire boire des morceaux d'enfants morts.

    Source : lifesitenews.com

  • La présidence de la COMECE sera "marxiste" !

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    Source : communiqué de presse de la COMECE (23/03/2012)

    Le Cardinal Marx est le nouveau Président de la COMECE

    « Nous nous trouvons à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe »

    C’est la déclaration faite par le Cardinal Reinhard Marx après son élection comme nouveau Président de la Commission des Episcopats de l’UE. L’archevêque de Munich & Freising a été élu par ses pairs le 22 mars 2012 pour un mandat de 3 ans à la tête de la COMECE. Il sera assisté de quatre vice-présidents : Mgr Gianni Ambrosio (évêque de Piacenza-Bobbio, Italie), Mgr Virgil Bercea (évêque d’ Oradea Mare, Roumanie), Mgr Jarecki (évêque auxiliaire de Varsovie, Pologne) et Mgr Jean Kockerols (évêque auxiliaire de Bruxelles-Malines, Belgique).

    Le Cardinal Marx est membre de la COMECE depuis 2006 et en préside la Commission pour les Affaires sociales. Il est également vice-Président de la COMECE depuis 2009. Il a déclaré : « Concernant la crise économique et financière qui frappe notre continent, je suis persuadé que l’Union européenne dispose des moyens et du potentiel pour surmonter cette situation. Une crise globale exige une réponse commune. Il nous faut donc retrouver le sens d’une action collective et responsable. C’est à cette condition seulement que nous parviendrons à résoudre nos problèmes communs. Nous nous trouvons en effet à un moment décisif pour l’avenir de l’Europe. »

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  • La Fédération Wallonie-Bruxelles soutient la manifestation pro-avortement

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    La Fédération Wallonie-Bruxelles est-elle dans son rôle en apportant son soutien au lobby pro-avortement ?

  • Gender : bannir le "il" et le "elle" ?

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    Source : synthèse de presse de genethique.org

    En Suède, après l'école Egalia (Cf. Synthèse de presse du 28/06/11), une crèche municipale de Stockholm a décidé de bannir de son vocabulaire les pronoms "il" (han) et "elle" (hon) et d'utiliser un pronom neutre, hen, lorsque le personnel éducatif s'adresse aux enfants.

    En pratique, si certains parents acceptent d'attendre plusieurs mois pour faire entrer leur enfant à la crèche Egalia, il s'avère que "la pédagogie qui y est pratiquée est loin de faire l'unanimité en Suède".

    Du point de vue institutionnel, le Conseil des langues (en charge du suivi de l'évolution du langage en Suède) s'est, dans un premier temps, opposé à l'usage du pronom neutre, avant de revenir sur sa position : selon Suzanne Carlsson, inspectrice, "nous continuons de penser qu'il vaut mieux utiliser d'autres stratégies, comme il/elle ou bien la forme passive, mais nous n'interdisons à personne de l'utiliser, et nous pensons même qu'il est respectueux de le faire quand quelqu'un qui ne se reconnaît dans aucun des deux genres le demande".

    Face à ce changement idéologique, certains auteurs réagissent. Ainsi en est-il d'Alsa Carlsson, blogueuse, pour qui "notre sexe dit certaines choses de notre identité, et c'est la raison pour laquelle c'est une information importante à donner, même si cette information seule, bien sûr, ne dit pas tout sur l'individu en question". Philip Hwang, psychologue, évoque les risques vers lesquels la neutralité peut conduire, "cela peut devenir problématique pour un enfant, très tôt conscient de son sexe". La neutralité utilisée par les parents dans le langage montre "qu'ils ne voient aucune différence entre les filles et les garçons, ce qui n'est pas le cas de l'enfant".

    Pour la philosophe et psychanalyste Anne Dufourmantelle, "créer un pronom neutre a un air égalisateur, mais c'est un acte sociopolitique qui risque surtout de générer de la violence".

  • Les suites psychologiques de l'avortement

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    Nous avons fait écho, hier au débat sur l'avortement qui s'est déroulé dimanche dernier sur la Première (RTBF) dans le cadre de l'émission "Et Dieu dans tout ça". La question des suites psychologiques de l'avortement y a été abordée. La synthèse de presse de généthique.org vient utilement compléter la réflexion à ce sujet :

    Dans le quotidien Libération, deux tribunes consécutives relatives au rapport du Pr  Israël Nisand sur la sexualité des mineurs ont été publiées en mars 2012. Dans une première tribune, du 1er mars 2012, deux sociologues, Mmes Bajos et Ferrand, et trois médecins, Mmes Meyer, Moreau et Warszawski, affirmaient que ce rapport est "moralisateur" quant à la question de l'IVG. Suite à celle-ci, le Pr Israël Nisand et Brigitte Letombe, gynécologues, et la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié une réponse dans ce même quotidien, le 9 mars 2012 (Cf. Synthèse de presse du 09/03/12). Ils faisaient part de leurs observations, liées à leur expérience clinique, selon lesquelles des femmes restent douloureusement marquées après avoir eu recours à l'avortement.

    Le 20 mars 2012, Libération a publié de nouvelles réactions. Pour Mmes Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau et Warszawski, "affirmer que le recours à l'avortement augmente les troubles psychiques est une assertion fausse, réfutée par les recherches scientifiques".

    Pour le collectif "Les filles des 343", composé de militantes féministes, il n'existerait pas de lien entre avortement et souffrances psychiques. Pour ce collectif, avorter est une "décision qui doit être respectée", et la pression mise sur les "épaules" et les "ventres [des femmes] contribue à les rendre [...] malheureuses". Selon un groupe de médecins, gynécologues et obstétriciens, qui publient également un article dans Libération, "Nul ne peut se prévaloir du monopole du psychisme des femmes", et c'est le "regard condescendant, culpabilisant de la société relayé par trop de médecins [...] qui produit tant de ravages". Ils affirment qu'ils continueront résolument "à oeuvrer pour que cet acte [l'IVG] soit, comme c'est souvent le cas, un acte structurant de leur vie".Suite à ces réactions,  le Pr Israël Nisand, Brigitte Letombe et Sophie Marinopoulos ont publié une tribune le 22 mars 2012 dans Libération. Selon eux, à la question de savoir si "l'IVG constitue ou non un moment bénéfique dans la vie d'une femme", la réponse est "négative". En faisant "croire que l'IVG n'aurait aucune conséquence psychique sur les femmes", l'objectif majeur est ici de "protéger le droit à l'IVG". Or, "la meilleure IVG, surtout pour une jeune femme, est celle que l'on a pu prévenir". Ils ajoutent qu'en publiant ce rapport sur la sexualité des mineurs, l'objectif est également de "trouver des solutions qui permettraient d'inverser la courbe, croissante depuis vingt-cinq ans, des 90 000 IVG par an chez les moins de 25 ans".

  • Mobilisation des catholiques américains contre la réforme de la santé publique

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    Source : Radio Vatican :

    "Les catholiques américains vont descendre dans la rue ce samedi pour protester contre un aspect de la réforme sanitaire voulue par l’administration Obama qui oblige tous les établissements, y compris catholiques, à fournir à leurs salariés une couverture sociale garantissant le remboursement de la contraception, de la stérilisation et de la pilule abortive. Pour Barak Obama, le contrôle des naissances est un problème de santé publique, pour les catholiques qui ne décolèrent pas la grossesse n’est pas une maladie. A l’appel des mouvements pour la vie, des manifestations en faveur de la liberté religieuse et de l’objection de conscience sont annoncées dans 120 villes au moins et le mouvement ne cesse de s’amplifier. Une quinzaine d’évêques se sont associés à cette initiative qui risque d’avoir un impact considérable sur la popularité de Barack Obama en pleine campagne présidentielle. Avec l’économie la religion s’est imposée dans les débats. Les 70 millions de fidèles catholiques pourraient peser lourd sur l’issue du vote en novembre prochain, d’autant que l’Eglise catholique américaine est un des principaux acteurs dans le domaine de la santé avec plus de 600 hôpitaux et un chiffre d’affaires de quelque 30 milliards de dollars."

  • Benoît XVI s'envole aujourd'hui pour son 23e voyage apostolique

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    Source : radio vatican

    Ce vendredi 23 mars, l'avion papal décollera du tarmac de l'aéroport de Rome Fiumicino à 9h30 locales, pour un vol qui durera environ 14 heures direction : le Mexique.

    Peu après le départ, Benoît XVI devrait, comme c'est une tradition au cours des voyages apostoliques, répondre aux questions des journalistes qui l'accompagnent dans l'avion.

    L'arrivée à Leon Guanajuato est prévue à 16h30 locales (23h30 romaines). Compte tenu du décalage horaire, Benoît XVI prononcera un seul discours, au cours de la cérémonie de bienvenue à l'aéroport. Le Pape rejoindra ensuite le Collège Miraflores de Leon, qui sera sa résidence pour cette étape mexicaine.

    Le lendemain, samedi 24 mars, en fin d'après midi, Benoît XVI est attendu à la "Casa del Conde Rul", siège des autorités locales de l'Etat de Guanajuato. C'est là qu'il rencontrera le président fédéral mexicain, Felipe Calderon. A l'issue de cet entretien, Benoît XVI saluera depuis le balcon les enfants réunis sur la plaza de la Paz. 

    Dimanche 25 mars sera la journée phare de l'étape mexicaine. Le Pape se rendra en hélicoptère à Leon. Avant d'atterir non loin du Parc du Bicentenaire, l'appareil effectuera un survol du sanctuaire du Christ Roi. A 10h, après un bain de foule en papamobile sur cette place emblématique de l'indépendance mexicaine, le Pape rejoindra l'autel et présidera une grande messe en présence des présidents des 22 conférences épiscopales de l'Amérique Latine et des Caraïbes. 
    En fin de journée, à 18h locales, Benoît XVI célèbrera les Vêpres avec les évêques du Mexique et de l'Amérique latine. 

    Lundi 26 mars, la suite papale rejoindra l'aéroport de Leon Guanajuato. Après une cérémonie de prise de congé, l'avion du Pape décollera à 9h30 locales direction : Santiago de Cuba.

    L'arrivée sur l'île est prévue à 14h locales. Le pape prononcera un discours à l'aéroport, après avoir été accueilli par Raul Castro, puis il prendra le chemin de l'archevêché. Après un court repos, en fin d'après midi Benoît XVI se rendra sur la Plaza Antonio Maceo, après un parcours en papamobile, il rejoindra l'autel et présidera une messe à l'occasion du 400e anniversaire de la découverte de la statuette de la Vierge de la Charité, sainte patronne de Cuba. 

    Le lendemain, mardi 27 mars, le Pape se rendra au sanctuaire de la Vierge de la Charité del Cobre pour s'y recueillir, avant de s'envoler de nouveau vers la Havane, capitale de Cuba. 
    A 17h30, Benoît XVI se rendra au Palais de la Révolution pour rendre une visite de courtoisie au président du conseil d'Etat et du conseil des ministres, Raul Castro. 
    Dans la soirée le Pape rencontrera les évêques cubains pour le dîner à la nonciature apostolique. 

    C'est la dernière journée, le mercredi 28 mars, qui sera sans doute la plus symbolique de tout ce voyage apostolique. Benoît XVI rejoindra la place de la Révolution en papamobile, saluera les fidèles et présidera une dernière messe sur cette place emblématique.

    A 16H30 locales, le pape prendra finalement congé, après une cérémonie à l'aéroport, l'avion décollera aux alentours de 17h. Le vol durera un peu plus de dix heures. L'arrivée est prévue à 10h15 (romaines).

  • L'"anthropologie de l'ouverture", remède au drame de notre temps ?

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    Sur ZENIT.org :

    « Le Christ, destin de l’homme. Itinéraires d’anthropologie filiale » : ce livre du secrétaire du Conseil pontifical pour la Famille, Mgr Jean Laffitte, évoqué sur ZENIT.org le 16 mars, a été présenté à Paris, au Collège des Bernardins, le mercredi 14 mars, entre autres, par le P. Olivier Bonnewijn, professeur à l’I.E.T. de Bruxelles.

    Le texte intégral de sa présentation figure sur le site de ZENIT.org : http://www.zenit.org/article-30433?l=french.

    Extrait :

    "(l') auteur (Mgr Laffitte) possède une vive perception du drame de notre temps : la fermeture à Dieu comme l’a spécialement analysé Gaudium et spes dans ses numéros sur l’athéisme, le rétrécissement individualiste de l’être humain et de la société. La gender theory en présente un symbole actuel particulièrement éloquent. Pourtant, « l’homme ne se limite jamais à l’horizon de ce monde. » « Il est incapable de se suffire à lui-même. (…) Il a une constitution que de nombreux auteurs (…) ont parfois qualifiée de structure dialogique. D’autres, comme Bruaire, sont allés encore plus loin en parlant de l’homme comme être-de-don. »

    D’où la question de fond qui traverse tous les chapitres : Comment échapper à cet emprisonnement ? Comment tracer des pistes - des « itinéraires » - pour parvenir à cette « anthropologie adéquate » dont parle Jean-Paul II ? Notre théologien pasteur part de très loin. Il commence par considérer l’embryon souvent prisonnier d’un regard très matérialiste et aboutit 560 pages plus loin au côté transpercé du Christ. « Il y a une contemporanéité du Cœur transpercé du Christ à l’homme de tous les temps », y compris à l’homme en son stade embryonnaire.Entre les deux, quel parcours ! La santé, le sida, la mort, le mariage, la famille, le corps, l’Eucharistie, la société, la paix entre nations, la démographie en Europe, l’objection de conscience et « la tolérance idéologique », la révolution sexuelle, l’inviolabilité de la conscience, la connaissance de Dieu et de la vérité, l’agir rationnel du croyant, le pardon. Toutes ces problématiques sont en réalité intrinsèquement reliées entre elles grâce aux rayons de cette anthropologie de l’ouverture."

  • Les jeunes libéraux mobilisent contre la Marche pour la Vie

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    Les Jeunes MR "condamnent fermement la Marche pour la vie".

    Voilà les (bons) cathos qui votent MR ou sont candidats sur ses listes prévenus….

    L’avortement : les Jeunes MR favorables à une approche libérale et responsable

    Au nom de la liberté et de son corollaire le libre choix, les Jeunes MR apportent leur soutien à la «Plateforme pour le droit à l’avortement» lors de la mobilisation européenne de ce samedi. Nous appelons, dès lors, tous nos militants, sympathisants et défenseurs des valeurs libérales et démocrates à rejoindre la présidence des Jeunes MR ce samedi 24 mars, dès 14h sur la place Poelaert à Bruxelles.

    «La liberté, c’est la possibilité que l’on devrait toutes et tous avoir de faire nos propres choix, sans contrainte et en exerçant notre libre arbitre. Les moyens doivent être disponibles pour que chacune et chacun d’entre nous puissent jouir de cette liberté qui implique également la responsabilité en fonction de nos choix individuels» indique le Président des Jeunes MR, Gautier Calomne.

    Les Jeunes MR rappellent, ainsi, leur profond attachement à la liberté de choix et considèrent l’avortement comme un droit de l’Homme moderne. A ce titre, nous ne sommes pas en faveur d’une coercition étatique, niant la primauté de l’individu, qui viserait à restreindre ses libertés individuelles en réduisant l’accès ou en pénalisant l’interruption volontaire de grossesse. Une plus grande responsabilisation des acteurs résulterait sans nul doute à de plus grandes exigences éthiques et morales.

    Les Jeunes MR réitèrent donc leur soutien à toutes les familles et femmes isolées qui sont confrontées à une interruption volontaire de grossesse. De même, les Jeunes MR souhaitent un renforcement des droits et libertés élémentaires, contrairement à celles et ceux menant des combats d’arrière-garde.

    Parallèlement, les Jeunes MR condamnent fermement la «Marche Pour la Vie» qui se déroulera ce dimanche à Bruxelles. Bien que défenseurs de la liberté d’expression, les Jeunes MR ne conçoivent pas qu’en 2012 encore, certains s’adonnent à autant de prosélytisme pour stigmatiser des milliers de femmes qui ont recours à l’avortement.

    Enfin, les Jeunes MR appellent à la mise en œuvre d’une directive européenne qui entérinerait le droit à l’avortement dans tous les Etats membres et fixerait un délai unique et suffisamment étendu pour y avoir recours. «Cette harmonisation européenne est indispensable à l’heure où certaines femmes en Europe prennent encore de réels risques en avortant dans la clandestinité et souvent dans des conditions précaires afin de contourner leur législation nationale. Il faut mettre un terme à ce shopping intracommunautaire de l’avortement !» conclut Gautier Calomne, Président des Jeunes MR.

    Contact presse : Gautier Calomne – Président des Jeunes MR - 0498/540.332