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Actualité - Page 1765

  • Le latin, langue morte. Et enterrée ?

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    5248.jpgC’est le titre d’un article dans « La Libre Belgique » de ce jour qui nous explique, entre autres que « 28% des écoles proposent encore du latin. Seul un élève sur cinq en fait. Une langue ancienne qui divise et continue de susciter le débat (…). Selon un comptage annuel réalisé par le cabinet de la ministre Simonet (CDH), au 15 janvier dernier, à peine une école sur quatre (28 %) en Communauté française organise le cours de latin aux deuxième et troisième degrés de l’enseignement secondaire. Dans lesquelles à peine 20 % des élèves optent pour la langue de Cicéron comme option de base. C’est relativement peu. Quoi qu’il en soit, le latin est toujours là, il divise et continue de nourrir le débat(…).

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  • 2012-2013 : une année de la foi

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    Benoît XVI annonce la tenue d’une « Année de la Foi » qui débutera le 11 octobre 2012 – 50e anniversaire de l’ouverture du Concile œcuménique Vatican II – et qui se conclura le 24 novembre 2013, solennité du Christ Roi de l’Univers. (Zenit.org) Le pape venait de l'annoncer aux "nouveaux évangélisateurs" pour qui il a célébré la messe ce dimanche en la basilique Saint-Pierre, au terme de la première rencontre organisée par le Conseil pontifical pour la Promotion de la Nouvelle évangélisation.

    Devant ldes milliers de visiteurs rassemblés place Saint-Pierre pour la prière de l’angélus dominical, le pape a réitéré cette annonce, soulignant que « les motivations, les finalités et les lignes directrices » de cette « Année » ont été exposées une Lettre Apostolique qui sera publiée dans les prochains jours. Le pape a rappelé qu’une année semblable avait été convoquée en 1967 par le serviteur de Dieu Paul VI, à l’occasion du 19e centenaire du martyre des apôtres Pierre et Paul, et durant une période de grands changements culturels.

    « Cinquante ans après l’ouverture du Concile, liée à l’heureuse mémoire du bienheureux Jean XXIII, j’estime qu’il est opportun de rappeler la beauté et le caractère central de la foi, l’exigence de la renforcer et de l’approfondir au niveau personnel et communautaire, et de le faire dans une perspective qui ne soit pas tant de célébration mais plutôt missionnaire, dans la perspective, justement, de la mission ad gentes et de la nouvelle évangélisation », a expliqué le pape.

    Sur Metablog, l'abbé Guillaume de Tanoüarn se livre à ce commentaire au sujet de l'initiative de Benoît XVI qui a annoncé hier cette "année de la foi"

    2012 année de la foi : I've a dream !

    Ainsi en a décidé Benoît XVI. Cette année de la foi commencera en octobre 2012, pour le cinquantième anniversaire du concile Vatican II, et plus précisément pour l'anniversaire du Discours d'ouverture de Jean XXIII : Gaudet Mater Ecclesia, le 11 octobre 1962.

    Moi qui suis né le 2 novembre 1962, je suis totalement... conciliaire, avec mon demi-siècle. Je n'ai connu que le Concile ou la résistance au Concile et j'ai plus appris (j'ai vraiment beaucoup appris, au collège déjà) dans la résistance que dans le grand élan conciliaire. Ce grand élan, je l'ai vécu comme une sorte de poussée iconoclaste au sein même de l'Eglise romaine. Il y avait autour de moi, dans mon enfance et mon adolescence une hargne à briser les images, à détruire les formes. C'était déjà comme si il ne restait rien debout. Et c'était il y a longtemps. il faut bien reconnaître qu'aujourd'hui, même si elle ne s'est pas encore sorti de son accès de fièvre, notre chère Eglise va plutôt mieux.

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  • Les indignés : conformistes, contradictoires et sélectifs

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    Dans "Valeurs Actuelles", le 29 septembre dernier, Chantal Delsol proposait son analyse sous le titre "Si conformes “indignés”

    "... Les “indignés” ressemblent très peu à leurs parents soixante-huitards. Ils sont souvent chômeurs ou intermittents. Leur stabilité dans la vie est aléatoire, qu’il s’agisse des sentiments ou de la profession. Ils ont peu de projets à long terme, peu d’ambition. Ils ne rêvent pas de s’enrichir, car ils ont eu dans leur enfance à peu près tout ce que l’on peut désirer...
    Les indignations des “indignés” sont à la fois contradictoires et sélectives. Où l’on peut repérer à la fois leur multiplicité et leurs tendances. Mais dans l’ensemble, ils sont terriblement les fils de leur temps, et si politiquement corrects que peu de médias les désavoueraient. Ils réclament à la fois un État très providentiel, distributeur de prestations et de nouveaux droits créances, et le retrait des avantages des fonctionnaires ; ou bien, le développement des services publics et la fin de la dette… Ils récusent les centrales nu­cléaires et la corruption politique, les désastres écologiques. Ils réclament des droits pour l’animal. Ils sont tellement comme tout le monde que, sur la place de la Bastille, ils brandissent une pancarte “L’alcool non merci”, et à Madrid finissent par se dissoudre dans les procès pour harcèlement sexuel… tout cela est si peu original, si “comilfo”, si désespérément conforme ! ..."

    Lire la suite ici : http://www.valeursactuelles.com/

  • L'impact de la crise sur les familles

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    http://www.radiovaticana.org/fr1/articolo.asp?c=529330

    Benoît XVI demande des solutions pour concilier famille et travail, surtout dans le contexte de crise actuel. Il l’a souligné en recevant ce samedi matin les participants au congrès international annuel organisé par la Fondation Centesimus annus, sur le rapport entre familles et entreprises. Le Pape a évoqué les difficultés actuelles, la crise économique et celle de l’emploi, qui ont des répercussions sur la famille; il a cité les conflits au sein des couples et entre les générations, le malaise qui touche les rapports sociaux. Les règles économiques doivent dépasser la seule logique du profit et tenir compte des intérêts et de la sauvegarde de la famille, cellule de base de la société – a martelé Benoît XVI en soulignant que l’étymologie du mot économie contient une référence à la famille : Oikia et nomos, autrement dit la loi de la maison (l'économie est l'art de bien administrer une maison).
    Même s’il ne revient pas à l’Eglise de définir une stratégie de sortie de crise, les chrétiens ont le devoir de dénoncer les problèmes actuels, de témoigner des valeurs sur lesquelles est fondée la dignité de la personne et de promouvoir les formes de solidarité qui favorisent le bien commun. Mais le Pape a averti que le devoir de solidarité ne peut être délégué à l’État. La famille a son rôle à jouer. Dans son exhortation apostolique Familiaris consortio, publiée il y a 30 ans, Jean-Paul II a énoncé les quatre tâches prioritaires de l’institution familiale, toutes fondées sur l’amour et la gratuité : la formation d’une communauté de personnes ; le service à la vie ; la participation sociale et la participation ecclésiale. Aujourd’hui, plus que jamais, l’économie a besoin de la famille pour être au service de la personne, pour avoir un visage humain.

  • Quand les "indignés" dérapent méchamment...

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    Deuxième "emprunt" au site de notre amie de "Benoît et moi" ce matin :

    "Gentils" indignés, à Rome

    Ils ont mis la ville à feu et à sang, fait irruption dans une église, détruit une statue de la Vierge et un crucifix. (15/10/2011)

    Source: il suffit de taper "indignati roma" ou "indignés rome" dans le moteur de recherche, rubrique actualités...

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    Le vicariat de Rome condamne les profanations et les actes blasphématoires.
    Dans une paroisse de Rome, San Marcellino e Pietro, les aimables manifestants ont fait irruption et détruit une statue de la Sainte Vierge et un Crucifix. (http://paparatzinger4-blograffaella.blogspot.com/)

    Et bien entendu, on nous refait le coup des quelques violents qui ont pollué la pureté des intentions des manifestants (argument qui ne vaut que quand les cibles sont catholiques).
    Bien sûr qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, dans cette société.
    Mais cette façon d'aborder les problèmes est la pire de toutes, et les gens qui la cautionnent sont des irresponsables.

    On peut se demander qui tire les ficelles, et trouver étrange de découvrir derrière tout cela la "grande main" (entre autres) d'une ONG www.avaaz.org/fr (voir notice wikipedia - neutre, mais instructive)

    Sur Radio Vatican :

    Le cardinal vicaire de Rome, Agostino Vallini, s’est dit profondément troublé par l’irruption de casseurs dans une église située dans le centre de Rome, en marge du défilé des indignés le samedi 15 octobre. Une statue de la Vierge et un Crucifix ont été détruits. Des incidents ont éclaté dès le début du cortège. Des éléments incontrôlés, masqués de foulards noirs, ont fracassé les vitrines. mis le feu à des voitures, transformé en champ de bataille la place historique de Saint Jean de Latran où se trouve la cathédrale de Rome. La police a chargé des centaines de jeunes qui lançaient fumigènes, cocktails Molotov et bouteilles contre les forces de l'ordre, tandis que les manifestants pacifiques quittaient les bras en l'air pour ne pas être confondus avec les casseurs.
    Le cardinal Vallini fait part de sa profonde préoccupation souhaitant que soit rétabli au plus vive un climat de dialogue et de convivialité. Les Associations catholiques ont elles aussi élevé leur voix pour condamner ces violences. C’est un jour de profonde tristesse, presque de deuil – affirment les jeunes de l’Action catholique dans un communiqué. Les violences, provoquées par des groupes de black block, équipés pour une guérilla urbaine, ont transformé cette manifestation en un rituel macabre et effrayant. Les jeunes catholiques italiens souhaitent que justice soit faite pour les manifestants pacifiques, pour les jeunes italiens, pour la ville de Rome, pour les forces de l’ordre. D’autres associations catholiques soulignent que ce qui s’est passé ce samedi à Rome soulève des interrogations sur le climat de tension qui s’est emparé des Italiens surtout des plus jeunes. (Avec agences)

  • De moins en moins de catholiques...

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    L'enquête du CRISP portant sur le déclin de la religion catholique en Belgique fait grand bruit et suscite des commentaires d'une sottise inégalable, notamment sur le site de la RTBF, ce qui n'étonnera personne. Celle-ci se demande notamment si la présence de Mgr Léonard à la tête de l'Eglise de Belgique n'est pas responsable de cette hémorragie, comme si le processus de désaffection à l'égard du catholicisme n'était pas largement entamé avant l'arrivée du prélat sur le siège archiépiscopal. Mais qu'importe, ce qui compte aux yeux de ces faiseurs d'opinion, c'est de ruiner le crédit du seul personnage en vue dans notre pauvre pays qui ose dénoncer la dérive ultra-permissive des moeurs et qui ne cède pas aux oukazes des groupes de pression de tout acabit.

    Ceci dit, les adversaires qui se réjouissent de cet affaiblissement de l'Eglise n'en mesurent pas toutes les conséquences. Qu'est-il advenu de tous ces lieux où l'on accueillait et où l'on assistait les plus mal lotis de notre société : communautés religieuses, presbytères, conférences de saint Vincent de Paul, etc? Dans la ville où j'habite (60000 habitants environ), il n'y a plus aucune communauté religieuse et il ne reste plus que deux prêtres pour animer les deux unités pastorales qui se sont substituées à la douzaine de paroisses qui existait auparavant; pourtant, tous ces lieux étaient largement ouverts aux personnes en difficulté.

    On peut aussi se frotter les mains en observant le peu de couples qui se marient à l'église. Effectivement, quand un couple sur deux divorce, il vaut mieux être prudent avant d'aller s'engager dans les liens indissolubles du mariage chrétien. Mais qu'advient-il de tous les enfants du désordre conjugal et familial? N'importe quel enseignant honnête sera bien obligé de constater la connexion entre échec familial et difficultés scolaires. Et que dire de tout le reste? Consommation de drogue, alcoolisme, délinquance juvénile, suicide..., qui osera prétendre qu'il n'y a pas de lien entre ces dérives inquiétantes et la décomposition du modèle familial traditionnel.

    La raréfaction de catholiques pratiquants et convaincus coïncide également avec celle de personnes prêtes à s'engager bénévolement, que ce soit dans l'animation des mouvements de jeunesse, dans l'aide sociale et humanitaire, etc. Mais est-il pertinent d'isoler ce qui se passe au niveau du catholicisme des autres réalités confessionnelles, sociales, syndicales, et autres. A part l'arrivisme qui détermine certains à s'engager en politique, on constate une grande difficulté à trouver des gens disposés à donner gratuitement de leur temps et à prendre un engagement dans la durée. Plus qu'un phénomène propre au catholicisme, c'est un phénomène de société qu'il faut bien constater au même titre que d'autres tout aussi inquiétants et qui hypothèquent l'avenir de notre société.

  • Jean-Paul II bientôt canonisé ?

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    20071218PHOWWW00070(1).jpgOn peut ne pas être un fan de la phénoménologie personnaliste de Jean-Paul II, ni de son invocation, parfois obsessionnelle, des « droits de l’homme ». L’important est qu’une personne ne se résume pas à ses idées. La foi n’est pas une idéologie, pas plus que l’espérance et la charité. Je me souviens d’un reportage vidéo sur la visite de Jean-Paul II à Cuba en 1998. Il comportait une série de plans rapprochés fort indiscrets  (le pape était déjà très affecté par la maladie) mais de ceux-ci transparaissaientt finalement, surtout, la simplicité et la profonde humanité de cet homme authentique et c’est sans doute à ce titre que Fidel Castro  l’accueillait avec une attention que le vieux dictateur communiste n’aurait pas accordée aux puissants de ce monde. Aussi ne nous étonnons pas de l’information que rapporte aujourd’hui le « Forum Catholique » :

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  • Enseignement : un incident révélateur

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    "Il s’agit d’un incident tragique et d’une grande portée quant au déclin qu’il met en lumière de l’éducation Nationale (française), il souligne aussi la grande difficulté des enseignants à se placer dans un milieu scolaire ou laissés seuls face aux élèves, dans un climat ou la discipline n’existe plus, la ligne rouge est rompue. Une enseignante de 44 ans s’est arrosée d’essence et s’est enflammée au centre de la cour de récréation, auparavant à l’adresse des élèves elle a lancé : « C’est pour vous ! »

    à découvrir ici : http://www.radinrue.com/article6958.html

  • Un nouveau site d'évangélisation sur internet : Aleteia

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    Le site Aleteia: la nouvelle évangélisation sur Internet (DEPECHE CATHOBEL) 

    Avec le site internet Aleteia, la nouvelle évangélisation fera bientôt son entrée dans le monde virtuel. L'archevêque Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation, a décrit la plateforme en cours de développement comme la première communauté en ligne de questions-réponses à propos de la foi, dans une interview accordée à l'"Osservatore Romano" le 14 octobre 2011. Le nouveau site sera présenté le 15 octobre, lors du premier congrès sur la nouvelle évangélisation au Vatican. La rencontre, qui a pour thème "La Parole de Dieu croissait et se multipliait", devrait réunir plusieurs milliers d'évangélisateurs venus du monde entier. D'après Mgr Fisichella, le nouveau portail internet devrait dépendre du Conseil Pontifical pour les Communications Sociales. Il a récemment été révélé que le journaliste espagnol Jésus Colina travaillera pour http://www.aleteia.org/ Le fondateur de l'agence Zenit avait été licencié fin septembre par les Légionnaires du Christ, à la tête de la structure d'information religieuse, en raison d'un "manque de confiance réciproque". La "bande-annonce" du site est déjà disponible sur Internet: www.youtube.com/user/AleteiaEN.

  • Le caractère presque sacré de la fonction publique

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    CITE DU VATICAN, 14 OCT 2011 (VIS). "La fonction publique est importante au point de revêtir un caractère presque sacré. L'exercice de ses charges requiert donc une grande dignité et un haut sens de la responsabilité". C'est ce que le Saint-Père a dit lors de son audience aux préfets et au ministre italien de l'intérieur, à l'occasion du 150 anniversaire de l'Italie unie. Partout en Italie, a-t-il poursuivi, "on voit combien la foi chrétienne imprègne le mode de vie de la population, sa culture religieuse et culturelle, et un patrimoine artistique unique au monde". L'Eglise y est aussi bien présente, "prête à répondre aux besoins profond des personnes, en vertu de sa vocation au service".

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  • L'engagement pro-vie de Lord Nicholas Windsor et les articles de San José

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    Lorsque Lord Nicholas Windsor s’est converti au catholicisme, il a renoncé à ses droits héréditaires à la couronne britannique et embrassé l’enseignement de l’Eglise, notamment ceux sur les droits à la vie du fœtus. Cette semaine, dans une chambre de comité de la Chambre des Lords, il a fait une plaidoirie révolutionnaire pour une défense de ce droit. Il a affirmé « Je conçois les Articles de San José comme un effort pour tirer marquer une ligne de départ du combat à contre courant de la forte dérive à laquelle sont à attribuer les prétentions de l’existence d’un véritable droit à l’avortement, qui se fondent sur le droit international des droits de l’homme ».

    Plus de trente politiciens confirmés, diplomates, avocats, professeurs et autres personnalités venues du monde entier ont signé les Articles de San José, un document qui défend les droits du fœtus et qui réfute la campagne internationale subversive selon laquelle l’avortement est un droit de l’homme.

    L’importance de ces articles a été soulignée récemment lorsqu’un rapporteur spécial de l’ONU pour la Santé, le Haut Commissaire pour les droits de l’homme, et le Secrétaire Général de l’ONU ont faussement affirmé qu’il existe un droit à l’avortement. C’est précisément une telle approche qui a conduit au «gendercide » [homicide de masse en raison d’un sexe particulier] qui a sacrifié les vies de cent millions de petites filles – avortées à cause de leur sexe.

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  • ONU : La surprise du Columbus Day

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    Par Tom McFeely- NEW YORK, 13 octobre (C-FAM)

    Le jour où la plupart des américains commémorent le premier voyage et les découvertes de Christophe Colomb, un haut fonctionnaire de l’ONU pour le droit des femmes a exposé les grandes ligne d’un nouveau projet digne du meilleur des mondes qui pousse encore à la création d’un nouveau « droit » international à l’avortement.

    Une telle affirmation venant d’une institution telle que l’ONU – et cela malgré le fait qu’un tel droit n’a jamais fait l’objet d’un accord parmi les Etats membres de l’ONU, et n’est expressément inclus dans aucun des plus importants traités protégeant les droits de l’homme – a été faite lors d’une réunion du troisième comité de l’Assemblée Générale des Nations Unies , lundi matin, au début d’une discussion de trois jours sur le progrès dans la mise en œuvre du droit des femmes.

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