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Art - Page 24

  • Liège : enregistrée et diffusée depuis l’église du Saint-Sacrement en direct ce matin du 21 février 2021 à 10h, la messe traditionnelle (missel de 1962) du 1er dimanche du carême

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    Célébrant : Abbé M.-A Dor, Recteur

    Chants grégoriens : propre de la messe « Invocabit me »; Kyriale de la messe XI  « Orbis factor » (XIVe s.); Credo I (XIe s.);

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    https://youtu.be/xLLoMSlODLw

    Ce dimanche, le premier de ceux qui se rencontrent dans la sainte « Quarantaine » (Carême), est aussi l’un des plus solennels de l’année. C’est aujourd’hui que le Carême apparaît dans toute sa solennité. On sait que les quatre jours qui précèdent ont été ajoutés assez tardivement, pour former le nombre de quarante jours de jeûne, et que, le Mercredi des Cendres, les fidèles n’ont pas l’obligation d’entendre la Messe.

    L’Introït est tiré du Psaume 90, qui forme à lui seul la matière de tous les chants de cette Messe. Tout nous y entretient de l’espérance que l’âme chrétienne doit concevoir dans le secours divin, en ces jours où elle a résolu de se livrer entièrement à la prière et à la lutte contre les ennemis de Dieu et d’elle-même. Le Seigneur lui promet, dans l’Introït, que sa confiance ne sera pas vaine.

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  • L'oeuvre complète de Van Eyck accessible en haute résolution sur Internet

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    Lu sur le site de La Libre :

    Toutes les œuvres de Van Eyck visibles en ligne

    L'Institut royal du Patrimoine artistique (IRPA) a mis en ligne vendredi les quatre dernières œuvres du peintre Jan Van Eyck.

    Les 20 tableaux qui sont attribués à l'artiste sont ainsi visibles en haute résolution sur le site Closer to Van Eyck. L'oeuvre complète de Jan Van Eyck comprenant 20 tableaux se trouve donc désormais accessible en haute résolution sur le site closertovaneyck.kikirpa.be dont une partie est également consacrée à la restauration du retable de l'Agneau Mystique.

    Sont désormais également accessibles aux internautes le Portrait d'un homme (Léal Souvenir) conservé à la National Gallery de Londres, le Saint Jérôme de l'Institute of Arts de Detroit, le Saint François du Museum of Art de Philadelphie ainsi que la Vierge à l'Enfant à la fontaine (New York, collection privée).

    Ces quatre tableaux ont été exposés au Musée des Beaux-Arts de Gand lors de la grande exposition de 2020 consacrée à Van Eyck. Peu après la première vague de la pandémie de coronavirus, l'IRPA a pu étudier et documenter ces peintures avant qu'elles ne soient emballées et restituées à leurs propriétaires.

    Les amateurs peuvent à présent zoomer tant sur les détails les plus infimes que sur les couches sous-jacentes qui sont révélées grâce à la radiographie et la réflectographie infrarouge. "Il existe parfois plusieurs versions d'une même composition. Nous pouvons désormais, pour la première fois, les comparer jusque dans leurs moindres détails sur la base d'images standardisées, car les tableaux ont tous été photographiés selon un protocole identique et avec le même matériel", explique Bart Fransen, responsable du projet à l'IRPA.

    L'autre nouveauté du site consiste en l'ajout de photos du revers des tableaux, rarement visible pour les visiteurs. Celui-ci porte parfois d'anciennes étiquettes qui renseignent sur les précédents propriétaires ou offre un aperçu de la structure du panneau de bois. Mais surtout, il est souvent peint à l'imitation du marbre ou du porphyre et présente des éclaboussures de peinture, précise l'IRPA.

    Les œuvres numérisées font également partie de l'exposition interactive "Face à Van Eyck. Le miracle du détail" qui se tient à Bozar à Bruxelles jusqu'au 14 mars.

  • Quand l'avortement s'invite à l'émission de "The Voice" et bouleverse Vianney

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    De Rachel Molinatti sur aleteia.org :

    « The Voice » : une chanson sur l’avortement bouleverse Vianney

    Capture d'écran / TF1

    15/02/21

    Lors des auditions à l'aveugle de la dixième saison de "The Voice", le 13 février 2021, une chanson sur l'avortement a bouleversé le chanteur Vianney.

    Lors des auditions à l’aveugle de la saison 10 de l’émission « The Voice », sur TF1 le 13 février, le chanteur Vianney, qui fait partie des nouveaux membres du jury, a été bouleversé par la prestation de l’un des candidats, Tarik, 21 ans, étudiant en kinésithérapie. Après l’avoir entendu sur un texte de Grand Corps Malade, le jury lui avait en effet demandé d’interpréter l’une de ses propres compositions.

    Le jeune homme a choisi un slam intitulé « Mon chéri », qui a arraché des larmes à Vianney. Le texte dit la détresse d’une mère qui avorte et crie sa douleur, s’adressant à son enfant disparu. « Mon chéri c’est moi, j’aimerais te parler », lance-t-elle en préambule. « Tu es mon fils, mon sang, la chair de ma chair. […] Je suis vide sans toi, j’ai peur de dire adieu ». La mère évoque tous les rêves avortés avec la disparition de son enfant et les mots sont d’une grande puissance : « Mon fils je te regarde, mais doucement tu disparais, alors je m’accroche à toi et au rêve que tu étais. Car oui tu n’es pas né et je ne te verrai jamais. Mon fils ne m’en veux pas, mais je vais devoir t’avorter ».

  • Sois pour moi un Dieu protecteur et un refuge

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    Introitus Introït
    Ps. 30, 3-4  
    ESTO mihi in Deum protectórem, et in locum refúgii, ut salvum me fácias: quóniam firmaméntum meum, et refúgium meum es tu: et propter nomen tuum dux mihi eris, et enútries me. Ps. ibid., 2 In te, Dómine, sperávi, non confúndar in aetérnum: in iustítia tua líbera me, et éripe me. ℣. Glória Patri. Sois-moi un Dieu protecteur et une maison de refuge, afin que Tu me sauves. Car Tu es ma force et mon refuge, et à cause de Ton nom, Tu seras mon guide et Tu me nourriras. Ps. 30,2 J’ai espéré en Toi, Seigneur : que je ne sois jamais confondu, dans Ta justice, délivre-moi et sauve-moi.
  • Destruction d'une chapelle à Lille : Stéphane Bern dénonce les fossoyeurs du patrimoine

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    Lu sur Valeurs Actuelles :

    “Halte aux fossoyeurs du patrimoine” : Stéphane Bern dénonce la démolition de la chapelle Saint-Joseph de Lille

    13 février 2021

    La démolition de la chapelle Saint-Joseph, datant de 1886, a commencé le 10 février à Lille, provoquant la colère froide de l’animateur.

    Stéphane Bern ne décolère pas. Édifiée à la fin du XIXe siècle dans le quartier Vauban de Lille, chapelle Saint-Joseph, datant de 1886, est depuis mercredi la proie des pelleteuses. Comme le relaye Le Figaro, l’édifice faisait l'objet d'un permis de démolition délivré en 2019 par la municipalité pour la construction d'une partie du nouveau campus de l'école d'ingénieurs Junia (ex-Yncrea). « La mobilisation d'une association de sauvegarde du patrimoine n'aura pas suffi : les pelleteuses ont commencé à détruire l'édifice datant de 1886.Quand on pense que c’est l’Université Catholique de Lille qui détruit sa chapelle... Halte aux démolisseurs et aux fossoyeurs du patrimoine. Vous aurez un jour à répondre de vos actes certes légaux mais iniques ! », a lancé Stéphane Bern qui contribue à la sauvegarde du patrimoine français dans toute sa diversité.

    En novembre dernier, le ministère de la Culture avait officialisé le rejet d'une demande de classement de l'édifice. Selon le ministère, « renoncer à la démolition de la chapelle impliquerait de devoir abandonner un projet important pour le développement de l'enseignement supérieur, qui représente un investissement de 120 millions d'euros». L'un des opposants à la démolition, l'architecte Étienne Poncelet, inspecteur général honoraire des monuments historiques, regrettait que le ministère oppose la sauvegarde de la chapelle à la restauration du palais Rameau. « Il est intelligent de se projeter vers l'avenir en réutilisant le patrimoine », avait-il confié. Ces derniers mois, plusieurs personnalités politiques ou du monde culturel s'étaient mobilisées contre la démolition de cette chapelle. Une pétition lancée par Urgence Patrimoine avait recueilli plus de 12 400 signatures.

  • Le film "Bella" : un autre regard sur le choix

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    De gènéthique magazine :

    [Film] Bella : un autre regard sur le choix

    12 février 2021

    A New-York, José, devenu cuisinier, était un joueur de football prometteur ; Nina est serveuse dans le restaurant du frère de José. Enceinte, elle est renvoyée pour un retard de trop. José, que les épreuves de la vie ont buriné, sans préméditation, lâche tout pour l’accompagner au long d’une journée pas ordinaire. Pour ces deux êtres blessés, affrontés à leurs responsabilités, c’est le début d’un itinéraire qui les conduira au-delà des vestiges du passé.

    Avec une infinie délicatesse, Bella aborde le thème de la grossesse non désirée. Quand tout raisonnement semble affirmer que l’enfant n’est pas le bienvenu, quel choix réel reste-t-il à la femme ? Bella est un film sur la culpabilité, la responsabilité et la résilience, qui laisse entrevoir d’autres chemins possibles.

    Le film d’Alejandro Monteverde distribué par Saje Distribution sortira en e-cinema le 9 février. Les inscriptions sont possibles jusqu’au 28 février à partir de ce lien.

    Affiche film

  • L'homélie de Mgr Aupetit lors de la messe à la mémoire de Robert Hossein

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    Du site de l'Eglise catholique à Paris :

    Homélie de Mgr Michel Aupetit - Messe du souvenir pour M. Robert Hossein en l’église Saint-Sulpice

    Saint-Sulpice (6e) - Mardi 9 février 2021

    Pour préparer cette célébration, j’ai relu le livre autobiographique de Robert Hossein : La Nostalgie.

    En refermant le livre, je me suis dit : vraiment cet homme est un vivant. Je sais, c’est un peu paradoxal et étrange de dire cela en parlant de quelqu’un qui vient de mourir. Et pourtant, la manière dont il a vécu, dont il a habité sa vie, m’a conduit à ce constat. Il y a tant de gens qui vivent leur vie par procuration comme le chantait Jean-Jacques Goldman, qui se laissent conduire par les événements, les contingences, les conditionnements de toutes sortes, que lorsqu’une personne s’empare de sa vie, devient libre, il n’y a pas d’autre expression que : « cet homme est vivant ».

    Car la vie ce n’est pas seulement de la biologie, car la biologie « ce ne sont que des algorithmes » comme l’affirmait le philosophe Michel Henry. La vie, c’est ce qui nous construit dans les relations, les découvertes, la curiosité, la soif de vivre, la tendresse, enfin tout ce qui nous manque aujourd’hui en ce temps de confinement.

    Il n’est pas étonnant que cet homme ait rencontré celui qui est le Vivant : Jésus-Christ. Il a dit dans son livre : « J’étais simplement fasciné par cet homme. J’éprouvais le besoin viscéral de monter un spectacle pour parler de ce Dieu de miséricorde venu délivrer un message d’amour à l’humanité ». Cette rencontre a été fulgurante. Il a demandé le baptême à 50 ans et il a vraiment assumé ce baptême.

    Être conséquent avec son baptême implique un changement de vie, ou plutôt conduit à une plénitude du regard. Désintéressé, capable d’accueillir des pauvres qui se présente à lui, il a compris cet évangile que nous venons de lire : « Ce que tu fais aux plus petits d’entre les miens c’est à moi que tu le fais » (Mt 25,40). « Car j’avais faim et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi ! » (Mt 25, 35-40)

    C’est bien ce qu’il avait compris quand il écrit dans son livre : « Il y a trop de détresse de nos jours pour qu’on admette de ne s’occuper que de soi ». Et combien c’est vrai de nos jours où nos prétentions à tout maîtriser sont mises à mal par un simple virus.

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  • L'art contemporain : une « idéologie » et « un système de pouvoir »

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    De la Revue de presse "Au quotidien" (n°145) de l'Homme Nouveau :

    L’art de la déconstruction de l’art contemporain

    Au quotidien n°145 : l’art de la déconstruction de l’art contemporain

    L’art contemporain ? C’est le sujet de « L’Autre Art contemporain » (Grasset), un essai de Benjamin Olivennes jeune agrégé de philosophie qui a répondu aux questions du Figaro Magazine (29 janvier) pour expliquer son travail de déconstruction.

    Comment expliquez-vous que ce que vous qualifiez d’« imposture » se vende si cher ?

    Il y a une première raison qui est le traumatisme des avant-gardes de la fin du XIXe siècle, et des grands « loupés » de la critique. Comme les bourgeois d’hier, dit-on, ont ri des impressionnistes ou de Van Gogh, on ne veut surtout pas refaire cette erreur aujourd’hui, donc on sanctifie tout ce qui semble moderne, subversif et transgressif - sans s’apercevoir que refaire du Duchamp cent ans après n’est pas très original et ne dérange personne. Et il y aurait sans doute une deuxième raison à chercher dans le fait que le capitalisme aime à se célébrer lui-même, dans un art qui est un art du « concept » (c’est-à-dire de l’idée marketing) et un art « pop » ou néopop, qui se contente de reprendre les images et les objets qu’on trouve dans les grandes surfaces. C’est en quelque sorte la marchandise qui s’admire elle-même.

    Que répondez-vous à ceux qui estiment que l’art contemporain nécessite une éducation ou que l’histoire fera le tri ?

    Entre l’analphabète et le savant véritable, Montaigne et Pascal nous ont appris à discerner la figure du semi-habile, qui en sait suffisamment pour croire qu’il a tout compris, et pas assez pour comprendre véritablement. De nos jours, le semi-habile est souvent le défenseur de l’art contemporain. Signalons que des Claude Lévi-Strauss, Jean Starobinski, Yves Bonnefoy hier, ou Jean Clair aujourd’hui en savent infiniment plus que lui, et que cela ne les empêche pas d’être très sceptiques sur cet art, et de rejoindre ce faisant l’opinion populaire.

    Quant à l’idée que l’histoire fera le tri, elle est utilisée pour nous interdire d’exercer notre jugement ici et maintenant. On confond le fait qu’une œuvre renouvelle et élargisse notre idée de la beauté, et donc commence par nous déstabiliser avant de s’imposer avec le temps (ce qui fut le cas pour un Van Gogh), et le fait que le gros de l’art contemporain ne se donne plus du tout la beauté - même en un sens élargi - pour destination, et cela au nom de ce qu’il croit être l’histoire.

    Selon vous, plus encore qu’une bulle financière, l’art contemporain est une « idéologie » et « un système de pouvoir ». Qu’entendez-vous par-là ?

    « Système de pouvoir » : je ne suis ni sociologue ni économiste. Je constate cependant que l’explosion des prix de l’art contemporain est contemporaine de la mondialisation financière et des bulles spéculatives. « Une idéologie » : je veux parler de l’idée selon laquelle l’art aurait une histoire, et une histoire à sens unique, orientée dans le sens du progrès. Une telle histoire signifierait qu’après telle ou telle rupture (Picasso, Malevitch, Duchamp) il serait impossible de « revenir en arrière ». Or, je crois que notre expérience de l’art n’est pas uniquement conditionnée par l’histoire, et donc que les créateurs doivent pouvoir être libres de faire ce qu’ils veulent, y compris peindre un portrait ou un paysage en 2021. C’est ce qu’a fait un Lucian Freud, qu’on a pu accuser de refaire du Courbet ou du Rembrandt en l’an 2000, alors qu’il peignait un monde nouveau - le sien -, avec un œil certes nourri de toute l’histoire de la peinture, mais nouveau lui aussi.

    Vous-même vous expliquez que vous avez longtemps essayé d’aimer l’art contemporain. Pourquoi vous sentiez-vous obligé de l’aimer au point de vous demander si vous étiez demeuré ?

    J’ai toujours aimé la peinture, et je me suis dit un temps qu’il fallait vivre avec son époque et accompagner l’art dans son histoire. Mais je trouvais dans l’art contemporain assez peu de plaisir. C’est d’abord par la littérature que je me suis libéré du dogme vingtiémiste, qui était malgré tout encore enseigné quand j’ai fait mes études. La lecture de Kundera ou de Houellebecq m’a fait comprendre que les idées de narration romanesque, de personnage ou de réalisme n’avaient pas été périmées par les grands modernes du XXe siècle. L’expérience du cinéma - un art qui est resté figuratif et narratif de Nosferatu à Mektoub my Love - m’a également aidé à me libérer de ces dogmes. Et enfin la découverte d’un peintre comme Hopper, un contemporain de l’abstraction dont le travail a pourtant suivi une autre voie.

  • Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur

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    Introitus Introït
    Ps. 94, 6-7  
    VENÍTE, adorémus Deum, et procidámus ante Dóminum, plorémus ante eum, qui fecit nos: quia ipse est Dóminus Deus noster. Ps. ibid., 1 Veníte, exsultémus Dómino: iubilémus Deo, salutári nostro. ℣. Glória Patri. Venez, adorons Dieu et prosternons-nous devant le Seigneur, et pleurons devant Lui qui nous a faits : car Il est le Seigneur notre Dieu. Ps. Venez, réjouissons-nous dans le Seigneur ; chantons des hymnes à Dieu notre Sauveur. ℣. Gloire au Père.
  • Où en sont les films SAJE ? Etes-vous abonnés à sa plateforme ?

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    Chers amis, 

    Vous vous demandez peut-être " Où en sont les films SAJE " dans cette période compliquée?  Malheureusement la confirmation que les salles de cinémas ne réouvriront pas de sitôt, nous a obligé à décaler nos sorties Cinéma.

    Mais la mission continue et nous avons beaucoup de propositions pour vous !

    Première nouvelle

    La reprise des séances de E-cinéma avec le film Bella !

    A partir du 9 février, découvrez le nouveau film d'Alejandro Monteverde, réalisateur de Little Boy ! 

    Synopsis : Ancienne gloire du football, aujourd’hui cuisinier dans le restaurant mexicain de son frère, José s’est retiré du monde mais quelque chose l’intrigue chez Nina, une jeune serveuse à qui il tend la main. Au cours d’une longue journée ordinaire à New York, ils vont non seulement affronter leur passé, mais découvrir comment le pouvoir de guérison d’une famille peut les aider à embrasser l’avenir.

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    Deuxième Nouvelle

    Vous avez toujours rêvé d'un "Netflix" Chrétien ! SAJE l'a fait ! 
    Une plateforme consacrée à toute la famille et un abonnement qui vous permet d'accéder à + de 100 films à partir de 6,99 euros par mois !

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    Troisième nouvelle

    Vous rêviez que vos projections privées pour vos institutions reprennent?

    Avec SAJE, c'est désormais possible ! Nous vous proposons plusieurs options pour proposer des séances à distance ! 

    Proposez des séances gratuites ou payantes pour vos invités, en E-cinéma ou via notre plateforme VOD ! 

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    Soyez assurés de nos prières et à très bientôt ! 


    L'Equipe Programmation et Animation Réseau de SAJE Distribution

  • La Flandre déchristianisée au chevet de ses églises désertées

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    Du site de Knack :

    Le Parlement flamand veut donner une seconde vie à plus d'églises

    21/02/04

    Source : Belga

    De nombreuses églises en Flandre sont peu ou pas utilisées. Les partis majoritaires N-VA, CD&V et Open Vld veulent donc relancer le débat sur l'utilisation secondaire et la réutilisation des bâtiments d'église.

    Dans une résolution, ils demandent au gouvernement flamand de veiller à ce que davantage d'églises puissent avoir une seconde vie. En Flandre, les gens réfléchissent depuis un certain temps à la finalité nouvelle ou secondaire des églises paroissiales. De nombreuses églises se vident et, à cause de cela, les bâtiments d'église tombent souvent en désuétude. Cela conduit parfois à la négligence et à la dégradation. En raison de cette dégradation, de plus en plus de travaux d'entretien et de rénovation sont nécessaires, ce qui rend la situation financière de plus en plus difficile à supporter pour les paroissiens et les autorités locales. Il existe des exemples, tant au niveau national qu'international, d'églises qui ont été transformées en librairies, en hôtels...

    L'ancien ministre du patrimoine immobilier, Geert Bourgeois (N-VA), a élaboré une note conceptuelle il y a dix ans. Ce mémorandum a ensuite donné lieu au Church Policy Plan (2015) et au "Re-use of Churches Project Office" (2016). Depuis lors, certaines églises en Flandre ont reçu une nouvelle utilisation ou une utilisation supplémentaire. Mais la députée flamande Joke Schauvliege (CD&V) pense qu'il est temps de passer à l'étape suivante.

    Le défi pour les années à venir reste grand", dit-elle. Schauvliege demande des efforts supplémentaires pour utiliser les églises pour des concerts, des conférences ou des événements culturels en plus des services de culte. De cette façon, le bâtiment de l'église peut continuer à jouer un rôle important dans la vie locale et assurer la cohésion sociale grâce à une honorable réaffectation", déclare le politicien du CD&V.

    Avec ses collègues Manuela Van Werde (N-VA) et Jean-Jacques De Gucht (Open Vld), Schauvliege a élaboré une résolution. Avec cette résolution, nous voulons demander au gouvernement flamand d'assurer une participation suffisante et de créer une base de soutien pour évoluer vers une co-utilisation ou une réutilisation réussie des bâtiments d'église", déclare M. Van Werde.

    Jean-Jacques De Gucht, membre du Parlement européen, souligne la "valeur architecturale particulière" de nombreux édifices religieux. Il serait dommage de laisser ces bâtiments, qui sont d'ailleurs généralement prévus dans un endroit central d'une ville, d'un village ou d'un quartier, se dégrader. Une nouvelle utilisation de ces produits prévient donc la dégradation de notre précieux patrimoine", déclare le membre de l'Open Vld.

  • Benoît XVI : un pape amoureux de musique sacrée

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    D'Augustin Talbourdel sur le site de l'Homme Nouveau :

    Benoit XVI, pour l'amour de la musique sacrée

    « En regardant le cours de ma vie, je rends grâce à Dieu d’avoir placé à mes côtés la musique comme une sorte de compagne de voyage, qui m’a toujours offert réconfort et joie », confiait Benoît XVI en 2007, au terme d’un concert offert pour ses 80 ans dans la salle Paul VI. Le plus mélomane des papes depuis saint Pie X a toujours accordé un intérêt particulier à la musique sacrée et au renouveau de la musique liturgique, à l’aune du concile Vatican II. Qui mieux que Benoît XVI, tout à la fois mélomane et musicien, prêtre et théologien, pouvait comprendre la nature de la musique sacrée ? Il en a notamment expliqué toute la portée dans son célèbre livre L'Esprit de la Liturgie, un texte nécessaire alors que la réforme liturgique a apporté dans son sillage une incompréhension, voire une négation, du rôle propre de la musique sacrée. Une synthèse éclairante de l'apport de Benoit XVI sur le sujet. 

    Depuis sa jeunesse en Allemagne jusqu’à ses dernières années à Rome, le pape Benoît XVI a été à la fois un grand amateur de musique et un bon musicien. Pianiste réputé et fin connaisseur de la musique sacrée et profane, de Palestrina à Arvo Pärt, il aime raconter sa première rencontre avec la musique, lorsqu’en 1941 il s’est rendu au Festival de Salzbourg, avec son frère Georg, pour écouter la Messe en ut mineur de Mozart. Depuis, sa passion pour la musique classique, et notamment pour le compositeur autrichien, n’a jamais faibli. Si son frère a consacré toute sa carrière à la musique, devenant le Kapellmeister de la cathédrale de Ratisbonne, prestigieux berceau du renouveau grégorien au siècle précédent, Joseph Ratzinger a, quant à lui, œuvré pour sauver la musique de la double crise, esthétique et liturgique, qui la menaçait depuis Vatican II. Évêque de Rome, il a redonné ses lettres de noblesse au patrimoine musical de l’Église tout au long de son pontificat ; théologien, il s’est efforcé de repenser musiques sacrée et liturgique à la lumière des Écritures et de l’histoire de l’Église.

    Malgré l’invitation de saint Pie X et de ses successeurs à privilégier le grégorien et la polyphonie classique et l’insistance des pères conciliaires quant à la promotion du « trésor de la musique sacrée », la musique liturgique a connu une réforme radicale au lendemain du concile. Déplorant l’opposition systématique entre une musique créative, festive et porteuse de la communauté et un « répertoire ancien mythifié », symbole d’une « contre-culture catholique », le pape émérite invite à repenser le rapport entre musique et liturgie.

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