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Au rythme de l'année liturgique - Page 102

  • Suaire de Turin : menez l'enquête

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    Pour mener l'enquête, cliquez sur l'image.

  • La Résurrection est nôtre

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    Le chrétien fidèle à son incorporation au Christ par le baptême ressuscitera pour le rejoindre au lumineux bonheur du Ciel.

    La perception de notre mortalité, qui s’impose à chacun de nous au quotidien, et parfois bien lourdement, peut certes venir se dresser comme un écran bien sombre faisant obstacle à notre foi en cette vérité : ainsi s’en trouve-t-il malheureusement en trop grand nombre, de ces disciples rachetés par le Christ, qui vivent dans l’affliction, comme ceux qui n’ont pas d’espérance (cf. 1 Th 4, 12). Et quant à ceux qui professent au moins en théorie une vraie espérance, ils ne l’ont pas toujours bien chevillée au cœur, de sorte qu’elle ne produit plus chez eux les heureux fruits de souriante paix dont elle regorge en fait.

    Or, pour peu que l’on examine le fondement de ce point qui sert en quelque sorte de charpente à notre vie d’ici-bas, il se révèle on ne peut plus assuré. Osons cette image, dont nous pensons que l’argumentation proposée un peu plus bas montrera la pertinence : il ne s’agit pas d’un simple vernis laqué, mais de ce que les gens de métier appellent une coloration dans la masse, une couleur indissociable du matériau auquel elle donne éclat. Expliquons-nous.

    La corrélation qui rattache notre résurrection à celle du Christ apparaît immédiatement à l’esprit : « Jésus, nous le croyons, est mort et ressuscité ; de même, ceux qui se sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui » (1 Th 4, 14). Elle est l’assise de notre foi sur ce point. Mesure-t-on pour autant à quelle profondeur elle s’enracine dans la réalité spirituelle ?

    Nous ne reviendrons pas ici sur la solidité des raisons de croire à la résurrection corporelle du Christ : notre propos en ces lignes est seulement d’attirer l’attention sur un aspect de ce qui rend si sûre l’affirmation proclamée avec force par l’Apôtre en second lieu : « de même, ceux qui se sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui. »

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  • Sainte Ida de Louvain ou de Boulogne (13 avril) : une femme exceptionnelle et méconnue

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    Une émisssion de Canal Académie avec Jean-Pierre Dickès :

    Sainte Ide de Boulogne : mère de Godefroy de Bouillon

    Découvrir la figure méconnue d’une femme exceptionnelle : la comtesse de Boulogne, Ide, mère de 2 rois : Godefroy de Bouillon et Baudouin d’Edesse, souverains du royaume latin de Jérusalem.
     

    Émission proposée par : Hélène Renard

    Contemporaine de Guillaume le Conquérant et de la première croisade, Ide de Boulogne a fondé de nombreuses abbayes et sa charité auprès des pauvres lui a valu de devenir sainte. Un étonnant voyage parmi les grands des cours européennes du Moyen-Âge...

    Ide de Lorraine est une figure injustement méconnue du XIe siècle français. Descendante de Charlemagne et nièce du Pape Etienne XI, elle épouse le Comte Eustache de Boulogne qui sauve la vie de Guillaume le Conquérant lors de la bataille d’Hastings. Belle-sœur de Geoffroy, évêque de Paris et chancelier du roi de France Philippe Ier, son influence politique est considérable. Ses fils, Godefroy de Bouillon et Baudouin sont les premiers rois francs de Jérusalem. Sa petite fille Mathilde monte sur le trône d’Angleterre. Entre la Croix et l’Epée, elle bâtit des cathédrales vénère le précieux sang du Christ et sera canonisée. Son épopée nous entraîne dans un étonnant voyage au cœur de l’Histoire médiévale.

    Vers le 15 août et début septembre 1095, les Lorrains entraînés par le duc de Lorraine, Godefroy, et ses deux frères, tous trois fils d’Ide de Boulogne, se dirigent vers Pontarlier pour la vallée du Danube et la Terre Sainte, parce que les "Français" se mettent enfin en route pour la Croisade.

    Bibliographie
    Sainte Ide de Boulogne, Editions de Paris, 2004

    Sainte Ide de Boulogne : Mère de Godefroy de Bouillon

    Sainte Ide de Boulogne
    Un ouvrage de Jean-Pierre Dickès

    A propos de Jean-Pierre Dickès

    Jean-Pierre Dickès, président de la Société académique du Boulonnais, membre de la Commission d’Histoire et d’archéologie du Pas-de-Calais, est l’auteur, avec "Sainte Ide de Boulogne", d’une grammaire et d’un dictionnaire de Picardie. Son ouvrage, "Sainte Ide de Boulogne", a été remarqué par les Académiciens de l’Académie des sciences morales et politiques.

  • Erquelinnes : chemins de Carême avec Ste Thérèse de Lisieux et vénération des reliques

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    De RCF radio (Elise Vanesche) :

    Les chemins de Carême avec Ste Thérèse de Lisieux et vénération des reliques à Erquelinnes

    Sainte Thérèse de Lisieux

    Sainte Thérèse de Lisieux

    Je passerai mon Ciel à faire du bien sur la Terre, je ferai tomber une pluie de roses.

    Telle est la promesse de l’intercession faite par sainte Thérèse avant de mourir. Son témoignage offre un véritable soutien pour garder la foi et porteur d’espérance.

    4 rencontres avec Sainte Thérèse, pour se préparer à fêter Pâques.

    Alors que l’église Ste Thérèse d’Erquelinnes se prépare à accueillir son reliquaire, 4 conférences ont été organisées autour des textes de Sainte Thérèse de Lisieux. 4 Rencontres auxquelles votre radio s’est rendue afin de vous les retransmettre en podcasts. Ils sont disponibles sur notre site rcf.be ou sur l’application RCF, radio 1RCF Belgique.

    Les abbés Philippe Pêtre, Paul Scolas, Philippe Vermeersch et Jacques Hospied ont prêtés leur voix aux écrits de la petite Thérèse centrés autour de 4 thèmes : « Partage et souci des autres », « Pardon et miséricorde », « Pénitence et la petite voie... », « Prière et spiritualité ». 

    Thérèse novice, en janvier 1889
    Thérèse novice, en janvier 1889

    Laissez la petite Thérèse vous prendre par la main et vous accompagner sur ce chemin jusqu'à la lumière de Pâques.

    Visite de Ste Thérèse à Erquelinnes du lundi 25 avril au dimanche 1er mai

    Un pèlerinage sera organisé en l’église Ste Thérèse d’Erquelinnes à l’occasion de l’arrivée du « reliquaire de sainte Thérèse dit du Centenaire », du lundi 25 avril au dimanche 1er mai 2022. Ce reliquaire, qui tire son nom du centenaire de la mort de la sainte en 1997 (année où il a commencé à voyager) a depuis traversé de nombreux pays à travers le monde. Plusieurs événements seront organisés autour de cette venue exceptionnelle, dont une journée de pèlerinage présidée par Mgr Guy Harpigny, le 1er mai.

    Les reliques de sainte Thérèse ©P.RAZZOCIRIC
    Les reliques de sainte Thérèse ©P.RAZZOCIRIC

    Quel est le sens de la vénération des reliques de sainte Thérèse ?

    « Recevoir les reliques de sainte Thérèse, c’est recevoir la personne elle-même, car nous la croyons vivante, et nous croyons qu’elle intercède pour nous », explique le Père Olivier Ruffray.

    « C’est comme recevoir une sœur, une amie qui nous veut du bien. » C'est aussi croire, comme le dit Thérèse qu'elle est « notre sœur, notre amie ».

  • Bruxelles (Cambre), 13 avril : Concert du Mercredi Saint - Les Sonates du Rosaire - Les Mystères Douloureux (Biber)

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    Concert du Mercredi Saint - Les Sonates du Rosaire - Les Mystères Douloureux ce mercredi 13/04 2022 à 20H

    Les Grandes Heures de la Cambre vous invitent à ouvrir le Triduum Pascal avec Les Sonates du Rosaire "les Mystères douloureux" de Heinrich Biber 1676

    Un des grands chefs d'oeuvre de la musique baroque pour violon pour une impressionnante méditation dont l'écriture étonne par sa modernité.

    Au violon Jeanne Mathieu
    A l'orgue Lionel Desmeules
    Lecteur : Claude Vonin

    Prix d'entrée : 20 euros, Etudiants : 15 euros



    Claude Vonin : comédien, violoniste, poète, réalisateur. Derniers spectacles et films : « Souffle Musical à travers le temps 2016 », « Totus Cordus 2017 », « La Vieille Dame et le Merle 2020 »… www.claudevonin.com

  • Liège : Semaine Sainte & Semaine Pascale 2022 à l’église du Saint-Sacrement (Boulevard d’Avroy 132)

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    Plus d’informations : sursumcorda@skynet.be.

    Tel. +32 (0) 4 344 10 89

  • Le pape François et la liturgie : navigation par brouillard

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    Lu dans le mensuel « La Nef » d’avril 2022 :

    Amar-2022©DR-620x330.jpg« L’abbé Pierre Amar, prêtre du diocèse de Versailles, nous livre ses réflexions sur l’actualité du monde « tradi » qu’il connaît bien, après le décret confirmant la Fraternité Saint-Pierre dans son usage des livres liturgiques de 1962, et en attendant de nouvelles précisions de Rome annoncées …pour fin mars.

    La Nef – La question liturgique continue de nous occuper en ce moment…

    Abbé Pierre Amar – Oui, voilà une vieille histoire, avec un lourd passif dans notre pays ces 60 dernières années. Prenez, par exemple, la figure émergente du moment chez les catholiques qui pensent : François Sureau. Il vient d’être reçu, en grande pompe, sous la Coupole. Voici ce que cet émigré liturgique disait au journal La Vie, le 15 juin 2020 : « Je vais à la messe chez les melkites [l’Église grecque catholique de rite byzantin, ndlr] parce que je trouve leur liturgie incomparable et leur ecclésiologie plus convaincante : nulle dinguerie autour de la figure du prêtre que Vatican II a installé au centre du dispositif alors même que sa prétention, au moins apparente, était de mettre fin au cléricalisme. Les tempéraments sont divers et le mien est mieux accordé à la tradition orientale, plus incarnée, plus spirituelle et plus ascétique tout en étant moins moralisatrice et pessimiste que le catholicisme tel que l’Occident le pratique. »

    C’est vraiment à tous les niveaux que l’on retrouve les affres de cette guerre liturgique fratricide, pour reprendre des propos du Père Abbé de Fontgombault. Nous en sommes tous, d’une manière ou d’une autre, les héritiers et les victimes.

    Que vous inspire l’enchaînement des récentes décisions romaines ?

    Tout le monde s’accorde pour dire que le « feuilleton tradi » n’en finit pas. Il est vrai que les connaisseurs du dossier peinent à le suivre, tant les semaines véhiculent des signaux contradictoires. Pour faire court, il y a eu la première surprise du Motu proprio Traditionis custodes. Puis le coup d’assommoir avec les Responsa de Mgr Roche. Et enfin, la main tendue – paternelle et bienveillante – avec le décret pontifical en faveur de la Fraternité Saint-Pierre. Il ne règle pas tout, loin de là, mais c’est une surprise et un véritable soulagement. Quant à nos évêques, dont la mission au quotidien n’est pas une sinécure, il leur faut désormais éviter les généralisations (tous les « tradis » ne sont pas à mettre dans le même sac) et continuer d’avancer sur cette question complexe.

    Était-ce une tentative de certains pour éradiquer la liturgie ancienne ?

    Liquider l’affaire une bonne fois pour toutes est une vieille tentation. Mais je pense que c’est impossible. Car on parle ici de personnes, de familles, d’une « pâte humaine », une subjectivité délicate à appréhender où s’entremêlent des considérations spirituelles, psychologiques, cul­turelles, politiques, esthétiques, historiques… et j’en oublie sûrement ! D’ailleurs, les querelles liturgiques sont souvent la source de grandes violences. La première dispute après le péché originel n’est-elle pas, justement, une dispute liturgique : celle de Caïn et Abel ? En ce domaine, et pour éviter de nouvelles blessures, il vaut mieux être trop bon que pas assez. Même avec ce tradiland qui ne fait pas toujours ce qu’il faut pour se faire aimer…

    Que voulez-vous dire ?

    L’œuvre de réconciliation patiemment entreprise depuis plus de 30 ans par les deux papes précédents est menacée. Ici et là, on entend des voix qui semblent n’avoir qu’une envie : en découdre et s’entredévorer à nouveau, comme dans les années 70. Par exemple, ces propos d’un prêtre de l’Institut du Bon Pasteur au journal Présent, en janvier dernier, sont scandaleux et empêchent tout dialogue : « Je suis de ceux qui pensent que notre refus absolu de la messe de Paul VI […] est théologal, théologique, dogmatique et moral. Absolu, quoi ! » Dans un autre style, la tribune d’un évêque émérite dans La Croix fin décembre 2021, où il évoque en généralisant « la violence réactionnaire d’un combat d’arrière-garde » est tout aussi injuste. Elle laisse entrevoir une certaine amertume devant un mouvement qui se développe modestement et dont la moyenne d’âge est jeune. Tout le monde doit faire un effort pour dépasser ces dialectiques.

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  • À Liège, messe du premier dimanche du mois, le 3 avril 2022 à 10h00 en l’église du Saint- Sacrement : chants grégoriens et trio de musique baroque.

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

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    Le dimanche 3 avril 2022 à 10h00

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS

    Chants grégoriens du dimanche de la Passion

    Extraits de sonates  baroques pour violon et orgue

    affiche_premier dimanche du mois 3 Avril 2022.jpg

    Plus de renseignements :

    sursumcorda@skynet.be 

    • http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com 

    • Tel 04 344 10 89

  • Rejoice !

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    Regula Mühlemann: Rejoice greatly, O daughter of Zion - G. F. Handel (The Messiah)

    Regula Mühlemann ZDF Adventskonzert 2019 Adventliche Festmusik aus der Frauenkirche Dresden Staatskapelle Dresden Alondra de la Parra, conductor Rejoice greatly, O daughter of Zion - G. F. Handel (The Messiah) official website at http://www.regulamuehlemann.com https://www.instagram.com/regulamuehl... https://m.facebook.com/Regula.Muehlem...

  • Laetare, Ierusalem

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    Introit
    Iz 66, 10-11; Ps 121,1

    Laetare, Ierusalem: et conventum facite, omnes qui diligitis eam: gaudete cum laetitia, qui in tristitia fuistis: ut exsultetis, et satiemini ab uberibus consolationis vestrae. Ps. Laetatus sum in his, que dicta sunt mihi: in domum Domini ibimus.

    Réjouis-toi, Jérusalem ;
    et rassemblez-vous, vous tous qui l'aimez :
    soyez dans le bonheur et la joie,
    vous qui étiez dans la tristesse ;
    soyez pleins d'allégresse
    et venez puiser auprès d'elle votre consolation.

    Je me suis réjoui de ces paroles qui me furent dites : nous irons dans la maison du Seigneur

    Textes et homélies du jour : http://homelies.fr/

  • Liège, 25 mars : célébration de la fête de l'Annonciation à l'église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132)

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    Livret pour la méditation des mystères joyeux

  • "Vers toi j’ai les yeux levés, vers toi qui es au ciel" (troisième dimanche de carême)

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    Palestrina: Ad Te Levavi Oculos Meos · Sistine Chapel Choir · Massimo Palombella

    Ad te levavi oculos meos a 4 (Giovanni Pierluigi da Palestrina)

    Ps. 122 Ad te levavi oculos meos qui habitas in caelis. Ecce, sicut oculi servorum in manibus dominorum suorum, Sicut oculi ancillae in manibus dominae suae, Ita oculi nostri ad Dominum Deum nostrum donec misereatur nostri. Miserere nostri Domine, miserere nostri, quia multum repleti sumus despectione, Quia multum repleta est anima nostra, opprobrium abundantibus et despectio superbis.

    Psaume 122, 1-3

    01 Vers toi j’ai les yeux levés, vers toi qui es au ciel.

    02 Comme les yeux de l’esclave vers la main de son maître, + comme les yeux de la servante vers la main de sa maîtresse, * nos yeux, levés vers le Seigneur notre Dieu, attendent sa pitié.

    03 Pitié pour nous, Seigneur, pitié pour nous : notre âme est rassasiée de mépris.