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Belgique - Page 283

  • Euthanasie : pétition pour un contrôle réel et pour un vrai débat avant tout élargissement

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    Pétition pour un contrôle réel de l'euthanasie et pour un vrai débat avant tout élargissement

    Cette pétition à pour but de dire aux parlementaires belges que la proposition de loi sur l'élargissement de l'euthanasie aux mineurs n'a pas lieu d'être. En effet, plus d'une cinquantaine de pédiatres ont signé un document expliquant, de manière claire, que cette loi ne répondait à aucun besoin. Cette pétition alerte également les parlementaires que la commission de contrôle des euthanasies est en panne. En effet, depuis la création de cette commission suite à la légalisation des euthanasies en Belgique en 2002, aucune demande d'euthanasie (sur plus de 6000) n'a été transférée au parquet. De plus, cette commission n'est pas neutre : parmi les seize membres que compte cette commission, six sont membres d'une association qui milite pour l'euthanasie (ADMD et RWS) et a annoncé elle-même sur son site : diffuser ses idéaux et rendre la loi plus effective via ses membres dans la commission.

    Pétition à l’attention des présidents de groupe de la chambre de Belgique

        Madame la Députée,

    Monsieur le Député,

    Au moment où la Chambre s’apprête à débattre de l’extension de l’accès de l’euthanasie aux enfants sans limite d’âge, je voudrais vous demander de prendre le temps de la réflexion. Pensez-vous être suffisamment informé(e) sur le contenu de cet élargissement et les conséquences que la mise en application de cette extension aura sur la pratique médicale et la protection des enfants ?

    Comme vous avez pu le voir, nous assistons ces derniers jours à  une intensification du  débat dans la société civile. Plus de 50 pédiatres ont exprimé dans des cartes blanches largement publiées leur opposition à l’élargissement de l’euthanasie aux mineurs, tout en soulignant qu’il n’existe aucune demande en ce sens sur le terrain. 

    http://www.lalibre.be/debats/opinions/fin-de-vie-des-enfants-une-loi-inutile-et-precipitee-52e93c5b3570e5b8eeea1a00

    http://www.lesoir.be/416419/article/debats/cartes-blanches/2014-01-31/loi-sur-l-euthanasie-aux-mineurs-d-age-une-nouvelle-histoire-belge

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  • Bulletin de l'IEB - 7 février 2014 - L'euthanasie et les Académies de médecine de Belgique et de France

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    header_fr.jpgSommaire

  • La veillée contre l'euthanasie des mineurs a rassemblé 1.000 personnes à la Basilique de Koekelberg à Bruxelles

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    52f3f8fb3570516ba0b5f26e.jpgDans ses désinformations matinales d’aujourd’hui, la RTBF annonçait 300 participants rassemblés autour de Mgr Léonard pour la veillée d’hier soir à la Basilique de Koekelberg.

    Mais, selon le communiqué de l’agence Belga que publie, sans commentaires, la « Libre Belgique » : 

    « Quelque 1.000 personnes se sont réunies à la basilique de Koekelberg, jeudi soir, à 20h00, pour une veillée de prières contre l'extension de la loi sur l'euthanasie aux mineurs, qui sera votée à la Chambre jeudi prochain. A l'appel de l'archidiocèse de Malines-Bruxelles, cette journée de jeûne suivie d'une veillée de prières a été tenue dans diverses églises en Belgique, notamment quelques-unes à Bruxelles et huit en Brabant flamand. Le diocèse de Liège tiendra une veillée mardi prochain.

    A la Basilique de Koekelberg, Monseigneur Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, souhaite provoquer un ultime débat public. Il remet en cause l'utilité de cet élargissement, étant donné l'absence de réelle demande, mais aussi sa cohérence. "On juge les adolescents juridiquement incapables de poser des actes importants sur les plans économiques et affectifs et tout à coup, ils deviennent capables de décider qu'on les fasse mourir."

    Il met également en garde contre les dérives éventuelles de ces considérations éthiques, en s'appuyant sur le projet d'extension de l'euthanasie aux personnes démentes qui ont acté une demande anticipée. "Quand l'euthanasie se multiplie, cette décision prétendument purement individuelle exerce une pression subtile sur la société. Les personnes âgées potentiellement démentes dans quelques années vont se dire qu'il suffit de signer un papier pour ne pas risquer de devenir une charge pour leur entourage. Je crains que cela brise des solidarités et invite finalement discrètement des personnes à faire ce choix solitaire."

     

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    Ici: Une veillée contre l'euthanasie des mineurs rassemble 1.000 personnes à Bruxelles

     JPSC

  • L’éthique, levier d’une Reconquista catholique ?

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    Ce jeudi  6 février est un jour de jeûne et de prière avec leur archevêque pour les catholiques opposés à la proposition de loi sur l’euthanasie des mineurs, qui sera vraisemblablement adoptée la semaine prochaine à la Chambre, par la majorité des députés.

    pascal-martin.jpgEh bien, c’en est encore trop pour le journaliste Pascal Martin (photo), qui dénonce aujourd'hui dans le  quotidien bruxellois « Le Soir », une basse manœuvre d’un Monseigneur Léonard avide de dominer la société belge. Monsieur Homais  se porte toujours bien, merci ! Voici sa prose, toujours la même depuis l’époque de Madame Bovary (1857):

    « De quel pouvoir dispose encore l’Eglise dans la société belge ? La question est au cœur du dossier que nous consacrons aux veillées de prière et de jeûne décrétées par Mgr Léonard alors qu’approche le moment où une nouvelle loi étendant l’euthanasie aux mineurs sera votée à la Chambre.

    Pour l’Eglise, la vie est sacrée, c’est entendu. Et c’est au nom de ce principe intangible qu’elle cherche cette fois à réimprimer sa marque au champ temporel. Le corps médical  l’a pourtant répété au cours des derniers mois : rares sont les jeunes gens confrontés à une souffrance extrême qui « bénéficieront » de la nouvelle loi.

    L’Eglise ne vole donc pas au secours d’une jeunesse abandonnée aux caprices d’une société eugéniste, comme elle voudrait le faire croire, mais s’offre un combat tout symbolique.

    Il serait toutefois erroné de penser que la démarche initiée par Mgr Léonard  lui est inutile.

    D’abord parce qu’en termes de communication, elle vient en écho d’un vent favorable. La fronde qu’a engendrée en France le Mariage pour tous rappelle que les valeurs de progrès ne sont pas universelles, et que rien n’est jamais acquis en éthique, qu’il s’agisse de contraception, d’avortement ou d’euthanasie.

    Ensuite, parce que la vision de la société portée ces dernières décennies par les tenants de la laïcité n’a pas réussi à conquérir (ou à emprisonner) les cœurs et les esprits comme l’a fait pendant deux millénaires l’Eglise catholique. Une chose est de promouvoir les droits individuels, une autre est de donner un sens à l’existence.

    On aurait donc tort de croire que Mgr Léonard joue fatalement perdant. A long terme s’entend. Un peu partout en Europe, des forces conservatrices cherchent à reconquérir le terrain perdu en s’arc-boutant sur les questions éthiques. Le Parlement européen est ainsi le lieu de tous les lobbies religieux.

    Pour ces missionnaires, la conception d’un monde où l’homme garderait soigneusement Dieu en dehors de la gestion de la cité n’est pas de mise.

    C’est pour cela que contrairement à ce que pourrait laisser croire le côté suranné de la démarche initiée par Mgr Léonard, il est précipité de conclure que l’Eglise ne livre là qu’un baroud d’honneur.

    La Reconquista catholique est un combat qui prend le pari de la longueur, du doute et de l’oubli. »

    Réf. dans le « Soir » de ce jour : L’éthique, levier de la Reconquista catholique

    Pour ne pas être en reste, Vincent Peiffer , chroniqueur vibrionnant dans l’hebdomadaire « Moustique » demande de quoi on peut bien se plaindre : « Finalement, ce n’est pas compliqué… Vous faites comme vous le pensez avec votre conscience et les autres font comme ils pensent avec leur conscience ». Une conscience sans doute bien informée par la nouvelle religion séculière…

    Répétons à tous ces docteurs subtils ce que d’autres chrétiens ont déjà dit mieux que nous : de nombreux pédiatres estiment qu’il n’y pas de besoin d’élargir la loi actuelle aux mineurs ; d’éminents juristes soulignent que la proposition de loi actuellement débattue n’offre pas de protection juridique et a été bâclée ; les pays du Benelux pensent jouer un rôle d’exemple, mais ne sont suivis par aucun autre pays ; le contrôle des euthanasies pratiquées, prévu par la loi existante, n’est qu’une formalité et n’est pas réellement effectué ; l’état des connaissances médicales permet d’éviter les souffrances physiques, grâce notamment aux sédatifs ; la souffrance psychique implique un soutien professionnel et surtout humain.

    Plutôt que de l’élargir aux mineurs inutilement et pour des motifs purement idéologiques, c’est la loi actuelle sur l’euthanasie, échappant à tout contrôle véritable, qui devrait être restreinte.

    Tous ceux qui, chrétiens, croyants d’autres religions ou simplement humanistes, partagent la préoccupation exprimée par NN. SS. Léonard et Delville auront à cœur de se joindre à la forme spirituelle de protestation que ceux-ci préconisent : rendez-vous à la Basilique nationale du Sacré-Coeur de Koekelberg, à Bruxelles, ce jeudi 6 février à 20h, à la Basilique de Basse-Wavre, à Wavre, le 8 février à 20h et à la Cathédrale Saint-Paul de Liège, le mardi 11 février (journée mondiale des malades et anniversaire des apparitions à Banneux), à 18h.

     JPSC

  • Euthanasie des mineurs : le vote aura lieu le 13 février

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    Lu sur lesoir.be (Frédéric Soumois) :

    Euthanasie des mineurs : on votera jeudi prochain

    (...) La décision est tombée ce matin : les députés voteront pour ou contre l’extension de la loi dépénalisant l’euthanasie aux mineurs « capables de discernement » le jeudi 13 prochain. Les débats commenceront la veille dans l’après-midi.

    Les conditions de la loi principale, c’est-à-dire une douleur qui ne peut être apaisée, une demande réitérée et consciente sont maintenues. Les cas de douleur psychique, qui sont prévus par la loi pour les adultes, ont été exclus de ce projet de loi. De même, cette faculté sera réservée aux patients dont le décès est prévu à courte échéance, ce qui n’est pas le cas dans la loi pour les adultes. Le discernement de l’enfant, critère qui a été préféré à une limite de date (c’est le cas aux Pays-Bas), devra être confirmé par plusieurs experts et les parents devront signaler qu’ils ne s’opposent pas à cette décision.

    Cette dernière étape législative débutera le 12 février par un débat à la Chambre des députés avant un vote prévu le lendemain en séance plénière. Selon certaines sources, l'adoption du projet de loi ne fait guère de doute puisqu'il a déjà été adopté à une large majorité par le Sénat en décembre puis par la commission de la justice de la Chambre des députés. (...)

  • Koekelberg - 6 février : Veillée d'adoration pour le respect de la personne humaine

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  • Liège, 17 février/27 mars : homme, femme : quelle différence ?!

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    Homme, femme : quelle différence ?!

     

    Cycle de conférences

    Centre diocésain de Formation, rue des Prémontrés, 40 - 4000 Liège

     

    Les récents débats, notamment en France, en ce qui concerne le mariage pour tous, l'homoparentalité, la théorie dugender, réclament de réfléchir à nouveaux frais la question anthropologique de la différence des sexes. Mise en avant dès les premières pages de la Bible, la différence homme-femme semble en effet poser problème aujourd'hui. Est-elle inscrite dans la nature des choses? Est-elle une construction socioculturelle et historique ? Pour les tenants de la théorie du genre, il s'agit bien de libérer les deux sexes des stéréotypes, de dé-naturaliser les attributs de savoir, de savoir-être et de savoir-faire qui y sont communément liés. En résumé, quel est le fondement de la différence sexuelle : Dieu, la nature, la société?

    Lundi 17 février 2014 à 20h (et non mardi 18 février comme précédemment annoncé) : Approche éthique, par Véronique MARGRON o.p. (prof. de théologie morale, Université catholique de l’Ouest, Angers).

     

    Jeudi 27 mars 2014 à 20h : Approche biblique, par André WENIN (prof. d’exégèse de l’Ancien testament, Université catholique de Louvain)

    Prix : 6 € la conférence.

    Inscription souhaitée au secrétariat du CDF : Laura Cipriani - 04/220.53.73 (lun – ven, de 9h à 12h et de 13h30 à 17h15) – iscp@scarlet.be.

  • Veillées de prière contre la proposition de loi belge sur l’euthanasie des mineurs: la Communauté Sant’Egidio se mobilise

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    Communiqué:

    32025.jpg"La Communauté de Sant’Egidio a exprimé plusieurs fois sa préoccupation sur la pratique de l’euthanasie en Belgique et l’élargissement futur aux mineurs.

    Selon Sant’Egidio, la législation actuelle devrait être limitée plutôt qu’élargie. Sa longue expérience d’accompagnement et de proximité avec les personnes âgées ou malades lui fait craindre que les évolutions en matière d’euthanasie, que connaît actuellement la Belgique, mettent une pression sur les personnes affaiblies pour demander l’euthanasie. La règlementation en matière d’euthanasie risque de devenir une solution de facilité pour faire face à la maladie, aux personnes handicapées ou aux personnes âgées. Peut-être cela semble-t-il de fonder sur de bonnes intentions. On parle de la « nécessaire humanité », mais ce n’est pas le cas. Nous ne voulons pas d’une telle société.

    En outre, nous soulignons que :

    - de nombreux pédiatres estiment qu’il n’y pas de besoin d’élargir la loi aux mineurs.

    - d’éminents juristes soulignent que la proposition de loi n’offre pas de protection juridique et a été bâclée.

    - les pays du BENELUX pensent jouer un rôle d’exemple, mais ne sont suivis par – aucun autre pays.

    - Le contrôle des euthanasies pratiquées, prévu par la loi existante, n’est qu’une formalité et n’est pas réellement effectué.

    - l’état des connaissances médicales permet d’éviter les souffrances physiques, grâce notamment aux sédatifs. La souffrance psychique implique un soutien professionnel et surtout humain.

     C’est la raison pour laquelle Sant’Egidio se joint à la journée de jeûne et de prière qui est organisée en différents lieux dans le pays, le 6 février. Sant’Egidio appelle ses sympathisants, et tous ceux qui partagent sa préoccupation, à se joindre à cette forme spirituelle d’opposition.

    La Communauté se joindra à la veillée de prière à la Basilique de Koekelberg, à Bruxelles, qui aura lieu, le 6 février, à 20h. Elle fera de même le 8 février, à 20h, à la Basilique de Basse-Wavre, à Wavre et à la Cathédrale de Liège, le mardi 11 février (journée mondiale des malades et anniversaire des apparitions à Banneux), à 18h."

     Réf. Veillées de prière contre la loi sur l’euthanasie des mineurs

     Voir la carte blanche “Qui donc arrêtera le train de l’euthanasie ?“ d’Hilde Kieboom parue dans La Libre Belgique il y a quelques semaines. Lire aussi l’intention de prière de Mgr Léonard : Jeûne et prière contre la proposition de loi d'euthanasie des mineurs: le diocèse de Liège emboîte le pas à l'archevêché de Malines-Bruxelles

     JPSC 

  • 22-23 mars : Marche des Pères de Famille de Spa à Banneux

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    Prochaine

    Marche des Pères de Famille

    Belgique 

    22-23 Mars 2014

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  • A propos du tutoiement

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    Dans un célèbre film de Jean Renoir, « La grande illusion » (1936), qui met en scène deux officiers français internés en Allemagne pendant la « Grande Guerre » (1914-1918), le capitaine de Boëldieu  (Pierre Fresnay) répond à son frère d’armes, le lieutenant Maréchal ( Jean Gabin) : « je dis vous à mon père, je dis vous à ma mère, pourquoi vous tutoierais-je ? ». Aucune morgue dans le ton de cette réplique, seulement ce qu’on appelait alors la bonne éducation.

    Notons qu’elle n’était pas l’apanage des gens « bien-nés ». Dans nos dialectes populaires de Wallonie,  l'utilisation du vos (=vous) était aussi l'usage (y compris pour s'adresser aux animaux domestiques !). Ti (=tu ) était considéré comme vulgaire, et généralement mal perçu par la personne à qui il s’ adresse. Même si le wallon disparait aujourd’hui, en tant que langue de conversation, il reste encore des traces de son influence sur l’emploi du pronom « tu », en Belgique francophone. Le vouvoiement exprime la politesse, le tutoiement est familier et ne s’emploie normalement pas sans la permission de l’interlocuteur.

    Lorsque, voici un demi-siècle, au moment du concile Vatican II, les traductions liturgiques de la messe en français se mirent à tutoyer (en latin la question ne se pose pas) Dieu lui-même, elles ont choqué plus d’un fidèle. Ces familiarités ont aussi déteint sur la gestuelle et la dignité même du culte et, quelquefois,  la manière dont s’expriment ses ministres dans leurs relations « pastorales ». Le pape François lui-même utilise volontiers le tutoiement "démocratique" ou un langage peu formel. Lors d’une visite à la paroisse Saint-Cyril à Rome le curé s’est d’ailleurs cru autorisé à le saluer à son tour en ces termes : « Merci, François, parce que tu es ici parmi nous ... nous avons vraiment besoin d'un pape qui réveille nos cœurs du long sommeil de l'ennui ». C’est le site « Benoît  et moi » qui rapporte cette anecdote couleur du temps, tirée de  www.papalepapale.com.

    Autres temps, autre mœurs …

    JPSC

  • Zurbaran, maître de la Contre-Réforme espagnole à l'honneur à Bruxelles

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    prev_pfile222540_activity13203.jpgZURBARÁN

    Maître de l'âge d'or espagnol

    Francisco de Zurbarán est l’un des grands peintres baroques espagnols, à l’instar de Velázquez et de Murillo. Pour la première fois en Belgique, il sera possible de voir un aperçu de sa production artistique. Son œuvre (essentiellement des sujets religieux) se caractérise par un naturalisme pur, empreint d’une sensibilité poétique moderne. Le « peintre de la contre-réforme » traduit dans ses toiles la nouvelle mentalité apparue après le Concile de Trente (1545-1563), qui a fait souffler sur l’Espagne des XVIe et XVIIe siècles un vent de nouveauté, non seulement dans le domaine des beaux-arts mais aussi dans le théâtre, la littérature et la musique.

    Du MERCREDI 29.01 au DIMANCHE 25.05.2014

    au PALAIS DES BEAUX-ARTS

    informations

  • Aujourd'hui à Bruxelles...

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    "Happening des familles" :

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     Communiqué de presse :

    A Bruxelles, les familles rappellent au Parlement européen qu’elles sont un trésor pour l’Europe.

    Ce dimanche 2 février, les familles se sont levées dans toute l’Europe. A Madrid, à Rome, à Paris, à Lyon, à Varsovie, à Budapest et à Riga, les familles demandent que les Etats et les Institutions européennes les protègent et les promeuvent car elles sont à la fois fragiles et essentielles pour toute la société.

    À Bruxelles, 500 personnes, de tous âges et de toutes nationalités se sont rassemblées au cours d’un « happening » festif et coloré entre 14 et 15 heures, Place du Luxembourg, devant le Parlement européen. Des familles du Luxembourg avaient rejoint le meeting bruxellois car leur propre rassemblement avait été interdit à la dernière minute par la Mairie de Luxembourg.

    Devant le Parlement européen de Bruxelles, plusieurs orateurs, roumain, polonais, français, allemand, belge, luxembourgeois et suédois ont témoigné, chacun dans sa langue, de l’importance de la famille. Symboliquement, une famille européenne a été assemblée devant le Parlement européen à l’aide de silhouettes d’un homme, d’une femme et de trois enfants. Cette famille a été au centre de l’attention des orateurs et de tous les participants qui ont voulu l’entourer et la protéger.

    En effet, dans de nombreux Etats-membres et au sein des Institutions européennes, la vie des familles est attaquée sous de multiples angles. Les familles ne sont pas aidées pour accueillir leurs enfants à naître, alors que la démographie chute en Europe. La famille, cellule de base de la société, est aussi atteinte lorsque la loi retire aux parents leur place de premiers éducateurs de leurs enfants. Par exemple, l’idéologie du genre, qui est promue dans de nombreuses écoles en Europe se diffuse contre la volonté des parents.

    La banalisation de la procréation médicalement assistée (PMA) et des mères porteuses inquiète aujourd’hui les familles. Elles s’alarment du fait que les enfants sont considérés comme des objets et non des sujets de droit. Pourtant la dignité de chaque enfant exige que les gouvernements garantissent, dans la mesure du possible, leur droit à être élevés par leur père et leur mère.

    Les élections européennes qui approchent seront un moment important pour les familles. Les citoyens européens demandent que la réalité familiale soit prise en compte dans les projets des candidats. Ceux-ci doivent porter une attention particulière au respect de la vie, de la filiation et de la solidarité entre les générations.

    Les 500 personnes réunies à Bruxelles le 2 février ont rappelé solennellement que la famille est précieuse comme lieu de vie, d‘équilibre, de gratuité, d’affection et de solidarité au coeur de la société. Les Européens rassemblés à Bruxelles et dans de nombreuses villes du continent affirment d’une même voix que les familles doivent être aidées et non pas mises à l'écart dans leur travail patient d'éducation et de liens entre les générations.

    D'un bout à l'autre de la vie, la famille est essentielle !

     

    Manifestation des dossards jaunes contre l'euthanasie (un millier de participants) :

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    compte-rendu de la manifestation sur la RTBF