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Belgique - Page 34

  • 18 avril : Philo à Bruxelles; « Le problème du mal dans notre vie chez saint Augustin et Xunzi » avec Stéphane Mercier

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    ­Philosophie à Bruxelles

    Retrouvons-nous ce mardi 18 avril, à 19h30, pour la

    Conférence de Stéphane Mercier sur le thème

    « Le problème du mal dans notre vie chez saint Augustin et Xunzi »

    Adresse sur place :
    À la Bécasse
    Rue de Tabora 11, 1000 Bruxelles
    salle à l’étage

    Je m’inscris

    ­Depuis chez vous : Vous pouvez également suivre la conférence en direct ici.

    L’héritage stoïcien en régime chrétien

    Cette septième conférence explore la manière dont saint Augustin aborde la question du mal, à la fois dans le monde et dans notre propre vie : son origine, la manière dont il se répand, se fortifie, s’invétère et, heureusement ! se guérit.

    Cette exploration se poursuivra avec une rencontre avec la pensée orientale, en particulier celle de Xunzi, un penseur de la tradition confucianiste en Chine. Les divergences de vues entre les deux hommes seront explorées ainsi que les points de convergence.

    Cette confrontation entre Orient et Occident permettra une meilleure compréhension de chacun d’eux en fonction de leurs différences et de leurs similitudes.

    Cette conférence vous intéresse ?

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    ­Quand ? : Mardi 18 avril à 19 h 30

    ? : À la Bécasse, Rue de Tabora 11, 1000 Bruxelles (Salle à l’étage)

    Infos supplémentaires

    Séance de questions & réponses à la fin de la conférence, sur place. Pour les téléspectateurs, envoyez vos questions par chat, en direct sur YouTube ou par SMS, Telegram, Signal, emailformulaire de contact etc.)

    Plus d’informations

    ­

  • Namur, 19 avril : conférence de Claude Callens "Jean-Paul II et les fidèles laïcs"

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    Conférence : ''Jean-Paul II et les fidèles laïcs''

    La Pastorale des Solidarités organise, avec la participation de la Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique, une conférence le mercredi 19 avril à 19h30 à Namur sur un livre de Claude Callens ''Jean-Paul II et les laïcs''. Pensez à vous inscrire pour y participer.
     

    Claude Callens a récemment publié un nouveau livre intitulé Jean-Paul II et les laïcs. La double mission du laïcat aux éditions MAME. Venez l’écouter lors de sa conférence le 19 avril prochain à Namur. La Pastorale des Solidarités en partenariat avec la Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique vous y attendent nombreux. Inscrivez-vous en cliquant sur le lien en bas de page.

    Une petite présentation de l’auteur et de son livre

    Claude Callens est passionné par la doctrine sociale de l’Église et son expertise dans le domaine se montre ici pour articuler pleinement deux dimensions de la vie des laïcs, spirituelle et « séculière ». Il pointe l’importance du rôle de ceux-ci dans la vie du corps de l’Église. Le saint pape Jean-Paul II développa cette attention en particulier par un synode en 1987 et par une exhortation apostolique Christi fideles laïci qui en publia la substance. Ce souci du rôle des laïcs est déjà montré dans l’enseignement magistériel avant Jean-Paul II et bien sûr lors de Vatican où Karol Wojtila fut bien présent. L’ouvrage fera goûter au lecteur les axes fondamentaux de la doctrine sociale de l’Église et ce que les laïcs y apportent en propre.

    Claude CALLENS, Jean Paul II et les laïcs. La double mission du laïcat, Mame, Paris, 2023, 79 p.

    Les organisateurs

    - La Pastorale des Solidarités a pour mission de sensibiliser les communautés chrétiennes aux situations de pauvreté et d’exclusion, de susciter, soutenir et accompagner les initiatives au service des plus démunis, de promouvoir les actions menées par les organismes sociaux et les associations caritatives qui œuvrent en lien avec le diocèse, et d’accompagner les pastorales spécifiques.
    - La Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique a pour but de faire connaître les enseignements du pape Jean-Paul II par le biais d’une série de livre aux éditions MAME. Le dernier livre de la collection est celui de Claude Callens qui fera l’objet de cette conférence.

    Agendas & inscriptions

    La conférence se tiendra à l’auditoire Henri de Lubac au Séminaire de Namur le mercredi 19 avril à 19h30. Claude Callens sera interrogé par l’abbé Bruno Robbrechts. La participation est libre. Vous pouvez vous inscrire en cliquant ‘ici’. Venez nombreux.

    La même conférence sera donnée à Bruxelles le mercredi 24 mai (pour les jeunes) et à La Roche le mardi 30 mai.
  • La bande dessinée religieuse à l'honneur (Bruxelles, 22 avril)

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    unnamed (1).pngcliquer sur l'encart pour l'agrandir

  • Des centaines de personnes ont marché pour la Vie à Bruxelles

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    Peut être une image de 15 personnes, personnes qui marchent, personnes debout, foule, rue et texte qui dit ’WANTPEACE? ÉFENDRE PAIX ÛD IE DEFEND LIFE! COMMENCE PARDEFENDRE MARS LEVEN MARCHE VIE’

    De l'Avenir.net :

    Six cents personnes manifestent à Bruxelles contre l'avortement et l'euthanasie

    Environ 600 personnes (plus de 800 d'après les organisateurs ndB) ont participé dimanche après-midi à une manifestation contre l'avortement, l'euthanasie et la gestation pour autrui à Bruxelles.

    02-04-2023

    La "Marche pour la vie", organisée par l'association Clara Life, est partie de la place Poelaert, devant le palais de Justice, pour y revenir. Selon la police, une soixantaine de contre-manifestants se sont également présentés, mais aucun incident n'a eu lieu.

    Les organisateurs de la manifestation ont expliqué craindre que l'avortement ne soit bientôt reconnu comme un droit constitutionnel.
     

    "La Cour suprême des États-Unis est revenue sur sa décision erronée 40 ans après l'afffaire 'Roe v. Wade' et a clairement reconnu que le droit constitutionnel à l'avortement n'existait pas", relèvent-ils. "Cela nous donne de l'espoir mais, en Belgique, on s'attend à ce que l'activisme public fasse reconnaître l'avortement comme un droit constitutionnel. Une proposition en ce sens a d'ailleurs déjà été soumise."

    Les manifestants se sont mobilisés pour que soit plutôt reconnue l'inexistence d'un droit à l'avortement et demandent que l'attention soit portée "sur des moyens clairs et concrets qui placent de vraies solutions au centre de la vie des femmes, pour elles-mêmes et pour leur enfant à naître".

    La vie des enfants à naître n'est pas la seule à être mise sous pression, celle des personnes âgées et des malades étant également méprisée, dénoncent les organisateurs de cette marche. C'est pourquoi ils demandent une réforme de la commission de contrôle de l'euthanasie et refusent l'extension de la loi sur l'euthanasie.

    Clara Life s'oppose, enfin, aussi aux mères porteuses. "Il y a quelques années, elle était encore condamnée par le Parlement européen mais, récemment, on a tenté d'imposer la gestation pour autrui par la petite porte à tous les Etats membres européens en obligeant chaque pays à reconnaître la filiation par mère porteuse quand elle a été établie dans un autre Etat membre et qu'elle y est légale", pointe l'organisation. Elle demande dès lors à la Commission de renoncer à ces projets et appelle le Parlement belge à "affirmer clairement que la gestation pour autrui est une violation des droits de l'enfant et du principe de non-commercialisation du corps humain".

  • Liège: la semaine sainte 2023 à l'église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132)

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  • Les bières trappistes belges menacées par le tarissement des vocations

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    De Jennifer Rankin sur le site du Guardian :

    Dernières commandes ? Les bières trappistes belges menacées par le tarissement des vocations

    La plus ancienne brasserie trappiste du pays est confrontée à un avenir incertain en raison de la baisse des vocations pour la vie monastique.

    26 mars 2023

    Depuis près de 190 ans, les moines de Westmalle, dans le nord de la Belgique, fabriquent de la bière. Ils ont commencé à brasser dans ce coin de Flandre en 1836 pour avoir une alternative au lait ou à l'eau avec leur pain quotidien. Aujourd'hui, Westmalle est une marque internationale qui produit 40 millions de bouteilles de trois variétés de bière par an, principalement pour la Belgique et les Pays-Bas, mais aussi pour les amateurs de bière de Grande-Bretagne, de France, d'Italie et d'ailleurs.

    Pourtant, des incertitudes planent sur l'avenir de la production de bière trappiste dans ce pays traditionnellement catholique, où de moins en moins de personnes sont attirées par la vie de contemplation monastique.

    Ces questions sont devenues plus aiguës en janvier lorsque la bière belge Achel a perdu son statut de bière trappiste après avoir été rachetée par un entrepreneur privé. Le nouveau propriétaire s'est engagé à maintenir la recette inchangée, mais après la rupture des liens avec les moines, Achel ne peut plus se qualifier de bière trappiste. "Il faut admettre que l'état de la plupart des communautés monastiques est précaire", a déclaré Frère Benedikt, l'abbé de Westmalle, lors d'un rare entretien avec les médias au cours duquel il a répondu par écrit aux questions de l'Observer, traduites de sa langue maternelle, le néerlandais.

    Selon l'International Trappist Association (ITA), la bière, le fromage ou d'autres produits ne peuvent porter le label "authentique produit trappiste" que s'ils sont fabriqués à l'intérieur d'une abbaye, sous la supervision de moines ou de nonnes, et que tous les bénéfices sont destinés à l'entretien de la communauté religieuse, à l'ordre trappiste au sens large et à des œuvres de bienfaisance.

    À Westmalle, la plus ancienne brasserie trappiste de Belgique, le personnel pense à l'avenir. "De nos jours, nous n'avons pas beaucoup de vocations", déclare Philippe Van Assche, directeur général séculier de la brasserie. Il n'est pas certain que les gens chercheront à devenir moines dans 10 ou 20 ans : "Pour être honnête, je pense qu'il y a une sorte de césure... une sorte de pause".

    M. Van Assche a commencé à travailler à Westmalle il y a 25 ans, au moment où les moines confiaient la production quotidienne au personnel séculier. De plus en plus, les exigences de la gestion d'une brasserie - négociations avec les détaillants ou marketing - étaient considérées comme incompatibles avec une vie monastique qui privilégie la discipline du silence.

    Les moines restent cependant aux commandes. Avec quatre administrateurs séculiers indépendants, ils forment un conseil de surveillance de la brasserie, dirigé par le frère Benedikt, qui n'utilise pas de nom de famille.

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  • Réaffectations en vue pour des églises bruxelloises

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    Lu sur La Capitale de ce 28 mars (p. 8) :

    Bruxelles : Des projets de réaffection pour nos églises bruxelloises 

    Le secrétaire d’État Pascal Smet (One.Brussels) a fait le point sur les projets de transformation et de réaffectation des églises à Bruxelles. Huit projets sont à l’étude. Pour la plupart, il s’agit de transformer l’église en logements. …  Pour l’église Saint-Antoine à Forest, un permis a été délivré en 2022 pour la transformation en salle d’escalade tout en conservant une partie pour le culte. À Anderlecht, une demande d’avis de principe à la CRMS (Commission Royale des Monuments et Sites) pour la transformation de l’église Saint-François-Xavier en salle de sport a été introduite. À Watermael-Boitsfort, diverses réunions ont déjà eu lieu pour transformer l’église Saint-Hubert en logements et lieu de culte. À Ixelles, un projet de logements est à l’étude pour l’église Sainte-Trinité. Il en est de même pour l’église Saint-Joseph à Uccle. Un projet pour le Précieux Sang à Uccle est en cours d’examen. Pour l’église Sainte-Famille de Helmet à Schaerbeek, un projet est en cours d’instruction avec maintien partiel des cultes. Enfin pour l’église Saint-Rémi à Molenbeek, un projet est à l’étude avec maintien partiel des services de culte. « Des échanges ont également eu lieu concernant les églises Saint-Joseph à Jette et Sainte-Bernadette à Anderlecht », ajoute Pascal Smet. « Les projets de reconversion ou de réaffectation réalisés ou étant à l’étude, qu’ils soient utilisés par d’autres communautés religieuses ou accessibles aux Bruxellois en matière de logement, vont dans le bon sens. Offrir une deuxième vie à ces édifices me semble plus que pertinent afin de ne pas laisser dépérir ce patrimoine », conclut Céline Fremault.)

  • On va bientôt pouvoir changer plusieurs fois de genre et de prénom

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    Une synthèse de presse de gènéthique.org :

    Belgique : vers la possibilité de changer plusieurs fois de genre et de prénom

    27 mars 2023

    Le 24 mars, le conseil des ministres belge a approuvé la première phase de la réforme sur la « loi transgenre » du 25 juin 2017 en réponse aux remarques de la Cour constitutionnelle qui avait annulé plusieurs dispositions de la loi.

    Le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne, a annoncé la suppression du principe d’irrévocabilité et de la procédure devant le tribunal de la famille. Il sera donc possible de changer plusieurs fois de genre et de prénom, et de modifier l’enregistrement auprès de l’officier de l’état civil en suivant la même procédure que pour la première modification (cf. En Belgique, importante augmentation des demandes de changement de sexe à l’état civil).

    La deuxième phase de la réforme doit porter sur la possibilité de reconnaissance pour les personnes se déclarant non binaires.

    La procédure de changement de genre devrait également être bientôt simplifiée en Allemagne avec l’adoption d’une « loi sur l’autodétermination ». Si le texte est voté, le changement de genre à l’état civil pourra entrer en œuvre après un délai de réflexion de trois mois. Une personne ayant obtenu un changement d’état civil pourra formuler une nouvelle demande, mais au bout d’un an. Concernant les mineurs de 14 ans, la procédure sera engagée par leurs parents ou tuteurs. Après 14 ans, ils pourront contester la démarche de leur enfant mais la décision reviendra au tribunal (cf. Espagne : l'”autodétermination du genre” librement autorisée dès 16 ans).

  • J-7 avant la Marche pour la vie 2023

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    MARCHE POUR LA VIE 2023

    ON A BESOIN DE VOUS

    Dans 7 jours se tiendra, la Marche pour la vie 2023. Nous vous attendons nombreux ce dimanche 2 avril, Place Poelaert à Bruxelles. Les récentes recommandations du comité "scientifique" sur l'avortement en Belgique nous amènent à redoubler nos efforts pour défendre les vrais droits à la vie. Retrouvez ici notre analyse et opinion ainsi que la synthèse de l'Institut Européen de Bioéthique.

    Wil je dit bericht lezen in het Nederlands? Klik dan op deze link, en pas je profielvoorkeuren aan voor de toekomst.

    LA BIÈRE DE CLARA LIFE

    1- Achetez nos bières

    Nous avons en stock une belle quantité de bière CLARA Life que vous pouvez acheter pour nous soutenir financièrement. Pour cela, écrivez-nous et en fonction de votre localisation nous pourront organiser une livraison ou un point de collecte sur Bruxelles.

    JE COMMANDE DES BIERES

    • La Marche a besoin de votre générosité
      L'organisation d'un tel évènement implique d'importantes dépenses. 
    • Nous sommes encore à la recherche de 7 000€. Pour récolter cette somme, nous ne pouvons compter que sur vos dons.
    • Vous pouvez aussi nous aider en transférant cet email à un ami qui voudrait nous aider financièrement.

    JE SOUTIENS LA MARCHE POUR LA VIE- Votre don au BE02 7310 4206 5740 (au nom de CLARA Life) -

    MERCI BEAUCOUP

  • Communiqué de CLARA Life sur le rapport du "Comité scientifique" concernant l'avortement en Belgique

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    COMMUNIQUÉ SUR LE RAPPORT DU "COMITÉ SCIENTIFIQUE"

    • Extension du délai d’avortement de 12 à 18 semaines de grossesse ;
    • Suppression du délai de réflexion de six jours imposé à la femme qui demande l’avortement ;
    • Reconnaissance de l’avortement comme soin de santé ;
    • Remboursement total de l’avortement par la sécurité sociale ;
    • Organisation de cours spécifiquement dévolus à la pratique de l’avortement, à l’attention de
      tous les étudiants en médecine du pays.

    L’association CLARA Life a pris acte des récentes conclusions du comité d’experts chargé d’étudier et d’évaluer la pratique et la législation de l'avortement. Les principales recommandations du comité sont les suivantes: 

    CLARA Life constate que ces recommandations visent davantage à accroitre et sanctuariser la pratique de l’avortement, beaucoup moins à diminuer la détresse des femmes qui demandent à y avoir recours. Affirmant s’appuyer sur le principe de « l’autonomie des femmes », tout en érigeant l’avortement en solution unique de fait et en fin en soi, les experts semblent ne pas envisager qu’une femme en détresse puisse souhaiter une alternative à l'avortement.

    Pourtant, dans son rapport portant sur 2020-2021, la Commission nationale d’évaluation de l’interruption volontaire de grossesse indique qu’en 2021, sur les 16 702 avortement déclarés, 10 000 (60%) avaient été pratiqués sur des femmes célibataires. Une telle proportion suffit à mettre en évidence le lien entre recours à l’avortement et précarité affective ou financière. De même, selon une étude de l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes publiées en 2017, 22% des travailleuses enceintes ont été confrontées à des discriminations directes et 69% à des discriminations indirectes sur leur lieu de travail. Autrement dit, pour de très nombreuses femmes, le recours à l’avortement n’est pas un droit, mais une obligation dictée par leurs finances, leur état civil ou leurs impératifs professionnels.

    Banaliser davantage l’avortement, notamment en réduisant le délai de réflexion préalable à l’intervention, ne soulagera donc en rien la détresse de ces femmes confrontées au non-choix de l’avortement. Pire encore, allonger le délai légal risquerait de prolonger une période d’ambivalence par rapport à l’acceptation de la grossesse, tandis que l’étape des douze semaines peut être sécurisante pour certaines femmes qui hésitent ou subissent les pressions d’un environnement hostile à leur grossesse.

    CLARA Life rappelle également qu’à partir de treize semaines de grossesse, la taille du fœtus implique des méthodes abortives très lourdes : soit accouchement provoqué avec fœticide préalable ; soit morcellement du fœtus in utero, suivi d’une recomposition des morceaux, afin de s’assurer qu’aucun ne demeure dans l’utérus. De telles interventions, s’avèrent contraignantes sur le plan physique et ne sont pas non plus sans risque pour la femme. Plus globalement, les études montrent que la mortalité maternelle à la suite d’un avortement augmente à chaque semaine de gestation [1].

    En outre, l’impact psychologique d’un avortement n’est aucunement négligeable, ainsi qu’une certaine doxa pseudo-féministe voudrait le faire accroire. Celui-ci est d’autant plus important, que le stade de développement du fœtus est avancé. Ainsi, dès treize semaines, un avortement se soldera par un véritable processus de deuil [2], tandis que les syndromes de stress posttraumatique se feront plus fréquents (symptômes d’intrusion, rêves angoissants, difficultés du sommeil) [3].

    De même, on ne peut raisonnablement pas négliger l’impact psychologique des avortements tardifs sur le corps médical, dont les témoignages sont nombreux. À titre d’exemple, le docteur Warren Hern, fondateur d’une clinique d’avortement aux Etats-Unis, écrit : « Il n’est pas possible de nier qu’il y a un acte de destruction par le praticien. C’est là devant ses yeux. La sensation de démembrement remonte à travers les forceps comme un courant électrique. » [4] De tels témoignages révèlent l’importance pour les soignants d’un droit inaliénable à l’objection de conscience. Cependant, celui-ci serait-il encore garanti si l’avortement était reconnu comme un soin de santé et si tous les étudiants de médecine devaient être formés à le pratiquer ?

    Enfin, CLARA Life tient à rappeler que le produit d’une rencontre entre deux gamètes humains est un embryon doté d’un ADN humain, lequel ne peut dès lors être qualifié que d’être humain. Ce banal constat fondé sur la biologie et la logique élémentaires se doit d’être répété aujourd’hui, tandis qu’activistes, idéologues et médias rivalisent d’euphémismes, dont « tas de cellule » demeure le plus emblématique, pour mieux déshumaniser le petit d’homme et justifier son élimination. Au contraire, CLARA Life réaffirme qu’un avortement, aussi précoce soit-il, consiste bet et bien à éliminer un être humain, acte qui n’est jamais souhaitable, ce d’autant moins que son développement est avancé.

    En conclusion, la question est la suivante. L’avortement, autrement dit l’élimination in utero d’un embryon ou d’un fœtus humain, est-il en soi souhaitable, ou bien est-il une défaite à laquelle doivent consentir de nombreuses femmes qui n’ont pas réellement le choix ? La réponse tombe sous le sens. CLARA Life appelle donc le législateur à ne pas céder aux sirènes de l’idéologie et à sortir de cette spirale mortifère du « tout avortement ». Plus concrètement, sans a priori idéologique, le législateur doit d’urgence de renforcer le soutien aux femmes enceintes isolées et envisager tous les moyens possibles pour réduire le nombre d’avortements.

    CLARA Life asbl
    Mars 2023 

    [1] The American College of Obstetricians and Gynecologists, Practice Bulletin, 135, juin 2013

    [2] M. Soulé, Introduction à la psychologie fœtale, Paris, 1992, p. 133.

    [3] P. Colleman et al., Late-Term elective Abortion and Susceptibility to Posttraumatic Stress
    Symptoms, in Journal of Pregnancy, 2010.

    [4] Warren Hern et. al., What About Us? Staff Reactions to the D&E Procedure, paper presented
    at the Annual Meeting of the Association of Planned Parenthood Physicians, San Diego, 1978.

  • Les abonnés à Scarlet n'auront plus accès à KTO

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    Les abonnés à "Scarlet One" ont reçu un courrier les informant que, dès juin 2023, Scarlet One cessera d'exister et sera remplacé par Scarlet Trio.

    L'ancienne sélection de chaînes (Scarlet One) comprenait KTO.

    KTO ne figure plus dans la nouvelle sélection de chaînes (Scarlet Trio).

    L'audience de KTO en Belgique s'en trouvera diminuée et les abonnés n'auront plus qu'à changer de distributeur pour continuer à profiter de leur chaïne favorite.

  • 26 mars à Lasne : "dimanche autrement autour de Mgr Boleslas Sloskans"

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    source

    Dimanche autrement autour de Mgr Boleslas Sloskans

    Sainte-Gertrude à Lasne

    L’Unité pastorale de Lasne vous propose un Dimanche autrement autour de la figure de

    Mgr Boleslas Sloskans

    évêque persécuté en URSS à l’époque bolchévique

    Le dimanche 26 mars 2023 en l’église Sainte-Gertrude de Lasne

    Je n’en veux pas à ceux qui m’ont persécuté… je n’ai pas de haine contre eux :
    je les ai toujours considérés comme mes frères.

    9h30 : film documentaire sur le Vénérable Mgr B. Sloskans

    Ce film de 57 min. fait découvrir une figure lumineuse : Mgr Boleslas Sloskans, un évêque selon le cœur de Dieu. Le scénario passionnant progresse avec de nombreuses images d’archives, des textes autobiographiques, de riches interviews, de magnifiques images filmées sur les lieux. Le spectateur entre peu à peu en communion avec un homme transfiguré. Il a souffert, en Union soviétique, pour la liberté de la conscience et de la foi. Tout au long de sa vie, il s’est livré, par amour, pour les frères. Il a vécu les 35 dernières années de sa vie en Belgique. Les catholiques belges l’appelaient le « saint évêque ». Jean-Paul II l’a proclamé vénérable en 2004.

    Un évêque selon le cœur de Dieu

    10h30 : questions-réponses avec le Père Jerumanis, postulateur de la cause de béatification de Mgr Sloskans, et Madame Rita Briede, vice-postulatrice.

    11h : Messe présidée par le Père Jerumanis, suivie du verre de l’amitié.

    Venez nombreux écouter ces témoins exceptionnels, co-auteurs du documentaire !

    Illustration : Fondation Sloskans, www.sloskans.com, 2018