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Vandalisme en série à Profondeville: statues fracassées, chapelle en feu
Depuis quelques jours, un (ou plusieurs) fauteur de troubles s’en prend aux statues de l’église Saint-Rémy. La chapelle Saint-Joseph a, elle, été détruite dans un incendie.
F.G. & F.M.
24-04-2023
Samedi, entre 14 h 30 et 16 h, un acte de vandalisme a été perpétré dans l’église Saint-Rémy de Profondeville, en plein centre du village. Deux grandes statues de saint Joseph et de saint Antoine ont été jetées en bas de leur socle et se sont fracassées au sol. Un vase qui se trouvait sur un autel latéral a également été projeté au sol.
Quelques jours plus tôt, c’est une petite statue de la Vierge qui avait été arrachée du socle sur lequel elle était collée et emportée.
Troisième acte de ces faits sans doute commis par la ou les mêmes personnes malintentionnées: dans la nuit de dimanche à lundi, les pompiers et la police ont été appelés pour un incendie, vraisemblablement volontaire, qui a complètement détruit la chapelle dédiée à saint Joseph et qui se trouve au bout du village, à hauteur du n°94 sur la chaussée de Dinant, non loin de l’arrêt de bus. À l’arrivée des pompiers, les flammes ravageaient l’édifice. Les hommes du feu ont eu besoin de deux bonnes heures pour circonscrire l’incendie.
Aucun blessé n’est à déplorer, les lieux étaient vides à l’arrivée des pompiers.
Les Franciscains du couvent Saint Antoine de Bruxelles, Frère Daniel Marie, Frère Jack, Stella Marie,
organisent un camp de jeunes : Welcome Holy Spirit 2023
140 jeunes sont inscrits, 200 personnes en comptant toute l'organisation et l'animation.
Début samedi 29 avril à 15h
Fin mardi 2 mai à 14h
Lieu : Collège Saint Roch,
7 Allée de Bernadfagne
4190 Ferrières
Le chapitre HDGR est une retraite centrée sur l'Esprit Saint destinée aux adolescents de 12 à 17 ans.
4 jours pour rencontrer le Saint Esprit à travers la louange, les topos, la vie fraternelle, les jeux, les temps en équipe, la découverte et l'expérience des charismes, 3 veillées, et vivre le baptême dans l'Esprit Saint.
une demie journée Pèlerinage au sanctuaire mariale de Banneux
une messe est présidée par le père Éric de Beukelaer, vicaire épiscopal de Liège.
Avortement en Belgique : beaucoup de questions demeurent après l’audition du comité interuniversitaire chargé de son évaluation
Ce mardi 18 avril, le “Comité interuniversitaire multidisciplinaire” qui avait été chargé par le gouvernement d'évaluer la législation en matière d'avortement a présenté les conclusions de son rapport aux parlementaires. Ces derniers ont eu l’occasion de commenter les recommandations émises par le Comité, en particulier l’élargissement du délai légal pour avorter de 12 semaines à 18 semaines de grossesse. Alors que le Comité préconise d’inscrire l’avortement dans la loi sur les soins de santé, la difficulté à s’accorder sur un nouveau délai légal pour l’avortement, de même que la pénurie de gynécologues pour le pratiquer semblent confirmer que cet acte est loin d’être anodin. L’équilibre entre la protection du fœtus et le droit de la femme à disposer de son corps peine à émerger face aux des dilemmes éthiques que cette pratique continue de poser.
Prévention des grossesses non désirées : quid de la prévention de l’avortement ?
Etendre le délai pour mieux prendre en charge les femmes qui souhaitent avorter, telle est la proposition qui fait toujours débat au sein des parlementaires. Parmi les arguments avancés par le Comité pour justifier l’extension du délai légal à 18 semaines figure notamment l’existence d’un consensus politique sur cette question. Plusieurs députés n’ont pas manqué de relever le paradoxe consistant à fonder une recommandation scientifique sur la base d’un consensus politique. Plus largement, l’on observe encore un manque de données concernant les raisons qui poussent encore des femmes à aller avorter aux Pays-Bas. De plus, certains centres ne communiquent plus les raisons qui poussent les femmes à avorter dans les rapports transmis à la Commission d’évaluation depuis que la loi du 15 octobre 2018 rend facultative la mention de la condition de détresse. Dans ce contexte, le Comité souligne l’importance pour la Commission d’améliorer ses travaux en insistant auprès des centres pour qu’ils recueillent cette information. Malgré ce manque d’information, le Comité considère qu’allonger le délai à 18 voire 20 semaines après la conception (soit 20 à 22 semaines “d’aménorrhée”) permettrait de réduire le nombre de femmes qui vont avorter aux Pays-Bas et la fréquence des grossesses non désirées. Cependant, le délai pour avorter semble voué à une extension perpétuelle s’il continue à être présenté comme une solution contre les grossesses non désirées. Comment mettre en place une prévention de l’avortement s’il est lui-même est considéré comme une mesure de prévention des grossesses non désirées ? Le Comité ne résout pas non plus ce paradoxe et continue de promouvoir un plus large accès à la contraception et des délais plus étendus pour avorter (les échecs de la contraception représentent environ la moitié des cas d’avortement.
Le Comité propose ainsi deux options : soit étendre simplement le délai pour avorter, soit inscrire des dispositions spécifiques dans la loi pour inclure des raisons psycho-sociales permettant de recourir à l’avortement. Conscient de la difficulté à circonscrire et à définir les raisons psycho-sociales pour avorter, le Comité privilégie une extension simple des délais.
L’information sur l’avortement, un point-clé encore mal développé
Permettre aux femmes de faire un choix libre et éclairé passe nécessairement par une meilleure information, notamment sur les différentes méthodes d’avortement et leurs effets secondaires. Or, comme le soulignent plusieurs députées, ces méthodes sont encore mal connues des femmes. L’avortement médicamenteux, possible théoriquement jusqu’à 9 semaines d’aménorrhée, nécessite une dilatation du col de l’utérus pour provoquer une fausse couche. Si l’embryon n’est pas correctement expulsé, il faut passer par un curetage. La méthode chirurgicale par aspiration est souvent faite entre 8 et 12 semaines. Elle consiste à aspirer l’embryon ou le fœtus avec une canule. Au-delà de cette période, soit le fœtus est démembré et morcelé in utero, soit l’on procède à un mini accouchement. Comme l’ont relevé certains députés, l’âge gestationnel à partir duquel il est nécessaire de recourir à ces deux dernières méthodes d’avortement n’est pas explicite dans le rapport du Comité, alors que beaucoup d’entre eux s’accordent à dire que l’impact psychologique et physique est sensiblement plus lourd dans de tels cas. Si le Comité propose de donner le choix de la méthode aux femmes, il conviendrait qu’elles connaissent les implications de ces techniques pour elles et leur bébé.
Surpression du délai de réflexion obligatoire jugé inutile et stigmatisant
Les membres du Comité préconisent de supprimer l’obligation de délai de réflexion de 6 jours prévu par la loi avant de procéder à un avortement. À l’instar de l’information sur les alternatives à l’avortement, ce délai est considéré par le Comité comme une forme d’infantilisation des femmes et de remise en question de leur décision d’avorter, ce qui irait à l’encontre de leur autonomie. Par ailleurs, en ce qu’il conduit à retarder le moment de l’avortement, le caractère obligatoire de ce délai de réflexion compliquerait l’acte d’avortement. Le Comité propose donc de rendre ce délai facultatif, et de le personnaliser selon les situations et le stade de réflexion de chaque femme. Si, d’un côté, le Comité admet que l’avortement n’est pas le même selon l’âge gestationnel et qu’il se complique à mesure que le fœtus grandit, il propose dans le même temps d’étendre le délai pour y recourir jusqu’à 18 voire 20 semaines.
La douleur du fœtus n’est pas décisive aux yeux du Comité
Alors que le Comité scientifique dit s’être penché sur les implications de l’avortement à ses différents stades, plusieurs parlementaires ont relevé le peu de prise en compte des études scientifiques qui parlent de la douleur du fœtus. Cette question divise toujours les experts. Certains considèrent que le stade de la nociception à 15 semaines - stade qui correspond au réflexe du nerf périphérique - ne permet pas de percevoir la douleur. D’autres s’accordent à dire que ce stade permet une perception non consciente de la douleur et que, par prudence, il faudrait endormir le fœtus avant toute intervention sur lui-même ou sur sa mère. Face aux questions des parlementaires, le Comité a choisi de se rallier à une position qui décrit l’acquisition de la perception de la douleur à partir de de 22 semaines. Cette question, comme celle de la viabilité sans cesse plus précoce du fœtus, n’a pas conduit le Comité à adopter une attitude de prudence dans ses recommandations. Il considère ces arguments comme non pertinents, sur le plan éthique, pour trouver un équilibre entre l’autonomie des femmes et la protection du fœtus : aux yeux des experts, l’évaluation des conséquences pour le fœtus diffère selon que la grossesse et désirée ou non désirée.
L’avortement, un acte médical comme un autre ?
La loi actuelle de 2018 sur l’avortement prévoit des sanctions générales en cas de non-respect des conditions pour avorter. Les membres du Comité proposent des sanctions pénales spécifiques et différenciées en fonction de la nature de la violation, et plaident également pour que ces sanctions ne concernent plus les femmes, mais seulement les médecins. Si certains parlementaires souhaitent soustraire totalement l’avortement du Code pénal (à l’exception de l’avortement forcé), le Comité considère préférable de maintenir certaines sanctions. Pourtant, dans le même temps, il propose que les interruptions médicales de grossesse (IMG), possibles jusqu’à la naissance, soient ouvertes aux femmes qui présentent des affections mentales graves. Or, on sait que 45% des femmes qui recourent à ces avortements tardifs vivent un stress post-traumatique. Par ailleurs, le Comité préconise de ne pas dresser de liste des pathologies du fœtus qui peuvent ouvrir la voie à une IMG. Une telle liste conduirait à “stigmatiser” les personnes porteuses de ces pathologies, et constituerait une “dérive eugénique d’État”.
Le nombre de fidèles continue de chuter de façon spectaculaire : 166.785 personnes vont à la messe un dimanche moyen, contre plus de 200.000 avant le Corona. Les édifices religieux de notre pays perdent donc progressivement leur fonction. C'est pourquoi 259 des 300 communes flamandes ont déjà élaboré des plans d'action pour leurs églises. Celles qui ne l'ont pas encore fait seront obligées de le faire d'ici 2025. L'analyse de ces plans politiques montre qu'une église sur trois recevra une nouvelle affectation. Le choix de cette affectation concrète est laissé à l'appréciation des communes, bien qu'une "utilisation digne" soit requise. ... Le ministre flamand du Patrimoine Matthias Diependaele (N-VA) : "Toutes les églises ne peuvent pas devenir des centres sociaux ou des salles de concert. Il faudrait également procéder à des réaffectations plus approfondies. Le Delhaize à Sint-Annakerk est un exemple controversé, mais bon, de la manière dont cela peut se faire. Dans le passé, nous avons trop souvent restauré minutieusement des églises ou d'autres éléments du patrimoine religieux pour finalement n'en faire que peu ou pas du tout usage, ce qui ne doit plus se produire. Cela ne doit plus se reproduire."
Au moment où nos représentants (?) envisagent de légaliser l'avortement jusqu'à 18 semaines, il est utile de se remémorer ce qu'est un petit d'homme en gestation dans le sein maternel à ce moment :
À ce point de la grossesse, on remarque que la proportion entre la tête et le corps du foetus a changé : la tête est à présent plus petite que le reste du corps.
La circulation sanguine atteint maintenant les extrémités, ce qui fait en sorte que le foetus bouge beaucoup plus! Il se déplace dans l’utérus, se retourne, remue les bras et les jambes, touche ses orteils, son visage, etc. Il se peut que vous perceviez de très légers mouvements ressemblant à une petite vague.
De plus, une gaine graisseuse (la myéline) s’installe autour des nerfs et protège les fibres nerveuses, un peu comme une gaine de plastique autour d’un fil électrique. Elle sert à conduire les influx nerveux, c’est-à-dire l’information échangée entre le système nerveux central (cerveau et moelle épinière) et le système nerveux périphérique.
Bientôt, ce sera au tour des cellules du système nerveux central, notamment celles du cerveau, d’être enveloppées de myéline. Ce sera le signe que des liens se créent et que les réseaux de neurones se consolident.
La rétine des yeux est maintenant sensible à la lumière. Si on projette une lumière assez forte sur le ventre de la mère, le foetus s’en détournera et couvrira ses yeux.
L’échographie a lieu vers la 18e à la 20e semaine. La principale fonction de cet examen est de s’assurer que les organes du foetus se développent bien (coeur, reins, système nerveux central, etc.). On peut également voir le sexe du bébé, car s’il s’agit d’un garçon le pénis est maintenant visible. Chez les bébés filles, la vulve ainsi que l’utérus sont visibles.
À la fin de la 18e semaine (ou de la 16e semaine de fécondation), le foetus mesure environ 14 cm de la tête au coccyx et pèse autour de 200 g.
La famille royale belge sur le chemin de Compostelle
16/04/23
Le roi Philippe de Belgique, son épouse Mathilde et leurs quatre enfants ont commencé le chemin de Compostelle en 2017 à Roncevaux. Ils viennent de traverser en avril la province espagnole de León.
Le roi Philippe de Belgique, la reine Mathilde et leurs enfants, Elisabeth, Gabriel, Emmanuel et Éleonore, ont continué en avril, à Pâques, leur pèlerinage vers Saint-Jacques de Compostelle. Les souverains ont parcouru du 9 au 15 avril les quelque 70 kilomètres qui relient Itero de la Vega à San Nicolás del Real Camino. C’est en 2017, depuis Roncevaux, que le roi Philippe et sa famille ont tenté pour la première fois de parcourir un tronçon du célèbre chemin de pèlerinage. Ils avaient alors traversé une partie de la Navarre afin de rejoindre Logroño.
Les années suivantes, le roi, la reine et leurs quatre enfants ont repris la direction de La Rioja, pour reprendre le chemin, là où ils l’avaient quitté, à Logroño. Le chemin les avait emmenés sur les routes de la province de Burgos.
Pour mémoire, Philippe a été proclamé roi le jour de la fête nationale de Belgique, le 21 juillet 2013, lorsque son père, Albert II, a abdiqué du trône pour des raisons de santé après vingt ans à la tête de son pays. Pour mémoire, Philippe est le neveu du roi Baudouin et de son épouse Fabiola, une aristocrate espagnole qui fut reine consort de Belgique de 1960 jusqu’à la mort du roi Baudouin en 1993.
Pour tous les marcheurs, croyants ou non, le chemin menant vers Saint-Jacques de Compostelle s’impose donc comme un chemin vers la simplicité, le silence et la vraie rencontre ; rencontre de soi et de l’autre, rencontre de soi en l’autre. Quelques soient les motivations de départ, le chemin de Compostelle offre peut-être un terrain propice pour entendre l’appel que Dieu adresse à Abraham : « Va vers toi. » (Gn 12,1 ; traduction littérale de l’hébreu).
Le roi Albert II et la reine Paola reçus au Vatican par le pape François : là où tout a commencé il y a six décennies
Le roi Albert II et la reine Paola reçus en audience privée par le pape François
En novembre 1958, le roi Baudouin envoyait son frère cadet, le prince Albert, prince de Liège, pour le représenter lors de la cérémonie d’intronisation du pape Jean XXIII au Vatican. Le prince Albert croise le regard de la princesse Paola Ruffo di Calabria, devant une peinture d’un primitif flamand accroché au mur de la résidence de l’ambassadeur de Belgique à Rome, où se tenait une réception officielle, en marge de l’intronisation du nouveau pape. Albert et Paola se marieront en juillet 1959.
Sa Sainteté accueille les anciens souverains belges dans son bureau, quelques jours après Pâques (Photo : capture d’écran vidéo Vatican News)
En 1993, Albert II a succédé à son frère, Baudouin, décédé sans enfants. Le roi Albert II a régné sur la Belgique durant les dernières décennies du pontificat de Jean-Paul II, puis durant celui de Benoît XVI, dont il se rapprochera avec son épouse. Le 28 février 2013, Benoît XVI annonce sa renonciation, une première en 700 ans de papauté. Le roi Albert II annonce lui aussi sa volonté d’abdiquer en juin 2013. L’abdication en faveur de son fils aîné, Philippe, a lieu le jour de la fête nationale, le 21 juillet 2013.
Cette année 2013 fut aussi celle de l’abdication de Beatrix des Pays-Bas et de l’émir Hamad du Qatar. Le roi Albert II avait assisté à l’investiture du pape François, peu de temps avant son abdication. Ni Albert ni Paola n’ont assisté aux funérailles du pape Benoît XVI en janvier 2023. Le roi Philippe et la reine Mathilde faisaient partie des rares souverains à avoir assisté aux funérailles, aux côtés de la reine émérite Sofia d’Espagne.
Le pape François a été élu en 2013, année de l’abdication d’Albert II
Depuis son départ à la retraite, le roi Albert II vit une retraite paisible avec son épouse, toujours réunis par la foi qui les anime. Ils habitent d’ailleurs dans un ancien presbytère qu’ils ont rénové, dans la campagne namuroise. Pendant les périodes de vacances, ils se rendent aussi en Italie, notamment dans la région romaine, où Paola possède un appartement familial. De passage à Rome en cette période pascale, les anciens souverains ont été invités à rencontrer le pape au Palais apostolique.
Le service de presse du Vatican a partagé une vidéo du pape François accueillant dans son bureau le roi Albert II et la reine Paola. Ils ont échangé en italien, prenant des nouvelles de santé des uns et des autres. Le pape François, 86 ans, a récemment sorti de l’hôpital où il a été pris en charge pour des problèmes respiratoires. La reine Paola, 85 ans, a enchaîné les mauvaises chutes ces derniers mois, dont l’une ayant terminé avec une fracture du col de l’humérus et une autre sans gravité en octobre 2022.
Après les échanges derrière le bureau du pape argentin, le couple royal a échangé quelques cadeaux. Albert et Paola ont reçu une copie du message de paix prononcé par le Saint-Père à l’occasion de Pâques. La reine Paola portait une robe noire à longues manches, comme l’exige le protocole du Saint-Siège. Les anciens souverains
Le roi Albert II, qui fêtera ses 89 ans en juin prochain, a lui aussi connu plusieurs problèmes de santé depuis qu’il a passé le flambeau au roi Philippe. Le roi Albert II est aujourd’hui le souverain ou l’ancien souverain le plus âgé du continent européen depuis le décès de la reine Elizabeth II en septembre 2022. Le souverain le plus âgé encore en exercice est le roi Harald V de Norvège, qui a fêté ses 86 ans février dernier.
NICOLAS FONTAINE EST RÉDACTEUR WEB INDÉPENDANT DEPUIS 2014. APRÈS AVOIR ÉTÉ COPYWRITER ET AUTEUR POUR DE NOMBREUSES MARQUES ET MÉDIAS BELGES ET FRANÇAIS, IL S'EST SPÉCIALISÉ DANS L'ACTUALITÉ DES ROYAUTÉS. NICOLAS EST AUJOURD'HUI RÉDACTEUR EN CHEF D'HISTOIRES ROYALES. NICOLAS@HISTOIRESROYALES.FR
Voici quelques informations concernant l'évolution du dossier relatif àl'éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle auprès des enfants et adolescents:
1. Le droit de réponse dont nous avons finalement obtenu la parution sur le site du journal Le Ligueur suite à la mise en ligne sur ce média d'un article diffamatoire. Cliquez ici.
3. Le fascicule (extraits : ICI, ICI, ICI et ICI) '"L'Evras dans mon école: c'est pas secondaire!"Ce fascicule - qui va dans le même sens que le guide evras qui a fait l'objet d'un retrait par la Ministre de l'éducation (suite aux 9600 signatures de la Lettre Ouverte) et d'une révision prévue suite aux interpellations en Commission éducation-est malgré touten train d'être largement distribué à l'attention des directions, équipes pédagogiques et éducatrices en école secondaire (éd. responsable: Lola Clavreul - Fédération des Centres Pluralistes de Planning Familial). De nombreux Plannings familiaux n'ont pas été informés d'une révision de certains passages du guide EVRAS et n'ont pas reçu d'instruction visant à continuer à s'appuyer ou pas sur sa première mouture.
Afin de maximaliser notre impact et d’appuyer la suite de nos actions, il est important que vous sachiez que nous continuons à récolter le maximum de signatures. (9693 à ce jour). Dès lors, nous nous permettons de continuer à vous solliciter afin que vous transfériez à foison le lien suivant. https://forms.gle/tTMwDAZyWretQHck9
N'hésitez pas également à transférer ce mail aux parents que vous connaissez.
Cette septième conférence explore la manière dont saint Augustin aborde la question du mal, à la fois dans le monde et dans notre propre vie : son origine, la manière dont il se répand, se fortifie, s’invétère et, heureusement ! se guérit.
Cette exploration se poursuivra avec une rencontre avec la pensée orientale, en particulier celle de Xunzi, un penseur de la tradition confucianiste en Chine. Les divergences de vues entre les deux hommes seront explorées ainsi que les points de convergence.
Cette confrontation entre Orient et Occident permettra une meilleure compréhension de chacun d’eux en fonction de leurs différences et de leurs similitudes.
Séance de questions & réponses à la fin de la conférence, sur place. Pour les téléspectateurs, envoyez vos questions par chat, en direct sur YouTube ou par SMS, Telegram, Signal, email, formulaire de contact etc.)
Conférence : ''Jean-Paul II et les fidèles laïcs''
La Pastorale des Solidarités organise, avec la participation de la Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique, une conférence le mercredi 19 avril à 19h30 à Namur sur un livre de Claude Callens ''Jean-Paul II et les laïcs''. Pensez à vous inscrire pour y participer.
Claude Callens a récemment publié un nouveau livre intitulé Jean-Paul II et les laïcs. La double mission du laïcat aux éditions MAME. Venez l’écouter lors de sa conférence le 19 avril prochain à Namur. La Pastorale des Solidarités en partenariat avec la Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique vous y attendent nombreux. Inscrivez-vous en cliquant sur le lien en bas de page.
Une petite présentation de l’auteur et de son livre
Claude Callens est passionné par la doctrine sociale de l’Église et son expertise dans le domaine se montre ici pour articuler pleinement deux dimensions de la vie des laïcs, spirituelle et « séculière ». Il pointe l’importance du rôle de ceux-ci dans la vie du corps de l’Église. Le saint pape Jean-Paul II développa cette attention en particulier par un synode en 1987 et par une exhortation apostolique Christi fideles laïci qui en publia la substance. Ce souci du rôle des laïcs est déjà montré dans l’enseignement magistériel avant Jean-Paul II et bien sûr lors de Vatican où Karol Wojtila fut bien présent. L’ouvrage fera goûter au lecteur les axes fondamentaux de la doctrine sociale de l’Église et ce que les laïcs y apportent en propre.
Claude CALLENS, Jean Paul II et les laïcs. La double mission du laïcat, Mame, Paris, 2023, 79 p.
Les organisateurs
- La Pastorale des Solidarités a pour mission de sensibiliser les communautés chrétiennes aux situations de pauvreté et d’exclusion, de susciter, soutenir et accompagner les initiatives au service des plus démunis, de promouvoir les actions menées par les organismes sociaux et les associations caritatives qui œuvrent en lien avec le diocèse, et d’accompagner les pastorales spécifiques. - La Fondation Jean-Paul II – Cercle de Belgique a pour but de faire connaître les enseignements du pape Jean-Paul II par le biais d’une série de livre aux éditions MAME. Le dernier livre de la collection est celui de Claude Callens qui fera l’objet de cette conférence.
Agendas & inscriptions
La conférence se tiendra à l’auditoire Henri de Lubac au Séminaire de Namur le mercredi 19 avril à 19h30. Claude Callens sera interrogé par l’abbé Bruno Robbrechts. La participation est libre. Vous pouvez vous inscrire en cliquant ‘ici’. Venez nombreux.
La même conférence sera donnée à Bruxelles le mercredi 24 mai (pour les jeunes) et à La Roche le mardi 30 mai.
Six cents personnes manifestent à Bruxelles contre l'avortement et l'euthanasie
Environ 600 personnes (plus de 800 d'après les organisateurs ndB) ont participé dimanche après-midi à une manifestation contre l'avortement, l'euthanasie et la gestation pour autrui à Bruxelles.
02-04-2023
La "Marche pour la vie", organisée par l'association Clara Life, est partie de la place Poelaert, devant le palais de Justice, pour y revenir. Selon la police, une soixantaine de contre-manifestants se sont également présentés, mais aucun incident n'a eu lieu.
Les organisateurs de la manifestation ont expliqué craindre que l'avortement ne soit bientôt reconnu comme un droit constitutionnel.
"La Cour suprême des États-Unis est revenue sur sa décision erronée 40 ans après l'afffaire 'Roe v. Wade' et a clairement reconnu que le droit constitutionnel à l'avortement n'existait pas", relèvent-ils. "Cela nous donne de l'espoir mais, en Belgique, on s'attend à ce que l'activisme public fasse reconnaître l'avortement comme un droit constitutionnel. Une proposition en ce sens a d'ailleurs déjà été soumise."
Les manifestants se sont mobilisés pour que soit plutôt reconnue l'inexistence d'un droit à l'avortement et demandent que l'attention soit portée "sur des moyens clairs et concrets qui placent de vraies solutions au centre de la vie des femmes, pour elles-mêmes et pour leur enfant à naître".
La vie des enfants à naître n'est pas la seule à être mise sous pression, celle des personnes âgées et des malades étant également méprisée, dénoncent les organisateurs de cette marche. C'est pourquoi ils demandent une réforme de la commission de contrôle de l'euthanasie et refusent l'extension de la loi sur l'euthanasie.
Clara Life s'oppose, enfin, aussi aux mères porteuses. "Il y a quelques années, elle était encore condamnée par le Parlement européen mais, récemment, on a tenté d'imposer la gestation pour autrui par la petite porte à tous les Etats membres européens en obligeant chaque pays à reconnaître la filiation par mère porteuse quand elle a été établie dans un autre Etat membre et qu'elle y est légale", pointe l'organisation. Elle demande dès lors à la Commission de renoncer à ces projets et appelle le Parlement belge à "affirmer clairement que la gestation pour autrui est une violation des droits de l'enfant et du principe de non-commercialisation du corps humain".