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Belgique - Page 398

  • Un saint de Belgique au Xe siècle : Gérard de Brogne (3 octobre)

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    300px-Gérard_de_Brogne_(Statue_moderne).JPGNous trouvons ici cette notice biographique de saint Gérard de Brogne qui doit beaucoup au sanctoral des RP Bénédictins, éditions Letouzey & Ané, 1952.

    Bien que l'Eglise [ en Occident] tombée au pouvoir des laïques ait vécu, au 10ième siècle, une des périodes les plus sombres de son histoire, elle cessa si peu de montrer la force du ferment qu'elle porte en elle que des saints purent s'épanouir dans ce milieu particulièrement ingrat et arrivèrent à la perfection malgré les abus innombrables.

    Gérard naquit sur la fin du 9ième siècle, à Stave, au canton de Fosses (Belgique), de parents appartenant à la haute noblesse = son père Santio aurait été "de la race d'Haganon, duc d'Austrasie (?) " ; sa mère, "Plectrude, soeur de l'évêque de Liège, Étienne". Gérard entra au service du comte de Lomme, Béranger, qui l'honora de sa confiance. A la lisière de la forêt de Marlagne, au milieu d'un vaste domaine que Gérard possédait de plein droit en qualité d'alleu, s'élevait un oratoire dont on attribuait la fondation à Pépin 2 et la dédicace à saint Lambert. Il était assez délabré et le pieux propriétaire voulut le reconstruire et l'agrandir aux dépens d'une maison voisine habitée par un prêtre nommé Anselme qui refusa de la quitter. Un dragon sorti du clocher vola sur son toit et se mit à cracher des flammes : le lendemain, un incendie détruisait sa demeure et les maçons arrivés aussitôt entreprenaient la construction de la nouvelle église; ils se rappelaient encore longtemps après que pas une goutte de pluie n'était venue contrarier leur travail (914).

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  • La Wallonie s’interroge : que faire du patrimoine immobilier d’une Eglise désertée ?

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    Depuis les années conciliaires, on a observé (de l’aveu même du cardinal Danneels) un « lent déclin » de la pratique religieuse en Belgique. Avec la disparition des générations éduquées avant 1960, ce déclin se solde aujourd’hui par un véritable effondrement général, dont témoigne matériellement la désertification du patrimoine religieux immobilier : églises, chapelles, couvents,  monastères et  autres bâtiments à vocation ecclésiale.

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700  sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux.  De plus, 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection.  Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont  reprises sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

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  • Belgique : de mauvais accords valent-ils mieux qu'une crise qui s'éternise?

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    Ce n'est en tout cas pas l'avis du "Beffroi" qui aurait préféré une remise en question fondamentale de notre système institutionnel à ces accords qui ne pourront qu'aboutir à de nouvelles tensions provoquées par un flamingantisme insatiable. C'est à lire ici : http://www.lebeffroi.eu/wordpress/?p=316. Cette analyse est malheureusement pertinente et nous faisons nôtre sa conclusion :

    "...nous allons nous retrouver une fois de plus avec un « accord » partiel et bancal qui déjà attend les nouveaux assauts du flamingantisme auxquels on prévoit déjà de céder dans un avenir non défini mais présenté comme inéluctable. C’est en cela que ces « accords » n’en sont pas, ils trompent une fois de plus les citoyens belges.

    Nous sommes profondément lassés pour ne pas dire dégoutés par cette vision de notre pays comme celui d’un affrontement politique perpétuel. Nous voulons remettre ces sous nationalismes dispendieux à leur place de cornichoneries malsaines et dire tout haut qu’il n’y a pas les Flamands contre les Wallons par-dessus la tête des Bruxellois, mais qu’il y a les Belges qui ont la chance de vivre au centre de l’Europe et donc au cœur même du monde (où le boulot ne manque vraiment pas).

    Nous sommes persuadés, surtout, que si ce discours leur parvenait et était repris par les médias de manière normale et objective, il rassemblerait très vite une large majorité des belges toutes langues confondues."

  • Paisible Wallonie...

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    "Suite aux nombreux jets de pierres et de pavés, les chauffeurs des TEC de Charleroi ne sortent pratiquement plus depuis plusieurs jours. Le personnel du TEC Charleroi a décidé de reprendre le travail dès samedi matin lors d'une assemblée générale" mais il semble que les véhicules seront sous la protection des forces de l'ordre...

    Source : RTL.be

  • "Credo politique", débat entre Eric de Beukelaer et Denis Ducarme

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    Le lundi 17 octobre 2011, à 18h30,
    à la librairie UOPC, 14-16 av. Gustave Demey, 1160 Bruxelles

    Le chanoine Eric de Beukelaer et Denis Ducarme

    débattront du livre "Credo politique"

    Entrée gratuite / Réservation souhaitée

    tél. : 02 663 00 40; fax. : 02 648 61 72; conferences@uopc.be

  • Sens ou non-sens de la "Fragilité humaine"dans la Société Européenne Contemporaine

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    A l'occasion des Années européennes 2011 pour le bénévolat et 2012 pour le vieillissement actif, une conférence est organisée au Parlement européen sur le thème : 

    Sens ou non-sens de la "Fragilité humaine"dans la Société Européenne Contemporaine

    Avec le soutien du PPE au Parlement européen et sous la présidence d'Anna Zaborska (MEP) 

    Il sera traité de la prise en charge des personnes âgées, handicapées, souffrantes, démunies... à travers des Conférences, Réflexions et Témoignages. Le Comité scientifique comprend le Dr. B. ARS, le Dr. F. BLIN,  le Dr. B. Galichon et le Pr. D. Lambert. 

    Le vendredi 21 octobre 2011 de 9h à 18h

    Parlement européen, Salle PHS 3 C 050, Bruxelles

    Les inscriptions (gratuites et obligatoires) devront se faire avant le 7 octobre sur le site http://www.meetings.be/colloquium/

    PROGRAMME : http://www.meetings.be/colloquium/français.pdf

  • Quand les écoles de Bruxelles manquent de professeurs de religion catholique

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    C'est "La Croix", sous la plume de Raphaëlle d'Yvoir, qui nous partage cette information :
    "Quelques semaines après la rentrée scolaire, Claude Gillard, délégué épiscopal pour l’enseignement catholique de l’archevêché de Malines-Bruxelles, s’est dit préoccupé par la pénurie de « professeurs de religion catholique » dans l’enseignement francophone bruxellois.
    Extraits :

    "...la pénurie actuelle d’enseignants concerne cependant essentiellement Bruxelles. Le diocèse a lancé un appel aux vocations soulignant que « ce métier, qui participe à la formation intellectuelle et humaine des élèves, est aussi un service d’Église qui doit être encouragé ».

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  • JMJ de Madrid : un regard singulier

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    200909250713-1_pascal-smet-wil-dat-leerkrachten-loon-inleveren.jpgLe socialiste Pascal Smet, ministre flamand de l’éducation  a pris part aux JMJ de Madrid. A son retour, il a accordé une interview à l’hebdomadaire catholique néerlandophone Tertio.

    Extraits (traduction de Pierre Tomasset, membre du Forum laïc catholique romain)

    Comment se fait-il que, comme socialiste, vous vous soyez rendu à une manifestation catholique de masse ?

    “Le Service interdiocésain de la Jeunesse m'a invité à Madrid, et n'oubliez pas que je suis Ministre de la Jeunesse – aussi de la jeunesse croyante. Je souhaitais mieux la connaître. Pourquoi vont-ils à Madrid ? Comment se déroule une manifestation de masse de un million de jeunes dans une ville ? Comment ces jeunes se situent-ils par rapport à l'institution Église ? Les libres penseurs ont froncé les sourcils à cause de ma venue à Madrid, mais cela est contradictoire avec la tolérance que la libre pensée préconise.”

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  • A chacun ses préoccupations

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    Tandis que le diocèse de Liège concocte, pour le 22 octobre prochain,  un symposium avec le fondateur de l’association « habitat et humanisme » sur le recyclage social de ses églises et autres bâtiments ecclésiaux désertés, le diocèse de Toulon, qui n’a apparemment pas ce genre de problème, accueille, au même moment (les 22 et 23 octobre) à l’abbaye de Lérins, un colloque sur la régulation des systèmes monétaire et bancaire : un question aussi éthique, aux retombées sociales très importantes.

    Voici l’ annonce par Eric Martin le 27 septembre 2011 dans Agenda, Economie/entreprises, Nos brèves, Religion :

    « Alors que le sommet du G20 à Cannes des 3 et 4 novembre aura pour trame de fond la réforme du système monétaire international et le renforcement de la régulation financière, l’abbaye de Lérins accueille un colloque sur la crise des systèmes monétaires les 22 et 23 octobre. Organisé par l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon (site|blog) avec le soutien de l’Association des Economistes Catholiques (site), « cet autre sommet entend porter la voix de l’Eglise sur ces sujets sur lesquels se joue l’avenir de nos sociétés ».

    En présence de Mgr Dominique Rey, évêque de Fréjus-Toulon, plusieurs économistes internationalement reconnus tels Jacques Bichot (université Jean Moulin, Lyon), Guido Hülsmann  (Université d’Angers), Pierre Garello (Université de Marseille), directeur à l’IREF) , Nikolay Gertchev  (Commission européenne), Pierre de Lauzun (Fédération française des banques) ou encore Charles Le Lien aborderont de façon concrète les thèmes de la réforme du système monétaire international, de la responsabilité bancaire, de la régulation des marchés financiers, ou encore du crédit social.. L’ensemble des solutions étudiées sera présenté lors d’une conférence de presse la veille du G20, à Cannes, le 2 novembre 2011 à 20 heures.

  • Benoît XVI, islamophobe ?

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    Selon une information malveillante mise en ligne (puis retirée) le 26 septembre par la  Libre Belgique » et d’autres (voir ici :Le Pape Benoit XVI a déploré 'le lent suicide de l'Europe du fait de l'immigration musulmane' ) « quand il n'était encore que le cardinal Joseph Ratzinger, l'actuel Pape Benoît XVI ne tournait pas autour du pot pour évoquer le sujet de la présence de musulmans en Europe. Selon une biographie à paraître de la main du magnat anglo-canadien des media Conrad Black, le Pape a explicitement déploré "le lent suicide de l'Europe" lors d'un dîner à Toronto, au Canada, en 1990 : "Sa population vieillit et se réduit. Elle est remplacée par des immigrés que l'on ne peut assimiler." Il estimait alors que "l'Europe se réveillerait de sa léthargie" mais prévoyait toutefois "des jours difficiles". Ce livre fera sans doute l'effet d'une bombe alors que le Pape avait déjà défrayé la chronique en 2006 en assimilant l'Islam à la violence... ».

    Peut-on inviter le quotidien ex-catholique de la capitale à rendre compte, de préférence aux ragots, des paroles  prononcée, réellement celles-là, par le pape lors de son récent voyage en Allemagne. C’est ici, sur Belgicatho : Benoît XVI en Allemagne : quelles convergences avec les musulmans et les juifs

  • Bruxelles : l’Opus Dei apportera son aide à la paroisse Saint-Jacques sur Coudenberg

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    Voici le texte du communiqué co-signé par l’abbé Robrecht Boone, curé et aumônier militaire, et l’abbé Stéphane Seminckx.

    1.L’église de Saint-Jacques sur Coudenberg ne sera pas cogérée par l’Opus Dei, comme TV-Brussel l’a déclaré hier. Elle sera encore moins confiée à l’Opus Dei, comme l’a dit Rik Torfs. Il n’y a eu aucune concertation sur ce sujet avant-hier à l’archevêché de Malines-Bruxelles.

    2. Des prêtres de l’Opus Dei sont actifs depuis de nombreuses années dans différentes églises de Bruxelles, où ils célèbrent la messe, confessent, organisent des veillées au Saint-Sacrement, etc.

    3. Pour renforcer cette collaboration de la Prélature avec l’Eglise à Bruxelles, et pour accroître le rayonnement des activités de l’église Saint-Jacques, qui reste l’église du Diocèse aux Forces Armées, Mgr Léonard a émis le souhait que l’Opus Dei contribue à l’animation pastorale de cette église, située sur la Place Royale.

    4. De façon concrète, cela signifie qu’un prêtre de l’Opus Dei, qui est déjà actif depuis plusieurs années comme vicaire à l’église Notre-Dame du Sablon, sera partiellement au service des activités pastorales de Saint-Jacques. Il sera parfois remplacé ou assisté par d’autres prêtres de l’Opus Dei.
     
    5. Rien ne change dans le statut de cette église, comme paroisse et comme église du Diocèse aux Forces Armées. Le curé de la paroisse, l’abbé Robrecht Boone, reste en place, de même que la fabrique d’église.

    La source est ici (sous un intitulé négatif): L’église Saint-Jacques sur Coudenberg ne sera pas cogérée par l’Opus Dei

    Il faut se réjouir de cette perspective de collaboration active qui pourrait inspirer d’autres diocèses en mal de clergé diocésain et la réflexion vaut  naturellement aussi pour tant de jeunes communautés religieuses traditionnelles, classiques ou nouvelles écartées de la vie paroissiale pour des raisons plus idéologiques que raisonnables.

     

  • Benoit XVI en Allemagne : un voyage en demi-teintes ?

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    Le spécialiste « religieux » de la Libre Belgique, Christian Laporte, n’est pas très content : la tournure qu’a donnée le pape à son voyage en Allemagne ne lui a pas plu et le corps de l’article qu’il signe aujourd’hui dans ce journal autrefois catholique est encore plus maussade que son titre :

     « Les rapprochements n’ont pas eu lieu et les catholiques ont été grondés.

    L’Allemagne catholique d’après la visite de Benoît XVI ne ressemblera certes pas à celle qui a accueilli son leader spirituel, jeudi dernier - car une visite papale donne toujours un coup de fouet à l’Eglise locale - mais sur la balance du bilan, le fléau penche du côté de la déception car les attentes ne furent guère rencontrées.

    Assez logique puisque le fil rouge des interventions du Pape fut le recentrage doctrinal, voire une frilosité réelle face à toute forme d’ouverture. Et ce, malgré le constat inquiétant qu’en 2010, il y a eu plus de départs de l’Eglise catholique que de nouveaux baptisés en Allemagne. Bien sûr, outre-Rhin aussi, le scandale de la pédophilie a incité nombre de citoyens à ne plus réserver une frange de leurs impôts à l’Eglise romaine. Benoît XVI a finalement rencontré des victimes mais la rencontre fut apparemment moins chaleureuse que lors de visites antérieures. A la base, les fidèles allemands observent évidemment l’évolution de la société et le fossé qui continue à se creuser avec l’Eglise.

    Sur l’œcuménisme, la déception est aussi très forte chez les protestants : Benoît XVI a impressionné leurs responsables, à Erfurt, par son évocation de Luther, mais il n’a pas fait la moindre ouverture pour un réel rapprochement entre les frères séparés. Rien sur la volonté, partagée à la base, que les croyants des deux confessions puissent partager la même communion. Il est vrai que Rome fronce les sourcils devant les ouvertures morales et éthiques des églises évangéliques qui accordent, de surcroît, une place égale aux femmes, en permettant même qu’elles accèdent à des fonctions épiscopales. Benoît XVI est un homme trop bien élevé pour s’en offusquer et les a donc saluées à Erfurt mais en même temps, il ne met pas toujours des gants pour constater les divergences. Dimanche, à Fribourg, il a mis en garde les catholiques allemands "contre une protestantisation de leur Eglise" et lors d’une rencontre avec les orthodoxes, il avait laissé entendre que le rapprochement avec ces autres "frères séparés" serait plus facile - sous-entendu : qu’avec d’autres chrétiens !

    Mais auparavant, il faudra refaire l’unité chez les catholiques. Or la hiérarchie redoute clairement que l’Allemagne soit à son tour touchée par la contestation autrichienne, avec plus de 300 prêtres, et non des moindres, qui ont réclamé d’urgence des réformes pour l’Eglise. Pour le Pape, il ne peut être question de se laisser entraîner par ces contestataires : l’Eglise ne sera crédible que "si les paroisses, les communautés et les mouvements se soutiennent et s’enrichissent mutuellement, si les baptisés et les confirmés, en union avec l’évêque, tiennent haut le flambeau d’une foi inaltérée et laissent illuminer par elle leurs riches connaissances et capacités".

    Pour Benoît XVI, il y a trop de débats dans l’Eglise : "Ce ne sont pas les paroles qui comptent, c’est l’agir". Evoquant les grands prêtres juifs qui s’opposaient à Jésus, il a critiqué "les experts en religion", dont "la religiosité devient routine" et que "Dieu n’inquiète plus vraiment". La veille, le Pape avait déjà secoué "son" Eglise en lui reprochant, devant les jeunes, d’être trop tiède sur le plan spirituel. Et pas suffisamment réactive aux maux du temps : " Notre époque est largement caractérisée par un relativisme subliminal qui pénètre tous les domaines de la vie. Parfois, ce relativisme devient batailleur, se dirigeant contre des personnes qui affirment savoir où se trouve la vérité ou le sens de la vie. Et nous remarquons combien il exerce de plus en plus d’influence sur les relations humaines et sur la société... Certains semblent incapables de renoncer à quelque chose ou à faire un sacrifice pour autrui. Même l’engagement altruiste pour le bien commun, dans les domaines sociaux et culturels, ou pour les personnes dans le besoin, diminue. D’autres ne sont plus en mesure de se lier de façon inconditionnelle à une autre personne". Benoît XVI : bilan en demi-teintes  Eclairage de Christian Laporte

    Faut-il dire que, tout au contraire de l’opinion de « La Libre Belgique », ce voyage nous a agréablement surpris? Comme d’habitude les médias grincheux nous avaient annoncé une flambée spectaculaire de contestations : en réalité, le vrai contestataire, à la fois humble et intelligent, simple et courageux sans concession, ce fut … Benoît XVI : l’establishment religieux, politique et médiatique en est demeuré bouche bée durant tout le voyage. La « Libre Belgique », pour ne citer qu’elle, a fort peu couvert l’événement. Elle se rattrape aujourd’hui dans la ligne qui est la sienne et qui n’est évidemment pas la nôtre.