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Belgique - Page 398

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 21 octobre 2011

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    images (4).jpgSommaire

     

  • A Banneux : une "pause-maman"

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    Sans titre.jpgIl est un mot d’amour, aussi vieux que le monde, que l’Ange du Seigneur, un matin radieux, auréolé d’azur et de lumière  blonde,  nous apporta des cieux :  Maman

    Une pause-maman ? Un temps de formation spirituelle et de prières pour  les mamans, grands-mamans  avec ou sans enfants.

    QUAND ? Un jeudi par mois.

    Où ? Prieuré Regina Pacis, Rue de la Sapinière, 50, 4141 Banneux Notre-Dame, 04/360.01.27

    DATES ? les  jeudis 24 novembre 2011; 15 décembre 2011 ; 19 janvier 2012 ; 16 février 2012 ; 22 mars 2012 ; 26 avril 2012 et   24 mai 2012.

    HORAIRE ? 9h15 : accueil ; 9h30 : enseignement – partage ; 11h15 : office de sexte suivi de la messe ; 12h30 : repas (s’inscrire) ; 14h-15h : adoration- possibilité de confession.

    Contact : Marie-Anne Boldo :     04 /368 64 22

  • Connaissez-vous DPTN Belgium ?

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    0edbc385dac64c7bb2ad773253ad5713.jpgNotre monde a besoin d’authentiques témoins d’espérance : des prêtres qui aiment le Christ et l’Eglise et des chrétiens qui les soutiennent et les encouragent. Dans cette perspective missionnaire, l’association DPTN Belgium (Des prêtres pour toutes les nations), créée en Belgique en 2010, lance des actions pour promouvoir le sacerdoce et soutenir les prêtres dans leur ministère. Avec son réseau de donateurs, elle accorde des bourses d’études à des prêtres et des séminaristes pour étudier à l’Université pontificale de la Sainte-Croix à Rome.

    Erigée en 1998 par le Saint-Siège et confiée à la prélature de l’Opus Dei, cette université est ouverte aux laïcs, aux séminaristes, aux prêtres et aux religieux. Grâce à la générosité de 27.000 donateurs, près de 400 prêtres et séminaristes de nombreux diocèses, congrégations ou institutions ont bénéficié de cette formation dans l’esprit du magistère de l’Eglise.

    Voir ici : DPTN Belgium voit le jour ...et là :  www.dptn.org

  • Le « boycott » d’un archevêque ou le péril d’un progressisme… intégriste

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    20239465.jpgUn de nos fidèles correspondants signe ce billet d’humeur contre le réseau des médiateurs de la pensée unique sévissant dans la presse belge, qu’on n’oserait plus appeler d’opinion :

    La cabale contre Mgr Léonard continue. C’est normal… et même bon signe : saint Paul savait que le devoir de parler AUSSI à contretemps serait source de persécutions. Ce qui est moins normal, c’est la conjuration de tant de prétendus « humanistes chrétiens » engagés dans les campagnes de dénigrement systématique menées contre notre archevêque. Le  dernier billet polémique de M. Ch. Laporte (LLB du 18-X-2011) illustre la stratégie déployée par cette véritable chaîne d’ « indignés » : La Libre, porte-parole de la pensée laportienne, permet au journaliste de se faire le porte-parole du porte-parole de la ministre Milquet, porte-parole naturelle des électeurs du CDH. Voilà qui me rappelle une magnifique tirade signée Beaumarchais : « La calomnie ! Monsieur, vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés […] D'abord un bruit léger […] ; le mal est fait : il germe, il rampe, il chemine, et, rinforzando, de bouche en bouche, il va le diable […] et devient un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription. »

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  • Pour une Eglise papotante

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    187770_61762457656_280455_n.jpgL’agence interdiocésaine Cathobel fait la pub du Conseil interdiocésain des laïcs. En ces termes : "cela fait plusieurs années que le Conseil interdiocésain des laïcs (CIL) est engagé dans une démarche d’écoute de la base. Très vite, une convergence notable est apparue entre les différents témoignages recueillis, que ceux-ci émanent de pasteurs, de fidèles ou d’experts. Globalement, les catholiques sont plutôt insatisfaits de l’état actuel de l’Église en Belgique francophone. Et ils dénoncent des déficiences ou des dérives dans les pastorales qui y sont mises en œuvre. Le livre que le CIL vient de publier aux éditions Fidélité sur base de ce long travail d’écoute ne se contente pas de décrire ou de dénoncer ce qui ne va pas; il propose également des lignes pour l’action. Lire la dépêche entière  ici :Le CIL à l’écoute du peuple de Dieu

    Bis repetita placent : un membre de la connexion médiatique en avait déjà parlé dans « La Libre Belgique » du 11 octobre. Extraits :

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  • Loin de Rome...

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    181109_mgr_pozzo.jpgNonobstant les instructions et autres «  motu proprio » par lesquels Rome s’efforce maintenant de libéraliser l’usage de la forme traditionnelle de la liturgie, rien n’y fait : les évêques restent les maîtres absolus de celle-ci dans leurs diocèses respectifs et le font bien voir : ainsi, dans tel évêché de Belgique autrefois fort libéral à l’égard de l’usus antiquior, les choses sont paradoxalement devenues très difficiles aujourd’hui, alors que dans tel autre diocèse du même pays la situation  s’est au contraire débloquée comme par enchantement, à l’arrivée du nouvel évêque. En fait, Rome est loin et sans autorité réelle sur le terrain. En charge du dossier, sa commission « Ecclesia  Dei », même dotée de pouvoirs juridictionnels pour contraindre les récalcitrants, redoute d’affronter ceux-ci et laisse traîner les recours.

     Restent les belles paroles que l’administration pontificale s’entend à prodiguer. La Lettre de Paix Liturgique  vient, par exemple, de traduire les propos tenus récemment (3 octobre 2011)  par secrétaire de cette commission « Ecclesia Dei » , Mgr Guido Pozzo (photo) sur  Gloria TV : On peut y lire notamment ceci :

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  • "Anges et démons" sur nos petits écrans : un film cathophobe

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    Le 6 mai 2009, le Salon Beige mettait cette note en ligne sous la signature de Michel Janva :

    "Anges & Démons : un film cathophobe"

    Dans un dossier de 5 pages, L'Homme Nouveau décrypte le film Anges & démons, qui sort bientôt au cinéma. On y lit notamment cette révélation du père Bernard O’Connor, prêtre canadien qui travaille à la Congrégation pour les Églises orientales et chroniqueur régulier du magazine américain Inside the Vatican, dans lequel il a raconté être allé se mêler à l’équipe d’Anges et Démons à Rome :

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  • Lettre ouverte à Mgr Jousten, évêque référendaire pour l'enseignement

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    Monseigneur,

    Depuis plusieurs jours, on n'entend plus parler que de Monseigneur Léonard, votre frère dans l'épiscopat, en raison des quelques mots qu'il a consacrés, dans les Pastoralia de Malines-Bruxelles, à des conseils pastoraux adressés aux personnes qui ne vivent pas en conformité avec les préceptes moraux de l'Eglise, en particulier dans leur situation matrimoniale. Il leur déconseille notamment d'exercer des responsabilités de directeurs dans l'enseignement catholique ou de professeurs de religion. Il n'est nulle part question de leur interdire quoi que ce soit puisque, selon la loi belge, l'Eglise n'a plus le droit d'exercer un contrôle sur l'embauche ni de renvoyer un directeur ou un professeur pour des motifs relevant de leur vie privée. Il ne s'agissait donc que de placer ces personnes face à leur conscience. Le primat de Belgique a-t-il été excessif dans la formulation de ces conseils pastoraux? Mérite-t-il d'être condamné sans appel par le Segec ou les associations de parents? A-t-il fait autre chose que de rappeler ce que n'importe quel évêque catholique est censé professer?

    Alors, comment se fait-il qu'il soit livré seul au déferlement médiatique et politique? Où sont ses frères dans l'épiscopat? Où a-t-on vu l'évêque référendaire pour l'enseignement intervenir pour assurer son confrère de son soutien et prendre fait et cause pour les positions de l'Eglise sur ce chapitre? Comment interpréter ce silence de l'épiscopat belge face à un tel acharnement?

    Au moment où le "parlement" de la "fédération Wallonie-Bruxelles" vient de condamner les propos de Mgr Léonard, nous osons espérer que ce silence n'est qu'un temps de réflexion préludant à une déclaration courageuse et que personne ne pourra interpréter cette temporisation comme une lâcheté ou une dérobade.

    C'est animés par cet espoir que nous vous adressons, Monseigneur, l'assurance de nos sentiments filiaux et respectueux,

    au nom de l'équipe de Belgicatho,

    Yves Willemaers

  • Prendre la mesure de la gravité de la situation

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    formatage-masques-malko.jpgLorsqu'on se rend sur des blogs et des sites d'information étrangers, ils ne semblent pas s'intéresser à ce qui se passe réellement chez nous et la récente affaire concernant Mgr Léonard et ses conseils pastoraux adressés aux laïcs exerçant des responsabilités au sein de l'école ne paraît pas avoir retenu leur attention. Pourtant, la situation est grave et il ne s'agit pas d'un quelconque accident de parcours.

    Si l'on devait tirer des conclusions de cette affaire, il faudrait, me semble-t-il, relever celles-ci :

    - le primat de Belgique ne dispose pas du droit à l'expression même dans le cadre d'une réflexion pastorale publiée dans une revue diocésaine; ses propos sont immédiatement déformés, dénoncés et condamnés sans appel;

    - le primat de Belgique n'a pas le droit d'exercer son influence sur l'enseignement catholique en rappelant l'enseignement de l'Eglise;

    - le primat de Belgique est seul; ses frères dans l'épiscopat restent retranchés dans leur mutisme et ses collègues référendaires pour l'enseignement se gardent bien d'intervenir;

    - l'enseignement catholique (SEGEC) prend publiquement ses distances par rapport à ce qu'il est censé représenter, rejette les directives de l'archevêque et est suivi en cela par les organisations de parents qui marquent leur désapprobation;

    - il n'y a plus de réel pluralisme au sein de l'opinion publique belge (francophone, mais c'est la même chose au Nord); un consensus y règne, conditionné par la RTBF, RTL-TVI, les grands quotidiens (Le Soir, La Libre) et même par les médias catholiques (où l'on voit l'hebdomadaire "Dimanche" titrer : "Mgr Léonard sème le trouble dans les écoles");

    - la distinction entre la sphère religieuse et celle du politique n'est plus respectée dans notre pays comme en attestent les prises de position de la classe politique (tous partis confondus) pour stigmatiser les propos de Mgr Léonard, certain allant même jusqu'à inciter des fidèles à boycotter des offices religieux. Lorsque la distinction entre le politique et le religieux disparaît ainsi, on évolue alors dans un contexte totalitaire qui ne dit pas son nom;

    - en-dehors de Belgicatho (entre 650 et 800 visites par jour), il n'y a guère de voix qui se soit fait entendre pour tenir un discours différent; la dictature du politiquement et culturellement correct est solidement établie; quelle sera l'étape suivante pour étouffer les voix discordantes?

    On le voit, la situation est bien plus grave qu'il n'y paraît et presque tout le monde semble s'y être résigné. Lorsqu'insensiblement un système démocratique glisse vers une forme de démocratie totalitaire, on peut être légitimement inquiet en pensant aux mesures que préconisait Rousseau dans son Contrat Social à l'égard de ceux qui n'accepteraient pas de se rallier à la "volonté générale"...

  • Une fable d'une consternante actualité

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    loup-chien-esope-moyen-age.jpgLe Loup et le chien

    fable de Jean de La Fontaine.

    Cette fable est d'une consternante actualité dans notre pays où l'Eglise qui a troqué sa liberté contre la sécurité matérielle que lui assurent les subsides publics est semblable à ce chien qui vit confortablement mais enchaîné. Cela fonctionne merveilleusement et les responsables publics n'ont ainsi rien à craindre d'un clergé replet et muet.

    Un loup n'avait que les os et la peau,
    Tant les chiens faisaient bonne garde.
    Ce loup rencontre un dogue aussi puissant que beau,
    Gras, poli , qui s'était fourvoyé par mégarde.
    L'attaquer, le mettre en quartiers ,
    Sire loup l'eût fait volontiers;
    Mais il fallait livrer bataille,
    Et le mâtin était de taille
    A se défendre hardiment.
    Le loup donc, l'aborde humblement,
    Entre en propos, et lui fait compliment
    Sur son embonpoint, qu'il admire.
    «Il ne tiendra qu'à vous, beau sire,
    D'être aussi gras que moi, lui répartit le chien.
    Quittez les bois, vous ferez bien:
    Vos pareils y sont misérables,
    Cancres, hères, et pauvres diables,
    Dont la condition est de mourir de faim.
    Car quoi? rien d'assuré; point de franche lippée ;
    Tout à la pointe de l'épée.
    Suivez moi, vous aurez un bien meilleur destin.»
    Le loup reprit: «Que me faudra-t-il faire?
    -Presque rien, dit le chien: donner la chasse aux gens
    Portants bâtons et mendiants;
    Flatter ceux du logis, à son maître complaire:
    Moyennant quoi votre salaire
    Sera force reliefs de toutes les façons:
    Os de poulets, os de pigeons,
    Sans parler de mainte caresse.»
    Le loup déjà se forge une félicité
    Qui le fait pleurer de tendresse
    Chemin faisant, il vit le cou du chien pelé.
    "Qu'est-ce là? lui dit-il. - Rien. - Quoi? rien? -Peu de chose.
    Mais encor? - Le collier dont je suis attaché
    De ce que vous voyez est peut-être la cause.
    - Attaché? dit le loup: vous ne courez donc pas
    Où vous voulez? - Pas toujours; mais qu'importe? -
    Il importe si bien, que de tous vos repas
    Je ne veux en aucune sorte,
    Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor."
    Cela dit, maître loup s'enfuit, et court encor.
  • Joseph II n’est pas mort

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    dyn003_original_468_265_pjpeg_2662382_772a5f43904a6d1cb5daa675ba72122a.jpgUn Joseph peut en cacher un autre : selon un communiqué de l’agence Belga intitulé Déclarations Léonard: réprobation unanime au parlement de la Fédération  le rappel de la morale catholique exprimé par Mgr André-Joseph Léonard concernant les enseignants divorcés remariés "a fait l'unanimité contre lui ce mardi au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles"  et c’est ce que rapporte « con amore » le site web de « La Libre Belgique » :

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  • Un pays en pleine déchéance

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    Il est de plus en plus désespérant d'habiter ce pays. La mesquinerie linguistique hypothèque le "vivre ensemble" et accapare les énergies des politiques alors qu'il y a tant d'autres urgences. L'économie belge est menacée par les agences de cotation qu'inquiète notre instabilité chronique. L'immigration massive déstabilise peu à peu certaines régions. L'insécurité gagne du terrain et les actes d'incivilité deviennent monnaie courante.

    Mais ce qui nous inquiète le plus, c'est que, dans notre pays, aucun homme ou femme politique ne se fait entendre pour défendre les valeurs non négociables : le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille fondée sur l'union entre un homme et une femme et ouverte à l'accueil de la vie, la liberté d'éducation où les parents sont considérés comme les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants. Alors qu'en France, en Italie (même à gauche), en Espagne... des hommes politiques relaient ces valeurs, nous n'en trouvons aucun chez nous. C'est comme si notre pays avait contracté une espèce de sida mental et était devenu incapable de résister à toute forme de mal susceptible de dégrader le climat politique, social, culturel et moral. Toute voix qui se ferait entendre pour contester ce processus de délitement généralisé est aussitôt dénoncée, stigmatisée, condamnée sans appel.

    Au milieu de ce processus de dégradation, l'Eglise ne fait malheureusement pas exception. Ses institutions ("piliers") ne sont plus chrétiennes que de nom, ses pasteurs sont muets; seuls sont entendus ceux qui contestent l'institution et se singularisent par des prises de position subversives. Mgr Léonard est le seul qui ose faire entendre un discours différent mais on voit le sort qui lui est réservé tandis que ses confrères restent "planqués". Ce qui arrive à notre archevêque confirme étrangement les théories de René Girard selon lesquelles une société en proie à tous les facteurs de dissociation peut tenter de retrouver une cohérence en se réunissant dans le même rejet du bouc émissaire.