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Belgique - Page 399

  • Combien de séminaristes diocésains en Belgique ?

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    Nous avions déjà mentionné l’information (à confirmer) de « Cathobel » selon laquelle il était prévu  8 entrées au Séminaire pour la Belgique francophone.

     Voici maintenant une information complémentaire émanant de l’agence « Belga » et datée du 20 septembre : Dix-neuf nouveaux candidats-prêtres sont inscrits auprès de séminaires belges pour la rentrée académique, indique l'hebdomadaire chrétien Tertio dans son édition de mercredi. "Au total, il y a désormais 83 candidats-prêtres en Belgique", indique Emmanuel Van Lierde de Tertio .Le séminaire de Namur compte le plus de candidats en Wallonie, avec 32 séminaristes, soit autant que le nombre recensé au sein de l'archevêché de Bruxelles-Malines, selon l'hebdomadaire.

     Des chiffres présentés de façon un peu brouillonne : on aimerait connaître les nombres respectifs d’entrées néerlandophones et francophones. Par ailleurs, il serait étonnant que les 32 séminaristes inscrits au séminaire interdiocésain de Namur relèvent  tous de l’archidiocèse de Mgr Léonard…

    De son côté, « Cathobel » précise le 22 septembre :« Quatorze nouveaux séminaristes belges : les séminaires belges ont accueilli cette année treize nouveaux candidats à la prêtrise. Un quatorzième séminariste a choisi le séminaire de Bovendonk, aux Pays-BasParmi ces quatorze nouveaux séminaristes, huit sont francophones: quatre viennent de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles, deux de Namur et deux de Tournai. Côté néerlandophone, on compte deux candidats venant de l’archevêché de Malines-Bruxelles, deux du diocèse de Bruges et deux d’Anvers »

     Vous avez dit « communication » ?

     



  • L’utilisation de la psychologie dans l’admission des candidats au sacerdoce

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    A propos des déclarations faites par Mgr A.-J. Léonard à propos des examens psychologiques auxquels sont soumis les candidats au sacerdoce (cfr http://www.7sur7.be/) :

    Le 29 juin 2008, la Congrégation romaine pour l’éducation catholique, en charge des séminaires, publiait un document au sujet du discernement pour l’admission et la formation des futurs prêtres.

    Pour voir le texte complet : http://www.vatican.va/roman_curia/congregations/ccatheduc/documents/rc_con_ccatheduc_doc_20080628_orientamenti_fr.html

    D’emblée, le Vatican a rappelé que « toute vocation chrétienne vient de Dieu, est don de Dieu ; mais elle n'est jamais donnée en dehors ou indépendamment de l'Église. Elle passe toujours dans l'Église et par l'Église ». L'Église a le devoir de discerner la vocation et « l'idonéité des candidats au ministère sacerdotal ». Dans la promotion de ce discernement et dans la formation complète au ministère, « l'Église est conduite par une double attention : sauvegarder le bien de sa mission et celui des candidats ».

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  • Bruxelles : L’Islam à l’assaut de la modernité

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    h-4-1260560-1220888605.jpgDans « Le Soir » de ce lundi 19 septembre, Ricardo Gutiérrez consacre une double page» Notre dossier à la réislamisation de la jeunesse d’origine musulmane. Nous y apprenons qu’à Bruxelles (où 17% de la population confesse la religion de Mahomet) l’identité à laquelle adhèrent de plus en plus les jeunes arabes est influencée par deux mouvances activistes : les Frères Musulmans (une organisation panislamiste fondée en 1928 en Égypte) et les Néosalafistes (mouvement sunnite étroitement lié au fondamentalisme wahhabite  revendiquant un retour à l'islam des origines).

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  • Tomas Luis de Victoria à l'honneur à Sainte-Julienne (Verviers) ce dimanche 25 septembre

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    A Sainte-Julienne - Verviers

    Lors de la célébration eucharistique du dimanche 25 septembre, à 10H00,

    la messe « O quam gloriosum est regnum » de Tomás Luis de Victoria (1548-1611)

    (Kyrie – Sanctus – Benedictus – Agnus Dei)

    sera interprétée par la chorale de Sainte-Julienne

    (quinze enfants choristes et quinze adultes sous la direction de Margaret Scott)

    En outre, la chorale interprètera « Oculi omnium » de Charles Wood

    et le « Lacrimosa » de la Messe de Requiem de Mozart

    A 11.00, après la messe, un bref concert sera consacré

    à des œuvres de Joseph Haydn :

    Deux extraits de la Création

    (solistes : Elisabeth Willemaers, Sophie Gardier, Julian Todd et Jean-Louis Leloup)

    Kyrie et Benedictus de la Missa Brevis de  Saint-Jean de Dieu

    (soliste : Ginette Agus)


    Cordiale invitation à tous ! (entrée libre)

  • Fête de l'Aïd chez les bénédictines de Liège; comment prier ensemble si l'on ne prie pas le même Dieu ?

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    Sous la plume de Françoise Mélard, un compte-rendu de la rencontre entre chrétiens et musulmans qui a eu lieu à l'Abbaye Paix Notre-Dame à Liège, le 9 septembre dernier, figure sur le site du diocèse de Liège.

    Nos amis et visiteurs connaissent nos réticences à l'égard de ce genre d'évènements et des ambiguïtés qu'ils véhiculent, quelles que soient les cautions épiscopales, cardinalices ou même pontificales dont ils bénéficient. Cela n'empêche pas certains d'entre nous de rencontrer et d'accueillir chaque semaine des musulmans dans le cadre de l'aide qui leur est apportée, en particulier dans le cadre des centres de distribution sous l'égide de saint Vincent de Paul.

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  • 8 entrées au Séminaire pour la Belgique francophone

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    seminairenamur.pngC’est l’agence cathobel qui l’annonce : un chiffre (à confirmer) bien modeste pour trois diocèses et la moitié d’un archidiocèse…

    « Depuis un an, le séminaire Notre-Dame de Namur et son studium assurent la formation des séminaristes francophones des différents diocèses. La nouvelle année académique a été ouverte en présence de l’archevêque Mgr Léonard, Mgr Jousten, évêque de Liège, Mgr Harpigny, évêque de Tournai, et Mgr Vancottem, évêque de Namur.

    Le recteur et directeur du Séminaire Notre-Dame de Namur, le chanoine Rochette, s’est adressé aux séminaristes. Cette année, ils devraient être huit à faire leur entrée à Namur. Les chiffres seront officialisés d’ici quelques jours.
     « L’entrée au séminaire dira le recteur, c’est renoncer à un peu de confort, à des facilités… Ce sont des petits renoncements qui amèneront au fur et à mesure d’un discernement au  "oui" de l’engagement. » Prendre sa croix, c’est une chose mais suivre en est une autre…  »Dans notre société d’aujourd’hui être un suiveur n’a pas la cote. Il faut être un meneur, poursuivra-t-il. Vous êtes amenés non pas à apprendre à courir mais bien à apprendre à suivre le Christ. »

    Il remerciera encore les séminaristes d’avoir entendu l’appel de Dieu à se former. A ces futurs prêtres, le recteur soulignera combien leur rôle est important. Un curé de paroisse est amené à bien connaître ses paroissiens, à encourager ceux qui se sentent appelés à une vocation.  »Les prêtres doivent accepter plus souvent d’être des accompagnateurs spirituels » dira encore le recteur.
    Avant l’eucharistie de rentrée présidée par Mgr Léonard, Mgr Vancottem a déclaré l’année académique officiellement ouverte. Et, comme le veut la tradition lors d’une rencontrée académique, une leçon publique a été proposée au public : « La Vérité », par l’abbé Rouard, recteur des séminaires Notre-Dame de Beauraing. »

  • Une proposition intéressante du Président du Standard de Liège, Roland Duchatelet

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    Dans la Libre de ce week-end, le président du Standard qui s'est aussi intéressé à la politique (Vivant), insiste pour que l'on abandonne le système des partis dédoublés en partis unilingues. C'est une suggestion tout à fait pertinente car, dans tous les pays fédéraux, les partis sont généralement fédéraux avec des structures communes qui "surplombent" les entités fédérées. Cela signifie qu'il faudrait reconstituer des partis bilingues belges pour sortir de cette logique binaire dans laquelle le pays s'enlise (encore faudrait-il que les Belges fassent l'effort de comprendre la langue de l'autre). Cela permettrait également d'échapper à cette arithmétique scabreuse où les gouvernements sont soutenus par des majorités résultant d'assemblages fragiles et manquant totalement de cohérence. Le problème serait de mettre fin à la "féodalité particratique" qui constitue la base de notre système actuel. Aux yeux de nombreux politiciens, les intérêts du parti passent bien avant ceux du pays car le souci qui l'emporte sur tous les autres est de conserver ses prébendes après avoir été réélu lors des élections suivantes.

  • 17 septembre : fête de saint Lambert, patron du diocèse de Liège

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    Buste-saint-Lambert.png(Saint) , LANDBERTUS, LANTPERTUS, LANDEBERTUS, naquit à Maestricht pendant le second quart du VIIe siècle. Ses parents, qui étaient riches et chrétiens de longue date, semblent avoir fait partie de l'aristocratie de cette ville. Un remaniement de sa première biographie donne à son père le nom d'Aper, et à sa mère celui de Herisplendis ; mais le texte primitif de ce document ne nous a pas conservé leurs noms.

    Lorsqu'il eut atteint l'âge des études, son père le confia aux soins de saint Théodard, alors évêque de Maestricht, qui, comme tous les prélats de l'époque, dirigeait l'éducation des jeunes clercs de son diocèse. La cour royale siégeait parfois à Maestricht. Lambert eut l'occasion d'y vivre dans l'entourage du roi et d'y être remarqué de lui. On ne sait ce qu'il faut croire de l'assertion d'un écrivain du Xe siècle, d'après lequel son premier maître aurait été un prêtre romain du nom de Landoald (voir ce nom), qui aurait vécu quelque temps avec son disciple à Wintershoven, dans une ferme de ses parents, où des miracles auraient fait éclater les vertus de l'enfant.

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  • Abus sexuels: une plainte collective déposée contre l'Eglise belge et le Saint-Siège

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    L’agence Belga annonce qu’une plainte collective contre les évêques belges, ainsi que les plus hautes instances de l'Eglise belge et du Saint-Siège, a été déposée ce vendredi matin devant le tribunal de première instance de Gand par un groupe de victimes d'abus sexuels cléricaux. L'affaire avait été reportée car le dossier devait être renvoyé devant une chambre composée de trois juges.

    La défense des évêques belges estime que cette assignation en justice n'est pas valide et demande que la convocation soit déclarée nulle. La plainte collective a été introduite par le cabinet d'avocats Van Steenbrugge, Van Acker & Mussche au nom d'un groupe de victimes.

    Actuellement, une septantaine de personnes ont déclaré avoir été victimes d'abus sexuels au sein de l'Eglise. Le cabinet d'avocats a reçu l'autorisation du barreau de Gand pour l'introduction d'une plainte collective.

    L'objectif de la plainte est dans un premier temps de faire reconnaître la responsabilité des évêques belges, de l'Eglise belge et du Saint-Siège dans ces affaires.

    Nous ne connaissons pas les termes de cette plainte déposée devant une juridiction civile. A priori il convient de remarquer que l’immunité  judiciaire dont bénéficie le Saint-Siège est un obstacle à la recevabilité de l’ assignation de celui-ci. Sur le fond, il faudrait aussi démontrer la faute ainsi qu’ un lien de causalité entre l’attitude présumée fautive du Vatican, des évêques (et des supérieurs majeurs des ordres religieux s’ils sont inclus dans cette plainte) et les dommages moraux ou corporels causés aux victimes par des clercs abuseurs : il n’y a pas de faute présumée, sauf à appliquer l’article 1384 du code civil qui concerne les « maîtres et commettants » d’un  subordonné agissant dans le cadre de sa fonction. Jusqu’ici la jurisprudence belge n’a jamais reconnu l’existence d’un tel lien de subordination entre un clerc et son évêque ou son supérieur, ni a fortiori le Saint-Siège…

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique du 15 septembre

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    images (4).jpgBulletin de l'IEB - 15 septembre 2011

    Sommaire

  • Le patrimoine religieux objet de concupiscences socialistes ?

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    Ce Communiqué de presse émanant du PS, transmis par l'Attachée de presse du Groupe PS au Parlement wallon ; Parlement de la Communauté, n'est pas sans arrière-pensées :

    "La Présidente du groupe PS au Parlement wallon, Isabelle Simonis : "restaurons et réaffectons nos églises classées en Wallonie"

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700 sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux. 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection. Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

    A côté de ces monuments faisant l'objet d'une mesure de protection, s'ajoutent les édifices non classés, afférents également au culte catholique, qui se chiffrent à plus de 1.900 en Wallonie. En vingt ans, 120 millions d'euros ont été investis dans ces monuments classés. Pour l'année 2010, près de 5 millions d'euros ont été exclusivement consacrés à la restauration des édifices classés ouverts au culte.

    Rien qu'en citant ces chiffres impressionnants, on comprend les enjeux majeurs qui se trouvent derrière l'entretien de ces biens. Comment les pouvoirs publics et les établissements cultuels vont-ils faire face aux coûts d'entretien et de grosses réparations de ces édifices ? Le tout dans un contexte de déclin des pratiques religieuses.

    Soucieuse du problème, la Présidente du groupe PS au Parlement Wallon, Isabelle Simonis, vient de déposer, avec le député wallon Daniel Senesael, une proposition de décret visant à réaliser un cadastre des monuments classés affectés à l'exercice d'un culte en Région wallonne. Le but : disposer d'une photographie de la situation existante et d'une base objective nécessaire à toute décision raisonnée, tant en termes de restauration que de réaffectation.

    Isabelle Simonis et Daniel Senesael considèrent que les biens classés doivent être évalués sur des critères liés à leur état de conservation ainsi qu'à leur taux de fréquentation. Ainsi, les autorités compétentes disposeront d'un outil de choix afin d'opérer une planification des travaux de conservation et de restauration et de mener une réflexion concertée sur le devenir des édifices relevant de l'exercice d'un culte. Il s'agit donc avant tout de mener une réflexion sur le devenir des édifices de culte et sur leur éventuelle nouvelle affectation, sans remettre en cause l'opportunité d'octroi des subsides qui est acquise, s'agissant de monuments classés."