" Ne pas tomber dans le piège de croire le mal vainqueur !"
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" Ne pas tomber dans le piège de croire le mal vainqueur !"
« Vous avez fait un travail magnifiquement riche pour pénétrer -autant qu'on peut- dans le mystère de la vie d'un autre. C’est un exploit d’acteur, un véritable exploit »
Cardinal Schönborn, archevêque de Vienne et ami de Jean-Paul II.
La jeunesse franciscaine de Bitche donnera un spectacle retraçant la vie de St Jean-Paul II à Notre-Dame de Stockel le 15 février à 20h30.
La jeunesse franciscaine de Bitche (en Moselle, près de Metz) est un groupe d'une centaine de jeunes de 16 à 30 ans. Il a été créé en 1934 par le Père Marie Joseph, actuellement en procès de béatification.
Nous vivons notre foi à l'image de Saint François, dans la simplicité du coeur et la confiance de l'amour! Nous nous retrouvons chaque semaine en cellules d'évangélisation dans nos villes respectives, et chaque mois pour un week-end d'enseignement et de ressourcement spirituel.
Cette chance de nous retrouver si régulièrement nous donne l'opportunité de créer une vraie et belle fraternité en Christ. Par notre Foi, nous nous sentons un appel à l'évangélisation et à la diffusion de la Parole de Dieu, notamment chez les jeunes.
Le Seigneur nous a fait don des charismes du chant et la mise en scène. Nous avons d'ailleurs déjà réalisé auparavant plusieurs jeux scéniques sur différentes figures de l’Eglise, comme Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, Ste Claire, St Paul ou encore Ste Edith Stein. C'est pour nous une belle manière d'évangéliser et de transmettre notre Foi!
NOTRE PROJET
L’appel : don et mystère est un jeu scénique retraçant, à travers des textes et chants spécialement composés, la vie de Jean-Paul II, dans le but de faire connaitre cette grande figure du XXe siècle.
Pendant toute la préparation de ce jeu scénique, dont nous avons déjà fait deux représentations pendant les JMJ de Cracovie, nous avons été subjugués par la profondeur et l’humanité de ce Saint fou de Dieu. Sa vie est tel un roman, qui nous apprend l’Amour et l’abandon total de son existence au Seigneur.
Le spectacle met en scène Karol Wojtyła comme homme, frère et prêtre. Au cours des tableaux présentés, le spectateur entre dans le chemin que cet homme a parcouru pour répondre à l’appel de Dieu.
Pendant plus d'une heure et demi, nous retraçons le chemin de conversion de Jean-Paul II. Plusieurs extraits de pièces de théatre qu'il a lui même écrites sont également jouées.
D'Emmanuelle Lucas sur le site du journal La Croix :
La Marche pour la vie fait le plein à Paris
Plusieurs dizaines de milliers de marcheurs ont défilé dimanche 22 janvier à Paris pour demander notamment le retrait du projet de loi sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG.
Des ballons oranges, jaunes, bleus. Des familles, des poussettes et trois générations au coude à coude. La 11e édition de la Marche pour la vie qui s’est déroulée dimanche 22 janvier à Paris a fait le plein. Une foule de 50 000 personnes selon les organisateurs s’est élancée de la place Denfert-Rochereau, noire de monde sous le soleil, au nom de la lutte contre l’IVG.
Alors que le cortège s’élance sur les boulevards, il flotte comme un faux air de Manif pour tous. À la sono, le même tube de Stromae, « Papaoutai » (« papa où t’es ?). Des religieuses prennent des photos. Quelques religieux en habit et prêtres en col romain sont présents dans le cortège, tandis que 21 évêques ont soutenu la manifestation.
Samedi, l’un d’entre eux, celui d’Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz, a d’ailleurs célébré la messe lors de la Veillée pour la vie. « Il a salué tout ce que nous devons à Jean-Paul II, qui a su parler à toute une génération de jeunes aujourd’hui parents », raconte Jean-Pierre Maugendre, l’un des organisateurs historiques de la Marche pour la vie.
Relais de génération
Car ce dimanche, c’est bien un relais de génération qui s’opère. « La génération qui, il y a quarante ans, s’est levée contre la loi de 1975 a eu des enfants qui défilent aujourd’hui à ses côtés, notre force est démographique ! », résume Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune, co-organisatrice de la manifestation.
Ainsi Max, 18 ans, tient un stand de tee-shirts à l’effigie de la Marche. Il a fait ses premières armes de militants lors des manifestations de 2013 contre la loi Taubira. « Je viens d’une famille catholique. Je n’avais jusqu’alors pas vraiment conscience qu’il fallait mener ce combat. »
Alice, 27 ans, fait aussi partie de la génération Manif pour tous. Avec son mari, elle s’est lancée dans une procédure d’adoption. « La question de la vie, on se l’approprie forcément en devenant adulte, estime la jeune femme. J’ai réfléchi à l’éducation que je voulais donner à l’enfant que j’accueillerai et je sais que ce qui compte à mes yeux, c’est qu’il puisse vivre libre et faire des choix en conscience. »
Retrait du projet de loi sur le délit d’entrave
Comme beaucoup de manifestants, la jeune femme a donc les yeux tournés vers l’Assemblée nationale, où le projet de loi sur l’extension du délit d’entrave à l’IVG doit être débattu en commission mixte paritaire mardi 24 janvier avant un examen en séance publique jeudi 26. Le retrait du texte est l’une des revendications de la marche de dimanche. Forte de sa mobilisation réussie, le mouvement voudrait désormais peser dans les débats.
En cette année électorale, certains politiques avaient fait le déplacement. Christine Boutin et Philippe de Villiers étaient présents derrière les banderoles, tandis que le nom de Marion Maréchal-Le Pen a été acclamé, « pour son courage ».
Le défilé a aussi fait une large place aux débats sur la fin de vie. Viviane Lambert, mère du patient paraplégique Vincent Lambert, présente, a été elle aussi applaudie. « Vincent est bien vivant, il essaie de communiquer. Il est notre espoir, il est notre combat. Faites-le lui entendre ! », a proclamé un organisateur dans un haut-parleur, avant de demander la réécriture de la loi Claeys-Leonetti, instaurant de manière encadrée, un droit à la sédation profonde et continue. Un texte qu’il a qualifié de « la loi sur l’euthanasie passive ».
Dans son parcours d’aide aux jeunes artistes surdoués, « Foliamusica »
vous offre son premier concert 2017 avec la découverte de deux talents exceptionnels :
Le dimanche 15 janvier 2017 à 16h à l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège :
Duo “le contrepoint”
JORIS VERCRUYSSE - FLUTE
THOMAS VANBINSBERGEN - VIOLON
Une heure de musique avec Telemann, Leclair, Beethoven, Bartok...
Au plaisir de se retrouver au concert (suivi de l'apéro dans la salle de réception)
Entrée: 9 €
Prévente : 6 €, par mail cecile.leleux.be@gmail.com
ou gsm 0473 321983
JPSC
aimable rappel: les inscriptions sont reçues jusqu'au 12 janvier inclusivement (téléphone, email ou réservation en ligne, comme indiqué ci-dessous)
« Le christianisme médiéval, creuset de l’Europe », par Monseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, professeur honoraire d’histoire du christianisme à l’Université catholique de Louvain (U.C.L.) : un lunch-débat organisé le mardi 17 janvier 2017 à 18h00, à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l'Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).
Participation aux frais : 15 € (à régler sur place) – 5 € pour les étudiants
Inscription nécessaire au plus tard trois jours ouvrables à l’avance (12 janvier 2017)
soit par téléphone : 04 344 10 89
soit par email : info@ethiquesociale.org
Plus de renseignements et s’inscrire en ligne, cliquez ci-dessous:
http://www.ethiquesociale.org/
CYCLE DE CONFÉRENCES 2017
L’EUROPE, SES FONDEMENTS, AUJOURD’HUI ET DEMAIN
Le cycle complet comportera quatre rencontres :
Mardi 17 janvier 2017
1. Le christianisme médiéval, creuset de l’Europe
par Mgr Jean-Pierre DELVILLE, évêque de Liège
L’Europe a-t-elle des racines spirituelles, et plus précisément des racines chrétiennes ? Les invasions germaniques qui ont suivi la chute de l’Empire romain ont bouleversé l’Europe. Le christianisme, et plus spécifiquement l’Église latine, s’est alors affirmé comme fondement de valeurs créatrices d’une culture commune, enracinée dans une histoire des peuples où la mémoire biblique et l’héritage chrétien jouent un rôle majeur.
Pour l’hebdomadaire « Famille chrétienne », Antoine Pasquier interroge le P. Benoît-Dominique de la Soujeole, professeur à la Faculté de Théologie de l’Université de Fribourg :
" Deux ouvrages à paraître le 12 janvier1 s'interrogent sur le rôle des catholiques, et de l'Eglise en général, dans l'affirmation et la défense de l'identité chrétienne de la France et de l'Europe. Cette identité chrétienne existe-t-elle ? Doit-on choisir entre le Christ et la patrie ? Le discours du pape François sur les migrants menace-t-il l'identité de l'Europe ? Eléments de réponse avec le père Benoît-Dominique de la Soujeole2, professeur de théologie dogmatique à la Faculté de théologie de l'Université de Fribourg (Suisse).
L'identité d'une nation peut-elle être définie comme chrétienne ?
L'identité d'une nation comprend plusieurs éléments dont le principal est la culture, c'est-à-dire une sensibilité et une mentalité communes façonnées par l'histoire. La culture française, en son état actuel, possède des éléments venus du droit romain (le mariage par échange des consentements par exemple), d'autres – les plus nombreux et les plus profonds – venus du christianisme, d'autres encore plus récents, les Lumières notamment. La culture française continue aujourd'hui de recevoir d'autres éléments qui s'intègrent plus ou moins harmonieusement au patrimoine déjà possédé. Il résulte de ce donné d'abord historique que l'élément chrétien ne suffit pas à définir la culture française : un juif, par exemple, est tout aussi français qu'un catholique.
L'identité d'une nation est-elle immuable, figée ou évolue-t-elle au fil du temps ?
La culture est une réalité humaine fondée dans l'exercice commun de l'intelligence et de la volonté des membres de la communauté nationale. Comme toute réalité humaine, elle est évolutive. Il faut noter la différence entre évolution et révolution. L'évolution, sur le modèle du vivant qui grandit harmonieusement (de la graine à l'arbre par exemple), est l'idéal souhaitable, car elle dit un enrichissement. Malheureusement, l'histoire connaît aussi des révolutions, c'est-à-dire des discontinuités plus ou moins radicales. Cependant, la culture peut, avec le temps, intégrer après discernement ce qui s'est présenté comme une révolution pour en faire, en définitive, une évolution. Pour la culture française, la révolution française mérite bien son nom, et nous voyons depuis deux siècles comment notre culture tâche de discerner dans cet apport ce qui permet une évolution. Ce processus n'est pas achevé !
La défense de l'identité chrétienne d'une nation peut-elle aller jusqu'à refuser certains préceptes évangéliques, comme l'accueil de l'étranger ?
Une culture nationale qui doit tant au christianisme, comme l'est la culture française, ne saurait affirmer à un moment de son histoire qu'une valeur évangélique aussi profonde que l'accueil de l'étranger (c'est un des « critères » du jugement dernier en Mt 25,35) pourrait être mis de côté. Ce serait, non seulement bafouer l'Évangile, mais être infidèle à notre culture.
Consulter un blog, c'est bien; agir, c'est mieux; se former, c'est indispensable !
Venez vous former - participez à l'Université de la Vie
Bruxelles, Liège et Mons !
" Comment agir pour une politique au service de la vie ? "
Serez-vous acteurs ou suiveurs ?
Voulez-vous prendre le temps de vous former
pour agir de façon ajustée ?
Ces quatre soirées permettront à chacun de réfléchir et de prendre position personnellement face aux défis humanitaires, politiques et culturels à relever.
Avec les permanents d’Alliance VITA :
François-Xavier Pérès, président | Tugdual Derville, délégué général |
Caroline Roux, déléguée générale adjointe | Henri de Soos, secrétaire général | Blanche Streb, directrice des études.
Nous aurons le plaisir d’accueillir des experts, des philosophes et des grands témoins qui agissent aussi concrètement, là où ils sont, pour une société plus juste, pour une biopolitique à visage humain :
Tanguy Châtel, sociologue | Thibaud Collin, philosophe | Mathieu Detchessahar, professeur à l'Institut d'économie et de management de l'université de Nantes | Guillaume Drago, professeur de droit public à l'Université Panthéon Assas | Gilles Hériard-Dubreuil, consultant en gestion des crises environnementales et en gouvernance de la transition écologique | Bernadette Lemoine, psychologue | Sophie Lutz, philosophe | Xavier Mirabel, cancérologue et conseiller médical d'Alliance VITA | Aude Mirkovic, juriste | Delphine Ollive, gynécologue-obstétricienne | Martin Steffens, philosophe.
Vivez une expérience unique avec l'Université de la Vie !
3 villes en Belgique et 90 villes en France:
Bruxelles, Liège et Mons !
les lundis 9, 16, 23 et 30 janvier 2017.
Ne tardez pas à réserver votre place ...
Pour MONS : CLIQUEZ ICI
L'Université de la vie à Bruxelles, Liège et aussi Mons !
les lundis 9, 16, 23 et 30 janvier 2017.
Bonjour !
Alliance VITA et l’Institut Européen de Bioéthique vous invitent à un nouveau cycle de formation sur 4 soirées, les lundis 9, 16, 23 et 30 janvier 2017. Ouverte à tous, cette formation est en direct et en visioconférence depuis Paris dans plus de 100 villes en France et 3 villes de Belgique.
Pour cette année, la formation propose un passage de la politique vers la BIOpolitique, une politique au service de la vie.
En effet, l’enjeu clé des années à venir est la place de l’homme dans la société.
Le thème « Fonder la Biopolitique » permet de s’interroger sur :
♦ Qu’est-ce qui fonde la dignité de l'Homme ?
♦ En quoi notre regard sur l’embryon fonde-t-il notre regard sur l’humanité ?
♦ Quelle est la place de la famille dans le paysage politique ?
♦ Comment vivrait le corps social si le corps humain était dépassé par la technique ?
Pour rendre possibles des options biopolitiques humaines, les seules dignes de l'homme, il faut prendre le temps de se former pour agir ensuite de façon ajustée. C’est le but de ces quatre soirées, qui permettront à chacun de réfléchir et de prendre position personnellement face aux défis humanitaires, politiques et culturels à relever.
Voir la vidéo de présentation du cycle de formation Université de la Vie
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Publié aujourd'hui sur La Libre - Gazette de Liège :