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Débats - Page 571

  • Groupe éthique sociale et Union des étudiants catholiques de Liège: de l'humanisme à la famille

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    De l'humanisme à la famille232.jpg

     

    Inscriptions au lunch débat du 24 novembre prochain "Moyen Orient et Persécution religieuse" nécessaires pour le 19 novembre au plus tard. Tél 04.344.10.89 ou email : info@ethiquesociale.org. On peut aussi s’inscrire en ligne sur le site internet : www.ethiquesociale.org

     JPSC

  • Peut-on donner l’absolution à un divorcé remarié ?

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    De l’abbé Claude Barthe sur le blog du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    « La question de la situation des catholiques divorcés et remariés civilement a été particulièrement débattue lors de l’assemblée extraordinaire du Synode sur le thème « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », qui s’est achevée le 18 octobre dernier.

    Un texte de la Congrégation pour la Doctrine de la foi, en réponse à une question posée par un prêtre, vient d’apporter sur un point précis de la pastorale vis-à-vis de ces personnes un élément important, particulièrement éclairant dans la confusion générale des esprits. Cette réponse a l’avantage de se placer en amont de la problématique sur la communion eucharistique des divorcés remariés. Elle règle en effet ce que doit être l’attitude des prêtres exerçant le ministère de la réconciliation pour ces mêmes divorcés remariés.

    Nous publions donc ici le texte intégral en français, en respectant sa forme : 

    À la question d’un prêtre français : « Un confesseur peut-il donner l’absolution à un pénitent qui, ayant été marié religieusement, a contracté une seconde union après divorce ? »

    La Congrégation pour la Doctrine de la Foi a répondu le 22 octobre 2014 :

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  • BXL, 18 novembre : "le synode, entre dialectique et vérité" par Jeanne Smits

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    La Fédération Pro Europa Christiana invite Jeanne Smits à donner une conférence à Bruxelles le mardi 18 novembre. Voici le message de son président, le duc Paul von Oldenburg :

    Capture d’écran 2014-11-12 à 09.14.28.png

  • Synode sur la famille : un nouveau livre critique les propositions de Kasper

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    Lu sur le blog « salon beige » :

    « Le Conseil Pontifical pour la Famille du Saint Siège a publié dans son bulletin n°21 du mois de novembre un compte rendu de la présentation du livre ‘l’Evangile de la famille dans le débat synodal : au-delà des propositions du Cardinal Kasper’. Ce livre est écrit par deux experts de l’Institut Pontifical Jean Paul II pour les Etudes sur le Mariage et la Famille. Les auteurs du livres sont les experts Stephan Kampowski, professeur laïc d’anthropologie philosophique, qui réalisa ses études aux Etats-Unis, en Autriche et à Rome ; et le P. Juan José Pérez-Sopa, professeur universitaire de théologie pastorale sur le mariage et la famille et professeur à l’Université Ecclésiastique San Dámaso de Madrid.

    Ce livre a été présenté à l'auditorium de l'Institut pontifical Jean-Paul II lors d'un événement au cours d'un évènement auquel a notamment assisté le Cardinal George Pell, préfet du secrétariat aux affaires économiques.

    Erreurs dans la thèse du Cardinal Kasper

    « Prenons comme sujet de référence le livre du Cardinal Kasper, ‘L’Evangile de la famille’, qui contient des réflexions très importantes, mais à notre avis contient aussi des imprécisions significatives. Notre apport vise à pouvoir développer les éléments positifs, contribuer à éclaircir ceux qui semblent ambigus, expliquer les raisons pour lesquelles certaines des affirmations nous paraissent erronées, mais surtout, aller au-delà du livre. »

    Ces experts sur le sujet, qui ne furent pas invités à participer au Synode sur la Famille, expliquent aussi que

    « aller plus loin que Kasper est une invitation à faire le pas que lui-même n’a pas fait, ou même passer d’une description de la beauté de l’évangile de la famille à une description de la capacité transformatrice de la pastorale de l’Eglise, du sujet moral et de la culture environnante. »

    Le livre a été publié en Italie, aux Etats-Unis, en Espagne et en Allemagne.

    Ref. Le Conseil Pontifical pour la Famille publie un compte-rendu sur un livre critiquant les propositions du Cal Kasper

    L'institut Jean-Paul II pour la famille n'était pas représenté parmi les experts invités au synode "extraordinaire" d'octobre dernier.

    JPSC

  • Un curieux apôtre

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    Le site "benoît-et-moi" vient de traduire un article de la Nuova Bussola Quotidiana consacré à un curieux apôtre...

    PADRE D'ORS, UN PRÊTRE (UN PEU TROP) DE FRONTIÈRE

    Lorenzo Bertocchi

    http://www.lanuovabq.it/it/articoli-padre-dors-un-prete-un-po-troppo-di-frontiera-10875.htm

    Il se définit comme «écrivain mystique, érotique et comique», il s'appelle Pablo D'ors (petit-fils du célèbre critique d'art espagnol Eugenio d'Ors), il est actuellemnt prêtre du diocèse de Madrid. Il a récemment été nommé consultant du Conseil pontifical pour la Culture, le dicastère dirigé par le cardinal Ravasi, celui de la Cour des Gentils. 

    «Pourquoi le Pape François m'a choisi? Mystère. - a-t-il déclaré à la Repubblica - Il a peut-être demandé: Qui est le prêtre le plus marginal à Madrid?».

    De cette interview, nous apprenons qu'avant d'être consacré, il a passé une vie «riche d'amour, de lecture, de voyages, y compris téméraires» et cela l'a aidé pour sa vocation mûrie à 27 ans. Oui, parce que «connaître l'amour humain vous aide à mieux connaître l'amour divin». Qui sommes-nous pour juger? Personne, mais qui sait ce qu'en pensent les rangs de vierges qui dans l'histoire de l'Eglise se sont donnés corps et âme au Seigneur ...

    Désormais, le pauvre catholique terre à terre, se sent inadapté, je l'avoue. Sous la pression de la culture, la «haute» culture, il se rend compte que ses pauvres convictions, apprises de quelque vieux curé de montagne, sont de la camelote, de la culture de série B. Il faut se moderniser, cesser d'être «alternatifs», dit d'Ors, et vivre le christianisme en «dialogue» avec le monde.

    Don Pablo auteur de romans , comme celui sur la femme slovaque qui couche avec les plus grands écrivains du XXe siècle, et d'essais, comme le best-seller «Biographie du silence», dit que chacun «devrait faire de sa vie une œuvre d'art». Pour descendre à la portée de notre culture misérable, Vasco Rossi (chanteur de rock italien) dirait peut-être «une vie téméraire», de celles pleines de problèmes.

    Et alors, brisons les amarres. Les prêtres pourraient mieux vivre avec une femme à leurs côtés parce que - soutient le prêtre à la page - les temps sont désormais mûrs». Mais c'est juste une opinion personnelle, «au Conseil pontifical, on ne parlera pas de cela. Mais on parlera bel et bien des femmes prêtres. «Je pense que derrière la prochaine réunion plénière, c'est prévu».

    Absolument favorable au sacerdoce féminin («et je ne suis pas le seul») d'Ors est fidèle à la ligne consistant à faire de sa vie une œuvre d'art, selon lui «un critère important pour mesurer la vitalité spirituelle d'une personne est son ouverture au changement. Résister à la vie est un péché parce que la vie est un accomplissement continu. Panta Rei (Τα Πάντα ῥεῖ : tout passe).

    Et nous qui avions pensé construire notre vie sur le roc solide, nous constatons qu'au contraire, c'est sur le sable que nous pouvons vivre avec une authentique vitalité spirituelle. Bienvenue à la pluie, que débordent les rivières et soufflent les vents, laissons-nous emporter par le tourbillon de la vie. C'est cela la nouvelle ascèse? Nous devons vraiment nous mettre à jour.

    Pour ce faire, il faudrait fréquenter un cours tenu depuis des années par le nouveau consultant du dicastère du Vatican: «Chercheurs de montagne». Un séminaire de formation spirituelle pour lequel il n'y a pas besoin d'adhérer à une quelconque confession religieuse ou pratique spirituelle, même si le travail est effectué «principalement» à partir de la tradition chrétienne et «secondairement» de celle bouddhiste Zen. D'illeurs, dit d'Ors dans une autre interview, «si je n'étais pas chrétien, je serais bouddhiste».

    Gravissant cette montagne, peut-être que le pauvre catholique terre-à-terre, apprendra que la meilleure façon d'accompagner un moribond est «juste écouter, s'oubliant soi-même, ce qui est la chose la plus difficile». Réponse de D'Ors à la question posée par La Repubblica: «Comment accompagner une personne qui va mourir?»

    L'autre jour, je suis passé du côté de ma vieille paroisse de montagne, le curé n'est plus depuis des années, il est monté au ciel. Il se mettait en quatre pour se rendre au chevet des moribonds, apporter un réconfort humain, mais surtout celui du sacrement. Pour s'assurer de sauver l'âme.

    A bien y réfléchir, je préfère rester un catholique terre à terre, je laisse l'aggiornamento aux Conseils pontificaux, et j'espère qu'au moins à mon dernier souffle, j'aurais affaire à un prêtre pas trop à la page.

  • France : quels séminaires pour quels prêtres ?

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    KTO : EDITION SPECIALE
    Quels séminaires pour quels prêtres ?

    Diffusé le 08/11/2014 / Durée 52 mn

    En France, la formation des prêtres a connu une évolution rapide ces 30 dernières années. En même temps qu'ils se vidaient du fait d'une baisse des vocations, les séminaires se sont diversifiés. Spiritualité, style de vie, approche pastorale, rapport au territoire : sur tous ces éléments essentiels de la vie d'un prêtre, la trentaine de maisons de formation a développé des approches différentes pour former de " bons pasteurs " pour le monde actuel. Le premier pèlerinage des séminaires français à Lourdes, à l'invitation des évêques de France, est un signe visible de l'apaisement à propos des séminaires. À cette occasion, les rédactions de KTO et RCF invitent plusieurs supérieurs de séminaire, ainsi que des séminaristes, à confronter leurs réflexions. La nouvelle évangélisation requiert-elle un style de prêtres particulier ? Quelles sont les forces et les fragilités des jeunes que Dieu appelle aujourd'hui au sacerdoce ? Comment les former pour devenir de bons pasteurs ? Une émission spéciale présentée par Pauline de Torsiac et Etienne Loraillère, en partenariat avec RCF et KTO.

  • S’inscrire au prochain lunch-débat de l’Union des étudiants catholiques de Liège – Groupe « Ethique sociale »

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    Invitation

    Madame, Monsieur, Chers amis,

    header.jpgVous êtes cordialement invités à prendre part à la prochaine rencontre du cycle de lunch-débats 2013-2014 organisé à l’Université de Liège sur le thème « humanisme chrétien, travail et société », par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège, avec le concours du Forum de conférences Calpurnia.

    La rencontre sera animée par la députée fédérale Vanessa MATZ, avec le témoignage du politologue et reporter de guerre  Pierre PICCININ da PRATA. Elle aura lieu le lundi 24 novembre 2014 dans les conditions indiquées ci-dessous :

    MOYEN ORIENT ET PERSÉCUTION RELIGIEUSE

    La question des minorités chrétiennes et des autres minorités

    La cause des chrétiens d’Orient et des autres minorités nous concerne tous, au titre de la fraternité et au nom de la liberté. Le renoncement ou l’impuissance seraient intolérables devant cette tragédie quotidienne qui met en péril l’existence de communautés chrétiennes dans le monde musulman. Leur existence même est un  enjeu de civilisation commun pour l’Europe et pour l’Islam.

    Vanessa Matz est licenciée en droit de l’Ulg. Ancienne directrice politique du cdH, elle fut aussi sénatrice, de 2008 à 2014. Elle est aujourd’hui députée fédérale de Liège. Membre suppléant du député Georges Dallemagne à la commission des Relations Extérieures de la Chambre, elle se consacre notamment, avec celui-ci, au dossier des minorités du Proche-Orient .

    Historien et politologue, enseignant et reporter de guerre, spécialiste du monde arabo-musulman, Pierre Piccinin da Prata a couvert les terrains de toutes les révolutions du Printemps arabe. Avec l’envoyé spécial su quotidien italien La Stampa, Domenico Quirico, il a été, entre autres, retenu en otage, d’avril à septembre 2013, par les brigades islamistes al-Farouk.

    Par Vanessa Matz
    Députée de Liège au Parlement fédéral
      Programme
    Apéritif à 18h00
    Exposé suivi du lunch-débat de 18h15 à 20h30
    Pierre Piccinin da Prata
    Historien et politologue, enseignant et reporter de guerre, spécialiste du monde arabo-musulman, il a couvert les terrains de toutes les révolutions du Printemps arabe.

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
    Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (19 novembre) :
    soit par téléphone : 04 344 10 89
    soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit via le site internet : ethiquesociale.org

    JPSC

  • Paul VI face à la crise

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    Retour sur la figure du pape Paul VI, béatifié à l'occasion du récent synode. Un entretien intéressant entre Gérard Leclerc et Christophe Geffroy, rédacteur en chef de « La Nef ».  Éditorialiste de France Catholique et chroniqueur de Radio Notre-Dame, Gérard Leclerc est un fin connaisseur de la vie de l’Église.

    " La Nef – En 1978, quand Paul VI meurt, il laisse une Église secouée par la crise post-conciliaire, au point qu’il a lui-même évoqué les « fumées de Satan » dans l’Église et son « autodestruction » : quel rôle a-t-il joué dans cette crise – l’a-t-il aggravée ou contenue – et cette situation même de crise est-elle compatible avec sa béatification ? 

    Gérard Leclerc – Personnellement je reprendrais les choses tout à fait autrement. La crise qui a suivi le concile a complètement surpris Paul VI, qui s’attendait à des retombées tout à fait bénéfiques pour l’évangélisation. Il y a, de ce point de vue, un document tout à fait intéressant, c’est celui de la relation de Jean Guitton, ami intime du pape Montini, qui a rapporté ses propos au moment de l’achèvement du concile. Le pape croyait fermement que Vatican II avait réglé les problèmes en suspens qui empêchaient des relations fécondes entre l’Église et le monde moderne. Il ne s’est pas aperçu qu’au moment même où se déroulait Vatican II une révolution souterraine était en train de bouleverser la civilisation occidentale. Pour me faire comprendre, j’emploierais des formules, certes critiquables, mais parlantes. On est passé durant les sixties de la société d’après-guerre à la société post-moderne. En d’autres termes, d’une culture marxisante ou démocrate chrétienne on est passé à une culture foucaldienne (du nom de Michel Foucault). Du coup, les références intellectuelles de Jean-Baptiste Montini vacillaient. Ce n’était plus Humanisme intégral de Maritain qui pouvait servir de boussole, mais L’Apocalypse du désir de Pierre Boutang. En d’autres termes, la problématique chrétienne, de maritanienne devenait clavelienne (du nom de Maurice Clavel). Mais on ne peut pas reprocher au pape de ne pas avoir perçu le phénomène. Il était de la génération d’avant ...."

     La suite ici : Paul VI face à la crise

    JPSC

  • Chez les Grecs orthodoxes, pas de funérailles pour ceux qui auront décidé de se faire incinérer...

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    Lu sur Orthodoxie.com :

    Le Saint-Synode de l’Église orthodoxe de Grèce déclare que les offices de funérailles et de requiem ne pourront être célébrés pour ceux qui auront décidé eux-mêmes de se faire incinérer

    Bien que la loi grecque autorise depuis 2006 la crémation des défunts, aucune disposition légale ne régissait jusqu’à présent les crématoriums. Or une nouvelle loi, promulguée dans le journal officiel de la République hellénique, permet maintenant la construction de ceux-ci, notamment à Athènes. Réagissant à ladite loi, le Saint-Synode de l’Église de Grèce a envoyé l’encyclique suivante à tous les métropolites relevant de son autorité :

    « À leurs Éminences les métropolites de l’Église de Grèce.

    Le Saint-Synode permanent, à l’occasion du nouveau régime juridique relatif à la crémation des morts, conformément aux articles 48 et 49 de la loi 4277/2014 portant sur la « Nouvelle réglementation Athènes – Attique, et autres dispositions » (J.O. 156/1-8-2014), lors de sa session du 14 octobre, a abordé également ce problème et a décidé de vous informer des conséquences canoniques résultant de la crémation du corps. Il ressort des articles 48 et 49 de la loi 4277/2014, que le législateur ne tient pas compte des convictions religieuses du défunt. C’est ainsi que si le défunt n’avait pas exprimé durant sa vie son désir que son corps, après son décès, soit enterré ou incinéré, la crémation peut avoir lieu sur la seule déclaration de l’époux ou épouse, ou « compagne » avec lequel/laquelle il/elle a conclu un « pacte de cohabitation », ou encore sur la déclaration des parents de premier ou deuxième degré.

    Ce germe du mode de vie nihiliste et de la tendance d’éradication de la religion de chaque aspect et de chaque manifestation de la vie de l’homme, constitue un contournement des convictions religieuses du défunt membre de l’Église, un manque de respect et de sollicitude envers le corps humain. L’Église n’accepte pas, pour ses membres, la crémation du corps, car celui-ci est un temple du Saint-Esprit (I Cor. 6,19), un élément de la personne humaine à l’image et à la ressemblance de Dieu (Gen 1,24). Aussi, l’Église traite le corps avec respect et honneur, exprimant ainsi l’amour envers son membre défunt et témoignant de cette façon de la foi dans la Résurrection commune de tous. Il résulte de cela que le Saint-Synode permanent a décidé, dans le cadre de sa préoccupation pastorale vigilante, d’informer son pieux plérôme, les clercs et les laïcs, des conséquences canoniques suivantes de la crémation du corps :

    - La crémation du corps n’est pas conforme à la pratique et à la tradition de l’Église pour des raisons théologiques, canoniques et anthropologiques.

    – Afin d’éviter toute déviation théologique, canonique et anthropologique, c’est le respect des convictions religieuses du défunt et la vérification de sa propre volonté qui est nécessaire, et non la volonté ou la déclaration de sa famille.

    – Celui qui, de façon avérée et de sa propre volonté, a manifesté le désir que son corps soit incinéré, marque ainsi son autonomie et par voie de conséquence, l’office des funérailles et l’office de requiem ne seront pas célébrés pour lui.

    Malgré cela, il est laissé à la conscience pastorale et au discernement du métropolite diocésain la célébration d’un simple Trisaghion ».

  • KTO actualité du livre religieux: le tiercé de Jean-Marie Guénois

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    Trois essais, trois débats dirigés par Jean-Marie Guénois : avec Jean Mercier (rédacteur et chef adjoint de « La Vie », auteur de « Célibat des prêtres, la règle de l’Eglise doit-elle changer ?» (DDB) ;  Denis Moreau, professeur de philosophie à l’Université de Nantes, auteur de : « Pour la vie ? Court traité du mariage et des séparations » (Seuil) ; Yann Raison du Cleuziou, maître de conférences à l’Université de Bordeaux, auteur de « Qui sont les cathos aujourd'hui ?: sociologie d'un monde divisé » (DDB avec  Confrontation)

    JPSC

  • Fabrice Hadjadj et l'art contemporain

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    Lu sur FigaroVox (Paul Piccarreta) :

    FIAC, McCarthy... L'oeil de Fabrice Hadjadj sur l'art contemporain

    FIGAROVOX/ENTRETIEN - Quelques jours après la clôture de l'édition 2014 de la FIAC, le philosophe Fabrice Hadjadj revient pour FigaroVox sur sa vision de l'art contemporain, ses beautés et ses dérives.

    Fabrice Hadjadj est directeur de l'institut européen d'études anthropologiques Philanthropos à Fribourg. Il est écrivain et philosophe. Son dernier ouvrage «Qu'est-ce qu'une famille? suivi de La Transcendance en culottes», est paru en septembre aux Editions Salvator (249 p., 20 €). Il avait publié auparavant un essai «Puisque tout est en voie de destruction», (Le Passeur Éditeur, avril 2014).

    FigaroVox: La FIAC (Foire Internationale de l'art contemporain) s'est terminée le week-end dernier. Comme chaque année, la polémique enfle. D'un côté, les laudateurs, de l'autre les contestataires. En ce qui vous concerne, vous passez régulièrement pour un défenseur de la création contemporaine. Et pourtant, vous écrivez aussi contre la modernité. Comment tenez-vous les deux bouts?

    Fabrice HADJADJ: Toutes les époques, il y a eu des nuls et des imposteurs. Mais le nom de FIAC m'a toujours indisposé: les acronymes sont déjà des échecs artistiques et n'augurent rien de bon, d'autant que mon oreille tend à n'y entendre que le mot-valise de la «fiente en frac». Cela foire, effectivement. Aujourd'hui chacun sait qu'il n'y a rien de plus ringard que de militer sous la bannière des avant-gardes. Quant aux partis-âneries, comme vous dites, elles tombent toujours dans les affirmations massives: l'accueil en masse ou la condamnation en bloc. On veut s'épargner un vrai travail de discernement, quelque chose qui ne soit pas que de l'adhésion mondaine ou du rejet épidermique, mais qui se pense à partir de la considération des recherches formelles et d'une mise en perspective dans l'histoire de l'art. Parmi les contemporains, il y a des charlatans, certes, mais il y a aussi de vrais artistes, dignes des grands de jadis. Je pense à Gerhard Richter, à Bill Viola, à James Turell, à Yuri Ancarani, à Rineke Dijkstra et tant d'autres. Tous ceux-là ne prétendent pas à un avant-gardisme en complète rupture avec le passé. Ils entendent au contraire s'inscrire dans la plus pure tradition, revendiquant même un lien avec le Quattrocento ou le Moyen-Âge.

    Lire la suite sur FigaroVox

     

  • Union des étudiants catholiques de Liège : prochain lunch-débat à l’ULg le lundi 24 novembre 2014 à 18h00 sur "Moyen Orient et persécution religieuse"

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    affiche_ulg.jpg

    S’informer ou  

    s’inscrire au lunch-débat (obligatoire 3 jours ouvrables à l'avance):

    tél 04.344.10.89

    ou sur notre site ici :

    MOYEN-ORIENT ET PERSÉCUTION RELIGIEUSE