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Ethique - Page 541

  • Promouvoir un alter-humanisme fondé sur l'image du Christ

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    "La sollicitude de l’Eglise pour le développement intégral de la personne humaine lui fait un devoir de discerner ce qui est bon et mauvais pour l’homme dans le monde et d’ainsi participer à la promotion du nouveau modèle économique qui tend à se mettre en place aujourd’hui.

    Ce modèle doit mettre l’homme au sommet des préoccupations et faire du Bien Commun le véritable enjeu de l’économie de marché. Pour cela, une réforme profonde des marchés est nécessaire, mais plus encore une réforme de la vision que l’on a actuellement du marché et de la finance. Il s’agit, à l’appel de Benoît XVI, de passer à l’économie du don, c’est-à-dire du service gratuit. Entendons par là que même si le travail est rémunéré, il est d’abord un service rendu et mis à disposition du Bien Commun. Ce qui signifie que tout produit qui ne participe pas au Bien Commun, à savoir au développement intégral de tout l’homme et de tout homme, n’a pas de raison d’être. Il perd sa gratuité puisqu’il cherche en lui-même son propre intérêt.

    A l’alter-mondialisme et à l’impasse actuelle il y a une alternative chrétienne qu’il faut promouvoir, l’alter-humanisme, fondé sur l’image du Christ."

    Cyril BRUN (directeur de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon)

    Voir ICI

  • La théorie du gender n'est qu'une composante d'un processus révolutionnaire mondial

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    "Marguerite A. Peeters est la directrice de l’Institute for Intercultural Dialogue Dynamics à Bruxelles. Professeur à l’Université pontificale Urbaniana, elle a publié environ 290 rapports détaillés sur les évolutions de la gouvernance mondiale. Auteur de La mondialisation de la révolution culturelle occidentale : concepts-clefs, mécanismes opérationnels (Bruxelles, 2006), elle s’est intéressée, à ce titre, aux questions de gender. Marguerite A. Peeters a participé au colloque organisé sur la théorie du gender par l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon en septembre."

    Nouvelles de France

    source de la video : http://webtvcn.fr/?p=46497

  • Un week-end à Paris sur l'objection de conscience

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    En partenariat avec des experts, l’Alliance pour les droits de la vie organise à Paris un week-end de formation sur le thème : « L’objection de conscience : un défi à relever »

    Date : les 3 et 4 décembre 2011.

    Public concerné : les professionnels de la santé, en activité ou jeunes en formation dans les filières médicales.

    Lieu : Paris (6, rue Albert de Lapparent, 7°).

    Inscriptions : sur le site www.universitedelavie.fr, à partir du 20 octobre 2011, avec les autres renseignements pratiques (horaires, tarifs).

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  • Déclaration des évêques néo-zélandais sur l'euthanasie

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    La traduction de cette déclaration faite par Jeanne Smits figure sur son blog; on lira avec intérêt son commentaire : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/10/les-eveques-de-nouvelle-zelande.html

    Extraits :

    "...une chose est de ne pas employer ou de retirer des moyens extraordinaires pour maintenir une personne en vie alors qu'il n'est plus raisonnable de le faire, une autre est de faire quelque chose, ou de s'abstenir de faire quelque chose en vue de mettre fin à la vie d'une personne. Dans le premier cas, nous la laissons simplement mourir. Dans le deuxième, nous tuons."

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  • Joseph II n’est pas mort

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    dyn003_original_468_265_pjpeg_2662382_772a5f43904a6d1cb5daa675ba72122a.jpgUn Joseph peut en cacher un autre : selon un communiqué de l’agence Belga intitulé Déclarations Léonard: réprobation unanime au parlement de la Fédération  le rappel de la morale catholique exprimé par Mgr André-Joseph Léonard concernant les enseignants divorcés remariés "a fait l'unanimité contre lui ce mardi au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles"  et c’est ce que rapporte « con amore » le site web de « La Libre Belgique » :

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  • Un pays en pleine déchéance

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    Il est de plus en plus désespérant d'habiter ce pays. La mesquinerie linguistique hypothèque le "vivre ensemble" et accapare les énergies des politiques alors qu'il y a tant d'autres urgences. L'économie belge est menacée par les agences de cotation qu'inquiète notre instabilité chronique. L'immigration massive déstabilise peu à peu certaines régions. L'insécurité gagne du terrain et les actes d'incivilité deviennent monnaie courante.

    Mais ce qui nous inquiète le plus, c'est que, dans notre pays, aucun homme ou femme politique ne se fait entendre pour défendre les valeurs non négociables : le respect de la vie humaine de la conception à la mort naturelle, la défense de la famille fondée sur l'union entre un homme et une femme et ouverte à l'accueil de la vie, la liberté d'éducation où les parents sont considérés comme les premiers responsables de l'éducation de leurs enfants. Alors qu'en France, en Italie (même à gauche), en Espagne... des hommes politiques relaient ces valeurs, nous n'en trouvons aucun chez nous. C'est comme si notre pays avait contracté une espèce de sida mental et était devenu incapable de résister à toute forme de mal susceptible de dégrader le climat politique, social, culturel et moral. Toute voix qui se ferait entendre pour contester ce processus de délitement généralisé est aussitôt dénoncée, stigmatisée, condamnée sans appel.

    Au milieu de ce processus de dégradation, l'Eglise ne fait malheureusement pas exception. Ses institutions ("piliers") ne sont plus chrétiennes que de nom, ses pasteurs sont muets; seuls sont entendus ceux qui contestent l'institution et se singularisent par des prises de position subversives. Mgr Léonard est le seul qui ose faire entendre un discours différent mais on voit le sort qui lui est réservé tandis que ses confrères restent "planqués". Ce qui arrive à notre archevêque confirme étrangement les théories de René Girard selon lesquelles une société en proie à tous les facteurs de dissociation peut tenter de retrouver une cohérence en se réunissant dans le même rejet du bouc émissaire.

  • Mgr Léonard : les loups ne lâchent pas leur proie

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    Une autorité religieuse a-t-elle le droit de rappeler aux fidèles les exigences de la foi et de la morale de la communauté à laquelle ils appartiennent sans être clouée au pilori par la classe politique sévissant au "parlement" de la Fédération Wallonie-Bruxelles?

    Oui ou non, les écoles libres appartiennent-elles encore à la communauté catholique? Celles et ceux qui y enseignent ou qui les dirigent ne sont-ils pas censés être catholiques et vivre en cohérence avec leur engagement?

    Est-il concevable que des politiques interviennent dans les questions religieuses pour imposer leurs vues et discréditer un responsable religieux qui agit "dans son rôle"? Oseraient-ils en faire autant dans les mosquées qui sont non seulement des lieux de prière mais aussi des lieux d'enseignement et de formation culturelle?

    Est-il acceptable que des journalistes fassent preuve de parti-pris et de mauvaise foi, profitant notamment de la position ambiguë d'une feuille jadis catholique qui abuse de son ancienne clientèle en l'abreuvant d'informations tronquées et malhonnêtes?

    Sommes-nous déjà résignés à vivre dans un état totalitaire où une ligne politique et culturelle jugée "correcte" est imposée à tous et propagée par une presse servile?

    L'acharnement dont font preuve les détracteurs de Mgr Léonard ne constitue-t-il pas déjà une forme de persécution verbale qui semble ouvrir la voie à ceux qui ont déjà recouru contre lui à des insultes et à des voies de fait, sans égard au respect de la dignité des personnes?

    Autant de questions auxquelles nous invitons chacun à répondre, en toute sincérité et honnêteté, et sans se laisser dicter ses réponses par la propagande conformiste.

  • Un aveu inédit de l'abbé Pierre, sur les droits de l'homme

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    abbe-pierre1.jpgDepuis mon adolescence, je n’ai pu me retenir de colère, le plus souvent, beaucoup trop souvent gardée au fond du cœur et non exprimée (à la fois sans doute par manque de courage mais aussi par timidité, par sentiment d’incompétence face à d’illustres « experts », politiques, moralistes ou juristes), je n’ai pu m’empêcher de ressentir jusqu’à la colère l’évidence de l’absurdité de prétendre espérer le respect de ces droits du seul fait de leur « proclamation », puis de leur abandon aux fragiles arbitraires et de gouvernants et d’opinions publiques incapables, pour le plus grand nombre, de dire tout simplement « pour quoi être homme »?

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  • Pénible incident à l'Institut des Dames de Marie, à Saint-Gilles

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    La presse en parle abondamment et les "forummeurs" s'excitent: la sous-directrice de l'Institut des Dames de Marie, à Saint-Gilles, a été victime d'une campagne d'injures proférées par des élèves de cet établissement. Ces élèves se sont attaquées bassement à leur sous-directrice en mettant en avant son homosexualité. C'est à l'occasion de fouilles pratiquées sur les élèves à la suite d'un vol dans les vestiaires que l'affaire s'est déclenchée. La sous-directrice (qui n'a pas participé directement à la fouille corporelle des élèves) va sans doute devoir renoncer à son poste et quitter l'école.

    C'est une affaire navrante où l'on ne peut que déplorer l'attitude indigne d'élèves obéissant à des mobiles indéfendables et qui ont peut-être (cela demande confirmation) été manoeuvrés pour combattre l'obligation faite aux filles de suivre des cours d'éducation physique, obligation que certains milieux intégristes religieux n'acceptent pas. Ce qui expliquerait des inscriptions du style : "touche pas à mon intimité" figurant notamment sur les t-shirts arborés par ces élèves.

    On ne s'étonne évidemment pas qu'un journaleux du Soir (un dénommé Haine) fasse le rapprochement avec les conseils donnés par notre archevêque aux personnes vivant en porte-à-faux par rapport à l'enseignement moral de l'Eglise de ne pas exercer des responsabilités telles que la direction d'une école catholique ou la charge de professeur de religion. Comme si les élèves en question se souciaient le moins du monde des conseils pastoraux de Monseigneur Léonard! Mais qu'importe, l'occasion était trop belle.

    Tout fait décidément farine au bon moulin de la cathophobie et voilà une triste histoire "d'homophobie" qui va immanquablement être exploitée à l'encontre du primat de Belgique.

    Quand nous disions qu'il était trop tard et que nos évêques feraient mieux de ne plus cautionner des établissements qui n'ont plus de catholique que le nom...

  • Belgique : 48% des demandes d'euthanasie acceptées

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    La revue de presse de généthique.org fait état de ces informations :

    Un sondage réalisé en Belgique auprès de 914 médecins par les groupes de recherche en soins palliatifs de l'université libre de Bruxelles et de l'université de Gand révèle que 48% des demandes d'euthanasie ont été accordées depuis l'entrée en vigueur de la loi sur l'euthanasie, en 2002.

    39% des médecins interrogés disent avoir eu au moins une demande depuis la légalisation de la loi dans le pays. Après avoir souhaiter être euthanasié, 10% des patients ont changé d'avis. Le sondage note que les principales raisons poussant les patients à effectuer une telle demande sont les troubles psychiatriques et les cancers et non l'existence d'une douleur aigüe et incurable.

    Interrogé par Le Journal des Flandres, Didier de Broucker, professeur spécialisé dans les soins palliatifs, explique qu'il y a des alternatives à l'euthanasie et évoque la nécessité de "sensibiliser [...] la population au fait qu'on ne guérit pas tout le monde [et] que la mort fait partie de la vie". Il y a, en tant que soignant, "un devoir d'humanité et de respect de ces personnes en fin de vie, de ne pas les abandonner. C'est un engagement en tant que citoyen et homme". Evoquant la loi Kouchner de 2002 et la loi Leonetti de 2005, il souligne que "la France a ouvert une voie qui doit être considérée comme un exemple sur ce qui doit être fait et ne doit pas être fait en matière de fin de vie. En tant que médecins, nous sommes formés pour soigner et ne pas provoquer la mort".

  • Ontario : les parents réagissent contre la dérive activiste anti-homophobe dans les écoles

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    La théorie du gender et la campagne pour battre en brèche les conceptions "traditionnelles" reposant sur la différence sexuelle sont omniprésentes. Extrait d'un article de Susan Martinuk sur la dérive activiste « anti-homophobe » dans les écoles torontoises (http://www.xn--pourunecolelibre-hqb.com/) :

    « La philosophie enseignée en classe à une génération sera la philosophie du gouvernement de la suivante. » 
    Abraham Lincoln

    Le Conseil scolaire de Toronto est visiblement d’accord avec Abraham Lincoln. C'est pourquoi le Conseil — qui n'a jamais été timide quand il s’agit de militer pour les changements idéologiques qu'il juge nécessaires pour la société — impose désormais aux étudiants un programme «  androgyne »  qui remet en cause les identités sexuelles traditionnelles qui doit être intégré dans tous les domaines de la maternelle à la 12e année.

    Le programme « Combattre l'homophobie et l'hétérosexisme » vise à fournir « des stratégies d'enseignement, des liens entre les diverses matières, des programmes, une liste de conférenciers, de spectacles, les coordonnées des organismes communautaires [LGBTQ],  les noms de livres, de vidéo, de sites Web destinés aux enseignants, aux administrateurs et aux communautés scolaires de la maternelle à la 12e année sur tout le territoire du Conseil scolaire de Toronto ».

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  • La Libre Belgique a jugé Monseigneur Léonard

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    Le mensuel « Pastoralia » (revue du diocèse de Malines-Bruxelles) publie depuis le mois de mai une série d’articles de Mgr Léonard sur le sacrement du mariage. Dans le numéro d’octobre, l’archevêque aborde le problème des personnes divorcées et remariées. Il écrit notamment que ces derniers « peuvent et même doivent participer à la vie de l’Église sous ses divers aspects. Ils ne sont en aucune manière excommuniés! ». Mais ajoute ensuite qu’ « Ils éviteront cependant de solliciter des tâches qui les mettraient en position délicate de porte-à-faux, comme l’enseignement de la religion, par exemple, ou la direction d’une école catholique. »

     L’archevêque rappelle simplement ici une loi morale imprescriptible de l’Eglise de Dieu : les divorcés remariés sont en contradiction objective et publique avec le prescrit de l’évangile (cfr St Marc, ch. 10, 1-12) relatif au mariage. Lorsqu’il leur demande de s’abstenir de communier au corps du Christ dans cet état ou, sur un autre plan, d’assumer une fonction impliquant une responsabilité spécifique dans le témoignage de la Parole du Christ, le pasteur s’adresse à leur conscience de chrétiens. Ceci est particulièrement vrai pour les éducateurs en charge d’un cours de religion ou de la direction d’une école catholique.

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