Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 1127

  • Le temps et la règle bénédictine (KTO)

    IMPRIMER

    Sur KTO (Documents) :

    "Tuer le temps, être prodigue de son temps, ne pas avoir le temps, prendre son temps, perdre son temps" : même si ces expressions usuelles en font un intime de notre quotidien, le temps nous pose trois des questions les plus essentielles sur le sens de notre vie : pourquoi, comment et quand ? Qu'est-ce que la règle bénédictine peut nous apporter en l'apprivoisant ? Comment en faire un allié, un outil à notre main ? Comment arrêter cette marche inexorable vers la mort, symbole de notre finitude ? Commet distinguer l'instant, le temps et l'éternité ? Comment décider entre l'instant éternel et le moment qui nous broie, nous émiette, nous éparpille et nous enferme ? Comment saisir la lumière du temps ? Cette réflexion philosophique viendra suspendre le temps durant 52 minutes... Ce que nous vivons aujourd'hui, ici, maintenant, est déjà porteur d'une valeur infinie. Le monde où nous vivons est finalement une abbaye... Une coproduction KTO / Grand Angle Productions / Premier Cercle, 2014 - Patrice Cros, Thibaut Férié.

  • Un livre important sur les liens entre doctrine et pastorale du mariage

    IMPRIMER

    Du blog de Jeanne Smits :

    Mgr Reig Pla présente un livre important sur les liens entre doctrine et pastorale du mariage

    L’évêque d’Alcala de Henares, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a présidé à la présentation du livre Eucharistie et divorce, vers un changement doctrinal ?, du P. José Granados Garcia, consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la Foi et vice-président de l’Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille. La cérémonie s’est déroulée en l’université Francisco de Vitoria. Voilà une importante réflexion à verser au débat que certains voudraient voir ouvert sur une nouvelle « pastorale » du mariage – et des divorcés “remariés”. Je vous propose ci-dessous ma traduction de l’allocution de Mgr Reig Pla. –J.S.

    Le livre que nous présentons, Eucharistie et divorce, vers un changement doctrinal ?, du Pr José Granados Garcia, publié par la BAC (Biblioteca de Autores Cristianos 2015), est une œuvre de maturité, fruit de nombreuses années d’études sur le mariage et la famille. L’auteur a pour propos d’approfondir les questions débattues lors du synode extraordinaire sur la famille (2014) de telle sorte que la prochaine assemblée synodale puisse être « providentielle, pour recréer de l’espérance sur le chemin des familles ».

    Prenant comme point de départ le débat suscité autour de la « possibilité de voir les divorcés remariés accéder de nouveau aux sacrements de la pénitence et de l’Eucharistie » (Relatio synodi, 52), le professeur Granados nous invite à analyser les principes de base sans lesquels il est impossible d'envisager avec lucidité une pastorale familiale en accord avec l'Evangile du mariage et de la famille. A partir de la lecture de ce travail qui a pour fil conducteur le lien inséparable entre la doctrine chrétienne et la pastorale, je voudrais m’attarder sur quelques questions que je considère d’un grand intérêt.

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

  • 8 février : Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains

    IMPRIMER

    Lutter contre la traite des êtres humains (source : VIS)

    Le Cardinal Peter Kodwo Appiah Turkson, Président du Conseil pontifical Iustitia et Pax, a présenté la première Journée mondiale de prière et de réflexion sur la traite des êtres humains. Fixée au 8 février, fête de sainte Joséphine Bakhita, elle organisée avec le concours de la Congrégation pour les instituts de vie consacrée et les sociétés de vie apostolique, le Conseil pontifical pour la pastorale des migrations et les Unions des supérieurs et supérieures. Y ont assisté le Cardinal Joao Braz de Aviz, Préfet de la Congrégation pour les instituts de vide consacrée et les sociétés de vie apostolique, le Cardinal Antonio Maria Vegliò, Président du Conseil pontifical pour la pastorale des migrations, Soeur Carmen Sammut, MSOLA, Président de l'Union internationale des supérieures générales, Soeur Gabriella Bottani, SMC, Coordinatrice de Talitha Kum, le réseau international de la vie consacrée contre la traite des êtres humains, et Soeur Imelda Poole, IBVM, Coordinatrice europénne de Talitha Kum.

    Le Cardinal Turkson a rappelé que des millions de personnes de par le monde, de tout âge, sont privées de liberté et contraintes à vivre pratiquement en esclavage. Pour ces hommes et ces femmes sainte Joséphine Bakhita est un modèle d'espérance. Il a encouragé les fidèles à suivre les pas de cette sainte, de s'en inspirer et à demander son intercession. Le Pape, a souligné le Cardinal, désire que les fidèles prennent conscience d'un phénomène global qui dépasse la responsabilité de tel ou tel état. Il est besoin d'une véritable mobilisation contre ce fléau: Nous devons tous mieux analyser la situation et mobiliser les consciences: De la conscience à la prière, de la prière à la solidarité, de la solidarité à l'action, afin que la traite et les nouvelles formes d'esclavage disparaissent.

    En vue de cette première journée, les diocèses et les paroisses, les associations et les familles sont invités à réfléchir et prier, individuellement comme en groupe communauté sur ce crime contre l'humanité. Les réunions et veillées de prière du 8 février auront pour point d'orgue l'angélus dominical du Saint-Père.

    Voici la prière proposée à l'occasion de cette journée:

    "Quand nous entendons parler d’enfants, hommes et femmes trompés et emmenés en des lieux inconnus dans le but d’exploitation sexuelle, de travail forcé et de vente d’organes, nos cœurs s’indignent et notre esprit est affligé car leur dignité et leurs droits sont piétinés par les menaces, les mensonges et la violence.

    Dieu, aide-nous à contrecarrer par notre vie toute forme d’esclavage. Nous te prions, avec sainte Joséphine Bakhita afin que la traite des personnes cesse. Donne-nous sagesse et courage pour nous rendre proches de tous ceux et celles qui ont été blessé/ées dans le corps, le cœur et l’esprit, afin qu’ensemble nous puissions réaliser ta promesse de vie et d’amour tendre et infini pour nos frères et sœurs exploité/ées.

    Touche le cœur de celles et ceux qui sont responsables de ce crime horrible et soutiens notre engagement pour la liberté, ton don pour tous tes fils et filles. Amen".

  • Famille : entre un synode et le suivant, la bataille continue

    IMPRIMER

    PHO856cf826-508b-11e4-9c78-714bf920bbe7-805x453.jpgTous les membres du Synode ordinaire d’octobre 2015 sur la famille ne sont pas encore désignés : ainsi, de la délégation belge on ne sait encore rien. Qu’en sera-t-il de l’archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard, démissionnaire à partir du mois de mai  prochain  ou de la  désignation possible  de l’évêque d’Anvers, Mgr Johan Bonny,  dont les propos  en faveur d’une reconnaissance ecclésiale des relations entre homosexuels  n’ont été contestés –publiquement- par aucun de ses confrères ?

    Sur son site « Chiesa » Sandro Magister note que les cardinaux, évêques et théologiens qui veulent innover la doctrine et la pratique de l’Église à propos du mariage et de l’homosexualité sont les plus actifs. Mais, dans la première série d’élus qui vont siéger au prochain synode, les défenseurs de la tradition sont, estime-t-il, beaucoup plus nombreux. Il fait le point ici :

    Du côté des conférences épiscopales :

    « Comme l’avait annoncé le secrétaire général du synode des évêques, Lorenzo Baldisseri (photo), une première liste de participants à la session du synode qui aura lieu au mois d’octobre prochain vient d’être rendue publique. Ils ont été élus par leurs conférences épiscopales respectives.

    On connaissait déjà la composition de la délégation des États-Unis. Les quatre membres qui ont été élus sont tous opposés à l'accès des divorcés remariés à la communion– point crucial de l’affrontement actuellement en cours – alors que le progressiste Blase Cupich, très apprécié par le pape François et récemment promu archevêque de l'important diocèse de Chicago, n’a pas été élu.

    Lire la suite

  • Poser un regard chrétien sur le Nouvel-Age avec le Père J.M. Verlinde

    IMPRIMER

    Regard chrétien sur le Nouvel-Âge (1/5)

    Le « Nouvel Âge » se présente comme le « nouveau paradigme[1] » qui succède au paradigme judéo-chrétien sur lequel s’était construite la culture européenne jusqu’au milieu du siècle précédent. Il est important dans le contexte de la nouvelle évangélisation, de prendre la mesure de cette rupture de l’horizon de sens sur lequel se faisait hier encore l’annonce de […]

    Lire plus →

    Regard chrétien sur le Nouvel-Âge (2/5)

    Rejetant tout énoncé normatif, le Nouvel Âge préconise un relativisme éthique et religieux, conduisant à un subjectivisme radical : chacun est appelé à se libérer des conditionnements moraux et religieux, pour s’engager dans la création de sa propre réalité – en perpétuelle évolution – dont il sera libre d’établir les lois – toujours révisables. La trame […]

    Lire plus →

    Regard chrétien sur le Nouvel-Âge (3/5)

    Le naturalisme du Nouvel Âge s’inspire principalement des Traditions orientales, redécouvertes à la fin du XVIIIe et tout au long du XIXe s. Puis dans la seconde partie du XXe s., les religions non chrétiennes hawaïenne, précolombienne, des Indiens d’Amérique, celtique font également leur entrée. De la fusion de ces sources multiples, émerge un syncrétisme, que […]

    Lire plus →

    Regard chrétien sur le Nouvel-Âge (4/5)

    Pour le Nouvel Âge, l’homme est une étincelle divine émanée de l’Énergie primordiale impersonnelle, et appelé à se résorber en elle au terme d’un long processus involutif et évolutif qui la conduit à traverser, d’incarnation en incarnation, toutes les strates de la manifestation, jusqu’à la complète dissolution de l’illusion de l’individualité personnelle. L’être humain et […]

    Lire plus →

    Regard chrétien sur le Nouvel-Âge (5/5)

    Sur cette trame générale se greffent des courants aussi divers que la théosophie, l’anthroposophie, l’astrologie, la sorcellerie, le chamanisme, l’occultisme, le spiritisme, l’ufologie,… qui ont acquis pignon sur rue […]

    Lire plus →

  • Familles... à vos marques !

    IMPRIMER

    I-Grande-4482-familles---a-vos-marques.net.jpg

     

    Lire la suite

  • Bientôt le carême : des livres pour les enfants, les ados et les adultes

    IMPRIMER

    Le Carême

    Pour les enfants, avec sainte Thérèse :

    Chemin de carême et son livret d'accompagnement.

     
     

    Pour les adultes & ados :

    unnamed.jpg

  • Le témoignage du curé de Maaloula

    IMPRIMER

    Source – Entretien avec Père Toufic Eïd : « Contre la barbarie, je n’entends pas la voix des musulmans s’élever… »

    Curé de Maaloula, village chrétien martyr, le père Toufik est en France jusqu’au 12 février. Pour témoigner de la catastrophe actuellement en cours.

    Pouvez-vous nous raconter le drame qu’a vécu Maaloula ?

    Avant Noël 2012, l’armée syrienne s’est retirée du village. Maaloula est devenu une sorte de no man’s land entre les terroristes islamistes et les forces gouvernementales. En février 2013, pour la première fois, des gens de Maaloula ont commencé à manifester contre l’État. Ils étaient armés. Ils n’étaient pas encore franchement pro-islamistes même si on sentait quelle était leur motivation. Ils ont fini par prendre la partie haute du village où se situait le monastère dans lequel je suis également moine. Je n’y suis pas retourné. Et puis des personnes ont été enlevées, on basculait dans autre chose. Néanmoins, je percevais que, dans le camp terroriste, il n’y avait pas vraiment de chef.

    Comment a réagi la population ?

    Nous espérions une médiation, un retour au calme. Le leader des musulmans locaux (1/3 de la population, NDLR) a tenté de dialoguer avec les terroristes, mais ils n’ont rien voulu entendre. Le 4 septembre, ils ont attaqué, avec un kamikaze dans un pick-up, un barrage de l’armée à l’entrée de Maaloula. Plusieurs militaires ont été tués. Le lendemain, j’ai pris la décision de faire évacuer la population, mais les gens m’avaient devancé. Lors de l’attaque finale, trois de nos jeunes paroissiens, dont mon sacristain, ont été tués lors d’un affrontement avec les rebelles… Il a fallu attendre le mois d’avril pour que l’armée reprenne le village. C’est un combat purement idéologique, car Maaloula n’a pas d’intérêt stratégique ou militaire. Les islamistes ont clairement voulu détruire ce village symbole, où l’on parle encore l’araméen, la langue du Christ !

    Qu’avez-vous trouvé à votre retour au village ?

    Je suis revenu le 20 avril. C’était un village fantôme… Des ruines, une immense tristesse. Plus de 300 maisons avaient été détruites, incendiées. Quelques personnes se sont réinstallées dans les bâtiments habitables. Nous avons dû attendre plusieurs jours avant de reprendre le culte. Mais il a repris !

    Lire la suite

  • Le martyre en "haine de la foi", une fausse évidence

    IMPRIMER

    1d09edc20071019101003197.jpgLe 24 mars 1980, Mgr Oscar Romero était assassiné par un commando opérant sur ordre du pouvoir dictatorial qui régnait au Salvador. Trente-cinq ans plus tard, Rome vient de reconnaître qu’il est mort martyr « en haine de la foi » (in odium fidei). Martyr en haine de la foi ? La chose est évidente pour les prêtres anglais dépecés sous Elisabeth Ière au nom de la lutte contre le catholicisme, ou les multiples curés, religieux et religieuses tués en raison de leur appartenance à l’Eglise lors de la guerre civile espagnole ou sous la Révolution française. Mais elle est plus complexe dans d’autres cas. La décision que Rome vient de prendre concernant Romero ouvre-t-elle une porte ou une vanne ? Le point de vue de Jean Mercier sur le site de « La Vie » :

    « Le 24 mars 1980, Mgr Oscar Romero était assassiné par un commando opérant sur ordre du pouvoir dictatorial qui régnait au Salvador. Trente-cinq ans plus tard, Rome vient de reconnaître qu’il est mort martyr « en haine de la foi » (in odium fidei).

    Cette précision du martyre « en haine de la foi » fait parfois débat en raison de la dissymétrie que l’on rencontre fréquemment dans le cas du martyre intervenu dans un contexte politique : si le martyr verse son sang au nom de sa foi et de Dieu, ses persécuteurs et ses bourreaux n’opèrent pas nécessairement, eux, selon la haine assumée de la foi chrétienne et de l’Eglise catholique. Dans le cas de Mgr Romero, c’est son prophétisme évangélique qui dérangeait le pouvoir politique. Mais il a été abattu en représailles à un plaidoyer très spirituel, la veille de son assassinat : « Il est temps d’obéir à votre conscience plutôt qu’à l’ordre du péché. Au nom de Dieu, au nom de ce peuple souffrant, dont les lamentations montent jusqu’au ciel et sont chaque jour plus fortes, je vous prie, je vous supplie, je vous l’ordonne, au nom de Dieu : arrêtez la répression ! » Par ailleurs, le fait qu’on l’ait tué en pleine messe lève l’ambigüité sur la haine contre la foi.

    A priori, le martyre présuppose la haine contre la foi, même si celle-ci n’est pas toujours spécifiée clairement dans le décret proclamant le martyre. La chose est évidente pour les prêtres anglais dépecés sous Elisabeth Ière au nom de la lutte contre le catholicisme, ou les multiples curés, religieux et religieuses tués en raison de leur appartenance à l’Eglise lors de la guerre civile espagnole ou sous la Révolution française. Mais elle est plus complexe dans d’autres cas... Thomas More meurt pour sa fidélité envers Dieu et l’Eglise, mais Henri VIII l’envoie à l’échafaud pour haute trahison. L’autrichien Franz Jägerstätter préfère mourir en 1943 pour ne pas désobéir à son Dieu, mais le Reich le condamne à mort parce qu’il refuse de porter les armes.

    Lire la suite

  • Le pape favorable à la fessée; buzz sur le net

    IMPRIMER

    Lors de l'Audience générale de mercredi dernier, le pape a laissé entendre qu'une correction - pourvu qu'elle soit juste et digne - pouvait être administrée aux enfants. Cette déclaration suscite l'émoi comme on pourra s'en rendre compte en introduisant les termes "pape" et "fessée" dans un moteur de recherche : https://www.google.be/search?q=pape+fess%C3%A9e&oq=pape+fess%C3%A9e

    Lire : ce-que-le-pape-n'a-pas-dit-sur-la-fessee-

  • Saint Amand de Maastricht (6 février)

    IMPRIMER

    invisible2.jpg(source) Ce Saint naquit aux environs de Nantes, de parents recommandables par leur piété, et qui étaient Seigneurs du pays. Il quitta le monde à l'âge de vingt ans, et choisit pour sa demeure un monastère de la petite île d’Oye, voisine  de celle de Rhé. Il y avait à peine un an qu'il y goûtait les douceurs de la retraite, lorsqu'il se vit exposé à une tentation fort délicate. Son père l'ayant découvert, l'alla voir, et employa les raisons les plus pressantes pour le porter à sortir du monastère ; il le menaça même de le déshériter, s'il ne reprenait l'habit séculier : mais le Saint lui répondit respectueusement qu'il n'avait d'autre prétention que celle de vivre pour Jésus-Christ, qu'il avait choisi pour son unique partage. Il alla quelque temps après visiter le tombeau de saint Martin à Tours. L'année suivante, il se retira à Bourges, où il vécut près de quinze ans dans une petite cellule voisine de la cathédrale, sous la direction du saint évêque Austrégisile. Il y pratiqua tout ce que la pénitence a de plus austère, portant continuellement le cilice, et ne prenant pour toute nourriture que du pain d'orge et de l'eau. Il fit ensuite un pèlerinage à Rome, puis revint en France, où il fut sacré évêque en 628. On ne l'attacha à aucun siège particulier, et sa fonction devait être de prêcher la foi aux infidèles.

    Lire la suite

  • Si le sel s’affadit, avec quoi le salera-t-on ? (Matthieu, 5,13)

    IMPRIMER

    Le père Gitton, fondateur de la communauté apostolique Aïn Karem, nous appelle à abandonner la tiédeur : « la vocation du chrétien, c’est que le Christ transparaisse à travers lui ». Pour certains, cela passera par le choix radical et incarné de la vie consacrée. Le Père Gitton donne des conseils pour discerner cet appel particulier. Vu sur le site de « Famille chrétienne »  (JPSC):