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Foi - Page 364

  • Chine : la mort d'un évêque, leader de l'Eglise clandestine

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    De CNA (Catholic News Agency) :

    Un évêque catholique clandestin meurt en Chine

    31 déc. 2020

    Selon la chaîne catholique AsiaNews, dont le siège est à Rome, l'évêque Andrea Han Jingtao, 99 ans, leader de l'Eglise catholique clandestine en Chine, est décédé le 30 décembre. Han Jingtao était l'évêque clandestin de Siping.

    Au cours de ses premières années d'enfance dans une famille catholique, Han a reçu une formation et une éducation de qualité des missionnaires canadiens du Québec, qui dirigeaient le vicariat apostolique dans sa région de Chine avant la révolution communiste.

    Après l'arrivée au pouvoir de Mao Zedong, le défunt évêque a été envoyé dans un camp de concentration où il a été emprisonné pendant 27 ans (1953-1980) "pour avoir refusé de participer à l'Église 'indépendante et autonome', comme le voulait Mao Zedong", rapporte AsiaNews.

    Une fois libéré, sa maîtrise de la langue anglaise a fait de lui un atout pour le régime communiste, qui l'a enrôlé comme professeur d'anglais à l'université de Changchun, puis à l'université du Nord-Est pour des programmes de maîtrise et de doctorat. Selon AsiaNews, "il a initié de nombreux Chinois à l'étude des langues et cultures classiques, latines et grecques".

    Après sa retraite académique en 1987, il a consacré ses efforts pastoraux à la Légion de Marie locale et à la congrégation religieuse qu'il a fondée, les Sœurs du Mont Calvaire.

    Selon AsiaNews : "Il se souvient lui-même que dans les années 1950, le régime voulait "se débarrasser de l'ingérence du pape et expulser les missionnaires étrangers". À cette époque, j'ai réalisé que l'Église était confrontée à un grand défi et qu'elle avait besoin d'une forte endurance, sinon elle ne pourrait pas tenir debout. C'est pourquoi j'ai décidé de créer une congrégation religieuse".

    Il a été secrètement nommé évêque de Siping en 1982, mais son ordination clandestine n'a pu avoir lieu qu'en 1986.

    Après avoir été placé sous haute surveillance à la maison en 1997, il a continué à garder son troupeau sous la menace constante, organisant des rassemblements secrets et encourageant les laïcs à rester fermes dans la foi et la charité.

    Selon des statistiques récentes fournies par AsiaNews, son diocèse compte quelque 30 000 catholiques, dont les deux tiers appartiennent à l'Église clandestine. Il compte 20 prêtres et plus de 100 religieuses.

  • Année saint Joseph : Comment sortir du trouble par rapport au pape François et resserrer les rangs autour de son pontificat

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    D'Arnaud Dumouch :

    Année saint Joseph : Comment sortir du trouble par rapport au pape François et resserrer les rangs autour de son pontificat (30 mn) 

    https://youtu.be/qC3zBS5EYQI 

    En cette année saint Joseph, un premier bilan du Pontificat du pape François :  

    Le pontificat du pape François a été fragilisé et attaqué selon cinq axes :  

    1° L’affaire Vigano est terminée. Monseigneur Vigano a montré sa fragilité par sa croyance aux vastes théories du complot, comme celles du vaccin et de la 5G. 

    2° Les communications imprudentes du pape François avec un journaliste falsificateur. 

    3° La faute des médias maintream et des médias anti-maintream : l’absence de lecture en direct des textes. 

    4° Les prophéties (saint Malachie, La Salette) mal comprises et répandues par des prophétesses d’Internet (Maria de la miséricorde, Fabienne Guerrero). Sur le secret de la Salette : "Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'Antéchrist", qui ne figure pas dans l’original retrouvé par l'abbé Corteville au début des années 2000. 

    5° Le vrai trouble est venu des positions pastorales du pape François, mal comprises par les théologiens de la doctrine universelle : Or il a canonisé Jean XXIII et Jean-Paul II ensemble pour expliquer son pontificat. Quelques propositions problématiques :  

    « C’est une sage volonté de Dieu qu’il y ait plusieurs religions ». 

    « La peine de mort n’est plus admissible en aucun cas ».  

    « Un chrétien pourrait volontairement choisir de violer une loi divine connue de lui sans commettre un péché mortel » 

    Devenons-nous adhérer au revenu universel, aux "unions" civiles homosexuelles, à la suppression de la peine de mort et aussi de celle de l'enfermement à vie à laquelle le Pape s'est montré opposé ? Devons-nous ouvrir de larges voies pour l'immigration, en particulier musulmane, à laquelle le Pape François est favorable ? Devenons-nous considérer comme le dit le Pape qu'il faut "toujours faire passer la sécurité personnelle [des migrants] avant la sécurité nationale", que "chaque pays est aussi celui de l'étranger" ? S'agit-il de considérations politiques, ou d’interdits impératifs moraux posés par le Pape ?  

  • Nos voeux pour 2021

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    (comète, détail de l'Adoration des Mages de Giotto)
     

    L'équipe de BELGICATHO vous adresse ses meilleurs voeux pour 2021.

    Que cette année nouvelle soit riche en grâces.

    Puisse l'étoile de Bethléem continuer à briller au milieu de notre nuit après tous ces sombres moments vécus au cours de l'année écoulée.

    Qu'elle rallume les feux de l'espérance et ravive les liens meurtris par l'éloignement et les séparations.

    Que, dans la confusion ambiante, elle nous garde vigilants et attentifs à interpréter avec justesse les signes des temps.

  • La mort de Robert Hossein

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    De Caroline Becker sur Aleteia.org :

    Mort de Robert Hossein, acteur et metteur en scène habité par Dieu

    31/12/20

    Monument du théâtre, le comédien et metteur en scène Robert Hossein est mort ce jeudi 31 décembre 2020 à l'âge de 93 ans des suites du Covid-19.

    Homme de théâtre et de cinéma français à la grande popularité, l’acteur Robert Hossein est décédé ce jeudi 31 décembre à l’hôpital des suites d’un problème respiratoire, a indiqué son épouse, la comédienne Candice Patou. Fort d’une vingtaine de productions scéniques, comme Jésus, Le Cuirassé Potemkine et Une femme nommée MarieRobert Hossein a toujours été très actif dans le milieu du spectacle, trouvant, à en croire sa vitalité, sa véritable vocation dans la mise en scène.

    L’artiste était aussi très croyant. Il avait été baptisé dans les années 1970, à l’aube de la cinquantaine. Il avait monté en 2007 un spectacle intitulé N’ayez pas peur sur la vie de saint Jean Paul II et en 2011 Une femme nommée Marie à Lourdes. Il a, toute sa vie, porté une dévotion particulière à sainte Thérèse de Lisieux. En avril 2016, il avait été invité à rencontrer le pape François à Rome. Plus récemment, touché par l’incendie de Notre-Dame, il avait fait part, en août 2020, de sa volonté de relancer, quarante-quatre ans après, son spectacle inspiré de l’œuvre « Notre-Dame de Paris » de Victor Hugo.

    Robert Hossein, c’était la générosité faite homme.

    « Robert Hossein, c’était la générosité faite homme », assure à Aleteia Bernard Lecomte, biographe de Jean Paul II et conseiller historique de Robert Hossein pour son spectacle sur le souverain pontife. « Une générosité sans limites, aussi démesurée que ses projets, ses spectacles, ses mises en scène. Il était croyant, oui, profondément. Mais il traitait le Christ (Un homme nommé Jésus), comme Jean-Paul II (N’ayez pas peur), comme le général de Gaulle (L’homme qui a dit non) : en personnages historiques dont il mettait en valeur, de façon unique, l’humanité ».

    Figure populaire Robert Hossein attirait naturellement la sympathie des gens et ils sont nombreux aujourd’hui à pleurer sa disparition. Dans la sphère catholique, les hommages se multiplient. Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre, a salué l’homme « généreux » habité par la foi et a tenu à rappeler le souvenir du magnifique psaume lu par Robert Hossein durant les JMJ de Paris en 1997.

    Lire également : De Notre-Dame à Jean-Paul II, l’art de Robert Hossein au service de l’espérance

  • Les bergers à la crèche (tropaire de Limoges) (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Retour sur la messe de Noël en drive-in sur un parking à Arlon : la communion escamotée

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    Annoncée à de multiples endroits (y compris sur le site du Vatican), cette célébration du 24 décembre devait permettre aux fidèles arlonais d'assister à une messe pour Noël, contournant ainsi la stupide règle des 15 personnes autorisées à se réunir dans un lieu de culte. Une initiative a priori sympathique, donc, mais qui, a posteriori soulève de graves interrogations comme nous le suggérions déjà il y a quelques jours.

    Il était initialement prévu que les fidèles reçoivent la communion par la fenêtre ouverte de leur voiture (disposition validée par l'épiscopat belge). Mais ce dispositif n'a pas été respecté comme le rapporte L'Avenir : "Ça n’avait pas moins commencé de façon étonnante: une distribution d’une petite flamme et d’une hostie non consacrée, mise sous enveloppe. Pour des raisons sanitaires, les organisateurs ont finalement préféré jouer la carte de la sécurité et ne pas passer entre les voitures pour distribuer la communion."

    Les participants ont donc reçu une hostie non consacrée au début de la célébration et la communion ne leur a pas été distribuée. Leur a-t-on laissé croire que l'hostie non consacrée allait l'être lors de la consécration à l'autel ? Une telle consécration à distance est évidemment impensable et l'on aurait abusé de la crédulité des fidèles si on les avait laissés penser qu'ils allaient communier réellement dans de telles conditions.

    Nous avons posé la question au doyenné d'Arlon via leur site Internet mais nous n'avons reçu aucune réponse. Nous serions heureux de savoir ce que l'évêque du diocèse en pense et comment il compte réagir face à ce qui ressemble à un escamotage ou à tout le moins à une grave ambiguité.

  • 20 missionnaires ont été tués de par le monde en 2020

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    Dépêche de l'Agence Fides :

    VATICAN - Les Missionnaires tués au cours de l'année 2020

    mercredi, 30 décembre 2020

    Cité du Vatican (Agence Fides) – Au cours de l'année 2020, selon les informations recueillies par l'Agence Fides, ont été tués de par le monde 20 missionnaires : 8 prêtres, un religieux non prêtre, 3 religieuses, 2 séminaristes et 6 laïcs. Selon la répartition continentale, cette année, le nombre le plus élevé de missionnaires tués est à nouveau enregistré en Amérique avec 5 prêtres et 3 laïcs (8). Elle est suivie par l'Afrique – où ont été tués un prêtre, 3 religieuses, 1 séminariste et deux laïcs (7). En Asie, ont été tués 1 prêtre, 1 séminariste et un laïc alors qu'en Europe, l'ont été un prêtre et un religieux non prêtre. Au cours de ces 20 dernières années – 2000-2020 – ce sont 535 opérateurs pastoraux qui ont été tués de par le monde dont 5 Evêques.

    Continuant son service de collecte des informations relatives aux missionnaires tués au cours de l'année, l'Agence Fides utilise le terme « missionnaire » pour tous les baptisés, conscients du fait que « en vertu du Baptême reçu, chaque membre du Peuple de Dieu est devenu disciple missionnaire. Chaque baptisé, quelle que soit sa fonction dans l’Eglise et le niveau d’instruction de sa foi, est un sujet actif de l’évangélisation » (EG 120). Du reste, la liste annuelle établie par Fides depuis longtemps déjà ne concerne pas seulement les missionnaires ad gentes au sens strict mais tous les opérateurs pastoraux morts de façon violente, pas expressément « in odium fidei ». Pour ce motif, nous préférons ne pas utiliser le terme « martyr », sauf dans son sens étymologique de « témoin », pour ne pas devancer le jugement que l’Église pourra éventuellement donner à certains d’entre eux, les proposant, après un examen attentif, pour la béatification ou la canonisation, comme cela arrive fréquemment.

    En 2020 également, de nombreux opérateurs pastoraux ont été tués au cours de tentatives de vol à main armée ou de cambriolage perpétrés aussi avec cruauté ou encore ont fait l'objet d'enlèvement ou encore se sont trouvés impliqués dans des fusillades ou des actes de violence dans les contextes où ils œuvraient, caractérisés par la pauvreté économique et culturelle, par la dégradation morale et environnementale, où la violence et les abus constituent des règles de comportement, en l'absence totale de respect pour la vie et pour tous les autres droits fondamentaux. Aucun d'entre eux n'a accompli d'entreprises ou d'actions éclatantes mais ils ont simplement partagé la vie quotidienne de la majeure partie de la population, portant leur témoignage évangélique comme signe d'espérance chrétienne. (SL) (Agence Fides 30/12/2020)

  • Aux origines de la crèche : le drame liturgique et le drame semi-liturgique (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Euthanasie : un témoignage poignant

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    Le témoignage d'une jeune femme qui autorise à ce que sa lettre soit diffusée :

    Remplie de douleur et de colère, je viens vous confier mon cri et mes larmes : mon papa, J., s'est fait euthanasier il y a moins d'un mois chez lui. Il a voulu mourir après 16 ans d'une maladie génétique neuro-dégénérative. Je suis d’ailleurs moi aussi atteinte de cette maladie dont les symptômes se sont manifestés dès mes 17 ans. J’ai aujourd’hui 27 ans.

    Dans les lignes qui suivent je voudrais vous livrer mon témoignage mais aussi vous interpeller car j'ai besoin de votre Lumière et de vrais témoins du Christ. J’ai besoin d’être soutenue dans mon OUI prononcé en faveur de la vie.
    Cette ouverture du cœur ne sera peut-être qu'une goutte d'eau, mais elle aura eu le mérite d'être POUR Jésus, POUR l'Amour et d'être aussi une flamme de Vie et d'Espérance dont on a TOUS tant besoin. Au cœur des ténèbres, la Lumière est toujours plus forte !

    Oui, mon cœur saigne.
    Papa, ma famille, l'Église... tellement de coups !

    A travers mes joies et mes peines, à travers mes combats parfois intolérables, j’ai en moi une soif immense de vivre... Découvrir et goûter que je suis une fille tant aimée du Père, quelle libération, quelle paix et quelle joie saintes.

    Comme de nombreux enfants, jusqu'à mes 11 ans j'ai beaucoup reçu. Par après, j'ai fait mon chemin seule dans la foi. Tant au niveau familial (4 frères et sœurs et ma maman) qu'amical, les provocations sont très nombreuses (Lc 12,51-53). Ces confrontations, souvent épuisantes et régulières, ont eu le mérite de maintenir ma foi vivante et de faire du Christ mon plus grand confident, ma Lumière et mon Espérance.

    Tant de fois, je demande à Jésus de transformer tous mes jugements en Amour (Luc 6,37). Je ne sais que trop comme le désespoir peut être grand et puissant.

    Aussi, souvent, je crois, les "médecins" qui recourent à l’euthanasie sont animés d'un désir d'amour, d'écoute et de respect. Mais la mort n'est pas une solution. Ne devrions-nous pas justement être un témoignage d'espérance et de vie ? Croire qu'un chemin est toujours possible ! La résurrection nous le montre.

    Avant la demande d'euthanasie de mon papa, j’étais comme la plupart des catholiques : je faisais partie de ceux qui ne sont ni pour ni contre car, « il faut respecter le choix de chacun, ne pas brusquer ». Aujourd’hui, l'ayant vécu de près, je rejette ce compromis et cette fadeur d’antan. Cette tolérance me glace !

    Oui, la souffrance est souvent si dure et intolérable, et personne n’est épargné ! Mais la Croix, toute la Passion me montre une invitation réelle à l'accueillir ! Jésus, la sachant, n'a rien rejeté...

    Aujourd’hui, l’euthanasie m’apparaît comme un horrible crime. Et c’est sans doute de là que naît ce désir de faire bouger les choses, de secouer les cœurs endormis comme le mien a été réveillé. C'est trop important !

    Depuis le déclenchement de ma maladie, je me bats à chaque instant pour choisir de vivre, choisir de croire, choisir d'aimer. Tant de fois, je tombe et n’y arrive pas. Le désespoir, le découragement, les peurs, l'orgueil sont tellement présents... La Vie est un combat quotidien. C'est si dur de choisir de croire, de choisir d'aimer ! CETTE AUDACE DE LA VIE !

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  • Nice : le sens du martyre et la vocation des chrétiens face à la haine et la violence

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    Entretien avec le curé de la basilique Notre-Dame de l'Assomption à Nice

    26 décembre 2020

     
    Deux mois après l'attentat, le père Franklin Parmentier, curé de la basilique Notre-Dame de l'Assomption, livre un témoignage poignant sur le sens du martyre et la vocation des chrétiens face à la haine et la violence. Le 29 octobre 2020, Nadine, Vincent et Simone sont assassinés alors qu'ils priaient et servait dans la basilique à Nice.
  • L'indescriptible souffrance du peuple polonais et de son Église au XXe siècle

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    De Denis Lensel sur Aleteia.org :

    Pologne : l'indescriptible souffrance d'un peuple et de son Église au XXe siècle

    26/12/20

    En Pologne, les controverses des débats de société de l’Europe d’aujourd’hui ne sauraient faire oublier le passé douloureux de la nation tout entière. Le peuple et l’Église de Pologne ont traversé un double chemin de croix au XXe siècle, en subissant l’occupation du paganisme nazi et la persécution du communisme athée.

    La Pologne catholique a été broyée entre les fléaux d’Hitler et Staline de 1939 à 1944, sous le signe du Pacte germano-soviétique qui a sonné le glas de la liberté de l’Europe le 23 août 1939. Les démocraties occidentales n’ont alors mené aucune action efficace pour préserver ce pays d’un écrasement militaire fatal. Le peuple polonais a été considéré comme une « race inférieure » en tant que peuple slave par le régime nazi, et comme un ennemi héréditaire réactionnaire par la Russie soviétique. En outre, son identité religieuse chrétienne a fait de lui un objet commun d’exécration, tant de la part du nazisme néopaïen que de l’athéisme communiste. Ces deux systèmes totalitaires s’étant jurés de détruire la civilisation judéo-chrétienne, la Pologne catholique était devenue pour eux une proie idéale. 6,3 de ses 35,5 millions d’habitants ont péri, 22% de la population totale. C’est un des pays qui ont le plus souffert de la Seconde Guerre mondiale. Si le plus grand massacre a été celui des Juifs à partir de janvier 1942 (3 millions de morts sur 3,4 personnes), la population catholique vivant en Pologne a cependant payé un tribut considérable.

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  • Dévolue à la famille : une année "Famille Amoris Laetitia" (mars 2021 - juin 2022)

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    Brochure du Dicastère sur l'Année "famille Amoris laetitia"

    De Vatican News :

    Le Pape convoque une année “Famille Amoris laetitia”

    L’annonce a été faite ce dimanche 27 décembre 2020, où l’Église célèbre la Sainte Famille de Nazareth: le Souverain pontife décrète une année “Famille Amoris Laetitia”, qui sera inaugurée au cours de la prochaine solennité de saint Joseph, le 19 mars 2021.

    Pour le Pape, la fête de ce dimanche rappelle l’urgence de redécouvrir l’appel de la famille à être «évangélisatrice par son exemple de vie» en proposant à nouveau «l'idéal de l'amour conjugal et familial, comme le souligne l'exhortation apostolique Amoris laetitia», dont le 5e anniversaire de publication aura lieu le 19 mars prochain. Aussi, cette année sera-t-elle l'occasion «d'approfondir le contenu de ce document», a annoncé le Saint-Père au cours de l'Angélus.

    Cette année spéciale, intitulée “Famille Amoris laetitia”, sera donc inaugurée lors de la prochaine solennité de Saint Joseph et se terminera avec la 10e Rencontre mondiale des familles qui se tiendra à Rome en juin 2022, en présence du Saint-Père, précise un communiqué du Dicastère Famille, laïcs et vie, cheville-ouvrière de l'événement.

    «Des outils pastoraux seront mis à la disposition des communautés ecclésiales et des familles, pour les accompagner dans leur cheminement», a expliqué le  Souverain pontife, qui invite en conséquence tous les fidèles à se joindre dès à présent aux initiatives qui seront promues au cours de cette année par le Dicastère romain.

    «Confions à la Sainte Famille de Nazareth, en particulier à saint Joseph, époux et père attentif, ce voyage avec les familles du monde entier», a conclu le Saint-Père, qui le 8 décembre dernier, a décrété une autre Année spéciale dédiée justement à l’Époux de la Vierge Marie, par le biais de la Lettre apostolique Patris corde.

    Une année spéciale qui exhorte à témoigner de l'amour familial

    Des initiatives spirituelles, pastorales et culturelles pour accompagner les familles face aux défis de notre temps. Le Dicastère pour les Laïcs, la Famille et la Vie les propose afin de soutenir les paroisses, les diocèses, les universités et les associations dans la célébration de l'Année de la “famille Amoris laetitia”, convoquée par le Pape François dans le sillage de son exhortation Apostolique consacrée à l'amour familial.

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