Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Foi - Page 703

  • Funérailles : un évêque insiste sur la place du prêtre au centre des célébrations

    IMPRIMER

    Funérailles : les orientations de Mgr Moutel (source : Riposte catholique)

    Le 20 février, Mgr Denis Moutel, évêque de Saint-Brieuc, a publié de nouvelles orientations diocésaines sur les funérailles. Elles sont en ligne depuis le 10 mars sur le site internet du diocèse. Il rappelle la place - la première - que tient le prêtre, souvent mis à l’écart de ces célébrations, et l’importance de la messe, qui ne doit pas être systématiquement rendue impossible.

    « 1) La proposition de la foi

    L’Eglise répond à une demande humaine profonde. Elle ne saurait être un simple prestataire de service. Nous avons à entendre les demandes des familles mais pas au point de tout accepter. En effet, en célébrant les funérailles, l’Eglise annonce le mystère pascal du Christ et témoigne de la foi en la résurrection. Les funérailles et toute la pastorale qui les entoure sont un lieu privilégié de la proposition de la foi. Je vous invite donc à veiller à ce que les funérailles que nous célébrons soient chrétiennes, que le Christ mort et ressuscité y soit célébré, que la Parole de Dieu y soit proclamée, que l’espérance chrétienne soit annoncée et que tous les rites prévus par le Rituel soient mis en œuvre. A ne pas le faire, nous trahirions notre mission et nous provoquerions de la déception, tant chez les familles qui demandent les rites de l’Eglise que parmi les participants.

    2) La place du ministère ordonné

    Il arrive encore que la place des ministres ordonnés (prêtres et diacres) soit mise en question, dans la célébration des funérailles, sous prétexte d’égalité. C’est oublier que les ministres ordonnés signifient et transmettent le don du Christ mort et ressuscité. Par ailleurs, c’est l’Eglise qui célèbre les funérailles, l’Eglise dans toutes ses composantes. Il nous faut donc envisager la place des fidèles laïcs et des ministres ordonnés sans exclure les uns ou les autres. Dans toute célébration liturgique, la place du ministre ordonné est toujours première ; cela ne veut pas dire qu’elle soit exclusive.

    Lire la suite

  • La Belgique, ce n’est pas le Pérou

    IMPRIMER

    Lu sur le blog « salon beige » :

    "Nous sommes un Pérou qui défend la vie, le mariage et la famille" :

    6a00d83451619c69e201bb080d0727970d.jpg

    Ce sont les paroles de l’ archevêque de Lima et Primat du Pérou, le cardinal Juan Luis Cipriani, qui a également annoncé une participation supérieure au demi million de personnes à la grande Marche pour la Vie qui a eu lieu samedi.


    Il est à noter qu'au Pérou, "le droit à la vie depuis la conception est protégé par la Constitution, le Code civil, le Code de l’enfance et de l’adolescence et la Convention américaine relative aux droits de l’homme. Et le 25 mars prochain, sera célébrée la Journée de l’enfant à naître, conformément à la loi." 

    6a00d83451619c69e201bb080d0738970d (1).jpg

    Philippe Carhon

     Ref. Nous sommes un Pérou qui défend la vie, le mariage et la famille

    Mgr Cipriani a été ordonné dans la société sacerdotale de la Sainte-Croix (prêtres de l'Opus Dei) en 1977.et il a obtenu son doctorat en théologie à l'Université de Navarre.

    JPSC

  • Mais que faisait donc Bernard-Henri Levy à Notre-Dame en ce premier dimanche de carême 2012 ?

    IMPRIMER

    Lu sur lefigaro.fr :

    Véronique Lévy sur le chemin de la croix

    La sœur cadette de l'écrivain Bernard-Henri Lévy publie un livre dans lequel elle raconte sa conversion au catholicisme. Récit d'un parcours hors du commun.

    En ce premier dimanche de carême de l'année 2012, la nef de Notre-Dame de Paris est pleine à craquer. Une cérémonie présidée par Mgr Vingt-Trois rassemble les adultes qui seront baptisés quarante jours plus tard, dans la nuit de Pâques. Soudain, dans l'assistance, on s'avise de la présence de Bernard-Henri Lévy. Que fait-il là, dans les rangées réservées aux familles des catéchumènes? Des tweets fusent, vite relayés. C'est ainsi que se répand l'incroyable nouvelle: Véronique Lévy, la sœur d'une des figures de la communauté juive française, s'est convertie au catholicisme.

    Lorsqu'elle annonça à son frère qu'elle allait être baptisée, «BHL» perçut tout de suite que ce n'était pas une nouvelle lubie de sa petite sœur, de plus de vingt ans sa cadette, que personne, dans leur famille, ne prenait au sérieux. «À l'assurance et à l'intensité avec laquelle elle parlait, j'ai compris que ce n'était pas un enfantillage mais une authentique expérience intérieure, dit-il. J'ai été très vite impressionné aussi par son degré de connaissance en théologie chrétienne mais aussi juive, dont elle ne savait pourtant rien avant.» Bernard, comme l'appellent ses proches, est bouleversé. Impressionné d'abord par la transformation de Véronique: elle était fragile, instable ; il constate qu'une force nouvelle l'anime et s'en réjouit. Mais une part de lui-même est attristée par cette conversion: «Qu'en auraient pensé nos parents? Pendant son baptême, je songeais que cet événement les aurait désolés. C'est une rupture comme il ne s'en était sans doute jamais produit dans cette lignée multimillénaire des Lévy, confie-t-il. J'avais aussi le sentiment d'avoir échoué à transmettre quelque chose à cette petite sœur qui pourrait être ma fille.»

    Lire la suite

  • Naples : le sang de saint Janvier s'est liquéfié à moitié lors de la visite du pape

    IMPRIMER

    téléchargement.jpgLu sur aleteia.org (italien) :

    Le sang s’est liquéfié, oui, mais à moitié. « Signe, a dit le Cardinal Sepe aux prêtres et aux religieux, parmi lesquels – exceptionnellement – les sœurs cloîtrées de Naples, rassemblés dans la cathédrale pour rencontrer François- que saint Janvier aime le pape qui est napolitain comme nous. »

    François, en souriant, a fait remarquer que, si le sang s’est liquéfié à moitié, "cela veut dire qu’il nous aime à moitié et que nous devons faire davantage pour nous convertir. Priez pour moi".

    Le prodige ne s’était jamais produit en présence d'un pontife. Il n'y a eu que le précédent – d’ailleurs controversé – du miracle se renouvelant pour Pie IX fuyant Rome en 1848 chassé par les troupes de Mazzini. Il ne s'est pas produit avec Jean Paul II, qui était arrivé à Naples le 21 octobre 1979 ni même avec Benoît XVI, qui avait visité la ville à la même date, le 21 octobre, mais en 2007.

    Le pape est entré à la cathédrale, où sont conservées les ampoules avec les précieuses reliques, à 15 heures, à l’heure malgré l’intense journée napolitaine au cours de laquelle il y a d’abord eu la prière dans le sanctuaire de Pompéi, puis la rencontre avec les gens de la périphérie de Scampia, la messe sur la place du Plébiscite et le déjeuner avec les prisonniers de Poggioreale.

    Le miracle de la liquéfaction est attendu, outre pour la fête de san Gennaro, le 19 septembre (date du martyre), à deux autres moments de l'année : le samedi précédant le premier dimanche de mai et le 16 décembre. A ces circonstances habituelles s’ajoutent les occasions auxquelles les ampoules avec la précieuse relique sont sortis du coffre-fort dans lequel elles sont conservées pour conjurer la menace de catastrophes naturelles ou pour la visite de certains personnages importants, comme celle du pape François.

    Si la liquéfaction ne se produit pas dans les occasions ordinaires, cela est considéré comme un mauvais présage. C'est arrivé, par exemple, en mai 1973, quand Naples a été frappée par une épidémie de choléra, et en septembre 1980, alors que, deux mois plus tard, se produisait le séisme en Irpinia.

    Prenant la parole au pied levé, après avoir remis le texte du discours au Cardinal Sepe, François a repris certains thèmes dont il a parlé à plusieurs reprises durant les deux années de son pontificat. En particulier, il a réinsisté sur la nécessité de l'esprit de pauvreté pour tous et a dit non aux prêtres affairistes. "Il y a tant de scandales dans l'Eglise, a déploré le pape, et il y a un tel manque de liberté à l’égard de l'argent!".

  • Aujourd'hui, à Longpont (Essonne), chrétiens et musulmans prient ensemble la Vierge Marie

    IMPRIMER

    agenda-337097.jpgEnsemble avec Marie (http://www.ensembleavecmarie.org/ensemble-avec-marie.php)

    Marie est une haute figure spirituelle qui illumine les traditions religieuses chrétiennes et musulmanes.

    Pour les Chrétiens comme pour les Musulmans, Marie est vierge et mère de Jésus. Choisie par Dieu, elle a reçu de l’ange Gabriel l’annonce de la naissance virginale de Jésus.

    Les récits de l’annonciation dans l’Evangile de Luc et dans le Coran sont proches :

    « 0 Marie ! Dieu t’annonce la bonne nouvelle d’un Verbe émanant de lui : Son nom est : le Messie, Jésus, fils de Marie » (Coran 3,45)

    « Sois sans crainte, Marie ; car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils, et tu l’appelleras du nom de Jésus. » (Luc 1,31)

    Marie est un exemple et un lien qui nous unit. Pour les chrétiens comme pour les musulmans, Marie est un modèle de foi en Dieu.

    Des sanctuaires dédiés à Marie dans le monde sont visités par des chrétiens comme par des musulmans. Leur amour pour Marie est déjà un vecteur de rassemblement.

    Ensemble avec Marie, nous voulons participer à l’avènement d’une nouvelle civilisation de l’Amour et de la Paix.

    Lire la suite

  • Synode sur la famille : la révolution ne passera pas

    IMPRIMER

    Le pape François semble l’avoir compris et prendrait maintenant ses distances vis-à-vis de la tendance Kasper. C’est du moins ce qui ressort de l’analyse de Sandro Magister sur son site « Chiesa » :

    carlo_caffarra1.jpgROME, le 20 mars 2015 – "Comme cela, on ne résout rien du tout", a déclaré le pape François à propos de l’idée de donner la communion aux divorcés remariés. Et moins encore s’ils la "veulent", s’ils la réclament. Parce que la communion n’est pas "une médaille, une décoration. Non". 

    Dans la plus récente de ses grandes interviews, Jorge Mario Bergoglio a gelé les attentes d’un changement substantiel dans la doctrine et dans la pratique du mariage catholique, attentes qu’il avait lui-même alimentées indirectement :

    > Los primeros dos años de la “Era Francisco” en entrevista a Televisa

    "Attentes démesurées" : c’est ainsi qu’il les a définies. Et il n’a plus fait la moindre allusion aux thèses innovatrices du cardinal Walter Kasper, un homme qu’il a félicité à plusieurs reprises dans le passé, mais vis-à-vis de qui il semble avoir pris ses distances.En sens inverse, le pape François fait preuve, depuis quelque temps, d’une attention et d’une estime croissantes vis-à-vis d’un autre cardinal théologien, qui soutient, à propos de l’"Évangile du mariage", des thèses qui sont parfaitement dans la ligne de la tradition : l'Italien Carlo Caffarra (photo), archevêque de Bologne.

    À l’époque où il était professeur de théologie morale, Caffarra était un spécialiste du mariage, de la famille, de la procréation. C’est pour cette raison que Jean-Paul II lui confia la présidence de l’institut pontifical d'études sur le mariage et la famille qu’il avait créé en 1981 à l'université du Latran, à la suite du synode de 1980 qui avait été consacré précisément à ces questions.

    Lire la suite

  • Mgr Léonard : "Je ne suis pas Charlie"

    IMPRIMER

    Nos amis d'Espérance Nouvelle se font l'écho de l'entretien accordé par Mgr Léonard à l'hebdomadaire "Paris Match" :

    Grand entretien de Mgr Léonard avec Paris Match : "Je ne suis pas Charlie"

    Dans le sillage du Pape François et de ses nombreux entretiens accordés à la presse séculière, Mgr Léonard a accepté d'être interrogé par le célèbre magazine français.

    "Le 6 mai prochain, André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, primat de Belgique, aura 75 ans et enverra sa "lettre de renonciation" au Pape. L'occasion du bilan d'une vie. Dans ce grand entretien accordé à Paris Match, Mgr Léonard n'élude aucun des grands débats qui traversent l’Église. Mieux, il se livre avec beaucoup de franchise et d'humilité, conférant à ce texte un statut de véritable confession [au sens profane bien entendu; NdEspN]. 

    Lire la suite sur Espérance Nouvelle

  • Louis et Zélie Martin bientôt canonisés

    IMPRIMER

    Zelie_and_Louis_Martin.jpgPar Jean-Marie Guénois sur lefigaro.fr :

    Les parents de Sainte Thérèse de l'enfant Jésus vont être canonisés

    C'est une première pour l'Église catholique: un couple marié ayant eu des enfants va être canonisé. Ils sont français, ont vécu au XIX° siècle, et ont donné naissance à neuf enfants, dont la dernière, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, a été canonisée en 1925 et proclamée docteur de l'Église en 1997. Ils s'appellent Louis et Zélie Martin. Le pape François, qui confesse publiquement sa dévotion personnelle pour Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, devrait les canoniser en octobre prochain, lors du synode sur la famille.

    Le «miracle» nécessaire pour passer de la béatification - qui fut célébrée en 2008 sous Benoît XVI - à la canonisation, a été reconnu le 18 mars 2015 par le pape François après une longue enquête distincte, médicale et théologique. Il concerne la «guérison» d'une enfant espagnole, Carmen, actuellement âgée de quatre ans et habitant dans le diocèse de Valence.

    Née prématurément et atteinte de multiples complications dont une hémorragie cérébrale très grave, elle n'aurait pas dû pouvoir survivre. L'équipe médicale qui la suivait a toutefois dû constater non seulement une amélioration spectaculaire mais l'absence totale désormais de séquelles après que ses parents - conseillés par des amis car ils ne connaissaient pas la vie des époux Martin - ait demandé dans la prière et par «leur intercession», le rétablissement de leur fille.

    Jamais l'Église n'a reconnu, à ce niveau, la sainteté des parents

    Les époux Martin seront donc le premier couple canonisé par l'Église catholique en tant que père et mère de famille. D'autres couples ont déjà été béatifiés dans le cadre de béatifications collectives de martyrs comme ceux du Japon par exemple, mais jamais l'Église n'a ainsi reconnu, à ce niveau, la sainteté des parents.

    En 2001, Jean-Paul II avait certes ouvert la voie en béatifiant une couple d'Italiens, Luigi Beltrame Quattrocchi (1880-1951) et Maria Corsini (1884-1965) mais ces Romains ne sont pas encore canonisés. Dans ces cas, l'Église ouvre de toute façon deux procès séparés de façon à vérifier, dans la vie de l'un et de l'autre, si les critères d'une vie qu'elle considère comme sainte, sont remplis. Il n'y a donc pas de cause commune de béatification ou de canonisation.

    Les époux Martin, mariés en juillet 1858, auront partagé 19 années de vie familiale avant que Zélie, née en 1831, ne meure le 28 août 1877. Elle laisse la future sainte Thérèse, âgée de seulement quatre ans. C'est alors que Louis, veuf, quitte Alençon pour s'installer à Lisieux, ville de sa belle famille, où Thérèse entrera finalement au Carmel. Natif de Bordeaux, il meurt à 71 ans, le 29 juillet 1894.

    L'un comme l'autre avaient pensé à s'engager dans la vie religieuse avant de se marier. Sur leurs neuf enfants - dont quatre morts en bas âge - cinq ont épousé la vie religieuse. Avant de se marier Zélie Martin, née Guérin, était à la tête d'une prospère entreprise de dentelles qu'elle avait fondée. Louis, quant à lui, était horloger bijoutier de métier.

  • François : "c’est à la manière dont sont traités les enfants qu’on peut juger la société"

    IMPRIMER

    jesusenfants.jpgCatéchèse du 18 mars 2015 (zenit.org)

    Le pape François évoque le « grand cadeau que sont les enfants pour l’humanité ». Pour conclure son cycle de catéchèses du mercredi sur la famille, le pape a traité ce 18 mars au matin des petits enfants, invitant à accueillir davantage la vie. Il a annoncé une seconde catéchèse sur le même thème pour mercredi prochain.

    Le pape indique dans la façon dont on accueille les enfants une jauge pour l’état de la société : « C’est à la manière dont sont traités les enfants qu’on peut juger la société, mais pas seulement moralement, sociologiquement aussi, si c’est une société libre ou une société esclave d’intérêts internationaux. »

    Voici notre traduction intégrale de la catéchèse donnée en italien.

    A.B.

    Catéchèse du pape François

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Après avoir passé en revue les différentes figures de la vie familiale – la mère, le père, les enfants, les frères et sœurs, les grands-parents – je voudrais conclure ce premier ensemble de catéchèses sur la famille en parlant des petits enfants.

    Je le ferai en deux fois : aujourd’hui, je m’arrêterai sur le grand cadeau que sont les enfants pour l’humanité – c’est vrai, ils sont un grand cadeau pour l’humanité, mais ce sont aussi les grands exclus parce qu’on ne les laisse même pas naître – et la prochaine fois, je m’arrêterai sur quelques blessures qui, malheureusement, font du mal à l’enfance.

    J’ai à l’esprit les nombreux enfants que j’ai rencontrés pendant mon dernier voyage en Asie : plein de vie, d’enthousiasme et, d’autre part, je vois que dans le monde, beaucoup d’entre eux vivent dans des conditions qui ne sont pas dignes… En effet, à la manière dont sont traités les enfants, on peut juger la société, mais pas seulement moralement, sociologiquement aussi, si c’est une société libre ou une société esclave d’intérêts internationaux.

    Lire la suite

  • Le film "L'Apôtre" projeté à Herstal ce dimanche 22 mars

    IMPRIMER

    Sans titre.png

    Sans titre2.png

    http://www.lefigaro.fr/cinema/2015/01/16/03002-20150116ARTFIG00294-cheyenne-carron-l-apotre-est-un-film-de-paix.php

  • Jeunesse et mariage : un lunch débat à l’Ulg le mercredi 25 mars à 18h00

    IMPRIMER

    Copie de ulg_28janv.jpg

    34641307.jpgDSCF0392.JPG

    Avec le témoignage des jeunes eux-mêmes : s’inscrire le 20 mars au plus tard par tél 04.344.10.89 ou en cliquant ici : http://www.ethiquesociale.org/conference/jeunesse-et-mariage/

     

    Invitation à la table-ronde Jeunesse et Mariage mercredi 25 mars à l’ULg

    Madame, Monsieur, Chers amis,

    Vous êtes cordialement invités à prendre part au prochain lunch-débat de notre cycle 2015 sur «La famille : solution ou problème ?» qui aura lieu le mercredi 25 mars prochain à 18h dans la Salle des Professeurs de l’Université de Liège.

    Cette troisième rencontre sera une table-ronde sur le thème Jeunesse et Mariage dont les protagonistes seront deux ménages qui animent des sessions de préparation au mariage, respectivement à Bruxelles et à Liège.Les deux ménages,ainsi que le modérateur sont parents de famille nombreuse.

    Jeunesse et mariage : TABLE RONDE

    A la vue du nombre des échecs matrimoniaux dans la société d’aujourd’hui, réfléchir à la manière dont se prépare un mariage pour toute la vie n’est pas un luxe. Les conclusions du synode sur la famille d’octobre 2014 préparatoire à celui d’octobre 2015 nous y invitent (point 39 : cliquer ici).

    Dans le même sens, Mgr Léonard nous disait lors de sa conférence du 28 janvier dernier : en Occident, la préparation au mariage doit être renforcée. En Belgique, nous sommes dans un des pays les plus laxistes au monde à ce point de vue. Nos voisins français sont déjà plus exigeants et aux Etats-Unis on est très exigeant. Un diocèse qui voudrait faire ici la même chose qu’aux Etats-Unis serait traité de dictatorial. Et pourtant, on ne peut pas, en conscience, engager des gens dans le mariage sacramentel tel que Jésus et son Eglise le proposent sans une préparation solide : pas seulement juridique, psychologique, technique mais une préparation spirituelle.

    PROGRAMME
    Apéritif à 18h00
    Exposé suivi du lunch-débat de
    18h15 à 20h30  

    Oriane et Christophe de HEMPTINNE, infirmière et officier supérieur de l’Armée, animateurs de « Bâtir sa maison sur le roc » à Bruxelles.

    Nathalie et Benoît SALEE, médecin et architecte,animateurs de la « Communauté de l’Emmanuel » à Liège.

    Modérateur : Bruno VERMEIRE, professeur de philosophie et de religion au Lycée Martin V de Louvain-la-Neuve.

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place) ; 2 € pour les étudiants
    Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (vendredi 20 mars) :
    soit par téléphone : 04 344 10 89
    soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit sur notre site internet :(cliquer ici)

    La rencontre se tient à la salle des professeurs,dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    JPSC