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Foi - Page 711

  • Université de Liège, le mercredi 4 mars à 18h00: la famille, nature et culture: l'équivoque freudo-marxiste

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    Une initiative du groupe éthique sociale et de l'union des étudiants catholiques de Liège:

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    La famille : nature et culture, l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch Débat à Liège avec Paolo Sorbi,

    Professeur ordinaire de Sociologie à l’Università Europea de Rome.

    L’analyse d'un sociologue catholique italien qui, après avoir adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60, a redécouvert les valeurs sociales chrétiennes comme celles de la famille naturelle et a des affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI.

    La crise actuelle de la famille est attribuée à une culture qui refuse la stabilité de la nature humaine. Cette culture a été développée par le courant freudo-marxisme de l’Ecole de Francfort  (« Frankfurter Schule») : la pensée de Freud et de Marcuse a voulu détruire la figure du « père-maître » qui aurait été la cause de l'autoritarisme allemand  et la pensée de Marx a servi d’instrument pour promouvoir un égalitarisme entre homme et femme à tous les niveaux .Sous l’effet de ce coktail explosif, destructeur de la notion de «père» et de «mère», la famille est alors perçue comme une «prison» liberticide.

    Mercredi 4 mars 2015 à 18h00, Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, Salle des Professeurs, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché).

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    Si vous désirez prendre part à ce  lunch débat, votre inscription est requise (avant le 27 février).

    A cet effet, cliquez ici :http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/remplissez le formulaire et cliquez sur la case réserver. Vous pouvez aussi téléphoner au n° 04.344.10.89  

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  • Mgr Gaillot : vingt ans après

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    « Si l'Eglise n'évolue pas, elle disparaîtra » déclare celui qui, vingt ans après, n’a lui non plus guère évolué. Lu sur le blog du  « Parisien » :

    « Mariage gay, précarité... A 80 ans, Mgr Gaillot, l'évêque mis sur la touche depuis vingt ans, est toujours aussi engagé sur les sujets de société et se montre admiratif envers le pape.

    Il y a vingt ans jour pour jour, devant quelque 20 000 fidèles supporteurs, Mgr Jacques Gaillot célébrait sa dernière messe à Evreux en tant qu'évêque de ce diocèse. Il venait d'être destitué de ses fonctions par le Vatican qui sanctionnait là ses sorties publiques jugées provocantes. « L'affaire Gaillot » provoquera des blessures et des divisions au sein du clergé français.

    A la tête depuis deux décennies de l'évêché fantôme de Parténia, le trublion continue de défendre les exclus. Rencontre à la maison des spiritains à Paris (Ve), qui l'héberge.

    Comment exister quand on est un évêque sans diocèse et sans responsabilités ?

    MGR GAILLOT. On fait sa vie. Je ne suis pas à la rue. J'ai la santé. Je suis le président de l'association Droits devant ! ( NDLR : qui lutte, notamment, contre la précarité ). Je soutiens l'association Droit au logement. Les mal-logés se disent : « Lui, il peut nous comprendre ! » Moi-même, j'ai été exclu, c'est un bon passeport que l'Eglise m'a donné là. Je m'investis aussi aux côtés des prisonniers. Je visite Yvan Colonna à la prison d'Arles, cela fait une dizaine d'années qu'on se fréquente et je vais voir ses parents en Corse.

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  • Quand des jeunes chrétiens vont à la rencontre de ces chrétiens qui donnent leur vie pour les autres

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    Sur lefigaro.fr etudiant, par Julie-Anne De Queiroz :

    Trois jeunes chrétiens à la rencontre des exclus des quatre coins du monde

    Pendant un an, ces trois étudiants en école de commerce ont décidé de partir à la rencontre de ces chrétiens qui donnent leur vie pour les autres, avec l’intention de montrer un autre visage de l’Église : celui des personnes engagées qui la composent.

    Ils sont trois, ils sont jeunes et étudiants en école de commerce. Comme beaucoup d’autres avant eux, ils ont décidé de prendre une année pour faire autre chose, voir du pays. Mais leur projet a tout de même une sacrée spécificité: il ne s’agit pas d’un voyage, d’une année sabbatique ou d’un simple stage. Ce qu’ils ont voulu réaliser en partant 12 mois loin de tout, c’est un «témoignage»: rendre compte de la vie de ces croyants qui donnent leur vie pour les autres, aux quatre coins du monde. Et tordre le cou à quelques idées reçues, par la même occasion.

    Le périple de Quentin, Jean et Geoffroy, amis de longue date réunis par leur foi catholique, a démarré en septembre dernier par une bonne dose d’émotion: une rencontre avec le Pape François. «En amont, on a passé 6 mois à envoyer des tonnes de mails et de courriers à l’ensemble de la curie romaine pour expliquer notre projet» raconte Quentin, amusé. Une détermination qui finira par payer, puisqu’on les invitera à une audience générale du souverain Pontife, au cours de laquelle ce dernier bénira leur carnet d’intention de prières.

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  • Battice (Herve), 8 mars : Festival de l'Espérance avec les Frères Jaccard

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  • "Objectif Pâques" avec les Frères de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier

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    Chers amis,


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  • Une société sans enfants est une société déprimée

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    Les enfants sont la joie de la famille et de la société

    Catéchèse du 11 février 2015 (traduction intégrale) (source : zenit.org)

    « Les enfants sont la joie de leur famille et de la société. Ils ne sont pas un problème de biologie reproductive, ni une façon parmi d’autres de se réaliser. Et ils sont encore moins la possession de leurs parents… Non, les enfants sont un don, ils sont un cadeau » : la vie d'un enfant est « destinée à lui, à son bien, au bien de la famille, de la société, de toute l’humanité », affirme le pape François.

    Le pape a poursuivi ses catéchèses sur la famille en méditant sur la figure des enfants, lors de l'audience générale de ce mercredi matin, 11 février 2015, place Saint-Pierre.

    Il a souligné que l’expérience de l'enfant était d'abord celle de « la gratuité », celle de « la beauté d’être aimé en premier » car les enfants « sont aimés avant d’avoir fait quoi que ce soit pour le mériter, avant de savoir parler ou penser, et même avant de venir au monde ».

    A une époque où « il semble plus difficile pour les enfants d’imaginer leur avenir », il les a encouragés à « ne pas avoir peur de s’engager pour construire un monde nouveau », sans « arrogance, sans suffisance ».

    Le pape a plaidé pour l'harmonie entre les générations : « Il faut savoir reconnaître la valeur de ses enfants et il faut toujours honorer ses parents. ». Le quatrième commandement « contient quelque chose de sacré, quelque chose de divin, quelque chose qui se trouve à la racine de toutes les autres formes de respect entre les hommes », a-t-il estimé.

    « Une société d’enfants qui n’honorent pas leurs parents est une société sans honneur », destinée « à se remplir de jeunes arides et avides », a-t-il mis en garde.

    « Mais une société avare de génération, qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère surtout comme une préoccupation, un poids, un risque, est une société déprimée... Ne pas avoir d’enfants est un choix égoïste. La vie rajeunit si elle acquiert des énergies en se multipliant : elle s’enrichit, elle ne s’appauvrit pas ! », a ajouté le pape.

    Il a conclu en demandant à la foule d'observer « une minute de silence » en pensant à ses parents et à ses enfants et en « remerciant Dieu pour le don de la vie ».

     

    A.K.

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  • Denis Crouan publie un guide pratique sur "l’art de célébrer" la liturgie

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    Ecrit à la demande de prêtres et de laïcs, ce Guide a pour but d'aider les fidèles catholiques à retrouver le sens du sacré, en renouvelant la vie liturgique des paroisses, dans la fidélité aux normes du concile Vatican II, et le respect des enseignements pontificaux, notamment ceux du Pape émérite Benoît XVI.

    " L'art de célébrer doit favoriser le sens du sacré et l'utilisation des formes extérieures qui éduquent à un tel sens, comme par exemple l'harmonie du rite, des vêtements liturgiques, de l'ameublement et du lieu sacré.(...) La simplicité des gestes et la sobriété des signes, effectués dans l'ordre et dans les moments prévus, communiquent et impliquent plus que le caractère artificiel d'ajouts inopportuns. L'attention et l'obéissance à la structure propre du rite, tout en exprimant la reconnaissance du caractère de don de l'Eucharistie, manifestent la volonté du ministre d'accueillir, avec une docile gratitude, ce don ineffable." Benoît XVI, exhortation Sacramentum caritatis.

    Clair et facile à lire, cet ouvrage permet de redécouvrir le service du sacristain, le sens et l'utilisation des objets et des vêtements liturgiques, le déroulement de la messe, le rôle des servants de messe, l'attitude des fidèles, la place des chants et de la musique.

    L'auteur, Denis Crouan, est Docteur en théologie, professeur de Lettres et d'Histoire, organiste et maître de choeur. Il a publié de nombreux ouvrages sur la liturgie qui font aujourd'hui autorité.

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  • Face aux djihadistes, l'Europe du vide

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    Fabrice Hadjadj : les djihadistes, le 11 janvier et l'Europe du vide

    Source : FIGARO VOX  

    FIGAROVOX/TRIBUNE - L'écrivain et philosophe Fabrice Hadjadj estime que l'islamisme profite de la faiblesse d'une Europe techno-libérale qui a rejeté ses racines gréco-latines et ses ailes juive et chrétienne.

    Fabrice Hadjadj est écrivain et philosophe, directeur de l'Institut européen d'études anthropologiques Philanthropos. Son dernier essai, «Puisque tout est en voie de destruction», a été publié chez Le Passeur Éditeur (avril 2014).

    Ce texte est celui d'une intervention donnée par le philosophe en Italie à la Fondation de Gasperi devant les ministres italiens de l'Intérieur et des Affaires étrangères, le président de la communauté juive de Rome, le vice-président des communautés religieuses islamiques de la ville.

    Chers Djihadistes -c'est le titre d'une lettre ouverte publiée par Philippe Muray- un de nos plus grands polémistes français- peu après les attentats du 11 septembre 2001. Cette lettre s'achève par une série d'avertissements aux terroristes islamiques, mais ceux qu'elle vise en vérité, par ricochet et par ironie, ce sont les Occidentaux fanatiques du confort et du supermarché. Je vous cite un passage dont vous allez tout de suite capter l'heureuse et cinglante raillerie: «[Chers Djihadistes], craignez la colère du consommateur, du touriste, du vacancier descendant de son camping-car! Vous nous imaginez vautrés dans des plaisirs et des loisirs qui nous ont ramollis? Eh bien nous lutterons comme des lions pour protéger notre ramollissement. […] Nous nous battrons pour tout, pour les mots qui n'ont plus de sens et pour la vie qui va avec.» Et l'on peut ajouter aujourd'hui: nous nous battrons spécialement pour Charlie Hebdo, journal hier moribond, et qui n'avait aucun esprit critique -puisque critiquer, c'est discerner, et que Charlie mettait dans le même sac les djihadistes, les rabbins, les flics, les catholiques, les Français moyens- mais nous en ferons justement l'emblème de la confusion et du néant qui nous animent!

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  • Message du pape pour le XXIIIe Journée mondiale du malade 2015

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    Message pour la XXIIIe Journée mondiale du malade 2015

    La "sagesse du coeur" pour s'ouvrir à la souffrance des frères

     

    Le message du pape François pour la XXIIIe Journée mondiale des malades célébrée le 11 février 2015, en la fête de Notre Dame de Lourdes, a été publié le 30 décembre sur le thème "J’étais les yeux de l’aveugle, les pieds du boiteux" (Jb 29,15).

    Le pape médite sur la « sagesse du cœur », « un comportement inspiré par l’Esprit Saint dans l’esprit et le cœur de celui qui sait s’ouvrir à la souffrance des frères et reconnaît en eux l’image de Dieu ».

    Message du pape François

    Sapientia cordis
    "J’étais les yeux de l’aveugle, les pieds du boiteux" (Jb 29,15)

    Chers frères et sœurs,

    À l’occasion de la XXIIIème Journée mondiale du Malade, instaurée par saint Jean-Paul II, je m’adresse à vous tous qui supportez le fardeau de la maladie et êtes unis, de diverses manières, à la chair du Christ souffrant, et à vous également, professionnels et bénévoles de la santé.

    Le thème de cette année nous invite à réfléchir sur une phrase du Livre de Job : « J’étais les yeux de l’aveugle, les pieds du boiteux » (29,15). Je voudrais le faire dans la perspective de la « sapientia cordis », la sagesse du cœur.

    1. Cette sagesse n’est pas une connaissance théorique, abstraite, fruit de raisonnements. Elle est plutôt, comme le décrit saint Jacques dans son épître, « pure, puis pacifique, indulgente, bienveillante, pleine de pitié et de bons fruits, sans partialité, sans hypocrisie » (3,17). Elle est donc un comportement inspiré par l’Esprit Saint dans l’esprit et le cœur de celui qui sait s’ouvrir à la souffrance des frères et reconnaît en eux l’image de Dieu. Faisons donc nôtre l’invocation du psaume : « Fais-nous savoir comment compter nos jours, que nous venions de cœur à la sagesse ! » (Ps 90,12). Dans cette sapientia cordis, qui est don de Dieu, nous pouvons résumer les fruits de la Journée mondiale du Malade.

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  • Décès de Gilberte Degeimbre, dernière voyante des apparitions de Beauraing

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    Sanctuaires de la Vierge au Cœur d’or – Beauraing

    Décès de Gilberte Degeimbre,

    dernière voyante des apparitions de Beauraing

    Les Sanctuaires de Beauraing vous informent du décès de Mme Gilberte Degeimbre, dernière des 5 voyants des apparitions de Beauraing. Née le 13 août 1923 à Vonêche, Gilberte est décédée le 10 février 2015 à l’hôpital de Mont-Godinne. Elle disait parfois devant l’aubépine, le lieu des apparitions : « Fermez les yeux, vous la verrez mieux ». C’est ce qu’elle a fait. Elle a fermé les yeux ici-bas pour revoir la Vierge dans l’au-delà. Elle laisse de nombreux témoignages vidéo de ce qu’elle a vécu, publiés notamment sur YouTube.

    Une époque se termine à Beauraing, celle du temps des voyants. Une autre époque s’ouvre, durant laquelle il s’agira de relayer le témoignage des voyants, de le communiquer autrement.

    Les funérailles auront lieu le samedi 14/02 à 10h30 aux Sanctuaires de Beauraing, dans la crypte du Rosaire.

    Interview de 47 minutes très complète où Gilberte Degeimbre, qui a vu la Vierge Marie en 1932-33 alors qu'elle avait 9 ans, livre ce qu'elle a vécu. Sous-titres en français pour les malentendants :

    Un blog est accessible à partir du site internet des Sanctuaires de Beauraing , sur lequel on peut écrire des intentions de prière et des remerciements :

    http://beauraing.catho.be/

  • Marie Noël, la grande (KTO)

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    Sur KTO : 

    LA FOI PRISE AU MOT
    Marie Noël

    Diffusé le 08/02/2015 / Durée 52 mn

     

     

     

    Un peu de prose et de poésie dans " La foi prise au mot ", ce n'est pas tous les jours. Cette semaine, Régis Burnet propose de découvrir l'oeuvre et la figure de l'écrivain et poétesse Marie Noël. Un nom connu de certains mais pas forcément d'un public très large. Pourtant, cette femme est une grande dame de la littérature dont l'essence chrétienne de l'oeuvre est évidente. Si vous ne la connaissez pas, ne vous attendez pas à de la poésie tendre ou mièvre : plus qu'une autre, Marie Noël a su mettre en mot les orages du monde et les chagrins d'une âme désespérée. Et si vous la connaissez, vous serez certainement heureux de la retrouver à travers les deux invités de cette émission, deux passionnées de Marie Noël : Marie-Noëlle Hôpital, Docteur en Lettres modernes, elle-même poète à ses heures, et Chrystelle Claude, chercheuse en Lettres modernes.