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Jeunes - Page 112

  • Noël 1948 : ô tempora, ô mores…

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    Vu sur le site de « riposte catholique » :

    La “une” du n° 9 du Journal de Tintin (23 décembre 1948 – première année de publication de l’hebdomadaire). O tempora, o mores !

    Saint et joyeux Noël à tous – et pas seulement à ceux de nos lecteurs qui seraient âgés de 7 à 77 ans…

    tintin-noel.jpg

    ref. l'image du jour

    JPSC

  • Diocèse de Fréjus-Toulon : les Missionnaires de la Miséricorde divine fêtent leurs 10 ans

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    Vu sur le site de « Famille chrétienne » :

    Le Jubilé de la Miséricorde coïncide avec le dixième anniversaire de la communauté fondée par l’abbé Loiseau dans le diocèse de Fréjus-Toulon. Une très belle vidéo a été réalisée à cette occasion par les missionnaires pour (re)découvrir son triple charisme : miséricorde, adoration et messe sous la forme extraordinaire, mission.

    JPSC

  • Liège: concert de Noël à l'église du Saint-Sacrement au Boulevard d'Avroy

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    affiche_concert_19 decembre 2015.jpg

  • Le mariage de Stromae célébré par le « curé des loubards »

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    Lu sur le site « aleteia » :

    Mariage-secret-pour-Stromae.jpg« Le père Guy Gilbert a recueilli le consentement du chanteur belge Stromae et de sa compagne, la styliste Coralie Barbier, près d'Anvers en Belgique, au cours d'une célébration discrète et familiale.

    Le célébrissime chanteur belge, Stromae, qui ne fait pas mystère de sa foi catholique, a convolé en juste noce ce samedi 12 décembre avec sa compagne et styliste personnelle, Coralie Barber. Après une tournée mondiale, le couple s’est uni à Anvers au cours d’une cérémonie présidée par le « curé des loubards », le père Guy Gilbert. Il y a quelques années, l’artiste avait confié sans complexe se sentir catholique : « Moi je suis très tradition, fidélité, tout ça… Par mon éducation, je crois que je suis hyper catho », avait-il affirmé au quotidien Libération, c’est donc sans surprise que le chanteur a célébré son mariage lors d’une cérémonie à l’église en bonne et due forme.

    Une ancienne église pour réunir les convives

    Le mariage entre Paul Van Haver, le vrai nom de la star, et Coralie Barbier, a eu lieu en présence d’environ 180 invités, qui ont tous été logés non loin, dans une ancienne église transformée depuis 2009 en hôtel quatre étoiles : le Martin’s Patterhof à Malines, aux portes de Bruxelles […]

    Ref. Le mariage de Stromae célébré par le « curé des loubards »

    JPSC

  • Le latin : un accélérateur de réussite pour les élèves défavorisés

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    Lu ICI :

    Étude — Le latin agit comme un accélérateur de réussite pour les élèves défavorisés


    Voilà une étude que la ministre socialiste de l'Éducation française, Najat Belkacem s'est bien gardée de populariser. Réalisée par la très sérieuse direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), cette note d'information s'intitule : « Le latin au collège : un choix lié à l'origine sociale et au niveau scolaire des élèves en fin de sixième ». Un titre trompeur, car elle dément en vérité tous les préjugés de la ministre de l'Éducation nationale sur le latin comme discipline réservée à l'élite. Que nous apprend cette étude ? Qu'il y a certes plus d'enfants d'enseignants que d'ouvriers qui choisissent cette option. Mais elle démontre surtout que le latin agit comme un accélérateur d'égalité, puisque son apprentissage aide davantage les élèves issus de milieux défavorisés. En observant le destin de 35 000 jeunes entrés en sixième [Secondaire I au Québec] en 2007, ses deux auteurs ont découvert que le succès aux examens des élèves latinistes vivant dans une famille modeste est supérieur de 21,5 % au brevet [examens à 14-15 ans], et de 23 % au bac [D.E.C. au Québec, vers 18 ans en France] à celui de leurs congénères non latinistes. Pour les enfants de cadres ou d'enseignants, cet écart est moins important : 5,6 % pour le brevet, 18 % pour le bac.

    De l'illettrisme à la classe prépa

    Plus surprenant, l'enseignement du latin joue un rôle pour préserver la mixité sociale dans les collèges les plus problématiques : « À milieu social et niveau scolaire identiques […], les élèves choisissent plus souvent le latin lorsqu'ils sont scolarisés en éducation prioritaire [c'est-à-dire principalement dans les banlieues « difficiles »], écrivent les auteurs de l'étude. » L'enseignement du latin est donc une manière de « retenir » les enfants de familles privilégiées dans les réseaux d'éducation prioritaire.

    Les professeurs de lettres classiques sont enchantés de ces résultats au moment où le latin et le grec sont menacés par la réforme du collège. Enchantés, mais pas étonnés. L'un d'entre eux, qui enseigne dans un collège de l'académie de Créteil, raconte ainsi comment le latin a permis à un de ses élèves, qui ne maîtrisait pas le français au début de la cinquième, de rejoindre après le bac une classe préparatoire [à la rentrée dans les hautes écoles d'élite] parisienne. Un parcours exemplaire que la transformation du latin et du grec en « enseignement pratique interdisciplinaire » [dernier projet de la calamiteuse Belkacem] risque de rendre impossible demain.

  • Belgique : le teaser des JMJ est sorti

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    Le teaser des JMJ pour la Belgique est sorti ! (source)

    L'Église catholique de Belgique vous invite en images à vous inscrire aux JMJ 2016 qui se dérouleront cet été à Cracovie.

  • Enquête fiable ? Des jeunes Français plus croyants et plus pratiquants…

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    Une nouvelle enquête souligne un regain religieux chez les 18-24 ans. 11 % d’entre eux affirment pratiquer régulièrement et un tiers a déjà participé à un rassemblement de type JMJ ou Taizé. Lu sur le site web de « La Croix » :

    « C’est l’enseignement inattendu de l’enquête menée par OpinionWay pour la Conférence des religieux et religieuses de France (Corref): le focus sur les jeunes souligne en effet un net regain religieux chez les 18-24 ans (1).

    En effet, l’enquête d’OpinionWay sur les 18-40 ans souligne, logiquement, l’érosion du catholicisme dans la société française: 77 % des 18-40 ans sont ainsi baptisés (81 % de la population française), 54 % ont fait leur première communion ou leur confirmation (contre 66 %), 52 % ont été catéchisés (61 %) et 41 % ont reçu une éducation religieuse (52 %).

     « UNE QUÊTE SPIRITUELLE EXTRÊMEMENT FORTE CHEZ LES JEUNES »

    Mais si on se concentre uniquement sur les plus jeunes, les 18-24 ans, les résultats s’inversent, de façon parfois spectaculaire. Les 18-24 ans sont ainsi 51 % à croire « certaine » ou « probable » l’existence de Dieu. C’est ainsi, et de loin, la classe d’âge la plus croyante de la population française, croyante, en moyenne, à 38 %.

     « L’enquête montre une quête spirituelle extrêmement forte chez les jeunes », se réjouit sœur Nathalie Becquart, directrice du Service national pour l’évangélisation des jeunes et pour les vocations de la Conférence des évêques de France.

    De la même manière, les 18-24 ans sont 25 % à se dire « croyants et pratiquants »: un chiffre qu’on ne retrouve que chez les plus de 65 ans. De la même manière, ils sont 62 % à se dire catholiques (au-delà de la moyenne française, qui se situe à 60 %), dépassés seulement par les 50-64 ans (65 %) et les plus de 65 ans (75 %).

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  • Le coktail explosif du choc des cultures

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    Lu sur le « salon beige » :

    loiseau.pngL'abbé Fabrice Loiseau, fondateur de la Société des Missionnaires de la Miséricorde Divine, livre ce témoignage exclusif aux lecteurs du Salon Beige, au sujet d'Hakim, arrêté fin octobre alors qu'il s'apprêtait à commettre un attentat à Toulon :

    Arrêté à Toulon fin octobre, Hakim s'apprêtait à commettre un attentat à l'arme blanche sur des marins selon la méthode palestinienne. Après le drame de Paris son histoire pourrait sembler anodine. Pourtant, elle est révélatrice d'un processus de radicalisation. Hakim souhaitait tuer et mourir « martyr » ; c'était devenu une obsession.

    On se connaissait depuis 2011. Hakim était un jeune du centre-ville de Toulon. Ce n’était pas un déséquilibré, ni un monstre. Au contraire, Hakim était un garçon sensible et intelligent. Passionné par le fait religieux, il refusait de pratiquer l'Islam et passait beaucoup de temps sur des sites ésotériques. La figure du Christ l'interpellait. Il souhaitait une religion remplie de symboles et de mystères, je lui ai expliqué notre foi mais il préférait intégrer l'Islam. En quête d'identité, Hakim était bien loin d'une pratique salafiste. Avec son côté « dandy », il ne fut jamais en lien avec des délinquants du quartier, d’où sa difficulté à trouver une arme.

    Passionné par la danse, il était fan de Michaël Jackson, animait des soirées à Saint-Tropez dans des boites de nuit et participait à des concours d'imitation de sa star préférée. 

    En évoluant dans le monde de la nuit et des habits de luxe (il travailla un temps chez Zara), les préoccupations religieuses diminuèrent. Plusieurs personnes le persuadèrent qu’avec son physique il pourrait devenir mannequin. Il monta à Paris et là ce fut l'échec !

    Il ne voulut pas me raconter ce qui s'était passé, je pense qu'il fut humilié, il comprit qu'il ne pourrait devenir mannequin ni poursuivre dans la danse. Il disparut quelques semaines puis je l’ai retrouvé dans la rue avec la barbe et en djellaba. Lorsque je lui ai proposé de discuter, il me répondit : « Non tu es mécréant, ton cœur est endurci, tu ne veux pas connaître la vérité, je n 'ai rien à te dire ». J'ai insisté, je lui dis que je veux comprendre ce qui se passe, pourquoi un tel changement ? « As tu peur de parler au mécréant que je suis ? »lui demandai-je, l' argument fit mouche. Hakim accepte alors de parler un peu et je m'aperçois qu'il a fait siennes toutes les théories salafistes.

    Il s’exprime avec une telle dureté que je comprends qu'il est en lien par internet avec des groupes radicaux, lui qui surfait auparavant sur tous les sites religieux possibles. Le monde pour lui se divise maintenant en deux réalités : les mécréants qui refusent la loi islamique et les vrais musulmans imitateurs du prophète.

    Kim Jackson, comme il se faisait appeler, est devenu partisan du djihad armé, sa piété doit passer par le courage pour soutenir la lutte armée. Je lui demande de rester mon ami. « Ton cœur résiste trop à Allah » me répondit-il. Il partit le visage fermé.

    De mois en mois, je vis sur son visage la haine grandir. Un algérien du bar à chicha me confia : « Hakim, il est devenu fou dans sa tête ». Quelques semaines plus tard, j'apprends par le quartier la convocation d’Hakim par la police, il avait pris ses billets pour la Syrie, son passeport est confisqué. Il était surveillé par la DGSI. Sa mère, une femme courageuse vient faire scandale à la sortie de la mosquée de Toulon : « Vous avez fait de mon fils un terroriste ».L'imam est médusé, il n'y est pour rien, le groupe des salafistes qui a ouvert une librairie à côté de la mosquée se tait. Hakim essaiera de nouveau de partir en car quelques semaines plus tard. Fiché, il se fait repérer et doit rentrer à Toulon où il loge dans un foyer. Il est en contact avec Mustapha, un jeune originaire de Toulon, incarcéré pour apologie du terrorisme puis parti en Syrie. Il essaye de se procurer des armes à feu, en vain. Je le surprends avec de nouveaux amis, il se rapproche de délinquants du quartier, que cherche-t-il à faire ? Les endoctriner, trouver un pistolet, je ne sais. Toujours en djellaba, nous nous croisons pour la dernière fois fin octobre. Voyant ma soutane, il eut un air gêné puis m'évita. J’apprends quelques jours plus tard son arrestation. Un colis de Chine lui est adressé contenant un poignard et deux cagoules, mais le paquet est déchiré et la police prévenue. Hakim se rend sans résistances et avoue : il voulait égorger des militaires de l'arsenal avec son couteau selon la méthode palestinienne, puis mourir en « martyr ». Était-il un loup solitaire ? Était-il commandé ou lâché par Daech ? Je ne sais. L' enquête le dira, mais plusieurs zones d'ombre demeurent dans cette histoire. Une semaine après les massacres de Paris, ce fait est oublié dans la presse. Pour ma part, je suis à la fois triste et soulagé. Triste parce que j'ai échoué, je n'ai pu au cours de ces heures de discussion lui faire prendre conscience du fanatisme de l'État Islamique. Je n'ai pas réussi à lui faire découvrir une spiritualité qui l'aurait sauvé. Triste pour sa maman et sa sœur qui doivent vivre un calvaire.

    Je suis soulagé parce que l'irréparable n'a pas été commis. À chaque fois qu'il allait commettre le pire, il a échoué comme si la Providence l'empêchait d'aller plus loin. Je ne peux m'empêcher de crier ma révolte devant ce processus de radicalisation pour l'un des garçons les plus sympathiques et les plus intelligent du quartier. Non Hakim n'était pas un fou ni un monstre ! Fragile il est devenu terroriste après un échec personnel, en fréquentant des salafistes et des sites islamistes. Ce garçon avait soif de spiritualité. C'est une religion dévoyée qui a eu raison de lui…

    Hakim n’est pas un cas isolé dans notre pays. Les pouvoirs publics, la laïcité, les valeurs de la République sont incapables d'empêcher ce phénomène. Si plusieurs facteurs peuvent jouer dans ce processus de radicalisation, il faut d’abord comprendre que c'est une raison religieuse qui a été cause de ce changement. Pris entre une société matérialiste et hédoniste et un terrorisme religieux, Hakim a choisi. Nous sommes dans une guerre religieuse dans laquelle les chars et les avions militaires ne pourront pas grand-chose. Ce drame est révélateur d'une crise de civilisation, les islamistes se nourrissent de nos faiblesses. Combien d'attentats faudra-t-il pour connaître un réveil spirituel pour notre nation ? Je ne désespère pas et je ferais tout pour revoir Hakim. Je vous invite à prier pour lui.

    Abbé Fabrice Loiseau

    Vous pouvez aider les Missionnaires de la Miséricorde ici.

    Ref. Témoignage de l'abbé Loiseau : "Hakim, mon ami devenu terroriste"

    JPSC

  • Musulmans : quand « Le Soir » donne la parole aux représentants des cultes reconnus

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    Extraits de la revue de presse de l’archidiocèse de Malines-Bruxelles :
    « Les représentants des cultes et ceux de la laïcité en Belgique, Noureddine Smaili, le président de l’Exécutif des musulmans, Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, Philippe Markiewicz, président du Consistoire et Henri Bartholomeeusen, président du Centre d’action laïque, ont répondu immédiatement présents à l’invitation du « Soir » de les faire dialoguer. Leur premier message, hier matin, ne faisait d’ailleurs aucun doute : « Tous ensemble face à ce sectarisme », chacun d’eux insistant à plusieurs reprises sur le fait que ce qui se joue n’est absolument pas une guerre de religions ou de civilisations. « Ce n’est pas l’islam qui en cause ici », affirment avec force Mgr Léonard, Philipe Markiewicz et Henri Bartholomeeusen. Ils se veulent aussi résolument aux côtés des musulmans pour traverser ces terribles événements. Aux côtés, mais pas sans demandes au président de l’Exécutif…
     
    « C’est Mgr Léonard qui, très rapidement, « ouvre les hostilités », avec bienveillance, certes, mais avecfoto-lc3a9onard (1).jpg fermeté : « Je me fais beaucoup de souci pour la communauté musulmane, ainsi que pour le sort des réfugiés, commence-t-il. Car les amalgames redoutés vont apparaître. » «Mais je crois qu’un message doit venir de vous, poursuit-il en s’adressant au président de l’Exécutif des musulmans de Belgique. D’abord, un message pour enlever cette idée d’un islam violent, qui doit passer par un recul critique par rapport aux textes. Il faut dénoncer les interprétations qui sont faites de certains versets du Coran, comme des appels à la violence. Ensuite, je crois que vous auriez grand intérêt à lancer le message de la liberté de conscience : dire que chacun est libre partout dans le monde d’avoir ou de ne pas avoir une religion ! Libre de changer de religion, alors que pour un musulman, il est difficile, voire dangereux, de se dire athée ou de devenir chrétien. Enfin, affirmer également la liberté de tout homme et de toute femme de se marier avec un partenaire d’une autre religion.» cliquez ici :  Page complète
     
    « […] Mgr Léonard livre également son analyse de la perte des valeurs auprès des jeunes : « Nous pâtissons du fait que tout en étant ouvert à la pensée d’autrui, nous manquons souvent d’identité. Or, les jeunes ont besoin de pouvoir s’identifier. Dans une atmosphère où tout est vague, sans conviction, ils cherchent des points de repères. Par exemple, les mouvements de jeunesse ont joué un rôle, mais peut-être avec un trop peu d’identité à présent. Nous manquons aujourd’hui d’engagement, de force, même s’il faut trouver le bon dosage entre identité et ouverture, pour éviter de dévier vers l’identitaire, et le repli. » Le Primat de Belgique, très bientôt à la retraite, affirme cependant qu’il existe quelques paroisses, minoritaires, certes, où les jeunes sont très nombreux. De celles qui proposent une « identité claire » cliquez ici :  Page complète … »

    JPSC

  • Bruxelles, 28-29 novembre : week-end préparatoire aux JMJ 2016 "Création et Miséricorde"

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  • Ecologie intégrale : un nouveau cycle de lunchs débats ouvert à l’Ulg par l’union des étudiants catholiques de Liège, avec le groupe « Ethique sociale » et le forum de conférences « Calpurnia »

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    IMG_6903.JPGL’Union des étudiants catholiques de Liège ouvre avec le groupe éthique sociale et le forum de conférences « Calpurnia », un nouveau cycle (2015-2016) de lunchs débats intitulé « ECOLOGIE INTEGRALE ».  Ce cycle propose, à l’Université de Liège, cinq conférences sur les thèmes de réflexion soulevés par l'encyclique « Laudato si'» (« Loué sois-tu ») publiée par le pape François le 18 juin dernier. Le titre du cycle est tiré du 4e chapitre de la lettre encyclique.

    Pourquoi s’intéresser à l’écologie ? La première rencontre du cycle tentera d’y répondre en dégageant les lignes de force de l’encyclique. Elle sera animée par Monseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, le vendredi 11 décembre à 18h00, à la salle des professeurs, dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place) - 2 € pour les étudiants

    Inscription nécessaire au plus tard trois jours ouvrables à l’avance (8 décembre 2015) :

    soit par téléphone : 04 344 10 89

    soit par email : uniondesetudiantscatholiqueliege@skynet.be

    soit sur le site internet : http://www.ethiquesociale.org/conference/382/

    La rencontre suivante, « Laudato si et les grands mythes du développement durable », aura lieu le mercredi 13 janvier 2016 (18h00). Le sujet sera développé par Drieu Godefridi, essayiste, titulaire d’un doctorat en philosophie (Paris IV-Sorbonne), masters en droit et philosophie (UCL) et d’un DEA en droit fiscal (ULB).Viendront ensuite : «  Economie et environnement : les limites du pouvoir » ;« L’écologie intégrale de saint Benoît : les abbayes bénédictines, jardiniers de la création et phare de culture » et « La crise écologique dans la vision de l’être humain ».

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