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Jeunes - Page 171

  • Mais où sont donc passés les garçons ?

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    Le Salon Beige, dont nous saluons le travail remarquable, nous oriente vers une étude de Claire de Gatellier intitulée : "Mais où sont passés les garçons?" parue sur un site consacré à la famille (française).

    J'y renvoie à mon tour, me souvenant de ces innombrables conseils de classe auxquels j'ai participé et où les problèmes évoqués étaient le plus souvent ceux des garçons. De là à penser que "la mixité tue le mâle" comme je n'arrêtais pas de le rabâcher...

    Les statistiques tombent et enfoncent le clou. Quelques chiffres au hasard: les 2/3 des jeunes sortant du système éducatif sans aucune qualification sont des garçons. En médecine 62% des titres de doctorat ont été accordés à des filles (2008), à l’Ecole Nationale de la Magistrature 82% sont des filles. L’Ecole Vétérinaire de Maisons-Alfort compte, en 2012 80% d’étudiantes. Dans l’ensemble de l’enseignement supérieur, 56% de filles. 86% des femmes contre 80% des hommes âgés de 20-24 ans sont titulaires d'un diplôme de second cycle de l'enseignement secondaire .

    Il n’y a plus que dans les écoles d’ingénieur, de technologie ou d’informatique que les garçons soient largement majoritaires…pour combien de temps ?

    Les rapports internationaux Pisa et Eurydice soulignent le retard des garçons par rapport aux filles. Eurydice parle même de crise de la masculinité...

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  • France : après la laïcité positive de Sarkozy, voici la religion laïque de Hollande

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    Puisé sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau », cet extrait du billet publié par son rédacteur en chef, Philippe Maxence, le jour de l'investiture du nouveau président français:

    « Ce mardi, le Président de la République, le ci-devant candidat du Parti socialiste François Hollande, rend hommage à Jules Ferry. Pour beaucoup, Ferry symbolise l'école laïque et obligatoire, l'école républicaine, celle du tableau noir et de la craie, des vertus civiques, des chefs-lieux et préfectures appris par cœur, des coups de règle sur les doigts et de bien d'autres choses que certains cultivent aujourd'hui avec nostalgie, à l'imitation des « nouveaux réacs » qui arpentent les couloirs de la grande presse.

    Mais Jules Ferry, le symbole de l'an I du nouveau quinquennat, c'est aussi la lutte contre l'Église catholique, à propos de l'école justement, une vieille habitude républicaine.

    Des exemples ? Disons, plus modestement, quelques dates que n'importe quelle encyclopédie confirmera :

     – février 1880 : expulsion des ecclésiastiques du Conseil supérieur de l'Instruction publique ;

    – 12 mars 1880 : la collation des grades universitaires est retirée à l'enseignement catholique ;

    – 29 mars 1880 : décret d'expulsion des jésuites et décret imposant aux autres congrégations non autorisées de se mettre en règle sous trois mois sous peine de dissolution et de dispersion ;

    – 28 mars 1882 : loi de laïcisation de l'enseignement.

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  • Trois cents personnes ont fêté le chant grégorien à Liège

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    0005510ac.jpgBelle journée festive  le samedi 12 mai dernier pour la clôture du cycle des cours 2011-2012 de l’Académie de Chant grégorien à Liège, une académie qui a vu le jour en 2003 -sans aucun appui officiel, clérical ou autre- et accueilli depuis lors plus de 250 élèves dans les locaux de l’église du Saint-Sacrement.

    Pour la circonstance, l’Ensemble Vocal « Caliomène » (dir. Ximena Gonzáles) issu du Chœur  Grégorien de Paris et l’organiste Patrick Wilwerth s’étaient joints aux 27 élèves de la « cuvée 2012 » dirigés par Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers (sans oublier les juniors accompagnés par Patricia Moulan, issue du même conservatoire).

    Au programme : un concert et une messe qui ont réuni ensemble un vaste public (près de 300 personnes).

    À 16 heures au Boulevard d'Avroy, dans une église (XVIIe siècle) des Bénédictines trop petite pour accueillir tous les auditeurs, un programme éclectique a illustré « les quatre saisons du plain-chant » : grégorien, diaphonie, déchant, plain-chant tardif du XVIIe siècle ont alterné avec le jeu des sonorités baroques du bel orgue « Le Picard »(1737) qui surplombe le chœur des moniales. Une prestation remarquable rehaussée par les voix féminines du chœur parisien, à la fois juvéniles et admirablement posées.

    Lors de la messe chantée à 18 heures dans l’église (XVIIIe siècle) du Saint-Sacrement,042.JPG sur le même Boulevard, le public  nombreux et attentif a pu découvrir un Kyriale (ordinaire de la messe) du XIe siècle, très chantant, dont la simplicité et la pureté psalmodiques contrastaient avec de somptueux motets du siècle de Louis XIV et les mélismes ornés du propre grégorien de la messe du cinquième dimanche après Pâques. À l’autel majeur du Saint-Sacrement, tout illuminé d’or et de marbre blanc, le célébrant, revêtu d’une chasuble moirée de même teinte, était secondé par un cérémoniaire et un groupe de jeunes d’une vingtaine d’années, impeccables en soutanes noires et surplis blancs.

    La journée s’est conclue par une rencontre conviviale dans les locaux de réception de l’église et la vente de superbes disques enregistrés par le chœur des moines bénédictins de Triors (dans la Drôme) illustrant l’année liturgique grégorienne au profit de la réhabilitation de l’hôtellerie de leur abbaye.

     Pour paraphraser Bernard Slade, à l’an prochain, mêmes lieux, mêmes heures : pour la dixième année consécutive !

     Voir à ce sujet: http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com .Sur le même sujet, consultez aussi la première page du site du diocèse de Liège ici (cliquez) :300 personnes à Liège pour le chant grégorien

     

  • Homophobie : la RTBF manipule l’information

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    D’Eric de Beukelaer, Doyen de Liège Rive-gauche, sur son « minisite » :

    J’ai quitté le débat « Mise au Point » de ce dimanche [13 mai 2012 ndlr] avec un goût amer à la bouche. Et après avoir vu les deux JT du jour, je suis carrément en colère. Une première – car d’habitude je participe à ce genre d’exercice sans état d’âme. Je connais les règles du jeu et du format médiatique (…).

    Je me suis levé à l’aube ce dimanche matin et j’ai fait un aller/retour Liège-RTBF – au cours d’un WE avec deux mariages en paroisse et des professions de foi – parce que je pensais que le débat permettrait de bâtir des ponts. Des ponts entre le monde des religions et la communauté homosexuelle. Et cela, non pas par irénisme. Je ne crains pas l’opposition. Mais – comme tant d‘autres – le meurtre du jeune Ishan par des paumés sur le territoire de ma paroisse, m’a profondément choqué. Je compte des homosexuels dans ma famille et parmi mes amis. Je ne souhaite pas qu’ils tremblent en sortant dans la rue.

    Bref, en arrivant à la RTBF ce dimanche matin, je ne craignais pas un débat musclé. Mais j’espérais aussi un peu d’écoute et de dialogue. Un dialogue sans langue de bois pour lequel je me suis toujours mouillé, sans jamais avoir eu le moindre mot de reproches de la part de la hiérarchie ecclésiastique. Ainsi, cette interview donnée en 2004 au site Gaybelgium.

    Mais voilà – une fois de plus les clichés bêtes et faciles ont pris de dessus : « les religions cassent du pédé ». Au lieu d’entrer en dialogue avec le musulman Yacoub Mahi – qui a courageusement répondu à l’invitation – chacun s’est cru autorisé de lui tomber dessus. Quant à votre serviteur, quand il essaya de ramener la balle au centre en parlant d’accueil et de non-discrimination, on lui envoya dans les gencives un mystérieux texte « haineux » contre les homosexuels du pape Jean-Paul II (qu’on se garda cependant bien de citer).

    Il y eut ensuite le traitement médiatique ultérieur du débat. Une dépêche RTBF qui souligne que mon appel au dialogue ne reflétait « pas forcément la position officielle de l’Eglise » et que le Vatican avait soutenu « dans les pays africains des initiatives législatives qui condamnent (juridiquement) l’homosexualité » (ce qui est archifaux). De la même veine fut la séquence du JT de dimanche midi, et plus encore celle de dimanche soir. En tant que représentant à ce débat de la première communauté religieuse de Belgique, face au découpage de mes interventions lors de ces JT, un seul mot me vient à la bouche : désinformation.

    Bref, au lieu d’être une occasion de bâtir des ponts, le débat du jour contribua à construire des murs. Les faucons l’ont emporté sur les colombes. La raison de tout ceci n’est pas difficile à chercher. Il y a, d’une part, la colère de nombre d’homosexuels face à ce qu’ils ressentent comme du rejet de la part des religions. Cela, je puis le comprendre. Mais il y a également la bonne conscience anticléricale d’une certaine culture bobo.(…)

    Tout le post ici : Homophobie – Triste débat à Mise au Point. Traitement médiatique peu éclairé (RTBF) 

  • Une figure du clergé namurois s’en est allée…

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    chanoine%20cour%20eveche.jpgAprès Jean, c’est le chanoine Paul Léonard, l’un des frères aînés de Mgr André-Joseph Léonard, qui vient de décéder. Christine Bolinne lui consacre un in memoriam sur le site du diocèse de Namur :

     « Le chanoine Paul Léonard s'en est allé à quelques jours de son 79 eme anniversaire. Un homme simple toujours souriant qui a consacré sa vie à Dieu et à la musique. Il a ainsi été, dans les années 70, celui qui a porté sur les fonts baptismaux l'Imep (Institut supérieur de musique et de pédagogie).

    "Si cela pouvait être comme ça tous les dimanches ...'' une réflexion que ceux qui ont eu la chance de côtoyer le chanoine Paul Léonard ont entendu à bien des reprises. Il était le plus heureux des hommes quand la musique et le chant étaient au diapason de la célébration. La messe chrismale et les ordinations sacerdotales tenaient ainsi une place particulière dans son coeur. Comme ses trois frères, Paul Léonard se destine à la prêtrise..

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  • Liège: grande messe grégorienne à l'église du Saint-Sacrement

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    À L’ÉGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132, à Liège 

    0005510aj.jpg

    Le samedi 12 mai 2012 à 18 heures 

    AngesMusiciens-Memling.jpg

    GRANDE MESSE DU TEMPS PASCAL

    CHANT GREGORIEN, MOTETS BAROQUES ET ORGUE

     célébrée selon le missel de 1962 par Monsieur l’abbé Claude Germeau, directeur du Foyer d’Accueil de Herstal, avec le concours de 

    L’ENSEMBLE VOCAL PARISIEN CALIOMENE

    (direction : Ximena Gonzalès)

    Propre de la Messe Vocem iucunditatis

     Motets de Couperin (1668-1733) Campra (1660-1744)

    et Bernier (1665-1734)

     

    L’ACADÉMIE DE CHANT GRÉGORIEN À LIÈGE

    (direction : Stéphan Junker, professeur au conservatoire de Verviers)

    Kyriale grégorien  « Dominator Deus » (XIe s.) Hymne « Salve Festa Dies » 

    LES JUNIORS

    (dirigés par Patricia Moulan)

    Repons grégorien Ave Maria 

    À L’ORGUE THOMAS DU SAINT-SACREMENT

    Patrick Wilwerth, professeur au conservatoire de Verviers

     

    Après la messe, une réception sera offerte par l’Académie de Chant grégorien.

    Entrée libre.  

    Renseignements : tél. 04.344.10.89

    e-mail : sursumcorda@skynet.be

    Sites web http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

     ou

    http://www.gregorien.be

     

  • Liège: plain-chant et orgue chez les Bénédictines

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    CONCERT À L’ÉGLISE DES BÉNÉDICTINES

    Boulevard d’Avroy, 54 à Liège 

    abbaye-pnd-exterieur.jpg 

    Le samedi 12 mai 2012 à 16 heures 

    dellarobbia.jpg

     LES QUATRE SAISONS DU PLAIN-CHANT

    Les plus belles mélodies grégoriennes et diaphoniques de l’année liturgique interprétées par :

     L’ENSEMBLE VOCAL FÉMININ CALIOMÈNE

    (issu du Chœur Grégorien de Paris).

    Direction : Ximena Gonzalès 

    L’ACADÉMIE DE CHANT GRÉGORIEN (Liège)

    Direction : Stephan Junker 

    L’ACADÉMIE DES JUNIORS (Liège)

    Direction : Patricia Moulan 

    À L’ORGUE BAROQUE LE PICARD (1737)

     de l’église des Bénédictines :

    Patrick Wilwerth

    ENTRÉE LIBRE

    Renseignements : tél. 04.344.10.89

     e-mail : jpschyns@skynet.be

    Sites web

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

    ou

    http://www.gregorien.be

     

  • Homosexualité : le service diocésain des jeunes (SDJ) de Liège dérape

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    Dans l’outilthèque (sic) proposée par le Service Diocésain des Jeunes de Liège, on trouve ces "outils" étranges et qui procèdent d'une approche pour le moins discutable de l'homosexualité dans un cadre éducatif chrétien (on ose à peine dire "catholique"!) Nous supposons que cela a échappé à la vigilance des responsables diocésains...

    (cliquer sur les liens pour approfondir) :

    "Le 17 mai, comme chaque année, a lieu la Journée internationale contre l’homophobie. Dans notre outilthèque, 3 outils sont à votre disposition pour favoriser le respect de la diversité sexuelle et prévenir les attitudes, paroles et comportements discriminants et leurs conséquences chez les jeunes de 11 à 18 ans.

    Jeune et homo sous le regard des autres
    Ce DVD est composé de cinq courts-métrages écrits par des jeunes et accompagné d’un livret pédagogique qui propose des animations concrètes pour ouvrir le débat.

    Le monde de William
    Cette BD de 18 pages en couleurs associe témoignages de jeunes et courtes histoires.
    Son objectif ? Rassurer les jeunes sur leur identité sexuelle et et promouvoir une image positive de l’homosexualité, en traitant avec humour des situations quotidiennes problématiques.

    L’ENREGISTREMENT DE 2 HOMELIES
    Prononcées (par Laurent McCutcheon, un militant homosexuel - ndbelgicatho) dans le cadre de la journée internationale contre l’homophobie, elles prennent la forme pour l’une, d’une lettre adressée à Benoît XVI et pour l’autre d’une prière à Jésus.

    Source : La Newsletter du Service Diocésain des jeunes, n°49, mai 2012.

  • Belgique francophone : la philo pour remplacer cours de morale et religion

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    Lu dans « Lalibre » de ce jour (extraits) :

    Le monde laïque remet en question le projet d’établir un tronc commun aux cours de morale et de religions. Et plaide pour instaurer un cours de philosophie.

    Souvenez-vous. Mi-janvier dernier, la ministre de l’Enseignement obligatoire Marie-Dominique Simonet (CDH) annonçait son intention d’instaurer d’ici la rentrée scolaire 2013, dès le fondamental, un "tronc commun" à tous les cours de morale non confessionnelle et de religions (catholique, protestante, israélite, islamique et orthodoxe). Ce projet mûrement réfléchi, en concertation avec le Conseil consultatif des cours philosophiques (CCCP) et les représentants des cultes, devrait être élaboré par un groupe de travail interconfessionnel et de morale déconfessionnalisée. Concrètement, ce "tronc commun" s’articulerait autour de trois axes : le questionnement philosophique, le dialogue interconvictionnel et l’éducation à une citoyenneté active.(…)

    Mais voilà. Le Centre d’étude et de défense de l’école publique (Cedep) (…) vient de jeter un (gros) pavé dans la mare :

    "Sur le principe d’avoir une matière enseignée en commun aux élèves sur le questionnement philosophique, le dialogue interconvictionnel, et l’éducation à la citoyenneté active, nous sommes, évidemment, tout à fait ‘pour’, déclare Pierre Spehl, président du Cedep. Mais le problème que nous soulevons, c’est que l’intention est d’aborder ces matières dans le cadre des cours de morale et de religions existants. Donc, séparément et différemment selon le cours auquel l’enfant a été inscrit." Or, l’objectif poursuivi est que "les élèves puissent bénéficier d’un enseignement commun, quelle que soit l’appartenance philosophique des parents", pointe M. Spehl.

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  • Des invitations autour de la bande dessinée chrétienne

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    A Bruxelles (St-Michel) et à Lyon (Rue Sala)
    Le Samedi 12 mai de 14 à 18 h, expo Pierre Defoux (Xavier raconté par le Ménesrel, Spirou 1953, La Libre 1990, Coccinelle 2002) et Jean Torton (Yeshoua, Fresque Biblique) au parloir 3 de la Communauté jésuite St Michel, 24 Bd St Michel à Etterbeek (1040 Bruxelles), dans le cadre de la fête du Collège. Entrée libre. Vente de BD chrétiennes.
    Le Vendredi 1er juin, à 17 h, au Centre de documentation et d’archives des Œuvres Pontificales Missionnaires, 12 rue Sala, 69002 Lyon, conférence inaugurale de l’expo « Le Missionnaire héros de BD, racines chrétiennes de la BD franco-belge » par Elise Béliard et Roland Francart. L’exposition, coordonnée par Philippe Delisle, avec des planches originales de Jijé (Charles de Foucauld) et Pierre Defoux (Xavier raconté par le Ménesrel) sera visible jusqu’au 12 juillet, de 9 à 12 h et de 13 à 17 h. Entrée libre.
    Le Mardi 12 juin à 18 h, au même endroit, conférence de Philippe Delisle, maître de conférence en histoire à l’Université de Lyon, : « Hergé : une œuvre née dans le terreau catholique ».

  • Le témoignage émouvant d'un jeune moine mort à 27 ans

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    SAINT RAPHAËL ARNÁIZ BARÓN, Moine (1911-1938) fêté le 26 avril

            Raphaël Arnáiz Barón naquit à Burgos (Espagne) le 9 avril 1911, dans une famille d'un niveau social élevé et profondément chrétienne. Il fut baptisé et confirmé à Burgos et commença ses études au Collège des Pères Jésuites de cette ville où, en 1919, il fut admis à la première Communion.

            Au cours de ces années, il reçut la première visite de la maladie : des fièvres persistantes dues à de la colibacillose l'obligèrent à interrompre ses études. Une fois guéri, son père, en remerciement de ce qu'il considérait comme une intervention spéciale de la Vierge Marie, le conduisit, à la fin de l'été de 1921, à Saragosse, et là, le consacra à la Vierge del Pilar, fait qui ne manqua pas de marquer profondément l'esprit de Raphaël.

            Lorsque la famille se transféra à Oviedo, il poursuivit ses études secondaires au Collège local des Pères Jésuites, obtenant le baccalauréat scientifique, et s'inscrivit à l'École Supérieure d'Architecture de Madrid, où il sut harmoniser ses études avec une fervente et constante vie de piété.

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  • Réponse des scouts d'Europe à Jérôme Walmag

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    C'est Christian Laporte qui rend compte de cette réponse dans la Libre de ce mercredi : Les Guides et Scouts d’Europe répondent à leur "frère" Jérôme

    Les Guides et Scouts d’Europe de Belgique (GSEB) adressent une lettre ouverte à Jérôme Walmag, le président de la Fédération des scouts qui avait considéré dans un entretien à "La Libre" (20/4) qu’ils n’étaient pas des scouts. L’équipe des commissaires généraux mais aussi plusieurs responsables musulmans des GSEB constatent qu’un tel raisonnement amènerait à ne pas considérer les protestants comme des chrétiens car ils "en utilisent les méthodes sans en partager les objectifs". Et revenant à l’interview, ils demandent à Jérôme Walmag comment ils sont censés réagir au fait qu’ils ne feraient pas du scoutisme. "D’autant plus que l’organisation mondiale ne reconnaît qu’une seule association par pays, dont vous faites partie et dont vous nous avez toujours tenu écartés. C’est donc vous qui avez en main les moyens de faire cesser cette discrimination. Vous ajoutez : c’est un club de chrétiens incapables d’accueillir des unités musulmanes dans leur structure, même s’ils en prônent la création. Euh oui, nous sommes chrétiens. Sans fausse honte. En cela, nous nous voulons les disciples du chanoine Cornette et du Père Sevin. Ce dernier fonda le scoutisme français à Mouscron."

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