Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Enseignement - Education - Page 167

  • Bonaventure, homme d'action et de contemplation

    IMPRIMER

    On fêtait hier saint Bonaventure. BENOÎT XVI, lors de l'audience générale du mercredi 3 mars 2010, a consacré cet enseignement à ce franciscain, docteur de l'Eglise :

    Chers frères et sœurs,

    Aujourd'hui, je voudrais parler de saint Bonaventure de Bagnoregio. Je vous avoue qu'en vous proposant ce thème, je ressens une certaine nostalgie, car je repense aux recherches que, jeune chercheur, j'ai conduites précisément sur cet auteur, qui m'est particulièrement cher. Sa connaissance a beaucoup influencé ma formation. C'est avec une grande joie que je me suis rendu en pèlerinage, il y a quelques mois, sur son lieu de naissance, Bagnoregio, petite ville italienne dans le Latium, qui conserve avec vénération sa mémoire.

    Né probablement aux alentours de 1217 et mort en 1274, il vécut au XIIIe siècle, à une époque où la foi chrétienne, profondément imprégnée dans la culture et dans la société de l'Europe, inspira des œuvres durables dans le domaine de la littérature, des arts visuels, de la philosophie et de la théologie. Parmi les grandes figures chrétiennes qui contribuèrent à la composition de cette harmonie entre foi et culture se distingue précisément Bonaventure, homme d'action et de contemplation, de profonde piété et de prudence dans le gouvernement.

    Lire la suite

  • Vérité et Espérance/ Pâque Nouvelle

    IMPRIMER

     

    Depeches_Cathobel_VeriteEsperance__4152.jpgPâque nouvelle342.jpg

    Vérité et Espérance/Pâque nouvelle: le n° de juin 2012 est disponible

    2eme trimestre 2012

    SOMMAIRE

     EDITORIAL

     AU FIL DU CALENDRIER : BELGIQUE

    Dix ans d’euthanasie légale

    Homophobie : la RTBF manipule l’information

    Cathophobie médiatique ordinaire

    Liège, berceau de la Fête-Dieu

    FORMATION

    Onction des malades ou Extrême-onction ?

    Avortement : que répondre aux arguments courants ?

    AU FIL DU CALENDRIER : ROME ET LE MONDE

    Triste week-end de Pentecôte pour le pape

    Vers la fin des échanges sans fin entre Benoît XVI et les intégristes ?

    DANS VOTRE BIBLIOTHÈQUE

    L’hérésie du XXIe siècle : le démocratisme

    L’écho du silence

    Fête-Dieu à Liège : une parution bienvenue

    Magazine trimestriel illustré (24 pp. in quarto, quadrichromie) de l’asbl Sursum Corda, Vinâve d’île, 20 bte 64 à B-4000 Liège

    Exemplaire gratuit disponible sur simple demande au secrétariat de rédaction. Renseignements : sursumcorda@skynet.be ou téléphone (+32) (0) 4.3441089 

  • Avortement : jeunes socialistes et jeunes MR, même combat

    IMPRIMER

    Nous avons publié et commenté ici  L’avortement : un droit humain ? l’avis du Conseil de la Jeunesse belge francophone sur cette question ainsi que la réaction des Jeunes socialistes « fâchés tout rouge » contre les déviationnistes. Pour ne pas être en reste, la rage bleue des Jeunes MR , l’autre branche de la pensée laïque, s’est aussi manifestée dans un communiqué dont voici la teneur :

    Le Conseil de la Jeunesse vient de rendre publique une position sur le droit à l’avortement selon laquelle celui-ci est remis en cause en tant que droit humain fondamental. En outre, le Conseil porte un certain nombre de jugements à l’encontre des femmes qui font ce choix.

    « Les Jeunes MR condamnent fermement cet avis du Conseil de la Jeunesse et considèrent que ce document ne peut en aucun cas engager l’ensemble de la jeunesse francophone belge », déclare Gautier Calomne, Président des Jeunes MR.

    Restreindre le droit à l’avortement équivaudrait à mettre fortement en danger notre liberté individuelle la plus élémentaire : être libre de ses choix, y compris de disposer de son corps, est un droit fondamental que nous nous devons de préserver, de respecter et de défendre.

    « Les Jeunes MR tentent au quotidien de promouvoir une société moderne où les libertés et droits de chacune et chacun sont garantis. Nous regrettons de constater qu’une fois de plus, le Conseil de la Jeunesse cède aux combats d’arrière-garde défendus par une partie de ses membres, au risque de renvoyer l’image d’une jeunesse conservatrice, voire rétrograde », ajoute Gautier Calomne.

    Les Jeunes MR craignent que le Conseil de la Jeunesse souffre d’un réel problème de représentativité.

    Ils appellent, dès lors, les autorités compétentes à prendre les mesures nécessaires pour évaluer et, au besoin, recadrer l’organisation actuelle de cet organe important pour la représentation de la jeunesse.

    C’est beau le pluralisme. 

  • L’avortement : un droit humain ?

    IMPRIMER

    Oui mais non, enfin pas tout à fait, selon le Conseil de la Jeunesse de la Communauté Wallonie-Bruxelles.  Extrait de sa communication :

    « Alors que la Ministre Simonet vient de déposer un projet de Décret pour une éducation à la vie affective et sexuelle obligatoire à l’école et que la question de l’avortement est revenue au devant de l’actualité ces derniers mois, le Conseil de la Jeunesse a pris le temps de mener une réflexion approfondie sur ce sujet.

    Le Conseil publie donc ci-dessous un avis sur l’avortement, rappelant notamment la nécessité d’informer tous les jeunes - filles et garçons - sur cette question :

    Lire la suite

  • Le Christ, destin de l'homme

    IMPRIMER

    de Mgr Jean Laffitte, Edifa/Mame

    Un recueil de textes de référence (articles et conférences) sur des sujets centraux : la famille, la société, l'éthique, le mariage, la sexualité, etc. Par un auteur important, expert en théologie morale et anthropologie chrétienne, Monseigneur Jean Laffitte, Secrétaire du Conseil pontifical pour la Famille. Sorti en mars 2012, mais plus que jamais d’actualité.

    I-Grande-135346-le-christ-destin-de-l-homme.net.jpg

    Source : ZENIT.ORG

    « Le Fils éternel révèle à chacun le secret de son être créé » : une telle affirmation constitue également, pourrait-on dire, le « secret » de Mgr Jean Laffitte, qui résume plus de vingt ans d’expérience pastorale, de réflexion intellectuelle et de contemplation du mystère du Christ, rassemblés dans un nouveau livre.

    Le secrétaire du Conseil pontifical pour la Famille publie en effet en français chez Mame une « somme » de quelque 600 pages qui feront aimer la morale !

    L’auteur l’a présentée devant quelque 160 personnes à Paris, aux Bernardins, le 14 mars, entouré du P. Olivier Bonnewijn, professeur de théologie dogmatique et morale à l'Institut d'Études Théologiques de Bruxelles, et par Jean-Marie Meyer, professeur agrégé qui enseigne la philosophie générale et l’éthique, membre du Conseil pontifical pour la famille. Ce volume élégant dans sa jaquette à l’effet de toile gris perle s’intitule : « Le Christ, destin de l’homme ». Et, comme le dit le sous-titre, elle propose des « itinéraires d’anthropologie filiale ».

    Le mot est lâché : « filiale ». C’est cela qui fait aimer la morale, une morale du bonheur de l’homme, voulu par un Dieu bon, un Père. Une morale où la liberté est orientée par le « Fils » : tout baptisé est invité à entrer dans cette filiation - explique l’auteur dans sa présentation -, invité à se reconnaître « fils dans le Fils, choisi et aimé de toute éternité, et destiné à vivre éternellement de l’amour du Père. Dieu nous attend. Le Père nous attend ».

    Ce n’est un hasard si la couverture ouvre une fenêtre sur ce beau Christ catalan, un Christ souffrant, royal, de la royauté de l’amour divin – comme symbolisé par le filet d’or du cadre -, humble.

    Lire la suite

  • L’avenir du latin est-il chinois ?

    IMPRIMER

    « Veterum Sapentia », c’est le nom d'une constitution apostolique de Jean XXIII publiée à la gloire du latin dans la liturgie,  juste avant que le concile  Vatican II n’y introduise  les langues vernaculaires. Un chant du cygne ? Et pourtant :

    « En l’année du cinquantième anniversaire de Veterum Sapientia, la latinité séduit jusqu’en Chine…

    Le 15 juin dernier a été inauguré à Pékin, en présence du quartet de la cathédrale de Pékin qui a pour l’occasion interprété quelques cantiques du répertoire grégorien, un centre d’études latines dénommé “Latinitas Sinica” et dont la devise est “Per aspera ad astra” [jusqu'aux étoiles par des chemins étroits].

    Abrité par la Beijing Foreign Studies University, cet institut est voué à l’étude, à l’enseignement et à la promotion du latin en Chine.

    Il publiera notamment le “Journal of Latin Studies in China”. Son travail s’inscrira dans la lignée de l’œuvre des missionnaires, souvent jésuites, qui donnèrent naissance à la “sinologie”, l’étude de la civilisation et de la langue chinoises : de l’Italien Matteo Ricci, dont le Vatican a célébré le 400ème anniversaire de la mort par une grande exposition en 2010, au Belge Philippe Couplet, introducteur de Confucius en Europe à la fin du XVIIème.

    L’ouverture de ce centre s’inscrit dans un engouement croissant des étudiants chinois pour la langue latine, considérée à la fois comme essentielle à la compréhension de la civilisation européenne, mais aussi comme un atout important pour un meilleur apprentissage de l’anglais et des langues européennes. ». Référence :La Chine, avenir du latin ?

    Les heureux bénéficiaires de l'enseignement rénové ne vous diront pas le contraire: en fait, le latin c’est du chinois.

  • L'enseignement obligatoire procédera à l'éducation sexuelle de nos enfants

    IMPRIMER

    L'éducation sexuelle entre dans les missions de l'enseignement obligatoire; c'est l'agence Belga qui annonce la chose : voir cette dépêche sur le site de RTL : l-education-sexuelle-entre-dans-les-missions-de-l-enseignement-obligatoire

    Il faudra, pour le moins être vigilant, car on peut craindre le pire dans le contexte sociétal actuel. L'illustration choisie par la Libre donne déjà le ton. Sur le principe, il s'agit d'une usurpation d'une tâche incombant prioritairement aux parents, premiers éducateurs. A quoi l'on nous rétorquera - et ce n'est évidemment pas faux - que, dans biens des cas, l'éducation familiale est défaillante...

  • L'ignorance profonde des choses de la foi

    IMPRIMER

    jpg_1350277.jpgSandro Magister titre sa chronique : "Analphabétisme religieux. Les adultes sont les premiers qu'il faudrait faire retourner à l'école."

    Il s'explique : "Beaucoup d'évêques et de prêtres pensent que l'on peut résoudre le problème du déclin de la foi en pariant sur les très jeunes. C'est une grave erreur, objecte le professeur Pietro De Marco: ce sont les adultes qui décideront de la réussite ou de l'échec de l’Année de la Foi qui va bientôt commencer. Le cas de l'Italie."

    Découvrir la suite : chiesa.espresso

  • L'adolescent et la question de Dieu

    IMPRIMER

    dieuestilinconscient.pngDans la Libre de ce lundi 25 juin, Eric de Bellefroid pose la question : "Peut-on encore croire en Dieu dans un monde qui va si mal ?" Il y répond en proposant la lecture d'"Un “cours de religion”, vif et passionnant, du Pr Philippe van Meerbeeck" qu'il présente ainsi :

    Psychanalyste et psychiatre spécialisé dans l’adolescence, le Pr Philippe van Meerbeeck (UCL) aspirait depuis longtemps à réaliser un vieux rêve : dispenser à de grands adolescents le cours de religion qu’il eût aimé lui-même recevoir à l’âge de 16 ou 17 ans. Postulant ainsi que Dieu est logé dans l’inconscient, il s’acquitte de sa démonstration avec tout l’enthousiasme de ses convictions.

    Trop souvent confronté à l’insoutenable échec du suicide des jeunes, qu’il attribue dans la plupart des cas aux infortunes amoureuses, l’analyste freudien, formé aussi à l’école de Lacan, parcourt le monde kamikaze d’aujourd’hui - que Marcel Gauchet, à la suite de Max Weber, décrit comme fondamentalement désenchanté - au départ de l’épopée judéo-chrétienne. Sur les pas de Jésus de Nazareth, en compagnie de saint Paul et des apôtres, à la lumière des évangélistes.

    Lire la suite
    N.B. On remarquera le nombre de réactions à cette publication : 244 commentaires à 18H30 sur le site de la Libre. Cela montre combien la question de Dieu reste sensible dans notre société, quoi qu'on en dise (souvent le pire, malheureusement).
  • Un catéchisme expliqué

    IMPRIMER

    FIC69255HAB40.jpgL'Église vit pour transmette la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu, pour faire connaître et aimer le Christ, pour inviter les hommes et les femmes de tous les pays et de toutes les générations à marcher à la suite du Christ. C'est sa principale raison d'être. Dans cette vocation essentielle de l'Église, le ministère épiscopal comporte une responsabilité propre : transmettre la foi.

    Dans cet ouvrage Mgr Raymond Centène propose une présentation complète et lumineuse de la foi catholique, accessible à tous.

    Ces entretiens sur le Catéchisme de l'Église catholique offrent, sous forme de question/réponse, un guide indispensable pour découvrir ou revivre les piliers de la foi.

    Editions Artège, 2012, 376 pages, 19,90 €

  • La charge de Christos Doulkeridis contre les cours de religion

    IMPRIMER

    Jean-Jacques Durré, sur cathobel, sonne l'alarme suite aux propos démagogiques tenus sur les antennes par Christos Doulkeridis :

    Cours de religion: attention, danger !

    Sur les antennes de la radio Bel-RTL,  le 12 juin, Christos Doulkeridis, secrétaire d’Etat de la région de Bruxelles-Capitale, y est allé de son petit laïus sur la suppression des cours de religion. En période pré-électorale, cela a toujours son succès et celui qui s’exprime dans ce sens est sûr de faire de l’audimat. C’est déjà cela de gagné, direz-vous. Mais, au-delà, il y a des idées qui se profilent auxquelles, en tant que chrétiens et croyants, nous devrions réagir.

    En fait, M. Doulkeridis s’exprimait sur le dossier « chaud » de l’intégration, thème qui semble se dessiner à Bruxelles dans le cadre des élections communales depuis que le vice-premier ministre Didier Reynders a estimé que celle-ci était un échec dans la capitale.

    Pour le secrétaire d’Etat Ecolo, « en matière d’intégration, la situation à Bruxelles est complexe. Une personne sur deux y a un parent d’origine étrangère. Nous n’avons donc pas tous le même passé. Il faut se donner les moyens de faire de la cohésion sociale ». Et de clamer, dès lors que « le fait que chacun suive un cours de religion séparé est une erreur ». Il faut rappeler que le secrétaire d’Etat est également Ministre-Président du Collège de la Commission communautaire française (COCOF), en charge, en autres, de l’Enseignement.

    Lire la suite

  • Baptiser les nouveaux-nés

    IMPRIMER

    Nous l'avons déjà signalé et le Salon Beige le souligne ici: « Benoît XVI a parlé une demi-heure du baptême, de la vie de Dieu et du refus de la culture du mal, lundi à Saint-Jean-de-Latran. Jeanne Smits a traduit ce texte parlé sans note, avec les erreurs ou inexactitudes qui peuvent se produire au fil de ce type d'exercice. C'est un discours saisi au vif, témoin de la profondeur de la foi et de la pensée de notre Pape, prononcé dans le contexte des attaques contre sa personne à travers l'« affaire » Vatileaks »

    Voici deux extraits des citations faites par notre confrère, dans lesquels le pape coupe les ailes à quelques canards survolant le ciel  postconciliaire :

    "(…) nous ne décidons pas de devenir chrétiens. Devenir chrétien n’est pas ma décision, je ne me fais pas moi-même chrétien. Certes ma décision est nécessaire, mais c’est surtout une action que Dieu fait pour moi : je ne me fais pas chrétien, je suis assumé par Dieu, pris dans sa main, et ainsi en disant oui à Dieu je deviens chrétien ; devenir chrétien est une action de Dieu. En un sens je suis passif : je ne me fais pas chrétien, mais Dieu fait de moi un homme à Lui, Dieu me prend dans sa main et réalise ma vie dans une nouvelle dimension. Cette réalité de la dimension passive de l’être chrétien est comme le fait que je ne me fais pas vivre, la vie est donnée. Je suis né non parce que je me suis fait homme, je suis né parce que l’être m’a été donné. De même le fait d’être chrétien m’est donné, cela m’est donné à moi, passif, pour devenir actif dans ma vie. Et de cette dimension passive, du fait que l’on ne se fait pas soi-même chrétien, que l’on est fait chrétien par Dieu implique déjà un peu le mystère de la Croix. Ce n’est qu’en mourant à mon égoïsme, en sortant de moi-même que je peux être chrétien. [...]

    A la fin reste une question (…)qui se pose toujours est celle-ci :pouvons-nous imposer à un enfant une chose religieuse qu’il voudra vivre ou non, nous devrions lui laisser le choix. Cette question montre qu’au bout du compte nous ne voyons plus finalement dans la foi chrétienne la vie nouvelle, la vraie vie ; nous voyons un choix après l’autre, et même un poids qu’il ne faudrait pas imposer sans que le sujet en sache le sens. La réalité est autre. La vie elle-même nous a été donnée sans que nous puissions choisir – « si je veux vivre ou non ». Personne ne peut faire qu’il est né ou non. La vie est nécessairement donnée sans consentement préalable. Elle est donnée ainsi et nous ne pouvons pas décider d’abord – « si je veux vivre ou non ». En réalité la question est de savoir s’il est juste de donner la vie en ce monde sans avoir obtenu le consentement de celui qui vivre ou non. Si je peux réellement anticiper sur la vie, la donner sans que celui à qui on la donne ait eu la possibilité de se décider, je dirais que cela est possible et juste seulement pour autant qu’avec la vie l’on peut donner la garantie que la vie – avec tous les problèmes du monde – est bonne, qu’il est bon de vivre, qu’il existe une garantie que cette vie est bonne, qu’elle est protégée par Dieu, qu’elle est un vrai don, seule l’anticipation de son sens justifie cette anticipation de la vie.

    Et alors le baptême, comme garantie du bien de Dieu, comme anticipation du sens du oui de Dieu qui protège cette vie, justifie cette anticipation par rapport à la vie. Donc le baptême des petits enfants n’est pas contre la liberté, il est même nécessaire de le donner pour justifier le don hautement discutable de la vie. Seule la vie entre les mains de Dieu, entre les mains du Christ, immergée dans le nom de la Trinité est certainement un bien que l’on peut donner sans scrupules. Ainsi rendons grâce à Dieu qui nous a donné ce don, qui s’est donné Lui-même. Notre vie, c’est de vivre de ce don, vivre réellement dans un chemin d’après-baptême, renoncer à soi-même et vivre dans le grand oui de Dieu, et ainsi, bien vivre."

    Lire toute l'allocution ici : Jeanne Smits a traduit ce texte