Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Médias - Page 138

  • Quand Scalfari écrit n'importe quoi

    IMPRIMER

    Précisions du Saint-Siège après un nouvel éditorial de Scalfari (source : radio vatican)

    En cette fin d’année, la presse italienne a accordé une large place à un éditorial du fondateur du quotidien italien La Repubblica, Eugenio Scalfari. Au mois d’octobre, ce journaliste (qui se proclame athée) avait publié une longue interview du Pape François qui avait défrayé la chronique. Dimanche, il a voulu commenter dans les colonnes du journal le magistère du pape François. Il y affirme entre autres que dans sa récente exhortation apostolique Evangelii Gaudium (La joie de l’Evangile), le Pape François entend abolir le péché. Interrogé sur notre antenne, le Père Lombardi, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège et de Radio Vatican, se félicite de l’intérêt du monde laïc vis-à-vis de ce Pape. Mais le contenu de cet éditorial mérite, selon lui, quelques mises au point. 

    Tout d’abord, ceux qui suivent jour après jour les prises de parole du Pape François savent l’importance qu’il attache au péché. François est un jésuite et les Exercices spirituels de saint Ignace, qui constituent pour lui une école de spiritualité et de vie chrétienne, commencent par la méditation des péchés et s’achèvent par un colloque avec Jésus qui est venu mourir pour nos péchés. C’est justement par rapport au péché qu’on peut mesurer l’étendue de la miséricorde divine sur laquelle insiste le Pape François. 

    Des malentendus à dissiper

    Le Père Federico Lombardi note par ailleurs que le journaliste italien a mal interprété une réponse du Pape François concernant la fin du monde. Le Pape a cité un célèbre verset de la première Epitre aux Corinthiens : « Quand le Fils se mettra lui-même sous le pouvoir du Père, Dieu sera tout en tous ». Il n’a pas dit, comme l’affirme Eugenio Scalfari, que « la divinité sera dans toutes les âmes et que tout sera en tous ». 

    Autre inexactitude signalée par le père Lombardi dans cet éditorial : le Pape François n’a pas canonisé saint Ignace de Loyola, qui était déjà saint depuis des siècles. Il a canonisé Pierre Favre, le premier compagnon de saint Ignace. Le directeur du Bureau de presse du Saint-Siège estime donc qu’il faut certes continuer le dialogue, mais qu’il faut l’approfondir pour éviter les malentendus. 

  • Et l'homme le mieux habillé de 2013 est...

    IMPRIMER

    Lu sur aufeminin.be où le (la?) journaliste ne semble pas très au fait des questions religieuses :

    Le Pape François : Elu Homme le mieux habillé de 2013

    A la surprise de tous, le webzine Esquire décerne au Pape François la palme de l’homme le mieux habillé de l'année. Il coiffe ainsi au poteau les Brad Pitt, Joseph Gordon Levitt et autres Bradley Cooper qui font chavirer les coeurs et monopolisent les tapis rouges.

    Le Pape François, élu le 13 mars 2013 fait l’unanimité dans le monde depuis son élection par les Cardinaux. Ayant décidé d’occuper cette place selon la ligne morale du français (?!) Saint François d’Assise, protecteur des pauvres, le Pontif (sic) impose ainsi son style au Vatican. Dès le départ, il est reconnu pour son caractère original et modeste (rappelons-nous, en effet, qu'il avait absolument refusé de déménager au palais pontifical).

    Quel étonnement, donc, de voir un Pape être élu Homme le mieux habillé, les tenues pontificales ne relevant pas de la haute couture malgré les matières nobles dans lesquelles elles sont confectionnées. Selon Esquire, c'est à son style véritablement avant-gardiste, en comparaison avec ses prédécesseurs, que le Pape François doit ce titre.

    Sa garde-robe simple et loin des vêtements d’apparats souvent portés par Jean-Paul II (Jean-Paul II ou Benoit XVI ?), le rend nettement plus accessible et attachant. Et ceci, d'un point de vue religieux ou non-religieux. L’homme de son temps, adepte des Selfies, Twitter et autre Instagram, semble donc parler à un plus grand auditoire. Selon l’experte Ann Pellegrini, interviewée par Esquire, ses choix vestimentaires indiquent clairement ses volontés d’âme. On lui connait une grande modestie et un grand intérêt pour les plus démunis, qu’il ne laisse jamais de côté. La simplicité de ses tenues seraient le reflet de ses convictions théologiques. De plus, le Pape François semble renier le « strass et paillettes » version Jean-Paul II (?) en refusant de porter des bijoux inutiles, ou des chaussures trop clinquantes.

    C’est donc à ce titre qu’Esquire lui attribue la palme de personnalité la mieux habillée de l’année 2013. Le Pape François crée donc la surprise. Sans oser imaginer qu’il ferait réfléchir le monde de la mode, il semble avoir compris comment faire de l’habit aussi le moine. Peut-être deviendra-t-il une nouvelle muse pour les créateurs ?

  • François, le pape le plus populaire de l'histoire ?

    IMPRIMER

    Lu sur BFMTV :

    François, pape chouchou des Français

    Après neuf mois de pontificat, le pape argentin a la cote: 85% des Français en ont une bonne opinion. Un engouement qui transcende les clivages politiques et religieux.

    Enquête réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 995 Français majeurs, recrutés par téléphone et interrogés par Internet les 17 et 18 décembre.

    François superstar! Neuf mois après son élection, le pape jouit d'une popularité exceptionnelle auprès des Français, indique dimanche un sondage BVA publié par Le Parisien Dimancheet Aujourd'hui en France. 85% d'opinions positives, soit un score supérieur à celui dont ils créditent ses prédécesseurs, même le populaire Jean-Paul II. Il transcende aussi tous les clivages.

    A en croire ce sondage, les Français éprouvent ainsi un véritable coup de coeur pour le 266e pape de l'Eglise catholique. Seulement 12% d'entre eux en ont une mauvaise opinion, et 3% ne se prononcent pas. Jean-Paul II, lui, est crédité de 80% d'opinions favorables (contre 14%); Benoît XVI, le prédécesseur de François, de 43% (contre 52%).

    Les qualificatifs élogieux à l'égard de François sont nombreux: proche des gens et sympathique (86%), simple (85%), honnête (84%), modeste (83%), généreux (82%), courageux (81%), tolérant 579%), convaincant (77%) et visionnaire (58%).

    "Le plus populaire de l'Histoire"

    Cité par Le Parisien, l'historien des religions Odon Vallet juge que le pape argentin "est sûrement le plus populaire de l'Histoire", " plus que Jean XXIII ou Jean-Paul II". Il souligne ainsi que, chaque mercredi, l'audience pontificale draine "quatre fois plus de monde que sous Benoît XVI. Peut-être entre 200.000 et 300.000 personnes". 

    Selon lui, cette popularité s'explique par la simplicité affichée de François, un souverain pontife qui a également "cassé l'image d'une église au discours moralisateur".

    Si 94% des catholiques ont une bonne opinion du chef de leur Eglise, François parvient aussi à séduire 88% des croyants d'autres religions, et même une large majorité (69%) de sans religion. Sa côte est élevée chez les jeunes (75%) et dans tous les secteurs de l'opinion, de la droite (88%) à la gauche (80%).

    Voir également : http://www.aleteia.org/fr/religion/article/pape-francois-il-a-mis-leglise-en-marche-dit-le-p-lombardi-5870186414473216

  • Francescomania, gare au retour de flamme ?

    IMPRIMER

    Sur Causeur.fr, Théophane Le Méné met le doigt sur toute l'ambiguïté de la "francescomania" qui s'est emparée de la planète. Et qu'en sera-t-il demain ?

    François, le pape que vous adorerez détester

    Vers un prochain basculement de l’opinion ?

    Il y a encore quelques mois, personne ne connaissait son visage et les premiers commentateurs soulignaient d’abord sa fragile santé, comme pour se rassurer, tandis qu’ils évoquaient en se pinçant le nez la connivence idéologique du nouveau pape avec son prédécesseur, le bienheureux Jean-Paul II. L’eau a depuis coulé sous les ponts, et le pape François s’est révélé au point que, récemment, l’hebdomadaire  américain Time décidait de consacrer homme de l’année 2013 : une décision qui a semblé faire consensus, tant le nouveau souverain Pontife a su séduire au-delà-même du sérail catholique. A la surprise de beaucoup et pour l’inquiétude de quelques-uns, aussi, car plaire au système, n’est-ce pas s’y complaire ?

    « Je veux pouvoir casser du pape, je veux un pape ringard » nous avait averti dans une tribune du Monde la jeune romancière Solange Bied-Charreton au moment du conclave. Car, justifiait-elle, avec tout le sarcasme qu’on lui connait, « comment existerais-je si je ne puis contester le monde ancien, m’affirmer sans avoir à détruire des siècles et des siècles d’histoire ? » Son vœu pieux n’aura pas été entendu, du moins pour le moment. Car pour le moment, le pape François est devenu, au gré de ses déclarations interprétées à l’avantage de chacun, une idole polymorphe. Ainsi les féministes se sont-elles réjouis lorsque Jorge Mario Bergoglio a affirmé que l’Eglise était obsédée par l’avortement tandis que les pro-life exultaient qu’il se rende à la marche pour la vie à Rome en mai dernier ; les militants homosexuels ont apprécié que le souverain Pontife se refuse à les juger et les opposants au mariage homosexuel qu’il dénonce ce projet comme « une tentative pour détruire les intentions de Dieu » ; la gauche s’est félicitée que l’homme en blanc confesse ne jamais avoir été de droite et la droite lui a su gré de reconnaître qu’il n’était pas marxiste…  En clair, tout le monde a vu midi à sa porte et chacun se demande désormais, entre conservatisme et progressisme, où les conduit le pape François. N’est-ce pas aussi cela l’universalisme de l’Eglise ?

    Lire la suite

  • Euthanasie des mineurs; le nouvel évêque de Liège prend position

    IMPRIMER

    Lu sur le site de la RTBF :

    Bertrand Henne recevait ce matin le nouvel évêque de Liège Jean-Pierre Delville.

    Bertrand Henne : Vous êtes le nouvel évêque de Liège et vous étiez jusqu’ici professeur d’histoire du christianisme à l’Université Catholique de Louvain. 2013, pour vous qu’est-ce que c’est ?

    Jean-Pierre Delville : Un événement qui m’a marqué, c’est la visite du pape François à Lampedusa au mois d’août. C’était en pleines vacances, il faisait chaud, c’était un moment calme, il a dit : moi je ne prends pas de vacances mais je vais me rendre sur un lieu symptomatique, symbolique, cette île de la Méditerranée où échouent beaucoup d’Africains qui essaient d’arriver en Europe.

    Avec un naufrage en octobre qui a fait près de 300 morts mais ce n’est qu’un naufrage parmi de nombreux naufrages…

    Tout à fait et donc on peut dire que sa visite était un peu prophétique puisque justement l’endroit a été malheureusement illustre quelques mois plus tard et il disait là-bas : nous devons nous rendre compte de l’injustice qui est vécue par les Africains qui doivent tenter, au péril de leur vie, de passer la Méditerranée pour arriver en Europe, il n’y a pas vraiment un accueil correct, au contraire , il y a parfois cette condamnation à mort sur la Méditerranée donc nos législations doivent changer pour favoriser une certaine qualité d’accueil et je crois que c’est assez prophétique comme message.

    Il y a deux choses dans cet événement que vous venez de pointer, il y a l’action du nouveau pape, dont on va parler un peu plus tard, mais pour rester sur ce qu’il a voulu dénoncer, est-ce que vous parlez d’un manque d’humanité finalement de l’Europe, cette Europe forteresse, c’est aussi quelque chose qui vous touche personnellement ?

    Oui, c’est un risque ce manque d’humanité parce que vous vous rendez compte que l’Europe devient multiculturelle et elle l’est à la base, multiculturelle, or, la vitalité de notre société dépend de facto pas mal des étrangers qui arrivent et donc nous ne pouvons pas simplement dire qu’il y a trop d’étrangers, ils font partie du dynamisme culturel de l’Europe et on dit parfois : qui payera nos pensions plus tard ? Je réponds : s’il y a des jeunes qui travaillent et qui sont étrangers, ce sont eux qui payeront les pensions et donc il faut qu’il y ait un accueil par rapport à cette population jeune, dynamique mais qui est parfois bloquée.

    Lire la suite

  • Mgr Léonard invité de La Libre ce samedi : une interview sans surprises

    IMPRIMER

    On pourra lire, sur La Libre, l'interview accordée par Mgr Léonard qui est l'invité de ce journal aujourd'hui. Une interview qui n'apporte guère d'éléments neufs mais qui confirme les positions bien connues d'un archevêque qui serait devenu plus prudent et qui coifferait volontiers le chapeau cardinalice :

    "La liberté individuelle est capitale, mais elle a aussi ses limites."

    A quelques jours de Noël, le Primat de Belgique évoque pour LaLibre.be et "La Libre" l’élargissement de la dépénalisation de l’euthanasie aux mineurs, le pouvoir d’influence politique de l’Église, sa stratégie de communication, la persécution de chrétiens dans le monde, ainsi que les grands événements de l’année écoulée et ses espoirs pour 2014.


    Comment se porte l’Église catholique belge en cette fin 2013 ?

     Mieux qu’en 2010-2012... Nous avons finalement bien réagi à la manière de répondre aux scandales d’abus sexuels qui ont secoué l’Eglise par le passé. Il a fallu un peu de temps pour mettre en place une bonne procédure qui permette d’écouter, respecter et honorer les victimes, en particulier celles de faits prescrits. Puis l’Église belge a été marquée par le changement touchant de pontificat.

    Lire la suite sur La Libre

  • Le pape François est-il un ange ?

    IMPRIMER

    new-yorker-pape-francois.jpgMoins d'une semaine après Time, c'est au tour d'un autre hebdomadaire américain mythique, le New Yorker, de mettre le pape François (qui fête ses 77 ans ce mardi 17 décembre) à la Une.

    Lu sur le site de « La Vie »

    « Un ange de neige. C'est avec cette figure que les enfants s'amusent à dessiner dans le manteau blanc de l'hiver que le New Yorker a choisi de représenter le pape François à l'occasion de son numéro de Noël. Le prestigieux magazine, qui publie aussi bien des reportages que des bandes dessinées et de la fiction, particulièrement réputé pour ses Unes illustrées, a donc choisi de représenter la joie et la simplicité du nouveau pape dans un dessin aussi décalé que poétique. Une belle réussite.

    La Une est accompagnée d'un long article (en anglais), intitulé « Qui suis-je pournew-yorker-benoit-xvi.jpg juger ? », qui dresse le bilan de « la première année d'un pape radical ».

    Pour mémoire, le New Yorker s'était déjà illustré au début du mois de mars dernier en représentant un autre pape, Benoît XVI, juste après sa renonciation, profitant de ses « vacances » sur une plage au soleil...

    Référence: Le pape François est un ange de neige à la Une du New Yorker

    Ici : Le pape François est un ange de neige à la Une du New Yorker François, homme de l’année (médiatique)… l’ange pur et radieux contre l’ange déchu ? la presse manipulatrice s’en donne à cœur joie..JPSC

  • La haine

    IMPRIMER

    Ce matin, une nouvelle agression antichrétienne s'est produite à Paris, dans l'église de la Madeleine, relayant celle qui a eu lieu la veille à Rome, sur la place Saint-Pierre. Les slogans : "Noël est annulé", "Jésus est avorté". Ces actes n'auraient sans doute aucun retentissement s'ils ne bénéficiaient pas d'une amplification complaisante de la part des agences de presse promptes à les relayer. Hier, à Rome, la militante féministe a été neutralisée et emmenée avant que personne n'ait compris de quoi il s'agissait et ce n'est que grâce à la caisse d'amplification médiatique que l'évènement a été "créé". Aujourd'hui, à Paris, cette provocation-profanation serait sans doute passée également inaperçue si les médias n'étaient pas là pour en assurer la publicité. Toute la stratégie des femen est d'ailleurs basée là-dessus. En plus de la complaisance des relais médiatiques, il faut signaler l'indulgence des pouvoirs publics bien plus efficaces pour arrêter quelques "veilleurs" que pour assurer le respect des lieux de culte.Sans titre.png

  • A propos de la nouvelle interview du pape François dans la presse : une pensée qui se précise ?

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Chiesa », cette réflexion de Sandro Magister  (extraits)

    « ROME, le 18 décembre 2013 – Dans l'interview qu’il a accordée à son ami vaticaniste Andrea Tornielli et qui a été publiée dans "La Stampa" il y a trois jours, le pape François est revenu sur deux points d’"Evangelii gaudium" qui avaient provoqué de vifs commentaires pour ou contre.

    Le premier point est la distribution de la communion aux divorcés remariés. Le pape a voulu préciser que ce n’était pas à cette question qu’il avait pensé lorsque, dans son exhortation apostolique, il avait parlé de la communion "en tant qu’aliment spirituel, qui doit être considéré comme un remède et non pas comme une récompense".

    En apportant cette précision, François a voulu se distinguer de ceux qui avaient interprété ces propos comme une énième "ouverture" et qui s’étaient exprimés publiquement en faveur de la distribution de la communion. Parmi lesquels, en dernier lieu, le nouveau secrétaire général du synode des évêques, Lorenzo Baldisseri, et le cardinal Walter Kasper.

    La seconde mise au point a concerné son refus de la théorie économique du "derrame" – expression traduite en italien par "ricaduta favorevole" et en anglais par "trickle down" – selon laquelle "toute croissance économique, favorisée par l’économie de marché, parvient à produire par elle-même davantage d’équité et d’intégration sociale".

    Le pape Jorge Mario Bergoglio a réaffirmé – "pas en tant que technicien" – qu’il ne croyait pas au bien-fondé de cette théorie.(…)

    La première de ces deux précisions concerne l’un des points cruciaux d’"Evangelii gaudium", celui où François promet davantage de collégialité dans le gouvernement de l’Église, par l’attribution de pouvoirs plus importants aux conférences des évêques.

    Lire la suite

  • Femmes, divorcés, marxisme, oecuménisme, curie romaine...; le pape se livre dans un nouvel entretien où il évoque des sujets d'actualité

    IMPRIMER

    Le Pape François se livre dans un nouvel entretien

    2013-12-15 Radio Vatican

    Le Pape François nous a offert ce dimanche un nouvel entretien surprise avec un journaliste, Andrea Tornielli, dans les colonnes du quotidien italien La Stampa. Le Pape y aborde tour à tour le sens de la fête de Noel, le futur voyage en Terre Sainte, les enfants malades et la faim dans le monde, le marxisme, l’unité des chrétiens, la réforme de la papauté et la Curie, le cardinalat des femmes, la transparence financière du Vatican, mais aussi les divorcés remariés.

    « Nous ne pouvons penser à Noel sans penser à la Terre Sainte » , déclare le Pape. « Il y a 50 ans Paul VI a eu le courage de sortir pour se rendre là et c’est ainsi que commença l’époque des voyages des Papes. Moi aussi je désire m’y rendre » Et d’ajouter : « Nous nous y préparons ». Le Pape confirme aussi son « désir de rencontrer mon frère Bartholomée, patriarche de Constantinople, pour commémorer avec lui cet anniversaire en renouvelant l’étreinte entre Paul VI et Athénagoras de 1964 à Jérusalem ». Le Pape précise que « Noël nous fait toujours penser à Bethléem et que Bethléem se trouve à un endroit précis, la Terre Sainte, où a vécu Jésus. » « Durant la nuit de Noel, je pense surtout aux chrétiens qui vivent là, à ceux qui sont dans la difficulté, à tous ceux qui ont été contraints pour divers problèmes à quitter cette terre. Mais Bethléem continue d’être Bethléem : Dieu est venu à un endroit précis, sur une terre précise ; c’est là qu’est apparue la tendresse de Dieu, la grâce de Dieu ».

    Lire la suite

  • Mgr Léonard sur KTO

    IMPRIMER

    LA VIE DES DIOCèSES sur KTO

    Mgr André-Joseph Léonard - Diocèse de Malines-Bruxelles Diffusé le 13/12/2013 / Durée 29 mn

    Hors-série avec Mgr André-Joseph Léonard. L'archevêque de Malines-Bruxelles a repris ses visites pastorales dans les doyennés pour encourager les chrétiens. Dans une Eglise encore forte de ses institutions et de moyens mais grignotée par la perte de la foi, comment raviver la flamme ? Mgr Léonard, souvent contesté, ne perd pas pour autant sa vigueur évangélique. L'un de ses premiers soucis : les prêtres, les vocations sacerdotales et la formation au séminaire. Mais aussi, quel engagement des chrétiens dans la société ? Quelle contribution au débat actuel sur l'élargissement de l'euthanasie aux personnes mineures et déficientes psychiques ? Un entretien réalisé en Belgique.

  • Mandela : Zemmour iconoclaste

    IMPRIMER


    La face cachée de Mandela par rtl-fr

    JPSC

    Voir aussi : http://www.libertepolitique.com/Actualite/La-revue-de-presse/Mandela-ombres-et-lumieres