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Médias - Page 168

  • Baptême : une initiative de l'Eglise de Belgique sur le net

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    A l'heure où l'on évoque fréquemment les débaptisations, un site vient d'être ouvert sur le net qui devrait permettre au tout venant de découvrir ce qu'est le baptême et d'y accéder. En voici l'introduction :

    Peut-être songez-vous à en savoir un peu plus sur le baptême. Peut-être souhaitez-vous recevoir ce sacrement. Quel que soit votre âge, c’est possible...

    Comme hier sur les chemins de Palestine, Jésus partage le chemin des hommes et interpelle l’un ou l’autre pour qu’ils deviennent ses amis : ainsi Matthieu, assis à sa table de travail (Mt 9,9), André, occupé à la pêche (Mc 1,16) ou Bartimée, enfoncé dans la misère de sa cécité (Mc 10,49) ou tant d’autres que le Christ croise sur sa route. Chaque aventure est unique ; chaque histoire est sainte. Parce qu’elle est la vôtre, à nulle autre pareille et que vous la construisez en totale liberté et puis parce que Dieu s’y invite, s’y propose : il frappe doucement à la porte d’un cœur et attend qu’on lui ouvre… « Voici, dit Dieu, je me tiens à la porte et je frappe ; si quelqu’un entend ma voix et ouvre, j’entrerai chez lui et nous mangerons ensemble, moi avec lui et lui avec moi. » (Apoc 3,20)

    Cet appel en vous est peut-être déjà très clair ou bien le vivez-vous comme une profonde mais mystérieuse impression : un quelque chose d’étrange vous habite et vous travaille… Quoiqu’il en soit, vous ressentez le besoin d’aller plus loin car vous saisissez au plus secret de vous-même que quelque chose de déterminant, de décisif pour votre vie est en train de se jouer là.

    Dans cette clarification, l’Église peut vous aider. Autour de vous, de nombreux croyants, prêtres ou laïcs, partagent cette expérience fondamentale où s’enracine leur foi. Ils peuvent jouer pour vous le rôle de « frères ainés » : ils ont peut-être une longueur d’avance sur le chemin d’être chrétiens mais ils ne sont pas au bout de la route ; eux aussi sont des chercheurs de Dieu ; ils marcheront avec vous si vous le désirez ! Vers le baptême peut-être … s’il vous plaît … s’il plaît à Dieu !

    En consultant ce site, vous en saurez un peu plus !

  • Un évêque face à la meute

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    Monseigneur Jousten, évêque de Liège, a expliqué que les clarisses transmettaient un “vrai témoignage chrétien” par leur bonne volonté à accueillir Michelle Martin dans leur couvent. "Un être humain reste un être humain", a ajouté Mgr. Jousten." C'était sur les ondes de la BRF. (source)

    Si la justice belge, qui ne fait qu'appliquer la loi mise en place par les élus de la nation, permet à Michelle Martin de retrouver la liberté, ni vous, ni nous, ni l'Eglise, ni qui que ce soit, n'y pouvons rien. On peut discuter de l'existence et du bien-fondé de telles lois mais le fait est qu'elles existent et que les juges doivent bien s'y conformer. A partir du moment où cette personne, coupable de faits extrêmement graves - que personne ne cherche à nier -, se retrouve en liberté, peut-on reprocher aux soeurs clarisses de lui offrir un gîte? Que voudrait-on? Qu'elle aille loger sous un pont? Il faut rester sérieux. Que ce soient des femmes consacrées à Dieu, dans la prière et le silence, qui s'en chargent ne nous paraît nullement scandaleux. N'est-ce pas aux chrétiens qu'il incombe de témoigner de la miséricorde et de la foi en la Rédemption? N'est-il pas conforme au message de la Bible de croire que le pécheur ne doit pas être identifié à sa faute? Mais il ne s'agit pas d'une logique accessible à des gens qui préféreraient se livrer à un lynchage pour assouvir leur appétit de vengeance et leur désir de faire justice eux-mêmes.

    Il faut donc être courageux pour oser s'exprimer publiquement à ce sujet comme l'a fait Mgr Jousten. Cela nous paraît plus judicieux que de se retrancher dans un discours frileux tenu récemment par un autre prélat belge qui semblait plutôt ouvrir son parapluie en se démarquant de la décision prise par les soeurs de Malonne.

    Si l'on se rend sur le site de Sud Info.be qui publie l'information, et si on a le courage d'y lire les commentaires déposés par les lecteurs en dessous de l'article, on pourra se faire une idée des sentiments qui animent une part importante de la population. L'appétit de vengeance, la haine, la calomnie, l'incitation à la violence, s'y étalent sans aucune pudeur. Les soeurs, l'Eglise, y sont désignées à la vindicte populaire et accusées de collusion avec les crimes commis par la complice de Dutroux. Les faiseurs d'opinion qui ont  si généreusement semé le vent en exploitant à l'envi les abus sexuels commis par des ecclésiatiques peuvent se féliciter à présent de récolter la tempête qui se déchaîne contre les religieuses, contre l'évêque qui leur apporte son soutien, et contre l'Eglise toute entière. Ces pauvres soeurs clarisses deviennent le bouc émissaire idéal permettant à une foule déchainée de se décerner à bon marché des brevets d'innocence en poussant des cris de haine que l'on confond hypocritement avec de l'indignation altruiste.

    C'est ainsi que, il y a deux mille ans, fut conduit au Golgotha un homme qui avait déçu les espoirs d'un peuple rêvant d'un messie conforme à ses attentes. Et quel scandale de voir ce condamné mettre à profit son dernier souffle de vie pour accueillir un criminel crucifié à ses côtés!

  • Un site internet pour l'Année de la Foi

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    images.jpg(ZENIT.org) – Le Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation lance le site internet officiel de l'Année de la foi, en ce mois d’août 2012 : http://www.annusfidei.va

    Le site est disponible en italien et en anglais. Il présente notamment le calendrier de l’Année de la foi (11 octobre 2012 - 24 novembre 2013), régulièrement mis à jour par le dicastère.

    L’interface propose également de nombreux documents de réflexion et d’approfondissement, tels le Catéchisme de l’Eglise catholique, les actes du Concile Vatican II, les catéchèses de Benoît XVI sur les apôtres, sur les Pères de l’Eglise, sur la prière, sur les théologiens médiévaux et sur les grandes femmes de l’Eglise, ainsi que diverses présentations de l’Année de la foi.

    Chaque diocèse peut en outre signaler au Secrétariat organisateur les initiatives qu’il prévoit au niveau de l'Eglise locale. Les évènements majeurs seront publiés.

    La partition de l’hymne officiel « Credo, Domine », composé pour l’Année de la foi est disponible en téléchargement. De même, le logo de l’Année de la foi, qui représente une barque, la barque de Pierre, symbole de l’Eglise, sur fond de soleil, qui évoque l'eucharistie. Le mât est en forme de croix, tandis que les voiles dessinent le trigramme du Christ : IHS, qui signifie couramment « Jésus Sauveur des Hommes » (en latin « Iesus Hominum Salvator »).

    Enfin, dès la page d’accueil, un compte à rebours égrène le temps restant jusqu'au 11 octobre 2012.

  • Un accord signé entre Apple et le Vatican

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    Lu ICI :

    Le Vatican signe avec Apple

    Signer avec la Pomme ? Adam doit l'avoir mauvaise

    C'est une grande nouvelle pour le monde italien, et presque une épiphanie pour l'édition : la maison d'édition du Vatican, Libreria Editrice Vaticana, vient de signer un accord avec la firme Apple. En jeu, la commercialisation des livres publiés, en version numérique, directement dans l'iBookstore.

    C'est que Benoît XVI reste le théologien le plus lu de la planète. Et après quelques premiers pas dans le livre numérique, il fallait poursuivre dans la veine technologique pour toucher de nouveaux publics, et, si possible recruter des ouailles.

    « C'était une décision réfléchie et stratégique que, tôt ou tard, le format numérique deviendrait nécessaire. Nous y sommes parvenus en nous associant avec Apple, ce qui nous a permis de produire la catéchèse du Saint-Père », explique Giuseppe Costa, directeur de la maison d'édition, à Vatican Insider.

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  • Des crucifixions de chrétiens en Egypte ?

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    Des rumeurs ciculent suivant lesquelles des incitations à la haine à l'égard des chrétiens en Egypte auraient conduit des fanatiques à exécuter des Coptes par crucifixion, à proximité du palais présidentiel.

    Jusqu'ici nous n'y avions pas fait écho mais, comme cette rumeur enfle et se fait persistante, nous avons cherché à en savoir davantage. Il semble bien qu'il s'agisse d'un "hoax" médiatique ne reposant pas sur des informations sérieuses comme nous l'ont confirmé des amis coptes. C'est ce que confirme Jonathan Kay, sur le National post, dans un article intitulé : "Le canular de la « crucifixion » en Egypte devient un mythe instantané sur l'Internet". Cet article peut être consulté ICI.

  • Pussy Riot : le retour du bon sens ?

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    C'est ce que l'on pourrait déduire en lisant cet avis nuancé de Pascal Boniface, paru sur "Le Plus" du "nouvel Observateur" :

    Les Pussy Riot condamnées : quand les commentaires sombrent dans le manichéisme

    LE PLUS. La condamnation des Pussy Riot est-elle injuste ? À observer le déluge de commentaires qui l'ont suivie, l'opinion publique est formelle : ces filles-là n'auraient jamais dû payer pour leur forfait. De l'avis de Pascal Boniface, directeur de l'Iris, résumer de façon binaire une telle situation empêche d'avoir une réflexion plus approfondie et donc de faire avancer le débat.

    La condamnation à deux ans de camp des Pussy Riot a donné lieu à un déluge de commentaires, qui dans l'ensemble ont une fois encore cédé au manichéisme, laissant peu de place à une réflexion plus complexe. Or, comme souvent la réalité ne peut être résumée de façon de façon binaire (bien/mal) et comme souvent le jugement dépend autant de l'auteur des faits que de leur gravité.

    Au-delà des commentaires révoltés...

    1. Certes le jugement est d'une sévérité excessive. Il reflète un durcissement du régime de Poutine. Les protestations qu’il suscite sont compréhensibles. Mais peut-on parler de goulag et faire une comparaison implicite avec l'ère stalinienne ?

    2. Si l'on veut aider la société civile à se développer en Russie afin de permettre un plus grand respect des libertés civiques, faut-il se focaliser sur ces chanteuses ? N'est-il pas des militants des libertés et de la transparence dont le combat est plus ancien et plus vaste mais qui ne reçoivent pas le soutien des people ? Madonna doit-elle être l'arbitre des élégances de l'évolution des libertés publiques en Russie ?

    3. Que ce serait-il passé si un groupe punk était venu faire un concert non autorisé à Notre-Dame, ou une autre cathédrale ou dans une synagogue ou une mosquée en France, dans un lieu du culte aux États-Unis ? N’y aurait-il pas eu une réaction – certes sans doute plus mesurée – des autorités ?

    4. Certains éditorialistes si prompts à défendre les Pussy Riot sont plus discrets sur le sort réservé à Julian Assange. Il ne s'agit pas d'accorder l'impunité pour les accusations de viol dont il fait l'objet, mais de s'assurer qu'il ne puisse être transféré aux États-Unis. À cet égard, le sort réservé au soldat Manning qui, de juillet 2000 au 10 avril 2011, a été placé sous surveillance permanente, restant vingt-trois heures par jour en cellule et devant remettre ses vêtements tous les soirs à ses gardiens, n'a pas fait l'objet du même mobilisation compassionnelle et /ou démocratique.

    5. De même, parce que l’Afrique du Sud jouit d’un préjugé favorable, on n’a guère de condamnation ou de protestations contre les autorités de ce pays, après que trente-quatre mineurs qui manifestaient ont été tués par les forces de l’ordre. On imagine aisément ce qui ce qu’il se passerait si la police russe tuait trente-quatre manifestants.

    6. Il ne s’agit donc pas d’exonérer les autorités russes, mais si leur réaction a été disproportionnée, certains commentaires l’ont été tout autant.

  • L'amorce d'une nouvelle campagne pro-avortement ?

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    C'est ce que pense Jeanne Smits, toujours vigilante, au vu de ce qui se passe en République Dominicaine; voir les deux notes en lien :

  • La foi dans l’espace public

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    Sur son metablog, l’abbé Guillaume de Tanouärn est revenu ce 17 août sur la prière publique pour la France  qui a été prononcée dans tous les diocèses de l’hexagone, lors de la fête de l'Assomption. Partant d’une citation de Benoît XVI tirée du motu proprio promulguant une année de la foi, il poursuit :  

    « (…)  Quel est l'objet de la foi, pris dans toute son ampleur ? Il est triple: Il y a les dogmes qu'enseigne infailliblement l'Eglise depuis toujours (je ne parle pas des blablas réactualisés en permanence et qui valent dans l'instant). Ces dogmes ce sont les balises qui nous évitent de nous perdre sur l'Océan infini de la Divinité.

    Il y a les événements de notre propre vie, la Providence de Dieu en action. La foi consiste à prendre conscience de l'action de Dieu dans notre vie et de tout faire pour la relayer. Comme le dit très bien le Père de Caussade, "l'instant est l'ambassadeur de la grâce divine".

    Il y a enfin, à l'origine de tout, l'ordre du monde, comme a essayé de le montrer Jean-François Mattei dans le livre qui porte ce titre. "L'esprit a tout ordonné" disait Anaxagore cinq siècles avant Jésus Christ. Ce n'est pas le Hasard majusculaire qui domine le monde (si c'était le cas, il y aurait lieu d'avoir peur). Dans son film Crime et délit, Woody Allen a merveilleusement mis en scène ce choix premier que nous avons à faire d'un point de vue moral entre le monde du Hasard (et de la nécessité disait très bien [Jacques] Monod) et le monde de la foi (et de la liberté ajouterais-je).

    Dans Crime et délit, on montre bien que ces deux mondes sont incompatibles. On ne peut pas professer extérieurement la divinité du Hasard et intérieurement affirmer la divinité de l'Esprit.La vie nous contraint à des choix. C'est vrai pour chacun d'entre nous, c'est vrai aussi pour la société qui ne peut pas développer en même temps une culture de vie et une culture de mort. En même temps le nihilisme dans tous ses états et la foi en l'ordre du monde.

    C'est parce qu'elle a posé ce dilemme entre culture de vie et culture de mort, entre liberté et nécessité, entre calcul et foi, que l'Eglise intervient dans le débat public. Il est de plus en plus apparent aujourd'hui que les problèmes sociétaux débouchent sur des questions morales qui n'ont de solution que spirituelles.

    Mais ce dilemme, c'est avec beaucoup de tact que l'Eglise l'a posé, en offrant à Dieu et en mettant dans les mains de tous la prière pour les familles.

    Sur Radio Courtoisie, on a demandé à ceux qui participaient à l'émission de ce soir si il n'avaient pas l'impression que cette prière est de l'eau tiède. Réponse : non. Pour quatre raisons : elle englobe immédiatement les politiques, responsables en conscience de leur vote pour une nouvelle législation ; elle intervient avant le débat et force ceux qui vont y entrer à se définir par rapport à elle ; elle est positive avant tout comme est l'Eglise dans ce débat ; enfin elle est une prière et non un simple communiqué d'agence.

    Elle s'adresse au Seigneur et elle voudrait être reçue par tous ceux qui, pour reprendre le mot testamentaire de François Mitterrand, « croient aux forces de l'Esprit ». A ce stade, ce n'est pas de l'oecuménisme inefficace, c'est une manière décomplexée d'être catholique, c'est-à-dire universel.

     Tout le texte ici : L'Eglise dans le débat public

  • La guerre de Vendée accessible sur Gloria TV

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    Cliquer sur le lien suivant : http://es.gloria.tv/?media=322577

  • Vatileaks : voleurs minables, complot stupide et fantasmes médiatiques

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    imagesCA6S7ED5.jpgOn aura lu ici :Vatileaks : procès en vue le point actuel sur cette affaire. Notre sentiment a toujours été (voir ici : Vatican: les corbeaux volent bas)  que ce complot, certes bien désagréable pour la maison pontificale, était décidément trop bête pour dépasser de beaucoup le niveau des sacristies et d’une domesticité indélicate,  vénale  et stupide.

    Comme le montre cette interview dans "Il Sussidiario" (15/8/2012), traduite et publié par notre consoeur sur son site « Benoît et moi », Massimo Introvigne, un « vaticaniste » sérieux,  partage maintenant cet  avis :

    « VATILEAKS / Introvigne: mais quels secrets, c'est juste une opération commerciale.

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  • Pas de liberté d'expression pour les religions ?

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    Après la publication d'une prière pour l'Assomption par Monseigneur Vingt-Trois mettant l'accent sur la famille et s'opposant à l'adoption par un couple homosexuel, des associations se sont inquiétées d'une atteinte à la laïcité. Selon Erwan Le Noan, elles ont tort.

    Lire l'article de Erwan LE NOAN (avocat de formation, spécialisé en droit de la concurrence, il a été rapporteur de commissions économiques gouvernementale et professionnelle. Il enseigne le droit et la macro-économie à Sciences-po (IEP Paris).

  • Abbé Pierre-Hervé Grosjean (34 ans) : le style nouvelle évangélisation ?

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    Extraits de l’article publié sur le site de « Valeurs actuelles » :

    imagesCA2NFL1T.jpg(…) « J’ai toujours eu l’intuition qu’il me fallait servir une grande cause. » Laquelle ? La France, répond-il d’abord, après son baccalauréat. Comment ? Il songe à la politique, préfère l’armée.

    Admis en classe préparatoire au Prytanée de La Flèche, il décidera pourtant au bout d’un an d’« aller un peu plus loin dans le don », en choisissant la plus grande des causes. « C’est au sein du scoutisme que j’ai trouvé ma vocation, au contact d’un aumônier dont la joie de servir m’a profondément marqué. » Entré au séminaire à 19 ans, il en sort sept ans plus tard pour son ordination à Versailles, en 2004. Aujourd’hui vicaire de la paroisse d’Houilles-Carrière, il vient d’être nommé curé de Saint-Cyr-l’École, qu’il rejoindra à la rentrée.

    Les jeunes qui le côtoient – ils sont nombreux – le disent très accessible : « Il rappelle tous ceux qui lui laissent un message sur son portable, dont il donne facilement le numéro. » Et les invite souvent à partager une bière. Beaucoup se transmettent le texte d’une conférence qu’il a faite à l’invitation des Associations familiales catholiques : “Aimer en Vérité”. Il y rappelle, avec humour et sans détour, l’enseignement de l’Église sur l’amour, à l’âge où garçons et filles découvrent les jeux de la séduction : « Ni trop tôt, ni trop près, ni trop vite, leur dit-il, pour éviter d’arriver à 25ans avec le coeur usé. » Ce style direct lui vaut une réelle audience parmi les jeunes, mais c’est surtout son exigence qu’ils apprécient. « L’Église vous montre le sommet », leur dit-il dans sa conférence. « Il est carré », résume l’une de ses lectrices.

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