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Philosophie - Page 7

  • Le pape François modifie la gouvernance de l'Opus Dei : mais qu'est-ce que cela signifiera ?

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    Alors que la direction de la prélature personnelle souligne son acceptation filiale de la décision de François, mais les avocats canonistes soulignent l'importance du changement. Lu sur le National Catholic Register :

    « NEW YORK – Lorsque le pape François a décrété le 22 juillet que le chef de l'Opus Dei, connu sous le nom de prélat, ne serait plus évêque comme les deux derniers dirigeants l'avaient été, la décision a été adoptée par la direction du groupe sans la moindre protestation.

    "La volonté du Pape de mettre en évidence la dimension charismatique de [l'Opus Dei] nous invite désormais à renforcer le climat familial d'affection et de confiance : le Prélat doit être un guide mais, avant tout, un père", lit -on dans une réponse formelle émise par Mgr. Fernando Ocariz , l'actuel prélat de l'Opus Dei. 

    Mgr. Ocáriz a souligné l'acceptation filiale du groupe de la décision du Saint-Père, qui, selon le pape François, a été prise afin de fonder la gouvernance de l'institut ecclésial "plus sur le charisme que sur l'autorité hiérarchique". 

    Mgr. Le message rassurant d'Ocáriz a été repris par Brian Finnerty, directeur américain de la communication de l'Opus Dei.

    "Nous voulons que ce moment soit l'occasion d'approfondir ce merveilleux charisme que Dieu a confié à notre fondateur, et nous voyons le Pape nous encourager à le faire", a déclaré Finnerty au Register.

    Mais alors que la direction de l'Opus Dei a accepté les modifications, qui incluent le transfert de la supervision de la prélature personnelle du Dicastère pour les évêques au Dicastère pour le clergé, sans hésitation, les canonistes contactés par le Registre ont exprimé leur surprise face à la décision du pape François. Et bien que ces experts en droit de l'Église aient déclaré que le motu proprio du Pape , Ad Charisma Tuendum (Garder le charisme), n'affecterait pas nécessairement la vie quotidienne des plus de 93 000 membres de l'Opus Dei, ils se sont demandé si des changements significatifs étaient nécessaires.  

    Prélature personnelle

    L'Opus Dei est devenu la première et la seule prélature personnelle en 1982, lorsque saint Jean-Paul II a publié la constitution apostolique Ut Sit de 1982 , peu de temps avant de publier la révision du Code de droit canonique de 1983, qui cherchait à incorporer les enseignements du Concile Vatican II dans Loi de l'Église.

    Cette création de la prélature personnelle semblait cohérente avec les discussions du Concile Vatican II autour de la création de nouvelles entités, telles que les prélatures, les vicariats ou les ordinariats, qui pourraient servir les catholiques dont les besoins particuliers ne sont pas satisfaits dans la structure diocésaine géographique. Ce groupe de catholiques comprenait des soldats vivant sur des navires et des bases militaires étrangères et des laïcs suivant un charisme particulier. 

    Cela correspondait également au désir de saint Josémaria Escrivá, qui, en 1928, fonda une organisation de laïcs, de femmes et de prêtres dédiée à l'idée que tous les hommes - pas seulement le clergé ou les religieux - sont appelés à la sainteté personnelle dans la vie ordinaire. Il a qualifié son groupe d'"Œuvre de Dieu" - en latin, "Opus Dei".

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  • Prouver l'existence de Dieu par la raison naturelle grâce à la philosophie

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    De Charles-Henri d'Andigné sur le site de Famille Chrétienne :

    « L’existence de Dieu peut être prouvée par la raison naturelle grâce à la philosophie »

    L’ouvrage s’adresse à trois types de personnes. Aux chrétiens engagés qui cherchent à mieux comprendre leur foi et qui veulent répondre aux objections diverses du scepticisme contemporain. Aux chrétiens « de culture », qui ont reçu une éducation vaguement religieuse, mais qui ont fini par abandonner la foi. Enfin, aux sceptiques ouverts d’esprit et intéressés par toute démarche rationnelle touchant à l’existence de Dieu, voire à la possibilité d’une « vérité religieuse ».

    Qu’est-ce que l’apologétique ?

    L’apologétique, du grec apologia (ce qui signifie « défense »), est une branche de la théologie chrétienne qui cherche à donner des justifications rationnelles à l’ensemble de la foi chrétienne (en tant que doctrine). Cette science des raisons de croire a surtout pour objet de montrer aux incroyants la vérité de la Révélation chrétienne par le biais d’arguments purement rationnels et de donner aux croyants les ressources pour consolider leur foi, les aidant à sortir des périodes de doute.

    Vous évoquez le commencement et le « réglage fin » de l’univers… Sont-ce véritablement des preuves de l’existence de Dieu ou des arguments qui vont dans ce sens ?

    Tout dépend de ce qu’on entend par le mot « preuve ». Prise dans son sens large, une preuve désigne un « raisonnement propre à établir solidement la vérité », c’est-à-dire un raisonnement qui permet d’accréditer une thèse et d’infirmer son contraire. Les preuves en mathématiques sont d’une certitude absolue ; les preuves en matière scientifique ou historique sont d’une certitude relative. En philosophie, on parle de preuve lorsqu’il y a un argument logiquement valide et qu’il comporte de vraies prémisses (1). L’Eglise enseigne que l’existence de Dieu peut être prouvée par la raison naturelle grâce à la philosophie. En revanche, rien n’empêche que la science puisse confirmer certaines prémisses dans les arguments philosophiques. En ce qui concerne le commencement de l’univers, je pense que la science vient confirmer ce que la philosophie est capable de démontrer.

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  • François-Xavier Bellamy soumis à la question

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  • Prouver Dieu, la différence homme-femme, le sacerdoce : une émission (Esprit des Lettres) à ne pas manquer sur KTO

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    De KTO Télévision, une émission à ne pas manquer :

    L’Esprit des Lettres de juin 2022 : P. François Euvé, René Écochard, P. François Potez

    01/07/2022

    Jean-Marie Guénois a choisi pour vous des lectures de vacances plus exigeantes que beaucoup de ses confrères. Mais l’été n’est-il pas l’occasion de méditer sur l’essentiel ? Le père François Euvé, aiguillonné par des publications récentes proposant des preuves de l’existence de Dieu, enrichit le débat, de sa plume alerte (La science, l’épreuve de Dieu? chez Salvator). René Écochard fait un remarquable travail de compilation des découvertes et savoirs sur la différence homme-femme, aujourd’hui souvent relativisée. Il nous offre Homme, femme... ce que nous disent les neurosciences chez  Artège. Enfin, le père François Potez, dans « La grave allégresse » - être prêtre aujourd’hui, chez Mame, délivre une réflexion sur le sacerdoce fondée sur des années de ministère et d’accompagnement. UNE COPRODUCTION KTO-JDS-LA PROC.

  • « Tempéraments et péchés capitaux » : une conférence en replay de Stéphane Mercier offerte par 'Philo à Bruxelles'

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    Philosophie à Bruxelles à la Grand-Place

    VIVENT LES VACANCES !

    Pour les fêter dignement, ainsi que le 5ᵉ anniversaire* de Philo à Bruxelles, nous avons décidé de vous faire bénéficier gratuitement du replay  de la dernière conférence de Stéphane Mercier sur le thème

    « Tempéraments et péchés capitaux »

    Retrouvez-la dès maintenant en ligne sur la page d’accueil du site internet Philo à Bruxelles :

    ­­Regarder la conférence

    ­­« Tempéraments et péchés capitaux »­­­­­­

    Retour au désert :

    Tempéraments et péchés capitaux

    Notre « exploration » des péchés capitaux et de leur histoire commence dans le désert, là où s’est élaborée notre septénaire des vices. Nous pouvons ainsi prendre la mesure de la pertinence à la fois psychologique, philosophique et théologique de l’analyse proposée par les reclus à l’intention de ceux qui, comme nous, sont dans le monde (bien qu’essayant, autant que possible, de ne pas en être…).

    Cependant, dans le désert comme dans le monde, chaque homme jouit de ses propres ressources et souffre de ses faiblesses particulières, liées à l'essence de sa personnalité. 

    Quelques considérations sur les formes principales du tempérament humain : colérique, mélancolique, sanguin et flegmatique, nous permettront de peut-être mieux nous connaître et comprendre où faire porter nos efforts en tenant compte des dispositions propres de notre caractère.

    ­­­­­­Quand ?

    Vous pouvez écouter gratuitement cette conférence pendant toutes les vacances.

    Et même dès maintenant grâce à un simple clic !

    ­Où ?

    ­Chez vous, sur votre lieu de villégiature,   en route, derrière le volant, dans le train ou pourquoi pas sur la plage ou dans un verger…

    ­La dernière conférence n’ayant pas pu être diffusée en direct et parce que nous savons combien vous apprécierez cette conférence sur le thème « Tempéraments et péchés capitaux », nous avons décidé de vous offrir un accès à cette dernière vidéo de Stéphane Mercier, pendant toutes les vacances de cet été 2022.

    Toutes les autres vidéos – déjà plus de 40 ! – sont également accessibles sur cette page. Il vous suffit de souscrire un abonnement grâce à des tarifs à la portée de toutes les bourses.

    Toute l’équipe de Philo à Bruxelles vous dit MERCI pour votre soutien et vous souhaite une bonne écoute !

    Plus d’informations

    * 5 ans… Oui, il y a cinq ans déjà que nous nous sommes lancés dans l’aventure de Philo à Bruxelles­­Agenda - Philo à Bruxelles­­
    ­

  • Belgique : TV-Il était une foi… Georges-Louis Bouchez

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    Dans une interview récente le président du MR déclarait: « Je crois en moi. Et je crois en Dieu ». Qui est Dieu pour Georges-Louis Bouchez ? La quête de sens peut-elle inspirer la politique ? Les religions peuvent-elles contribuer aux débats de société ? Découvrez les réponses de l’homme politique.

    Explicitation dans un entretien réalisé par le site web des diocèses francophones de Belgique : propos recueillis par Christophe HERINCKX

     

    Ref. TV-Il était une foi… Georges-Louis Bouchez

  • Philo à Bruxelles, 7 juin : "Tempéraments et péchés capitaux" avec Stéphane Mercier

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  • Philo à Bruxelles, 17 mai : "La tactique du diable" avec Stéphane Mercier

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  • "Philo à Bruxelles", 17 mai : "La tactique du diable" avec Stéphane Mercier

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    17 mai à 19h30, sur la Grand-Place de Bruxelles (Maison du Roy d’Espagne) :
    La tactique du diable - Stéphane Mercier

    La tactique du diable

    En 1942, l’essayiste britannique C.S. Lewis publiait The Screwtape Letters (Tactique du diable, dans la version française) : ce bref roman épistolaire imagine la correspondance entre Screwtape, un démon expérimenté, et Wormwood, un jeune tentateur tout frais émoulu de l’académie diabolique où l’on apprend par quels moyens tenter les hommes afin de les perdre.

    S’il peut sembler léger de traiter un sujet aussi grave d’une manière aussi inattendue, on découvre rapidement le génie de l’auteur, qui a su condenser en quelques lettres les principaux pièges dans lesquels chacun d’entre nous tombe si souvent et si aisément par orgueil, par gourmandise, par paresse, par colère, et ainsi de suite. Les diverses tentations suggérées par Screwtape sont en effet aussi simples qu’efficaces, précisément parce qu’elles jouent sur les péchés capitaux, dont nous retrouvons ainsi, par le biais de cette correspondance imaginaire, les principaux ressorts.

  • Philo à Bruxelles : 26 avril; "La paresse, le vide de l'âme" avec Stéphane Mercier

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    Retrouvons-nous à la prochaine conférence de Stéphane Mercier : 26 avril à 19h30, sur la Grand-Place de Bruxelles.

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  • Après l’humanisme

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    apres-lhumanisme.jpgRémi Brague est professeur émérite de philosophie médiévale, arabe et juive. Membre de l’Institut de France et auteur d’une œuvre importante. Voici, le texte de interview qu’il a accordée à Christophe Geffroy, fondateur et directeur du mensuel La Nef à propos de son dernier livre : « Après l’humanisme. L’image chrétienne de l’homme » Salvator, 2022, 210 pages, 20 € :

    « La Nef – Pourquoi s’intéresser à une définition de l’homme, en quoi est-elle nécessaire ? Et est-il seulement possible de « définir » l’homme dont vous dites bien qu’il est « mystère » comme le Dieu dont il est l’image ?

    Rémi Brague – Ce que je défends est qu’il faut se méfier de toute définition de l’homme qui serait, selon l’étymologie, une façon de fixer des limites (latin : finis) à l’humain. Ce qui mène à exclure tout ce qui ne satisfait pas aux critères. D’abord les fœtus ou les nourrissons encore incapables de poser les actes par lesquels on peut identifier l’humain comme la parole. Puis les comateux aux encéphalogrammes plats. On en vient aisément, et l’histoire récente nous en fournit des exemples concrets, à décider qu’il y a des « sous-hommes » qui mènent une « vie qui ne vaut pas d’être vécue » (lebensunwertes Leben), etc.

    C’est d’avoir voulu être trop humain, en centrant trop le regard sur l’homme, que l’humanisme s’est épuisé : comment en est-il arrivé là, était-ce inscrit dans l’humanisme originel ?

    Que l’homme soit au centre, admettons, mais sans oublier qu’au centre du village, il n’y a pas que le trône, mais aussi le pilori… Mais au centre de quoi au juste ? Je dirais donc plutôt que l’humanisme s’est rabougri en perdant de vue le contexte à l’intérieur duquel l’humain prend son sens. On peut le penser ce contexte en différents styles. Pour les Anciens, c’était le monde physique en son bel ordre – en grec : kosmos. L’homme en était le sommet, non le tyran, mais plutôt le chef-d’œuvre, le vivant qui réalise le mieux les intentions de la Nature. Il le faisait par la pratique des vertus. Pour la Bible, ce contexte est Dieu. L’homme en est l’image. Pour se montrer à la hauteur de cette vocation, il se guide sur les commandements donnés par le Dieu créateur et libérateur.

    Le fait de définir l’homme par lui-même comme le fait un certain humanisme conduit non pas à l’échec, écrivez-vous, « mais à une réussite telle qu’elle aboutit à l’opposé de ce qui était recherché » : pourriez-vous nous l’expliquer ?

    La définition de soi par soi est l’aspect théorique d’une attitude pratique, la recherche de l’autonomie. Or, la détermination de soi par soi est neutre : elle peut être positive, mais aussi négative. Dans mes Ancres dans le ciel (2009), j’ai fait un peu d’humour noir en rappelant que le suicide était aussi une façon de se déterminer soi-même. Voire, plus efficacement que tout essai pour s’améliorer physiquement ou moralement.

    Pourquoi la tentation de créer un « homme nouveau » conduit-elle au désastre ?

    Je laisse de côté le problème du prétendu « transhumanisme » : techniquement faisable ? moralement justifiable ? etc. Mais le projet de créer un « homme nouveau » est ancien. Voyez le livre de Dalmacio Negro, El mito del hombre nuevo (2009), qu’il faudrait traduire. L’ennui c’est que le créateur d’un éventuel « homme nouveau » resterait un « homme ancien », gouverné non par la recherche de la sainteté, mais plutôt par celle du pouvoir. On n’obtiendra qu’une version augmentée de cet « homme ancien ». Celui que saint Paul appelle le « vieil homme » aura reçu son masque au concombre, voilà tout. L’élévation se réduira à un lifting…

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  • RDC : Interview de Mgr Donatien Nshole, secrétaire général de l’influente Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO)

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    Une mentalité et un franc parler qui détonnent avec ceux des milieux cléricaux usuels en Europe et ailleurs: