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Politique - Page 546

  • François Hollande, la France et les Catholiques

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    Ref:

    LES MARDIS DES BERNARDINS
    François Hollande, la France et les catholiques

    Diffusé le 28/01/2014 / Durée 52 mn

    Pour la première fois depuis son élection, François Hollande s'est rendu au Vatican le 24 janvier. Le président de la République et sa délégation ont été reçus au Palais apostolique par le Pape François. Cette brève visite a été décidée récemment. Quelle est la portée d'une telle rencontre ? Après avoir réduit le dialogue au strict minimum sur les questions de société et laisser un développer un certain laïcisme au niveau de l'Etat, s'agit-il d'une évolution dans la ligne du président Hollande vis-à-vis des religions, et en particulier de l'Eglise catholique en France ? Retour sur cet évènement à l'approche des échéances électorales et après un début de quinquennat tendu. Avec la participation de : Jean-Pierre Mignard, avocat, membre du Conseil national du Parti Socialiste et co-directeur de la rédaction de Témoignage Chrétien ; Jean-Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien Démocrate et député des Yvelines ; Razzy Hammadi, Député PS de Seine-Saint-Denis ; Samuel Pruvot, journaliste et auteur de François Hollande, Dieu et la République (Salvator). Table-ronde animée par Hadrien Lecoeur.

    JPSC

  • Euthanasie des mineurs en Belgique : la société civile impose peu à peu le débat…à un jour du vote !

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    Lu sur le site des médias catholiques belges :

    Chambre-des-representants (1).jpgPétition de pédiatres, sorties de députés, manifestation des Dossards Jaunes : la Belgique commence enfin à parler de la dérive de l’euthanasie des enfants malades. Mais la Chambre des représentants compte néanmoins passer au vote final pour ce jeudi soir…

    « Dans les colonnes du journal Dimanche, la députée MR Marie-Christine Marghem, avait déjà pointé le flou complet sur le concept de « capacité de discernement » de l’enfant. Un flou que le projet de loi ne règle absolument pas. Elle a redit sa volonté de contrer le projet et espère bien convaincre ses collègues députés.

    Le collectif des Dossards Jaunes a également mené une action hier soir : une centaine de manifestants se sont réunis Place de la Liberté à Bruxelles. Outre le fait que cette place soit à un jet de pierre du parlement, son nom faisait aussi écho à la demande des 160 pédiatres de préserver leur liberté. Le chiffre initial de 39 signataires s’est considérablement étoffé depuis quelques jours. Ce projet est en effet très mal perçu par les spécialistes, qui estiment que la possibilité d’euthanasie sur les enfants va profondément modifier le rapport entre médecin et patient. Le rôle du médecin ne serait plus de guérir mais de donner la mort. Une situation qui existe déjà dans le cas de l’euthanasie des adultes, mais qui sera ressentie de manière encore plus forte par les enfants malades.

    La presse tire également la sonnette d’alarme. Francis Van de Woestyne, éditorialiste à La Libre Belgique, souligne le ce projet est plus motivé par l’idéologie que par le souci des enfants malades : « Le danger est que cette loi, votée en fin de législature, ne soit finalement qu’un trophée, conçu non pas pour soulager la détresse des enfants ou des familles mais pour des raisons strictement politiques. La seule urgence à laquelle elle répond n’est pas médicale ou psychologique mais idéologique. »

    Consciente que la population n’était pas vraiment au courant de ce projet mettant en péril la solidarité envers les malades, la presse donne la possibilité aux citoyens de s’exprimer. La Libre et RTL proposent ainsi chacun un sondage sur l’euthanasie des enfants. A la formulation des questions, on ressent que les choses ne suivent pas le cours prévu : les initiateurs du projet se seraient bien contentés d’un vote rapide dans la discrétion.

    La Chambre des représentants a prévu de se saisir du sujet aujourd’hui, avant de voter demain soir. Mais la coalition de circonstance entre socialistes, écologistes, libéraux et N-VA ne semble pas vouloir se remettre en question, malgré l’appel de plus en plus pressant de la société civile.

    M. B.

    Ref:la société civile impose peu à peu le débat… à un jour du vote

    Trop tard, trop mou, sans relai politique véritable. Quel parti de la majorité serait donc prêt à faire du report du vote de la proposition de loi une question de gouvernement ? Les carabiniers d’Offenbach peuvent faire de la figuration mais ils ne sont pas de ceux qui gagnent les combats…JPSC

  • Euthanasie des mineurs : une loi dictée par des impératifs idéologiques

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    Francis Van de Woestyne, dans son éditorial d'aujourd'hui sur la Libre, pointe la seule urgence à laquelle répond la loi sur l'euthanasie des mineurs : l'urgence idéologique :

    Les députés examinent ce mercredi un projet de loi visant à étendre aux mineurs la loi de 2002 dépénalisant l’euthanasie. Ce texte, une majorité d’entre eux vont le voter malgré la vive opposition d’une partie du monde médical. D’où cette question : où sont l’urgence et la nécessité d’une telle loi ?

    1. Il n’est pas question, ici, de tomber dans les excès de ceux qui prétendent que l’on va "tuer des enfants innocents". La loi concerne les enfants atteints de souffrances physiques inapaisables, dont le décès est attendu à bref délai. Mais il nous semble qu’avant de voter une loi, la première question à se poser est de savoir si le dispositif qu’elle prévoit répond à une demande, un besoin, une nécessité. Or la réponse à cette question est négative.

    2. Les Pays-Bas ont un dispositif légal depuis 12 ans : il n’a touché que cinq enfants. En Belgique, cette loi va être votée pour répondre à un non-problème. Car actuellement, dans les services d’oncologie, des médecins font déjà face à des situations de grande détresse chez des enfants atteints de tumeurs malignes incurables. Et la majorité des médecins concernés n’ont, disent-ils, jamais été confrontés à la demande d’un enfant ou d’un adolescent réclamant d’en finir. Ces cas-là se gèrent dans la douceur, grâce à des soins palliatifs adaptés. Dès lors, les médecins se disent humiliés par une loi "brutale".

    3. Le danger est que cette loi, votée en fin de législature, ne soit finalement qu’un trophée, conçu non pas pour soulager la détresse des enfants ou des familles mais pour des raisons strictement politiques. La seule urgence à laquelle elle répond n’est pas médicale ou psychologique mais idéologique.

    Voir aussi : http://www.lalibre.be/debats/opinions/il-n-y-a-pas-d-age-a-la-souffrance-52fb30a23570516ba0b96f07

  • Liège : 500 fidèles autour de leur évêque pour prier à l'occasion du vote de la loi sur l'euthanasie des mineurs

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    Euthanasie : plus de cinq cents Liégeois réunis en prière à la Cathédrale de Liège ce mardi 11 février

    Pour cette journée de jeûne et de prière, Mgr Delville, évêque de Liège, a choisi le 11 février, Journée mondiale des Malades, qui est également la fête de Notre-Dame de Lourdes et le jour de la cinquième apparition de la Vierge des Pauvres à Banneux, où Marie indiqua à la jeune voyante, Mariette Beco : Je suis venue soulager la souffrance.

     

    Il a voulu cette journée pour éveiller les consciences et provoquer un ultime débat public au moment où notre pays risque de se donner une législation étendant la possibilité de l’euthanasie à des personnes mineures.

    Mgr Delville a présidé une veillée de prière à la Cathédrale de Liège, à laquelle plus de cinq cents personnes ont participé. La Parole de Dieu, des chants, des lectures, du silence ont nourri et fortifié en elles la confiance et l’espérance.

     

    Dans son homélie, Mgr Delville a rappelé le danger que cette loi représenterait : Au lieu de stimuler la solidarité autour de la personne malade ou fragile, on risque d’engendrer la méfiance et le rejet, les discussions dans fin et les disputes. On euthanasie la solidarité ! Enfin, avec ce type de loi sur l’euthanasie, on en arrive à changer la notion même de dignité humaine. Celle-ci dépendrait désormais non de la nature humaine, mais de l’évaluation que l’on fait de cette dignité, par un jugement purement subjectif, couvert par les mots « liberté de choix ».

     

    En conclusion, il a invité l’assemblée à manifester encore plus de compassion et de solidarité aux personnes souffrantes, ainsi qu’à ceux qui les accompagnent, et d’apporter ainsi à notre société un témoignage concret du renouveau issu de la foi : (…) penchons-nous sur le corps de Jésus, qui souffre aujourd’hui dans les enfants malades et en fin de vie, dans les autres malades et les personnes fragiles ; prions pour eux ; (…) vivons la solidarité avec ceux qui soignent dans les hôpitaux, les médecins, les infirmières, le personnel, et avec les familles qui accompagnent les malades. Nous découvrirons ainsi, comme les femmes de l’évangile, la force de vie et de renouveau que notre foi apporte à la société.

     

    D’autre part, les fidèles ont été invités à prier à cette intention dans toutes les paroisses du diocèse de Liège durant les célébrations des derniers WE et plusieurs paroisses ou regroupements de paroisses (Unités pastorales, doyennés) ont également organisé un temps de prière localement, s’unissant ainsi à la démarche souhaitée par Mgr Delville, et dans le même esprit que d’autres veillées organisées dans notre pays.

  • Quand Gallimard réédite l'Enracinement de Simone Weil

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    D'Eugénie Bastié sur causeur.fr :

    Simone Weil, prophète pour notre temps

    Gallimard réédite L’Enracinement

    Alain, qui fût son maître, l’appelait la « martienne », ses camarades de Normale « la vierge rouge », la philosophe Marie-Madeleine Davy la qualifie de « prophète ». Quant à Simone de Beauvoir, elle dit d’elle dans ses Mémoires « J’enviais un cœur capable de battre à travers l’univers entier ». Syndicaliste, chrétienne, mystique, pour tous ses contemporains, Simone Weil demeure un être à part, « archangélique » et mystérieux, sorte de cerveau monté directement sur cœur, d’une capacité intellectuelle hors du commun, dénuée de tout cynisme et vouée sans conditions à un seule cause : la vérité.

    L’Enracinement, son œuvre la plus achevée, essai politique d’une lucidité vertigineuse, est republié chez Gallimard, dans le cadre d’une parution des œuvres complètes entamée en 1988. Terminé en 1943, quelques semaines avant sa mort, on le considère comme son « testament spirituel ». C’est aussi un des écrits politiques les plus saisissants du XXème siècle, dimension que s’attache à mettre en valeur l’édition admirablement annotée par Patrice Rolland et Robert Chenavier.

    Dans cet essai écrit dans une langue lumineuse, illustré par un art de la métaphore limpide, Simone Weil met le doigt dans la plaie de notre époque : le déracinement, cause principale selon elle, de la débâcle de 40. Mais, n’en déplaise aux néo-barrésiens adeptes de théories remplacistes, ici les racines ne sont pas celles de l’arbre de Monsieur Taine, où se mélangent la terre et le sang, mais plutôt des racines spirituelles et culturelles. Et le déracinement est moins dû à des logiques de métissage qu’à la technicisation progressive du monde et la bureaucratisation jacobine du « monstre froid » étatique.

    L’histoire pour Simone Weil, loin d’être linéaire, est plutôt un océan de mensonges écrits par les vainqueurs où surnagent de temps à autres des « ilots de vérités », trésors égarés de l’âme humaine qu’il s’agit de retrouver.

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  • Faire son choix entre la Russie et la Belgique ?

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    Telle est la curieuse proposition que fait Christian Vanneste sur Boulevard Voltaire qui nous livre en même temps le regard qu'il porte sur notre pays :

    Belgique versus Russie : faites votre choix !

    L’avenir des nations européennes se situe dans le choix entre ces deux directions opposées.   

    Pour fuir l’enfer fiscal français, Depardieu avait hésité entre Belgique et Russie. Deux événements à la taille de ces pays prennent une signification symbolique pour l’avenir de l’Europe. Le premier est une anecdote. L’acteur belge Poelvoorde nous a dit combien les manifestations françaises contre le mariage unisexe faisaient rigoler les Belges. À Sotchi, le président Poutine a ouvert des Jeux olympiques d’hiver à la dimension de sa vision de la Russie. L’avenir des nations européennes se situe dans le choix entre ces deux directions opposées.

    Les Belges sont un peuple sympathique, doué pour l’humour et le dessin. La saillie rigolarde de Poelvoorde m’a fait relire Baudelaire : « La Belgique se croit toute pleine d’appas ; [...] Voyageur, ne la réveillez pas ! » Cette citation, la moins virulente, éclaire la réalité de ce pays au cœur de l’Europe politique. C’est un espace, non une nation. La Belgique est un État en sursis qui préfigure ce que pourrait être l’Europe fédérale. Le fédéralisme y est déjà appliqué. Le pouvoir central y est tellement dénué d’importance qu’après les élections de 2010, la crise politique a duré 535 jours avant qu’un gouvernement issu des élections soit installé. La social-démocratie a trouvé un terrain d’entente avec les libéraux dans le domaine de la « libération » des mœurs : avortement, mariage et adoption unisexes, PMA, GPA, euthanasie (y compris des mineurs), cannabis à petites doses toléré, prostitution, salles de shoot…

    Le premier effet néfaste pour l’Europe est que l’absence de frontière rend difficile, à un État souverain, d’empêcher ses nationaux d’échapper à ses lois en allant faire ailleurs ce qui est interdit à domicile. Cette facilité devient un argument pour abroger les lois d’interdiction partout. Le maillon le plus faible attire inexorablement l’Europe vers le bas.

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  • 160 pédiatres demandent le report du vote de la loi sur l'euthanasie des mineurs

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    Sur RTL-TVI :

    "Il n'y a pas de demande de la part de la population ou du monde médical."

    Des pédiatres belges sont préoccupés par la décision "précipitée" concernant l'extension de la législation sur l'euthanasie. Dans une lettre ouverte signée par 160 pédiatres et remise au président de la Chambre, André Flahaut, ils demandent aux responsables politiques de ne pas voter pour ce projet de loi dans le cadre de cette législature, ont-ils indiqué mardi lors d'une conférence de presse. Les pédiatres, qui sont associés à des hôpitaux et des centres de soin dans tout le pays, estiment qu'une réflexion plus poussée est nécessaire concernant l'extension de l'euthanasie aux enfants.

    "Il n'y a pas de demande de la part de la population ou du monde médical d'étendre la possibilité de l'euthanasie aux mineurs", explique le professeur Stefaan Van Gool de l'UZ Leuven. "Il n'y a pas de besoin urgent de faire passer cette loi aussi vite. On a parlé tellement de la scission de BHV, un problème beaucoup plus simple que l'euthanasie des enfants."

    En outre, les médecins s'interrogent sur la capacité de jugement des jeunes et l'influence de l'entourage sur la question. "Un jeune peut penser en adulte après ses 18 ans. On le voit aussi dans d'autres domaines, comme dans l'octroi d'une assurance voiture. Même dans les dossiers judiciaires, l'impulsivité d'un mineur est utilisée pour adoucir la peine. Mais pour l'euthanasie, cette impulsivité ne serait pas un problème", ajoute Stefaan Van Gool.

    Les initiateurs de la lettre expliquent qu'ils sont prêts, avec leur expérience pratique, à travailler sur une réflexion autour de ce thème sensible.

  • La question des avortements tardifs devant le Conseil de l'Europe

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    Le Conseil de l'Europe saisi de la question des avortements tardifs

    De Grégor Puppinck sur zenit.org :

    Le Conseil de l’Europe saisi de la question des avortements tardifs, explique Grégor Puppinck, Directeur du European Cantre for Law and Justice, Strasbourg. Il fait observer que "même si l’on estime que la vie ne commence qu’à la naissance, force est d’admettre qu’un « fœtus humain » né vivant est une personne.".

    Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe a été saisi le 31 janvier 2014 d’une question écrite mettant en cause le « drame des avortements tardifs ». Il devrait statuer ces prochains jours. Le Royaume-Uni est particulièrement visé suite à la révélation que chaque année, une soixantaine de fœtus survivent plusieurs minutes, voire plusieurs heures à leur avortement tardif. Le Royaume-Uni autorise l’avortement jusqu’à 24 semaines, soit deux semaines au-delà de l’actuel seuil de viabilité.

    Ces « nouveau-nés » sont abandonnés à la mort ou tués par l’équipe médicale alors même que certains seraient viables avec une assistance médicale. D’autres pays comme la Suède sont également visés pour les mêmes faits. En Italie, en 2010, un “fœtus” de 22 semaines a été trouvé vivant 20 heures après son avortement (à cause d’un bec de lièvre). Placé en soins intensifs, il est mort le jour suivant. A Florence,  un autre enfant a survécu trois jours à son avortement. De tels faits se produisent partout où les avortements tardifs sont autorisés, mais sont très rarement reportés et rendus publics, d’où l’intérêt de cette question écrite qui expose publiquement ce problème pour la première fois au niveau européen.

    La question parlementaire demande au Comité des Ministres de « garantir que les fœtus qui survivent à un avortement ne soient pas privés des soins médicaux auxquels ils ont droit (en leur qualité de personnes vivantes au moment de leur naissance) en vertu de la Convention européenne des droits de l’homme ? ». De fait, même si l’on estime que la vie ne commence qu’à la naissance, force est d’admettre qu’un « fœtus humain » né vivant est une personne. Plusieurs gouvernements au sein du Comité des Ministres pourraient vouloir, en réponse, recommander aux Etats européens de ne plus permettre l’avortement – même eugénique - au-delà du seuil de viabilité, comme vient de le faire la Norvège début janvier 2014, et comme s’apprête à le faire l’Espagne. 

    Le Comité des Ministres devra apporter une réponse écrite et circonstanciée à cette question dans les prochaines semaines. La réponse adoptée par le Comité des Ministres est dotée d’une autorité politique. Le 13 Juillet dernier, saisi d’une autre question, le Comité des Ministres avait reconnu l’absence de consensus européen quant à l’existence d’un « droit à l’avortement » au titre de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Le Comité des Ministres du Conseil de l’Europe regroupe les ambassadeurs des 47 Etats membres du Conseil de l’Europe. Il exerce notamment un rôle de surveillance du respect par ces Etats de la démocratie, des droits de l’homme et de l’Etat de droit.

  • Pétitionner contre l'agression de l'Eglise catholique par l'ONU

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    Une pétition a été mise en ligne et a déjà recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures :

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    Pour en découvrir la teneur et y ajouter votre signature : http://citizengo.org/fr/3956-agression-lonu-vis-vis-leglise-catholique?tc=gm&tcid=1688455

  • Que reste-t-il des chrétiens d'Orient ?

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    C'est la question que soulève Sandro Magister :

    Ce qu’il reste des chrétiens d'Orient

    Dans les pays arabes ils sont de moins en moins nombreux et ils sont poussés à l’exode par une hostilité croissante. Une présentation mise à jour indique combien ils sont et qui ils sont, trois mois avant le voyage que le pape va effectuer en Terre Sainte...

    Lire la suite sur chiesa.espressonline.it

  • Quand l'air du temps souffle aussi sur le Grand-Duché de Luxembourg

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    Lu sur La Vie :

    Luxembourg : vers une séparation de l'Eglise et de l'Etat ?

    Un minuscule État où il ne se passe presque rien en dehors du secteur financier et des institutions européennes qui y ont leur siège : telle est l’idée que l’on se fait à tort du Luxembourg, pays de 500 000 habitants niché entre la France, l’Allemagne et la Belgique. C’est oublier que les Luxembourgeois ont une histoire, une langue, des écrivains, des journaux, des partis politiques… en conflit. Et depuis l’arrivée au gouvernement d’une coalition inédite – libéraux, socialistes, écologistes –, le grand-duché s’apprête même à déguster une spécialité bien française : un grand débat sur la laïcité, la place des religions dans la sphère publique, les relations entre les cultes et l’État…

    Le nouveau Premier ministre, le libéral Xavier Bettel, a annoncé le 10 décembre dernier, lors de la présentation de son programme, que les nouvelles « réalités sociétales » exigeaient « une remise en cause des relations actuelles entre l’État et les cultes ».

    La baisse du financement par l’Etat

    Cette remise en cause, aux contours encore flous, comporte d’abord la suppression des heures d’enseignement religieux catholique, que les élèves choisissent aujourd’hui à 70 % dans le primaire et à 58 % dans le secondaire. Elle comporte aussi la révision à la baisse du financement par l’État des cultes dits conventionnés. Ce financement couvre essentiellement les frais liés aux bâtiments et les salaires des ministres des cultes ou des autres employés. À part l’Église catholique, qui perçoit 95 % du budget total alloué aux cultes et compte 317 salariés, dont 118 membres du clergé, les autres cultes ne comptent qu’une petite poignée de salariés. Des petits changements symboliques sont également annoncés, comme le remplacement pour la fête nationale du Te Deum, traditionnellement prononcé à la cathédrale, par une cérémonie non religieuse.

    Lire la suite sur La vie

  • Quand des citoyens québécois lancent un cri pour tenter de stopper l'euthanasie

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    20140210003221ENPRNPRNE-Physicians-Nadine-1y-1391992341MR.jpgSOS ... Les Québécois lancent un cri du cœur pour STOPPER l'euthanasie 

    Pendant que le Québec se prépare à devenir la première province au Canada et la première place dans les Amériques à adopter - sans référendum - une loi autorisant l'euthanasie, les Québécois lancent un appel à l'aide au monde entier afin d'influencer le gouvernement du Québec à ne pas adopter le projet de loi.

    Dans cette video, des citoyens québécois de divers horizons partagent leur histoire personnelle et mettent en lumière les dangers et les abus qui pourraient découler de la promulgation d'une telle loi. Âgée de 16 ans et ayant vaincu une forme agressive de leucémie (y compris une expérience douloureuse avec une greffe de moelle osseuse), Nadine nous décrit comment elle aurait refusé la chimiothérapie et, du coup, une chance de survie si le projet de loi avait été en vigueur à l'époque où elle n'avait que seulement 14 ans.

    La loi proposée permettrait aux jeunes de 14 ans de refuser un traitement sans le consentement de leurs parents. Heureusement, une telle loi n'était pas en place il y a deux ans, et Nadine est bel et bien vivante. Sa mère Claude témoigne de l'importance de la famille et de l'amour dans le soutien des jeunes durant les moments de grande vulnérabilité.

    D'autres personnes exposent les dangers et les abus qui guettent les personnes de tous les âges si l'euthanasie est adoptée au Québec. Christiane qui est dans la quarantaine est très affectée par la bataille de sa mère et sa soeur contre le cancer du sein. Une amélioration remarquable a été réalisée au chapitre des soins médicaux depuis l'époque où sa mère a perdu sa bataille contre le cancer du sein. En guise de preuve à l'appui, on note l'expérience de sa soeur qui a survécu au même type de cancer récemment et la mesure dans laquelle les choses seraient également très différentes pour la famille de sa soeur si cette dernière avait prématurément abdiqué et opté pour l'euthanasie plutôt que pour les traitements offerts. On peut supposer que l'expérience de sa mère l'aurait influencée à se faire euthanasier. Qu'aurait-elle fait si le médecin traitant avait donné un pronostic sombre?

    D'autres témoins, dont Luc mentionnent les abus potentiels par les politiciens, les administrateurs des hôpitaux, les professionnels de la santé et les familles qui vivent et exercent dans une société menée par l'argent. Il y a un risque réel que certaines vies soient jugées moins dignes de vivre en raison des pressions financières. Dre Sylvia Baribeau, médecin de famille, et Dr Pierre Faubert, psychologue clinicien, mettent en évidence le fait qu'une personne malade est inapte émotionnellement et psychologiquement à prendre une telle décision de se faire euthanasier.

    Ces témoins suivent l'histoire émouvante de Jessica, 4 ans, née avec une malformation cardiaque grave, qui fait appel au roi de Belgique et l'implore de ne pas signer la loi pour l'euthanasie pédiatrique. Cette vidéo a été diffusée le 2 février [http://coalitionmd.org/dun-enfant-a-un-roi-video-leuthanasie-en-belgique].

    Le projet de loi québécois sur l'euthanasie devrait être déposé pour vote le 11 février 2014, " Journée mondiale du malade ". La Commission des droits du Québec recommande l'extension de l'euthanasie aux enfants.