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Politique - Page 636

  • Lettonie : une campagne créative rouvre le débat sur l'IVG

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    LETTONIE, 26 Octobre (C-FAM) Des sculptures représentant des bébés couchés par terre attirent les passants. Aux côtés de chaque enfant, un message rédigé en letton, anglais et russe raconte la véritable histoire de l’enfant avorté, et les raisons du « choix de sa mère ». 

    Les 27 bébés sont un symbole des IVG accomplies quotidiennement en Lettonie, un pays au taux d’avortement très élevé et au taux de natalité très faible.

    avortements-lettonie.jpgCette exposition créative dans ce petit pays balte est partie d’une plus large campagne pro vie visant à rouvrir le débat sur l’avortement. La campagne a été lancée en août, mais a culminé avec la conférence officielle du parlement letton le 16 octobre sur le thème « La protection du droit à la vie ».

    Un des objectifs de la campagne est de légiférer sur le principe selon lequel « l’enfant est protégé dès le moment de sa conception », et de rendre routinière la consultation médicale préalable à toute IVG.

    La campagne a commencé par le lancement d’un site internet et d’une ligne téléphonique publique. Chaque jour a vu se multiplier les expressions de soutien de la part de célèbres artistes lettons, de musiciens, d’acteurs et de journalistes, prêtres et politiciens, sportifs ou autres.

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  • Syrie : un attentat lors des funérailles du prêtre martyrisé

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    SYRIE : UNE BOMBE EXPLOSE AUX FUNÉRAILLES DU P. HADDAD

    UN « MARTYR DE LA RÉCONCILIATION ET DE L'HARMONIE »

    ROME, vendredi 26 octobre 2012 (ZENIT.org) – Une bombe a explosé ce matin lors des obsèques du P. Fadi Jamil Haddad, le prêtre orthodoxe enlevé et retrouvé mort hier à Damas, déplore l’agence vaticane Fides : un « martyr de la réconciliation et de l'harmonie ». L'explosion aurait causé la mort de deux civils et d'un certain nombre de militaires. La messe des funérailles était célébrée en l'église Saint-Elie de Qatana par le Patriarche grec orthodoxe Ignace IV Hazim, en présence de milliers de fidèles chrétiens bouleversés par la mort tragique de ce pasteur.

    Un communiqué du Patriarcat grec orthodoxe d'Antioche, reconnaît le P. Haddad comme un « martyr de la réconciliation et de l'harmonie », car il « s'était engagé dans une noble mission humanitaire visant à faire libérer un membre de sa paroisse qui avait été enlevé quelques jours auparavant ».Au cours de la médiation, le P. Haddad a été à son tour enlevé en compagnie d'un autre intermédiaire. Les ravisseurs ont demandé une importante rançon avant de les tuer.
La note du Patriarcat orthodoxe raconte cette « terrible tragédie » : « Le corps du P. Fadi Haddad a été retrouvé le 25 octobre au matin dans la zone de Drousha. Sur celui-ci se trouvaient des signes indescriptibles de tortures et de mutilations. Il a été identifié par le P. Elias el-Baba, prêtre de la ville de Hina, avant d'être transporté à la clinique de la ville. Le Patriarcat a été informé de son martyr, son sang innocent et sans tache est un sacrifice pour la réconciliation et l'harmonie ».


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  • "Le baiser de Marseille", une imposture bobo bisexuelle

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    Deux nouvelles héroïnes improvisées de la cause gay sont à l'honneur dans de nombreux organes dits d'information (par exemple : ici). Philippe Arino analyse ce nouvel épisode médiatisé et sa portée manipulatrice (sur le site de l'Alliance Vita) :

    Imposture bobo bisexuelle

    Non non, vous ne vous trompez pas : on nage en pleine gaminerie. Sauf que maintenant, c’est sincère et agressif, ça se veut drôle, décomplexé, révolutionnaire, et que les gamins sont joués par des « adultes ».Depuis hier (23 octobre 2012), une photo circule à fond de train sur les réseaux sociaux. Celle du « Baiser lesbien lors du Happening marseillais anti-mariage-pour-tous » organisé par l’Alliance VITA. Alors qu’elle est pourtant tout autant scénarisée et fabriquée que le « Baiser de l’Hôtel de Ville » de Robert Doisneau (désolé pour ceux qui croyaient encore au romantisme, à l’authenticité et à la spontanéité du fameux cliché…), elle sert d’étendard soi-disant victorieux, touchant, sans parole, instantané, qui vaudrait tous les discours face à la « Bête homophobe » anti-égalité-des-droits et anti-mariage. Elle imposerait le silence et le respect par sa provocation « mignonne », son impact médiatique « simple » et néanmoins percutant, sa fraicheur juvénile. Belle illustration inconsciente de l’idolâtrie médiatique qui a capturé depuis bien longtemps le cœur et le cerveau lobotomisé des militants pro-mariage et de leurs suiveurs sociaux bisexuels/gay friendly…
     
  • Syrie : un prêtre orthodoxe massacré dans des conditions horribles

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    ASIE/SYRIE - le prêtre orthodoxe enlevé à Damas retrouvé mort

    Damas (Agence Fides) - Le cadavre du Père Fadi Jamil Haddad, prêtre grec orthodoxe, Curé de Saint Elie à Qatana, a été retrouvé aujourd'hui dans le quartier de Jaramana, dans le nord de Damas, non loin du lieu où il avait été enlevé le 19 octobre par un groupe armé non identifié (voir Fides 24/10/2012). La confirmation arrive à Fides par l'intermédiaire d'un confrère grec orthodoxe du Père Haddad, qui désire conserver l'anonymat : « Son corps était horriblement supplicié : il a été scalpé et ses yeux arrachés » raconte-t-il en larmes. « C'est un acte de pur terrorisme. Le Père Haddad est un martyr de notre Eglise ».

    A propos de la responsabilité de cet acte terrible est en cours un jeu de ping-pong entre les forces de l'opposition - qui accusent les milices proches du régime - et les autorités gouvernementales - qui accusent les bandes armées de la galaxie de la rébellion armée. Selon des sources de Fides, les ravisseurs avaient demandé à la famille du prêtre et à son Eglise une rançon de 50 millions de sterling syriennes (plus de 550.000 EURuros). Il a cependant été impossible de trouver la somme et de satisfaire à cette demande exorbitante. Une source de Fides stigmatise « la terrible pratique, en cours depuis des mois dans le cadre de cette sale guerre, d'enlever et de tuer des civils innocents ».
    Parmi les différentes communautés chrétiennes présentes en Syrie, la communauté grecque orthodoxe est la plus nombreuse avec 500.000 fidèles environ. Elle se trouve principalement concentrée dans l'ouest du pays et à Damas. (PA) (Agence Fides 25/10/2012)

  • Six cents millions de fillettes et de jeunes filles victimes de violences

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    600 millions de fillettes victimes de violences, contraintes à se marier pour survivre

    Bogotá (Agence Fides) – Des 600 millions de fillettes et adolescentes qui vivent dans les pays en voie de développement, nombreuses sont celles qui continuent à être invisibles aux yeux des structures et des programmes nationaux. Des millions d’entre elles vivent dans des conditions de pauvreté, victimes de discrimination sur la base de leur sexe et d’inégalités, subissant diverses formes de violences, d’abus et d’exploitation, dont le travail et le mariage précoces. L’Amérique latine et les Caraïbes constituent l’unique région dans laquelle certains pays voient leur taux de fertilité être stables ou augmenter chez les adolescentes. Actuellement, le taux moyen dans la tranche d’âge 15-19 ans est de 70,5 pour 1.000 nées vivantes. Nombreuses sont celles qui tombent enceintes prématurément, se vouant par la suite à leurs enfants, se mariant ou vivant avec leur compagnon. La majeure partie provient des zones rurales et pauvres et nombre d’entre elles sont victimes de violences sexuelles. Pour certaines, la grossesse, le mariage ou dans tous les cas l’union au sein d’un couple, sont la seule manière de survivre. Toutes ces fillettes et adolescentes sont très vulnérables et la majeure partie d’entre elles quittent l’école, limitant ainsi la possibilité de trouver un travail outre à leur autonomie, et devenant toujours plus dépendantes des autres, souvent de leurs propres bourreaux.

    Le mariage infantile est un autre grave phénomène qui concerne sérieusement de nombreuses fillettes. Selon les dernières statistiques de l’UNICEF, sur 70 millions de jeunes de 20 à 24 ans, une sur trois, s’est mariée avant 18 ans et 23 millions avant 15 ans. Au niveau mondial, 400 millions de femmes de 20 à 49 ans se sont mariées enfants. En Bolivie, plus de 800.000 garçons et filles de 5 à 17 ans travaillent au mépris de la législation nationale et internationale dont 364.000 fillettes, en majorité participant à des travaux dangereux. Plus d’un million de fillettes accomplissent des travaux domestiques, exposées à des risques tels que le feu, le gaz, les substances chimiques, les instruments dangereux. Les familles préfèrent encore envoyer leurs garçons à l’école et tenir les filles à la maison. Parmi les motifs principaux de l’abandon scolaire se trouvent également les grandes distances entre le domicile et l’école, le besoin de travailler du fait de problèmes économiques, l’inscription retardée, le travail domestique et la présence d’enfants ainsi que la grossesse. (AP) (Agence Fides 24/10/2012)

  • Une autre jeune pakistanaise dans le viseur des talibans

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    ASIE / PAKISTAN - Hina, une autre jeune fille sous le feu des talibans. Suivant les évêques, l'intolérance se renforce

    Lahore (Agence Fides) Hina Khan est une adolescente menacée par les talibans comme Malala Yousafzai, la jeune fille blessée dans un attentat à la bombe dans la vallée de Swat et actuellement à l'hôpital au Royaume-Uni. De même, Hina, 17 ans, une jeune musulmane vivant dans la vallée de Swat est active, depuis ses treize ans, dans une campagne en faveur de l'éducation des filles. Hina a reçu un certain nombre de mises en garde et a trouvé un "X" rouge peint sur la porte d'entrée de sa résidence à Islamabad. Selon les observateurs, elle est l'objectif n°1 sur la liste de l'organisation "Tehrik-e-Taliban Pakistan" (TTP), celle qui a frappé Malala. Aujourd'hui Hina ne peut pas quitter la maison ou aller à l'école et sa famille a demandé la protection du gouvernement. En 2007, Hina avait publiquement dénoncé avec courage, la «talibanisation» du Pakistan: des militants ont détruit des centaines d'écoles (400 rien que dans la vallée de Swat) et des milliers de jeunes filles ont été privées d'enseignement. Selon le rapport publié par l'UNESCO la semaine dernière, plus de trois millions d'enfants au Pakistan n'ont pas accès à l'éducation. 

    "L'intolérance a lentement pénétré le tissu social. Le Pakistan, en 2012, est devenu plus intolérant dans les faits que ce que montrent les médias pakistanais ", a déclaré dans un communiqué envoyé à l'Agence Fides, Peter Jacob, secrétaire de la Commission« Justice et Paix » des Evêques pakistanais. Jacob n'a pas trop foi dans l'action politique: "Bien que la rhétorique politique soit pleine de sermons sur la paix et l'harmonie, les niveaux les plus élevés de l'extrémisme politique se révèlent trop difficiles à gérer. En outre, les cas de blasphème sont difficiles à traiter, en raison de la perspective des élections." "Cela signifie - poursuit Jacob inquiet - que les groupes vulnérables, tels que les minorités, les femmes et les enfants sont condamnés. L'intolérance a pénétré le tissu social et est maintenant alimentée par un sous-système économique réel. Une préoccupation est l'augmentation de la violence contre les plus vulnérables, qui reste impunie. " L'espoir, selon le secrétaire, est dans les segments de la société civile au Pakistan qui, au-delà de toutes les croyances religieuses, "résistent activement à la brutalisation de la société." (PA) (Agence Fides 24/10/2012)

  • Islamistes : ce qu'ils veulent

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    "Ce que nous voulons, c'est instaurer la charia. Pas plus. Nous ne nous référons à aucun autre modèle que celui de l'islam, qui existe depuis plus de 1400 ans. Nous suivons le message du Prophète. Je suis né en 1963. Cela fait plus de vingt ans que je prêche. J'ai visité plus de vingt pays. J'ai passé 40 jours en France, à la fin de l'année 2000, avec un visa Schengen. J'ai prêché à la mosquée de Saint-Denis, à Meaux, à Melun... J'ai voyagé au Pakistan, en Inde, en Tunisie, au Maroc, en Algérie, en Libye, en Ethiopie, au Tchad, au Nigéria, au Ghana, au Togo, au Bénin, en Côté d'Ivoire, au Sénégal, au Niger, au Burkina Faso, en Guinée Conakry, en Gambie, en Mauritanie! Depuis plus de 12 ans, je suis engagé dans le djihad. Le djihad, c'est une obligation divine. Toute personne est tenue de s'y soumettre, les invalides et les malades mis à part." 

    Tels sont les propos d'un combattant salafiste venu des rangs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Oumar Ould Hamaha, dans une interview exclusive à L'Express. "Au-delà du discours de propagande, de la justification des châtiments corporels infligés aux civils et des menaces proférées contre les otages français, François Hollande et l'Occident, les propos du "barbu rouge" sont révélateurs. Les djihadistes qui occupent les deux tiers nord du Mali se disent prêts à mourir pour imposer la charia sur tous les territoires qui seraient sous leur contrôle."

    Tout l'article est ici : http://www.lexpress.fr/actualite/monde/afrique/mali-pour-le-djihadiste-oumar-ould-hamaha-une-seule-solution-le-combat-et-le-sabre_1178201.html

    relayé par le Salon Beige

  • France : l'Alliance Vita mobilise pour la protection des enfants

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    Du 23 au 27 octobre, les Français se mobilisent dans 75 villes de France pour “protéger l’enfant” (contre le "mariage" gay). Ces multiples manifestations locales ont rassemblées plusieurs milliers de personnes, venues manifester leur soutien et s’associer à la scénographie orchestrée par Alliance Vita...

    Hier, c'était à La Défense; un album est accessible sur le blog de Jeanne Smits

  • Une réaction de soutien au Prince Philippe et à notre monarchie

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    Pascal de Roubaix, dans le Courrier du Beffroi, adresse une lettre de soutien au Prince Philippe. Nous publions ici cette saine réaction aux propos outrageants tenus à l'occasion d'une publication malodorante.

    Monseigneur,

    Les remugles qui s’échappent aujourd’hui des injures qu’on vous fait, empestent les médias et dégoûtent tout le pays. Elles me poussent à écrire ces quelques lignes pour vous dire toute ma sympathie et, comme des millions de compatriotes, le respect enthousiaste que nous accordons à la Monarchie, à vos parents nos bons souverains, ainsi que notre tendresse pour votre épouse et nos petits princes, vos superbes enfants.

    Je suis outré, écœuré, dégoûté. Ce livre abject qui fait parler de lui par les moyens les plus bas, ne mérite que le pilon et son auteur le pilori.

    Ceci dit, s’il ne s’agissait que d’injures et d’atteinte à votre honneur (1), nous pourrions peut-être nous en tenir très noblement au mépris le plus glacial. Hélas, pour n’importe quel observateur de l’évolution de notre pays et de notre régime, il ne fait aucun doute que la sortie ultra médiatisée d’un tel torchon est tout sauf un hasard ou une initiative privée.

    Il est évident que s’est développée dans notre pays une oligarchie de plus en plus impudente de type particratique. Celle-ci supporte mal que lui échappe le rôle premier, la tête de l’Etat. En cela elle est complice des sous-nationalismes imbéciles qui divisent notre trop petit royaume, et qui ne supportent pas ce ciment que représente encore et toujours notre Monarchie constitutionnelle. C’est ainsi que nous voyons de plus en plus souvent  les gestes du Roi, les vôtres ou ceux de votre frère, critiqués sans vergogne. On détourne ici l’intangibilité constitutionnelle de la personne et des actes du Roi pour les soumettre à une prétendue autorisation préalable de ses ministres. C’est grotesque : si le constituant à voulu que la tête de l’Etat soit inattaquable, ce n’est pas pour l’empêcher d’agir, mais bien pour que la responsabilité politique de ses actes soit portée par des ministres qui doivent jouer ici un rôle de fusible. Il s’agit donc de libérer le Roi des contingences politiciennes et non de paralyser ses moindres initiatives. On détourne aussi la démocratie en laissant entendre qu’elle exigerait de vous un certain taux de popularité en deçà duquel vos chances de succéder un jour à votre père seraient diminuées. C’est ridicule puisque la popularité du souverain vient justement de ce qu’il ne gouverne pas mais qu’il est voué dès l’enfance au « Bien commun », sans besoins de plaire ou crainte de déplaire. La fonction royale, dont vous êtes l’avenir, échappe en conséquence à tout besoin de démagogie et c’est très bien ainsi.

    Il est donc évident, c’est en tout cas mon humble avis, que ce livre vient à son heure avec comme mission de décrédibiliser tant qu’il le peut la Monarchie à travers les personnes qui la représentent. Il fait semblant de planifier la prochaine succession au trône tout en ayant l’incroyable toupet de lui indiquer ses conditions, dans le but évident de mettre d’emblée  sous contrôle celui qui sera le successeur. Le meilleur service que vous pourriez rendre à vos ennemis serait de suivre cette logique ou même de prendre au sérieux le moindre détail du contenu de leurs calomnies.

    Par contre j’espère de tout mon cœur que l’entourage du Roi et surtout le vôtre prennent bien conscience qu’il ne s’agit de rien d’autre que d’un nouvel épisode d’une guerre sourde que mènent des gens bien organisés et déterminés, contre la Monarchie belge, quitte à perdre au passage la Belgique elle-même, tel un vulgaire dégât collatéral.

    Je voudrais en tout cas vous convaincre de ceci : la toute grande majorité des Belges est horrifiée du mal qu’on vous fait, à vous, à votre épouse, à tous vos proches, et surtout à vos enfants et, qu’en tout état de cause, nous restons, moi-même, les miens et mes amis du Beffroi, d’indéfectibles défenseurs et de très enthousiastes serviteurs de notre Monarchie et des personnes qui l’incarnent.

    Pascal de Roubaix.

    Ancien député.

    Vice-président de l’Institut Thomas More.

    (1) ainsi qu’à celui de plusieurs autres personnes citées, comme mon trop brillant et trop gentil cousin Thomas d’Ansembourg qui est un homme épatant, d’une classe rare, mais sur lequel on jette, sans le moindre scrupule, une suspicion d’autant plus nauséabonde qu’elle est purement gratuite.

  • "Repentance", oui, peut-être; falsifications historiques non.

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    Traite des esclaves, massacre du 17 octobre... les délires - et les malhonnêtetés - de la propagande mémorielle analysés par Bernard Lugan (Liberté politique) : 

    François Hollande et la légende " Gorrée "...

    Comme tous les voyageurs de passage à Dakar, François Hollande devrait...

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    Les conséquences de la Loi Taubira

    L’on croyait avoir tout vu à propos de la repentance ! Or, au moment où...

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    Après l’esclavage, le 17 octobre 1961...

    En reconnaissant la responsabilité de l’Etat et en rendant hommage aux...

    Suite

  • La détresse des chrétiens de Syrie

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    ASIE/SYRIE - Déclarations de l'Archevêque maronite de Damas : Questions, peurs et prières des chrétiens de Syrie après le massacre de Bab Touma

    Damas (Agence Fides) - L'attentat perpétré Dimanche 21 octobre dans le quartier de Bab-Touma, à la veille de la mission de paix qui portera en Syrie les Cardinaux et les Evêques délégués du Synode des Evêques, renouvelle chez les chrétiens syriens les angoisses et les questions que seuls « les jours qui viennent pourraient éclaircir et donner une réponse ». Mais, pour l'heure, « beaucoup ont déjà pris la route de l'exode. D'autres préparent un hâtif départ éventuel ». Et une Eglise sans fidèles est destinée à devenir « un témoin muet ». C'est ainsi que l'Archevêque maronite de Damas, S.B. Samir Nassar, raconte à chaud, dans une note envoyée à l'Agence Fides, les premières réactions enregistrées parmi les chrétiens de la capitale syrienne après qu'une voiture piégée ait explosé dans la zone chrétienne de la Vieille Ville faisant 13 victimes et des dizaines de blessés.

    L'Archevêque décrit les scènes de panique dont il a été témoin, avec les parents qui courent, angoissés, cherchant « leurs petits dans les écoles du quartier » alors que les sirènes des ambulances accentuent la gravité du temps apocalyptique. « Les quelques fidèles - raconte l'Archevêque - parsemés dans l'église se sont mis à genoux pour prier le chapelet, implorant Notre-Dame de la Paix avant d'assister à la Messe avec 20 minutes de retard... J'ai dit la Grand Messe de Dimanche à 18h00 pour 23 personnes seulement, priant pour les victimes de ce matin et pour les musulmans qui, en Syrie, fêtent AlAdha (Eid Elkebir) le 26 octobre dans le deuil et le silence ».

    Le quartier de Bab-Touma est un lieu-symbole également pour le martyrologue de la Chrétienté syrienne. Ici - rappelle l'Archevêque - dans ces mêmes ruelles, que Saint Paul a dû parcourir au temps de sa conversion et du baptême reçu d'Ananie, « 11.000 martyrs ont arrosé de leur sang chaque centimètre carré en 1860 ». Maintenant - se demande S.B. Nassar - « cet attentat un dimanche à l'entrée du quartier chrétien porte-t-il un message quelconque et si oui lequel ? ». « Est-ce la violence gratuite qui frappe à la porte pour faire peur aux derniers Chrétiens déjà affaiblis ? ».

    Face à la terreur et à la violence - conclut l'Archevêque maronite - « le message chrétien devient avant tout celui de la Croix salvatrice, de l'amour et du pardon » et les chrétiens de Damas et de Syrie ont besoin de l'amitié et de la prière de tous afin de pouvoir supporter une condition marquée par une « solitude chaotique et amère ». (GV) (Agence Fides 22/10/2012)

  • Droits de l'homme et christianisme

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    Lors du Séminaire sur la Discrimination des Chrétiens en Europe qui s'est tenu le 12 octobre dernier, en coopération avec les Membres ECR et EPP du Parlement European ainsi qu'avec la COMECE, Grégor Puppinck a donné une conférence (lumineuse!) sur "Droits de l’homme et Christianisme". Grégor Puppinck est Docteur en droit et Directeur du "European Centre for Law and Justice" :

    (...) La première réaction à l’énoncé du titre de cette conférence peut être l’étonnement. Les chrétiens, majoritaires en Europe ne sont pas discriminés. Cela se saurait. Les chrétiens sont chez eux en Europe, et ils ne sont pas menacés par  les autres religions, ni par la culture européenne qui est largement l’expression d’une forme moderne de la pensée sociale chrétienne. En revanche, les juifs et les musulmans, ainsi que les membres des petites sectes protestantes, et les Roms, eux sont victimes de discriminations.  

    Il est vrai que la situation des chrétiens en Europe n’est pas aussi grave que celle des juifs dans les années 30 et 40 en Allemagne ou celle des  chrétiens dans l’empire soviétique. Cependant, selon des procédés différents, mais aboutissant au même résultat, des métiers commencent à être interdits aux Chrétiens. 

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