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Société - Page 668

  • Marche pour la Vie à Paris le 25 janvier : partir en car depuis Bruxelles

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    De Jeunes Pour la Vie :

    Marche pour la Vie à Paris ce 25 janvier !

    IVG hier, euthanasie aujourd’hui : STOP au dérèglement bioéthique !

    La Marche pour la vie est une mobilisation annuelle. 
    Depuis 10 ans, des citoyens manifestent à Paris au mois de janvier, pour exprimer leur opposition au dérèglement bioéthique initié par la loi sur l’avortement.

    En autorisant l’élimination des êtres humains en gestation, cette loi sur l’avortement est la pierre angulaire des dérives médicales et scientifiques observées ou à venir : industrie procréatique, recherche sur l’embryon, GPA, euthanasie etc.

    La Marche pour la Vie vise à réinstaller le principe du respect de la vie humaine comme fondement de la société.

    Marchons ensemble le dimanche 25 janvier 2015 pour défendre la vie !
    Foto
     

    Départ à 9H sur le parvis de la basilique de Koekelberg.

    Pour s'inscrire : envoyer un mail à jvl-jpv@live.be, ou téléphoner au 02.649.08.79. ou verser 20€ sur le compte BE35 0882 1425 7837 de Jeunes Pour la Vie.

    Arrêt possible à l'arrêt du métro Simonis (le demander)

  • Reconnaissance ecclésiastique des relations homosexuelles: "Mgr Bonny dépasse une limite"

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    Selon un communiqué de l’agence Belga, lu ce jour sur le site de « La Libre » : 

    « L'évêque d'Anvers Johan Bonny a franchi une limite en proposant la reconnaissance ecclésiastique des relations bi- et homosexuelles, a fait savoir mardi la section anversoise de l'Union des étudiants catholiques flamands. Le président de l'organisation étudiante n'est autre que Wouter Jambon, le fils du vice-Premier ministre Jan Jambon. Johan Bonny a plaidé le week-end dernier pour une reconnaissance par l'Eglise des relations holebi. "Nous devons chercher au sein de l'Eglise une reconnaissance formelle de la relation qui est également présente chez de nombreux couples bi- et homosexuels. Tout comme il existe dans la société une diversité de cadres juridiques pour les couples, il devrait également y avoir une diversité de formes de reconnaissance au sein de l'Eglise", a-t-il déclaré dans l'édition du Morgen parue samedi.

    L'Union des étudiants catholiques flamands d'Anvers estime qu'avec ses propos, l'évêque dépasse une limite "de dogmatique et de morale". "De cette manière, il laisse d'abord entendre que les homosexuels n'auraient ainsi pas leur place au sein de l'Eglise catholique. C'est manifestement incorrect. Chaque personne est appelée par Dieu à devenir membre de l'Eglise catholique."

    Le sacrement du mariage doit demeurer l'union d'un homme et d'une femme, selon les étudiants catholiques. "Dieu désire que la sexualité se passe dans le cadre du mariage. De cette manière, l'objectif de la sexualité, la reproduction de l'homme, est la fondation d'une famille", selon eux.

    "Il semble vouloir considérer les relations sexuelles se produisant en dehors du mariage comme n'étant pas des péchés", poursuit l'association étudiante. "Cela a pour conséquence que tout le monde, homosexuels et personnes mariées, pourrait entretenir des relations sexuelles en dehors du mariage sans que cela soit considéré comme un péché par l'Eglise."

    Cette prise de position des étudiants catholiques a suscité de vives réactions. Les Jeunes socialistes anversois ont ainsi dénoncé une "vision carrément angoissante" de l'homosexualité au sein de l'Eglise, ajoutant ignorer jusque là que le H de KVHV (Katholiek Vlaams Hoogstudentenverbod) signifiat "homophobie". Ils ont par ailleurs déposé une plainte auprès du Centre pour l'égalité des chances. »

    Et in cauda Belgae venenum :

    «  Wouter Jambon et son association ont déjà fait la une de l'actualité l'été dernier, lorsqu'ils ont accueilli avec enthousiasme l'augmentation des droits d'inscription dans l'enseignement supérieur. "L'enseignement supérieur n'est pas destiné à tout le monde. Une certaine forme d'élite est une bonne chose", avaient-ils alors estimé. »

     Quel rapport avec les Holebi ?

    JPSC

    Ref. Reconnaissance ecclésiastique des relations homosexuelles: "Mgr Bonny dépasse une limite"

     

  • Le magazine trimestriel « Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle, n° 93 – Noël 2014

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    Le magazine trimestriel « Vérité & Espérance – Pâque Nouvelle » édité par l’association « Sursum Corda » (responsable de l’église du Saint-Sacrement à Liège) sort sa livraison de Noël. Tiré à 4.000 exemplaires dans une mise en page renouvelée, le magazine parcourt pour vous l’actualité religieuse et vous livre quelques sujets de méditation (les titres en bleu sont disponibles en ligne: cliquez sur le titre). Au sommaire de ce numéro de décembre 2014 :

    SOMMAIRE n° 93 (4e trimestre 2014) 

    PN 93 255.jpg 

    Petit bilan pour un synode extraordinaire

    La tâche missionnaire est-elle toujours d’actualité ?

    Paul VI béatifié

    Le pays du mal

    Une interview de Monseigneur Léonard

    106 candidats à la prêtrise en formation dans les séminaires belges 

    PN 93 254.jpg 

    Noël anonyme du quinzième siècle

    La quatrième demande du Pater

    Juger…ne pas juger : le piège de la miséricorde 

     Secrétaires de Rédaction : Jean-Paul Schyns et Ghislain Lahaye

    Editeur responsable: SURSUM CORDA a.s.b.l. ,

    Vinâve d’île, 20 bte 64 à B- 4000 LIEGE.

    La revue est disponible gratuitement sur simple demande :

    Tél. 04.344.10.89  e-mail : sursumcorda@skynet.be 

    Les dons de soutien sont reçus au compte IBAN:

     BE58 0016 3718 3679   BIC: GEBABEBB de Vérité et Espérance 3000, B-4000 Liège

  • Le rêve éveillé de Christian Laporte

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    Le chant du cygne d’Anvers au milieu des décombres de l’Eglise belge transporte de joie l’éditorialiste de « La Libre Belgique », qui écrit sous le titre « une ‘squadra belga’ dirigée par Mgr Bonny? » :

     " Dans un peu moins d’un an, l’Eglise catholique fêtera le cinquantenaire de la fin du concile Vatican II. Le début des "sixties" chrétiennes marqua d’autant plus les Belges que nos évêques et théologiens avaient joué un rôle de pointe à ce grand "remue-méninges" qui ouvrit l’Eglise à la société contemporaine. A tel point qu’on parla de la "squadra belga" dont la contribution fut décisive dans la rédaction de moult documents toujours d’actualité.

    Un demi-siècle plus tard, il n’est pas interdit de penser que, sans réorganiser radicalement l’institution comme en 1962-1965, notre corps épiscopal soit de nouveau à la pointe, notamment lors de la seconde partie du synode sur la famille où l’on annonce des ouvertures aux familles nouvelles et aux divorcés remariés, malgré les combats d’arrière-garde des conservateurs.

    Eminemment centriste, donc ni exagérément progressiste ou ni outrancièrement conservatrice, l’Eglise belge de l’après-guerre avait donné le ton en insistant sur la liberté de conscience et le sens des (bons) compromis.

    La lettre de l’évêque d’Anvers au synode puis ses propos forts dans "De Morgen" montrent que cet esprit - ou l’Esprit ?- souffle toujours sur l’Eglise belge qui est souvent sur la même longueur d’ondes que le pape François. Sans en appeler à la révolution qui n’a jamais été la marque de fabrique de l’institution, Mgr Bonny estime tout comme le Pape que l’heure est venue d’intégrer certaines mutations sociétales. Peu importe au fond qu’il devienne archevêque demain, sa "joie évangélique" sera d’avoir contribué à rouvrir toutes grandes les fenêtres de l’Eglise..."

    Laissons-le à ses mirages. 

    L’Eglise belge n’est plus que l’ombre de ce qu’elle était en 1960 et ses restes anémiques bien incapables de fournir la moindre squadra épiscopale que ce soit.

    On peut au demeurant s’en réjouir, si l’on jette un regard rétrospectif sur l’effondrement inexorable où l’esprit du concile qui habite Monsieur Laporte l’a conduite, tout comme ses consoeurs et voisines néerlandaise ou allemande, pour ne citer qu’elles.

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  • Mgr Bonny : la version française de l’interview accordée au journal « De Morgen »

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    Encore le sexe, toujours le sexe. Un ami vient de nous faire parvenir l’interview complète de Mgr Bonny parue sur ce thème dans le "Morgen", avec sa traduction française que nous publions intégralement ci-après (JPSC) : 

    « Interview. L’évêque  d’Anvers  Mgr Johan Bonny  pose un regard sur le catholicisme de demain.

    « L’Église n’a rien à gagner avec l’équivoque»

    Cela a commencé avec une lettre. Johan Bonny a interpellé le Vatican afin qu’ils ouvrent leurs portes aux homosexuels et aux couples divorcés. Mais aujourd’hui, l’évêque d’Anvers va un pas plus loin, il plaide pour une bénédiction des relations holobis (homosexuel, lesbiennes, bisexuel). « Il existe une diversité de relations dont l’Église peut reconnaître la qualité.»

    Bonny entra en offensive en 2014. Le Pape « du renouvellement » François lui a donné des ailes. C’est ce qui explique pourquoi Bonny écrivit sa lettre à Rome. L’évêque d’Anvers se heurta au même moment aux démons du passé. En effet, il y a peu de temps encore, grand fut l’indignation lorsqu’un prêtre, reconnu coupable dans le passé d’abus sexuel sur mineur, fut nommé à Middelkerke.  L’Évêque de Bruges, Jozef De Kezel déclara, après coup, avoir commis une erreur de jugement.

    Bonny, qui a servi pendant une longue période à Bruges, est très embarrassé par cette histoire, mais ne veut pas critiquer De Kezel. « Ce n’est pas mon rôle de juger d’une décision d’un collègue. L’Évêque De Kezel a lui-même dit avoir manqué de jugement quant au caractère délicat de cette nomination.  Il a dit avoir formellement pris la bonne décision,  mais l’aspect sociétal y manquait. C’est alors qu’on se retrouve dans l’impasse.»

    Comprenez-vous  l’indignation publique ?

    « Naturellement, je comprends tout à fait. Il existe un traumatisme  autour des abus sexuels dans l’Église, l’indignation provient des couches profondes de ce traumatisme. L’Église doit tenir compte de cela. En même temps, il faut aussi être juste. Notre comportement doit aller à la rencontre des émotions des victimes, mais doit également être en accord avec les règles de justice élémentaire et les droits de la défense. La justice fait elle aussi constamment cet examen de « peser le pour et le contre », cherchant la solution la plus juste.

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  • Jésus et les pharisiens : une réflexion pour le dimanche de la Sainte Famille

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    En ce dimanche dédié à la Sainte Famille, Denis Crouan publie  cette réflexion sur son site « Pro Liturgia » :

    jesus_10 (1).jpg« Au cours du Synode sur la famille, on a vu se dégager deux tendances. La première était celle des évêques désireux d’assouplir certaines règles concernant la communion aux divorcés-remariés ; la seconde, celle des évêques désireux d’en rester à la pratique actuelle. On a entendu des tenants de la première tendance traiter les tenant de la seconde de “pharisiens”, au motif qu’ils étaient fermés à l’amour et à la compassion qu’on trouve dans les enseignements de Jésus. Accusation assez facilement reprise par des journalistes peu au fait de la doctrine et de la théologie.

    Accusation assez curieuse, aussi, quand ont sait que dans les Evangiles, ceux qui sont présentés comme étant ouverts au divorce et au remariage sont précisément les... Pharisiens !

    Reprenons quelques passages de l’Ecriture : Mat. 19, 1-9 : « Or, quand Jésus eut achevé ces discours, il quitta la Galilée et vint dans le territoire de la Judée, au delà du Jourdain. Des foules nombreuses le suivirent, et là il guérit leurs malades. Des Pharisiens l’abordèrent pour le mettre à l’épreuve, et dirent : “Est-il permis à l’homme de répudier sa femme pour quelque motif que ce soit ?” Il répondit : “N’avez-vous pas lu que celui qui (les créa), au commencement, les fit mâle et femelle, et qu’il dit : A cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni !” Ils lui dirent : “Pourquoi donc Moïse a-t-il prescrit de donner un acte de divorce et de la répudier ?” Il leur dit : “C’est à cause de votre dureté de cœur que Moïse vous a permis de répudier vos femmes : mais, au commencement, il n’en fut pas ainsi. Or je vous dis que celui qui répudie sa femme, si ce n’est pour adultère, et en épouse une autre, commet un adultère.” »

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  • La majorité des évêques allemands favorables à l’accès aux sacrements des divorcés remariés

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    La Conférence des évêques allemands vient de publier, dans un fascicule regroupant des textes du synode sur la famille, le rapport final de leur groupe de travail sur l’accompagnement des divorcés remariés. Adopté « à une large majorité », il prévoit leur accès « sous conditions » aux sacrements de l’Eucharistie et de la réconciliation. D’Anne-Bénédicte Hoffner dans le journal « La Croix » :

    Après l’achèvement de la troisième assemblée générale extraordinaire du Synode des évêques sur « Les défis pastoraux de la famille dans le contexte de l’évangélisation », la Conférence des évêques allemands publie un fascicule intitulé « Textes et documents sur le synode des évêques 2014 », annonce un communiqué publié lundi 22 décembre sur son site Internet.

    Celui-ci regroupe un certain nombre de textes romains sur le synode (dont la traduction en allemand de la « relatio synodale qui est une partie du document préparatoire du Synode des évêques en 2015 »), mais aussi plusieurs contributions des évêques allemands eux-mêmes.

    Parmi ces dernières figure la réponse de la conférence épiscopale allemande au questionnaire adressé par le secrétariat du Synode en octobre 2013 à tous les diocèses, la campagne de communication de l’Église catholique allemandes sur le thème « Faites-vous confiance! Dix bonnes raisons de se marier ». Mais surtout le fascicule – à commander en version papier ou téléchargeable en version électronique – publie le rapport, inédit jusqu’ici, d’un groupe de travail interne à la conférence épiscopale intitulé « Voies théologiquement responsables et pastoralement adaptées pour un accompagnement des divorcés remariés ». Un rapport final qui a été présenté et adopté en conseil permanent le 23 juin 2014 (1).

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  • Le droit de vivre en liberté est reconnu pour une personne non humaine

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    Lu sur le Vif.be :

    Reconnu "personne non humaine", un orang-outan retrouve la liberté

    C'est une première mondiale: un tribunal argentin vient de reconnaître le droit de vivre en liberté à une femelle orang-outan, vivant au zoo de Buenos Aires depuis vingt ans, en considérant l'animal comme "une personne non humaine".

    La Chambre de cassation pénale de la capitale a décidé d'appliquer une ordonnance d'Habeas Corpus (le droit de ne pas être emprisonné sans jugement) à l'animal, considérant ainsi que, même s'il ne s'agit pas d'un être humain, il a des sentiments et le droit à une plus grande liberté.

    Une demande similaire avait été rejetée en décembre 2013 par la justice de New York : une organisation de défense des animaux demandait alors que quatre chimpanzés en captivité soient considérés comme "personnes non humaines" et bénéficient du droit à la liberté.

    Cette fois, c'est l'Association de fonctionnaires et avocats pour les droits des animaux (AFADA) qui avait saisi le tribunal pour demander la libération de Sandra, une orang-outan de 50 kilos, haute d'1,50 mètre, locataire du zoo de Buenos Aires. Les responsables de ce dernier défendaient lundi ses conditions de captivité.

    Mais pour l'association AFADA, Sandra "est une personne non humaine car elle a des liens affectifs, elle réfléchit, elle ressent, elle se frustre d'être enfermée, elle prend des décisions, elle est dotée de conscience et de perception du temps, elle pleure quand elle perd (un proche), elle apprend, elle communique et elle est capable de transmettre son savoir".

    Orang-outan née en 1986 dans le zoo allemand de Rostock, elle est arrivée dans celui de Buenos Aires en septembre 1994.

    Les conséquences immédiates du jugement n'étaient pas connues lundi. Même si, légalement, elle peut désormais recouvrer la liberté, les experts estiment que Sandra ne connaît pas son habitat naturel et ne pourrait pas y survivre.

    Le zoo a lui indiqué que, même avant ce jugement, il étudiait déjà la possibilité de la transférer dans un sanctuaire naturel au Brésil ou aux États-Unis.

  • Grossesse commercialisée

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    Lu sur 7sur7.be :

    Johnny Tratsaert (52 ans) et son épouse Carmen Despodt (44 ans) ainsi que leur mère porteuse célèbreront enfin les fêtes de fin d'année en tout quiétude. Le couple de Middelkerke et leur amie ont été acquittés par le tribunal de "traitement dégradant" à l'égard de Mylan, leur fils de cinq ans. Le couple de la Côte avait été poursuivi par le parquet de Bruges pour avoir versé 12.800 euros à une amie après que celle-ci eut mis leur enfant au monde. Johnny et Carmen estimaient que cet argent devait être considéré comme une allocation de subsistance. 

    "Nous voulions sceller notre amour" 

    "Nous avions tous les deux deux enfants de précédentes relations. On était si bien ensemble que notre rêve était de sceller notre amour avec un enfant à nous. On a tout essayé, jusqu'à la fécondation in vitro. Les parents sans enfant ont priorité. Finalement, des gynécologues et plusieurs spécialistes nous ont conseillé de chercher la solution plus près de nous". Le couple contacte une amie et après une longue discussion, ils décident de faire féconder un de ses ovules avec les spermatozoïdes de Johnny. Les termes de l'accord sont alors formulés explicitement dans un accord écrit. Peu après la naissance, le juge de la jeunesse approuve l'adoption du petit Mylan. Mais le parquet va alors en appel de sa décision, et l'adoption est déclarée nulle en 2012. Le couple et la mère porteuse, qui étaient inquiétés par le tribunal pour avoir "commercialisé une grossesse", ont finalement reçu de bonnes nouvelles en cette avant-veille de réveillon de Noël: tous ont été acquittés par le juge. "Quel soulagement", s'émeut la mère de Mylan. "C'est le plus beau des cadeaux de Noël grâce auquel nous pourrons pleinement savourer la fin d'année".

     

  • Ethique sociale : Monseigneur Léonard à l’Université de Liège le mercredi 28 janvier 2015

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    On peut déjà s’inscrire (obligatoire au plus tard trois jours à l’avance) en s’adressant à l’Union des étudiants catholiques de Liège : tel. 04.344. 10.89 ou email jpschyns@skynet.be 

    JPSC

  • Rapprochement entre les Etats-Unis et Cuba : le rôle discret joué par l'Église

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    De Pierre Jova sur le site « Figaro-Vox » :

    « L'embargo américain sur Cuba n'a pas été levé, mais cela y ressemble. Barack Obama et Raul Castro ont annoncé conjointement un rapprochement historique entre Washington et La Havane: les relations diplomatiques, aériennes et commerciales sont rétablies, des prisonniers sont échangés. Les États-Unis admettent officiellement l'échec du blocus contre Cuba, instauré entre 1960 et 1962, destiné à abattre le régime communiste de l'île.

    Tiré du mot espagnol « embargar » qui signifie «embarrasser», l'embargo a connu son heure de gloire dans les années 1990, lors des grands moments du «droit d ‘ingérence», et des «États voyous». Systématiquement détournés, pénalisant les populations mais échouant à renverser les régimes, les embargos semblent avoir prouvé leur inefficacité. Barack Obama serait bien inspiré de tirer les mêmes conclusions concernant la Russie, mais ni la Maison-Blanche, ni le Congrès à majorité républicaine, dont la dureté en politique étrangère confine à l'aveuglement, ne semblent prêts à cette lucidité.

    Si l'embargo s'avère inefficace, la diplomatie vaticane, en revanche, brille une nouvelle fois par son succès. L'Église catholique a eu un rôle discret mais décisif dans la détente entre Washington et La Havane. Le Pape François a accueilli au Vatican les délégations américaine et cubaine, et a appuyé les négociations. L'Église a également permis un assouplissement du régime castriste, par un patient travail de sape.

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  • Lettre au tribunal à propos de l'interdiction de la crèche au Conseil Général de la Vendée

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    Cette lettre adressée au tribunal qui circule dans la "blogosphère" catholique met une note d'humour dans ce climat de tension créé par un laïcisme obtus :

    Cher Monsieur Tribunal,

    J'ai pris connaissance il y a quelques jours de votre décision d'interdire la crèche de Noël traditionnellement installée dans le hall du Conseil Général de la Vendée.

     

    Quelle mouche vous a donc piqué ?

    Vous avez fait des études je suppose. Peut-être savez vous donc que Noël vient du latin " Natalis" qui veut dire Naissance. Alors je vais vous livrer un secret que vous voudrez bien transmettre à vos confrères qui peut-être nagent avec complaisance dans la même ignorance que vous. La naissance dont-il est question est celle d'un certain Jésus de Nazareth né il y a un peu plus de 2000 ans. je dis ça parce qu'étant donné que vous n'avez pas interdit les illuminations de Noël, je suppose que vous ignoriez ce détail. Voyez-vous, Noël n'est pas l'anniversaire de la naissance du Père Noel ( je suis désolé si je casse ici une croyance ancrée en vous ) mais bien celle de ce Jésus. Interdire une crèche sans interdire toute manifestation publique de cette fête est aussi stupide que si vous autorisiez la fête de l'andouillette tout en interdisant la consommation d'andouillette le jour de la fête de l'andouillette.

    La crèche c'est ce qu'on appelle une tradition. Et ne me faites pas croire, Monsieur le Tribunal, que le principe de la tradition vous est étranger. Sinon comment expliquer que les magistrats exercent leur métier dans un costume aussi ridicule si ce n'est parce qu'il est le fruit d'une tradition ?

     

    Vous êtes un briseur de rêves Monsieur, vous êtes un étouffeur de sens. La crèche c'est Noël et Noël c'est la crèche. La crèche c'est aussi l'histoire d'une famille qui faute de droit opposable au logement est venue se réfugier dans une étable. C'est un signe d'espoir pour tous les sans logement. La crèche c'est aussi un roi arabe et un autre africain qui viennent visiter un juif. C'est un signe d'espérance et de paix en ces temps de choc de civilisations et de conflit au Moyen Orient. la crèche c'est aussi des éleveurs criant de joie et chantant dans une nuit de décembre. Connaissez vous beaucoup d'agriculteurs qui rigolent en cette période de crise? la crèche c'est un bœuf, symbole de la condition laborieuse de l'homme. Enfin, la crèche, c'est un âne, même si une rumeur court disant que cet âne a quitté la crèche en 2013 pour rejoindre le Tribunal administratif de Nantes.

     

    Malgré le fait que vous allez sans doute, par souci de cohérence, vous rendre à votre travail le 25 décembre, je vous prie de croire, Monsieur Tribunal, à l'expression de mes souhaits de bon et joyeux Noël.

    Jean Pierre Santon