Jean Guitton a dit de ce lieu qu’il est « un des trésors les plus cachés et les plus puissants de l’histoire de l’Europe » . Notre-Dame du Laus « refuge des pécheurs » accueille chaque année entre 150 000 et 170 000 personnes.
JPSC
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Jean Guitton a dit de ce lieu qu’il est « un des trésors les plus cachés et les plus puissants de l’histoire de l’Europe » . Notre-Dame du Laus « refuge des pécheurs » accueille chaque année entre 150 000 et 170 000 personnes.
JPSC
Ceux du 11ème étage- Carnet de bord d'une famille catho en cité HLM, Amaury Guillem, Cerf, 2014, 194 pages, 18 euros : Sur le site "FigaroVox" Eugénie Bastié commente ce témoignage : une expérience qui sonne vrai, loin de l’idéologie des prêtres-ouvriers d’hier ou des discours cléricaux d’aujourd’hui sur « les périphéries » : ici on n’en cause pas, on y est. Exactement comme ce prêtre liégeois qui conjugue la piété eucharistique et l’immersion dans la misère matérielle, spirituelle et morale d’une certaine banlieue de la "Cité ardente" : lui-même marginalisé au sein de ce qu’on appelle pompeusement « le presbytérium » diocésain. Dans son livre ("Une vie au service des jeunes" par Claude Germeau aux Editions Mols, 270 p., 23 € ), on peut lire quelque chose du même ordre, vécu dans le même esprit que cette famille française de Marseille. Le parallélisme me frappe. JPSC
Voici le texte d’Eugénie Bastié. Elle est journaliste au Figaro et elle écrit aussi pour le magazine Causeur :
«Vous êtes des Français, normalement, les gens comme vous, ça vit dans des villas!»: c'est par ces mots qu'Amaury, Marie-Alix et leurs trois petites filles ont été accueilli dans le bloc 47 d'une cité HLM des quartiers Nord de Marseille, où ils ont fait le choix de vivre, pendant trois ans.
Un peu comme Simone Weil était partie à l'usine parler de Sophocle aux ouvriers et vivre dans sa chair la souffrance de leur condition, un peu comme le Christ est venu sur terre partager la finitude de l'homme, ils sont partis dans les zones sinistrées de la France contemporaine, à la rencontre des pauvres «de chez nous».
Là-bas, on les surnomme les «Français du 11ème étage». Ils dénotent par leur catholicisme, les boucles blondes de leurs filles, leur refus de posséder une télévision et cet absurde vœu d'avoir rejoint l'enfer délibérément. Au milieu de la cité, au milieu des poubelles jetées par les fenêtres, et des voitures qui brûlent pour rien, «aussi inutiles que Marie au pied de la croix», ils ont fait le choix d'aller à la rencontre de l'autre pour «tisser des liens d'amitié, et se mettre aux services des «familles en difficulté».
Des familles sinistrées aux mariages arrangés où l'écran plat remplace la vie commune, enferrées dans la spirale infernale assistanat-consumérisme.
Des vieux, de la première génération, qui avouent sans gène voter Marine Le Pen parce qu' «on a bossé pour ce pays qui nous traite comme des moins que rien alors qu'on paye des gens qui débarquent du monde entier et qui n'en foutent pas une».
Des jeunes, les uns drogués aux jeux vidéo, violents, agressifs et obtus, que rien ne touche. Les autres, qui s'enferment dans un islam rigoriste pour échapper à la laideur, mais avec qui il est au moins possible de parler de Dieu. Car, au coeur du béton sans idéal, «c'est avec nos frères musulmans que nous avons les plus belles discussions d'ordre spirituel, ce qui donne à la relation une profondeur bien plus importante qu'avec des personnes qui ne croient en rien», avoue Amaury Guillem.
Ils ont, sans doute, une certaine naïveté touchante, qui ne manquera pas d'agacer. L'eau bénite, employée pour chasser les dealers et réparer l'ascenseur. Un certain angélisme: «Tu vois, les petits anges qu'on prie tous les matins pour qu'ils veillent sur nous, ils nous protègent bien» dit Amaury à sa fille au milieu des pierres que se lancent les ados du quartier au dessus de leurs têtes. On leur en voudrait presque de s'être fourré dans un tel pétrin, entre les ascenseurs en panne, l'urine dans la cage d'escalier et les insultes quotidiennes.
Et puis il y a les petits miracles, le travail souterrain qu'accomplit la persévérance. Rita, immigré italienne de la première génération qui renoue avec le chapelet. Sabri, jeune arabe qui abandonne la rue et décide de retourner au collège après son baptême. Ces jeunes musulmans qui partent en camp de vacances et se réconcilient avec la nature et la simplicité, échangeant la violence contre le silence.
«Pourquoi quand 20 jeunes français s'envolent pour aider à l'autre bout du monde, seul 1 ou 2 choisissent de rester au service des pauvres de chez nous?» se demande à la fin du livre Amaury. «Les banlieues meurent de manque d'amour», ose-t-il dans un constat qui ferait pâlir les sociologues estampillés.
Mais ce livre n'est pas un livre sociologique. C'est pourquoi il est plein d'espérance. «Il faut dire haut et fort que ce choix d'aller vivre en HLM est une source de joie». C'est un témoignage, une invitation à retrouver la radicalité du message chrétien. «Si nous pouvions disposer de quelque moyen de détecter l'espérance comme le sourcier découvre l'eau souterraine, c'est en approchant des pauvres que nous verrions se tordre entre nos doigts la baguette de coudrier» écrivait Bernanos, qu'Amaury Guillem cite à la fin du livre.
Quand on arrive au bout des 200 pages de ce témoignage brûlant qui a la pureté de l'Evangile, on ne peut retenir son admiration. Sa honte aussi. Car on a envie de se dire les mots de Bernanos aux chrétiens à propos de Saint François d'Assise: «Vous l'avez applaudi, vous auriez du le suivre!».
Cela change de la "pastorale de l’enfouissement" :
JPSC
Lu sur le site "aleteia":
"Nous apprenons avec joie que ce 7 novembre 2014, le Pape François a autorisé la Congrégation pour la Cause des Saints à promulguer un décret reconnaissant les vertus héroïques de Marthe Robin, (1902-1981), une laïque française, fondatrice de l’Association des Foyers de Charité", a déclaré Mgr Bernard Podvin, porte-parole des évêques de France.
Un dossier de 17000 pages
Pour être proclamée "vénérable", la vie de Marthe Robin a fait l’objet d’une enquête commencée en 1986. Un dossier de plus de 17 000 pages avec de nombreux témoignages et des expertises a été constitué. Ce dossier a été examiné par une commission de théologiens et de cardinaux à Rome. Cette commission s’est prononcée pour une reconnaissance des vertus héroïques de Marthe Robin. « L'héroïcité des vertus » désigne l'état d'une personne qui s'est entièrement donnée à Dieu et aux autres sans aucun égoïsme, en affrontant les situations difficiles de la vie avec une force qui n'est pas simplement humaine. Ainsi, la vie de Marthe Robin est désormais proposée en exemple aux chrétiens, mais sans être cependant encore l’objet d’un culte.
Le Postulateur de la Cause de Béatification, le Père Bernard Peyrous, déposera bientôt à Rome un dossier présentant un miracle obtenu par l'intercession de Marthe Robin. Si la commission chargée de l'étudier reconnaît la validité de ce miracle, le Pape pourra alors la déclarer « bienheureuse ».
Une vie extraordinaire dans l’ordinaire
Née en 1902 à Châteauneuf-de-Galaure (Drôme), un petit village situé au sud de Lyon, dans une famille de modestes agriculteurs, Marthe Robin est touchée à 16 ans par une maladie paralysante progressive. De 18 ans à sa mort en 1981, elle restera ainsi alitée dans sa chambre. Mais au cœur de sa souffrance, elle fait l'expérience de l'amour et de la bonté de Dieu, bénéficiant de grâces mystiques intenses. Le rayonnement de sa vie attire à elle plus de 100.000 visiteurs de toutes origines, dont des figures de l’Église et du monde intellectuel. Elle les écoute, les conseille, les réconforte et prie pour eux.
A 31 ans, elle reçoit du Christ la demande de créer une nouvelle œuvre, « les Foyers de Charité », qui participeront au renouvellement de l’Église dans l'esprit du futur Concile Vatican II. Ils seront fondés en 1936 avec l'aide d'un prêtre, le Père Georges Finet. Aujourd'hui, 76 Foyers de Charité répandus dans 40 pays rassemblent des célibataires, des couples et des prêtres qui vivent en communauté ; leur mission principale est la prière et l'accueil pour des retraites spirituelles. Marthe Robin a également aidé à la fondation de nombreuses communautés et mouvements très importants aujourd’hui pour l’Église en France.
Chaque année, plusieurs dizaines de milliers de personnes viennent visiter la chambre où elle a vécu à Châteauneuf-de-Galaure. A travers le monde, nombreux sont ceux qui trouvent dans l'exemple de sa vie un modèle de foi et d'espérance (…) »
Ref. Marthe Robin déclarée « vénérable » par le Pape
JPSC
Le mercredi 7 juillet 2010, lors de l'audience générale, Benoît XVI a consacré sa catéchèse à ce théologien médiéval :
Chers frères et sœurs,
Ce matin — après plusieurs catéchèses sur de nombreux grands théologiens — je veux vous présenter une autre figure importante dans l'histoire de la théologie: il s'agit du bienheureux Jean Duns Scot, qui vécut à la fin du XIIIe siècle. Une antique inscription sur sa tombe résume les points de référence géographiques de sa biographie : «L’Angleterre l'accueillit; la France l'instruisit; Cologne, en Allemagne, en conserve la dépouille; c'est en Ecosse qu'il naquit». Nous ne pouvons pas négliger ces informations, notamment parce que nous possédons très peu d'éléments sur la vie de Duns Scot. Il naquit probablement en 1266 dans un village qui s'appelait précisément Duns, non loin d’Edimbourg. Attiré par le charisme de saint François d'Assise, il entra dans la Famille des Frères mineurs et, en 1291, il fut ordonné prêtre. Doué d'une intelligence brillante et porté à la spéculation — cette intelligence qui lui valut de la tradition le titre de Doctor subtilis, «Docteur subtil» — Duns Scot fut dirigé vers des études de philosophie et de théologie auprès des célèbres universités d'Oxford et de Paris. Après avoir conclu avec succès sa formation, il entreprit l'enseignement de la théologie dans les universités d'Oxford et de Cambridge, puis de Paris, en commençant à commenter, comme tous les Maîtres de ce temps, les Sentences de Pierre Lombard. Les principales œuvres de Duns Scot représentent précisément le fruit mûr de ces leçons, et prennent le titre des lieux où il les professa: Ordinatio (appélée dans le passé Opus Oxoniense — Oxford),Reportatio Cantabrigiensis (Cambridge), Reportata Parisiensia (Paris). A celles-ci il faut ajouter au moins les Quodlibeta (ou Quaestiones quodlibetales), œuvre très importante formée de 21 questions sur divers thèmes théologiques. Lorsqu’un grave conflit éclata entre le roi Philippe IV le Bel et le Pape Boniface VIII, Duns Scot s’éloigna de Paris et préféra l'exil volontaire, plutôt que de signer un document hostile au Souverain Pontife, ainsi que le roi l'avait imposé à tous les religieux. De cette manière — par amour pour le Siège de Pierre —, avec les Frères franciscains, il quitta le pays.
Chers frères et sœurs, ce fait nous invite à rappeler combien de fois, dans l’histoire de l'Eglise, les croyants ont rencontré l'hostilité et même subi des persécutions à cause de leur fidélité et de leur dévotion à l'égard du Christ, de l'Eglise et du Pape. Nous tous regardons avec admiration ces chrétiens qui nous enseignent à conserver comme un bien précieux la foi dans le Christ et la communion avec le Successeur de Pierre et, ainsi, avec l'Eglise universelle.
Toutefois, les rapports entre le roi de France et le successeur de Boniface VIII redevinrent rapidement des rapports d'amitié, et en 1305, Duns Scot put rentrer à Paris pour y enseigner la théologie sous le titre de Magister regens, nous dirions aujourd'hui professeur titulaire. Par la suite, ses supérieurs l'envoyèrent à Cologne comme professeur du Studium de théologie franciscain, mais il mourut le 8 novembre 1308, à 43 ans à peine, laissant toutefois un nombre d’œuvres important.
Ce sera le rendez-vous ecclésial de l’automne. Du 8 au 10 novembre, les hommes qui se préparent à devenir prêtres pour l’Eglise de France se retrouveront lors d’un grand pèlerinage à Lourdes. L’occasion de faire tomber les murs entre une trentaine de lieux de formation, qui se disputent (sans toujours l’avouer) ces oiseaux devenus très rares sous nos latitudes. Quelques éléments d’analyse par Jean Mercier, sur le site de l’hebdomadaire « La Vie » :
« En septembre, 138 nouveaux candidats sont entrés dans la carrière (sic ndB) rejoignant 710 compagnons plus avancés. Comment un candidat à la prêtrise choisit-il le lieu où il va, pendant 6 ans, apprendre le métier ? Il se détermine de moins en moins selon une loyauté géographique (pour le diocèse qui l’a vu grandir), mais se décide au terme d’une longue étude de marché, selon ses goûts et sa sensibilité. Et les modes aussi.
Dans son bureau de l’abbaye d’Evron, un sublime vaisseau de pierre situé dans la campagne mayennaise où la Communauté Saint Martin vient de s’installer, le responsable de la formation, Don Louis-Hervé Guiny, a les idées claires quand on lui demande pourquoi son séminaire arrive en tête en cette rentrée 2014 (photo), avec 26 recrues, soit quasiment autant que l’année précédente : « La vie commune que nous vivons préfigure la vie des prêtres en communauté, de plus en plus considérée comme indispensable. L’autre facteur est une fierté sacerdotale ». La Communauté est connue pour son attachement à la liturgie de Vatican II, mais interprétée de façon traditionnelle. Au delà de ces marqueurs souvent très attirants pour les jeunes catholiques, la Communauté Saint Martin propose un cadre clair sur l’exercice futur du ministère de ses hommes : un ministère fortement ancré sur le terrain, une vie communautaire systématique. Une netteté qui fait sa force... « Avant d'entrer ici, les deux tiers de nos séminaristes se posaient la question de la vocation sans trop croire à sa réalisation. L'existence de notre communauté a permis l'incarnation de leur vocation. Ils ont pu se projeter. Je crois que la vocation de beaucoup de garçons ne parvient pas à éclore car elle ne peut pas s’incarner dans une représentation mentale, compte tenu du flou qui existe parfois sur la théologie du sacerdoce. Notre fécondité s’explique par le modèle fort qui préside à notre formation, et qui se prolongera dans la vie du prêtre, sur le terrain. »
Après trois ans de consultations et de réflexion, leurs nouvelles constitutions ont été approuvées par le Saint-Siège le 16 octobre dernier. Lu sur le site « aleteia » :
Le directeur général de la congrégation religieuse, le frère Eduardo Robles-Gil, a fait savoir dans une lettre diffusée samedi 1er novembre que les nouvelles constitutions des Légionnaires du Christ avaient été approuvées par le Saint-Siège le 16 octobre dernier.
Par la main de son secrétaire, l’archevêque Rodriguez Carballo, et de son sous-secrétaire, le père Sebastiano Paciolla, la Congrégation pour les Instituts de Vie Consacrée et les Sociétés de Vie Apostolique espère « vivement » que l’observation de ces textes soit pour les Légionnaires du Christ une « aide précieuse dans la réalisation de leur engagement apostolique, avec fidélité au charisme ». « Nous devons être reconnaissants pour l’attention paternelle avec laquelle les papes Benoît XVI et François, ainsi que le cardinal De Paolis [délégué pontifical pour la Légion du Christ] (photo) et ses conseillers ont guidé les pas de notre congrégation ces dernières années », a répondu par écrit samedi le père Eduardo Robles-Gil.
Trois ans de consultations et de réflexion
Cette approbation vient conclure un processus lancé en 2010 par Benoît XVI, quand il nommait le cardinal Velasio De Paolis comme délégué pontifical. Une processus qu’a poursuivi François et qui résulte de trois ans de consultations et de réflexion, dont le moment culminant a été le chapitre général de la congrégation en janvier et février dernier.
Clarifier le charisme, simplifier et réduire les normes qui gouvernent la congrégation, assurer un mode d’exercice de l’autorité qui permette une plus grande participation des membres en étant plus en accord avec la loi canonique, revoir la formation que reçoivent les Légionnaires, mettre l’accent sur la responsabilité de chacun dans son discernement vocationnel et garantir la distinction entre les forums internes et externes sont autant de changements qui ont été approuvés dans les nouvelles constitutions.
Les Légionnaires du Christ prennent leurs distances avec le comportement « immoral » de leur fondateur
Ces dernières comprennent 235 points contre 872 pour les anciennes. De nombreux détails et spécificités ont été éliminés. Cela permettra aux membres de se concentrer sur l’essentiel et de faciliter leur application aux différentes circonstances, expliquent les Légionnaires du Christ. Le nouveau texte vise ainsi à offrir une explication des motivations spirituelles et théologiques derrière les normes proposées. Par ailleurs, les Légionnaires du Christ « s’engagent fermement dans la prévention des abus sur mineurs, répondant rapidement et de manière responsable à toute accusation, assistant les victimes et leur famille et coopérant avec les autorités civiles et ecclésiales ».
Les Légionnaires du Christ précisent, enfin, que les nouveaux textes approuvés ne sont pas la place pour évoquer la problématique du comportement de leur fondateur, le père Marcial Maciel, et sa relation avec la congrégation. Ils rappellent que les communiqués de la Salle de presse du Saint-Siège de 2006 et 2010 « distinguaient clairement son comportement immoral et leur congrégation ».
Ref. Un nouveau départ pour les Légionnaires du Christ ?
JPSC
Monsieur l'abbé Kokot, curé de Horion-Hozémont, nous communique cette information:
Monseigneur J.P. Delville en pèlerinage à l’Enfant Jésus de Prague
Le 19 octobre 2014, Monseigneur J.P. Delville, évêque de Liège, a présidé le pèlerinage à Horion-Hozémont. Devant une foule de 500 pèlerins, il a prononcé une allocution sur la dévotion à l’Enfant Jésus, sur la démarche de pèlerinage et à encouragé ce sanctuaire naissant. Ensuite, en présence de nombreux prêtres, dont M. l’abbé P. Petit, ancien doyen de Horion-Hozémont, Monseigneur s’est consacré à l’Enfant Jésus de Prague. Les nombreux pèlerins ont alors eu la grâce de recevoir des mains de notre évêque la bénédiction avec l’huile de l’Enfant Jésus de Prague.
De retour à la sacristie, Monseigneur m’a dit qu’il avait été impressionné
par la ferveur des pèlerins et par la présence dans l’assemblée de nombreuses familles, d’enfants et d’adolescents. Comme Curé de la paroisse et initiateur de ce pèlerinage, je remercie humblement notre évêque pour son soutien et son encouragement.
Abbé P. Kokot
Les inscriptions sont ouvertes. Renseignements et inscriptions :
● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). E-mail : jpschyns@skynet.be
● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com
Les inscriptions sont ouvertes. Renseignements et inscriptions :
● S’adresser à Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42/7 4020 Liège. Tél. 04.344.10.89 (en cas d’absence, tél portable 0498.33.46.94 de Ghislain Lahaye). E-mail : jpschyns@skynet.be
● Informations générales et inscriptions en ligne sur le site de l’académie :http://www.gregorien.com
L'intention de prière générale du Saint-Père pour novembre est:
"Pour que les personnes souffrant de solitude ressentent la présence de Dieu et reçoivent le soutien de leurs frères".
Son intention missionnaire est:
"Pour que les jeunes, séminaristes, religieux et religieuses, bénéficient d'éducateurs compétents et sages".
La Solennité de tous les saints semble liée, historiquement, à la dédicace de l’ancien temple romain du Panthéon par le pape Boniface IV au début du VIIe siècle. Originellement dédié à tous les dieux — c’est le sens du nom en grec — le Panthéon fut consacré à Marie et à tous les martyrs, auxquels on ajouta plus tard les confesseurs. L’anniversaire de la dédicace du Panthéon, et donc la fête de tous les saints, fut fixée d’abord au 13 mai, puis, en 835, au 1er novembre.
La fête de la Toussaint unit l’Église de la terre à la béatitude de l’Église du ciel : cette célébration groupe non seulement tous les saints canonisés, c’est-à-dire ceux dont l’Église assure, en engageant son autorité, qu’ils sont dans la Gloire de Dieu, mais aussi tous ceux qui, en fait et les plus nombreux, sont dans la béatitude divine. Comme la fête de la dédicace, la Toussaint donne un avant-goût de la liturgie éternelle, celle que la liturgie de la terre inaugure (cf. Vatican II, Constitution sur la sainte Liturgie, n° 8). (Dom Robert Le Gall – Dictionnaire de Liturgie)
EGLISE DU SAINT-SACREMENT
Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
LES MESSES DU WEEK-END DE LA TOUSSAINT
SAMEDI 1er NOVEMBRE 2014 FÊTE DE TOUS LES SAINTS |
10h00, messe en latin (missel de 1962) : chants grégoriens et orgue, propre de la messe « Gaudeamus ».
11h15, messe en français (missel de 1970) : chants grégoriens, orgue et violoncelle.
DIMANCHE 2 NOVEMBRE 2014 |
10h00, messe en latin (missel de 1962) : chants grégoriens et orgue, propre du XXIe dimanche après la Pentecôte.
11h15, messe en français (missel de 1970) : Commémoration des fidèles défunts, chants grégoriens, orgue et violoncelle. Kyriale de la messe de « requiem ». |
Renseignements : sursum corda, tél. 04.344.10.89
Web : http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com