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Témoignages - Page 245

  • Le pape François en Bosnie : Où en est le dossier Medjugorje ?

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    Alors que beaucoup attendaient une décision du pape sur Medjugorje, lieu d'apparitions mariales supposées, à l'occasion de sa visite éclair à Sarajevo en Bosnie-Herzégovine ce 6 juin, il semblerait que celle-ci ne soit toujours pas d'actualité. De Marie-Lucile Kubacki sur le site web de « La Vie » :

    « En découvrant que le pape se rendait en Bosnie-Herzégovine, les passionnés de « Medj », qu'ils soient fans ou détracteurs, avaient eu une bouffée d'espoir : que François soulage un suspense vieux de cinq ans, depuis que le pape Benoît XVI avait demandé à une commission dirigée par le cardinal Ruini de tirer au clair l'affaire de ces apparitions supposées qui auraient commencé en 1981, attirant au fil des années des millions de pèlerins. En janvier 2014, cette commission d'enquête avait terminé son travail et remis le dossier à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi (CDF) qui doit transmettre ses conclusions au Pape à qui reviendra le dernier mot. Le timing était donc idéal pour une mise au point.

    Mais lors de la conférence de presse consacrée au voyage, le porte parole de la salle de presse du Saint Siège, le père Frederico Lombardi, a refroidi les ardeurs en déclarant qu'il n'excluait pas une prise de parole du pape – qui ne devrait pas manquer d'être interrogé sur le sujet lors du traditionnel échange avec les journalistes dans le vol papal – mais qu'il la tenait pour « improbable », le but du voyage étant consacré à la paix et à la réconciliation, vingt ans après la guerre qui a déchiré le pays et le programme du pape ne prévoyant aucun détour par Medjugorje. Le porte-parole a par ailleurs ajouté que la CDF poursuivait ses études et ses approfondissements. »

    Ref. Où en est le dossier Medjugorje ?

    JPSC

  • Fête-Dieu 2015 à Liège: le samedi 6 juin à 18h, en l'église du Saint-Sacrement avec Mgr Delville

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  • Fête-Dieu radieuse à Liège

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    La basilique Saint-Martin, berceau de la Fête-Dieu, était comble en ce beau jeudi ensoleillé. Le bon peuple liégeois semble heureux de renouer avec cette célébration qui était jadis un des grands temps forts de la dévotion populaire dans la Cité Ardente. Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr Harpigny, évêque de Tournai et Mgr Kockerols, évêque auxiliaire pour Bruxelles, avaient rejoint leur confrère de Liège, Mgr Delville, pour célébrer cette solennité. Dans son homélie, l'évêque de Liège a retracé les circonstances qui ont amené à l'institution de cette fête en l'honneur de l'Eucharistie, en insistant sur le rôle de la bienheureuse Eve de Saint-Martin, recluse en cette église, amie et confidente de sainte Julienne de Cornillon. Au terme de cette messe fervente, l'assemblée est descendue à travers les rues de la cité jusqu'à la cathédrale en faisant escorte au Saint-Sacrement porté à tour de rôle par les évêques présents. Une délégation venue de Maestricht portait fièrement le buste reliquaire de saint Lambert, évêque de cette cité mosane dont le martyre est à l'origine de la ville de Liège.

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    La procession quitte la basilique Saint-Martin

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    Le buste de Saint-Lambert porté par la délégation venue de Maastricht

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    La foule descend le Mont Saint-Martin

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    Mgr Léonard reçoit le Saint-Sacrement

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    Arrêt devant l'Opéra; Mgr Harpigny va donner la bénédiction.

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    Station en Vinâve d'Ile

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    Dernière bénédiction donnée à la cathédrale Saint-Paul par Mgr Delville, évêque de Liège

  • Commémorations de 14-18 : n'oublions pas le cardinal Mercier, ce géant

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    Alors que cette grande figure du clergé belge est si peu évoquée à l'occasion des commémorations du centième anniversaire de la Grande Guerre, on s'en souvient fort heureusement Outre-Atlantique; traduit sur France Catholique :

    Traduit par Bernadette Cosyn

    Où sont les lions de l’an passé ?

    Par Anthony Esolen

     

    Alors que j’écris ces mots, les chrétiens sont massacrés par milliers au Moyen-Orient. Une image est restée gravée dans ma mémoire . Un groupe de garçons d’environ 10 ans attend l’horreur aux mains de leurs ravisseurs pour avoir refusé de renoncer à leur foi chrétienne. L’un des garçon assis au premier plan, beau et sombre, regarde droit dans la caméra, sa mâchoire crispée révèle sa défiance.

    Il a un corps d’enfant mais une âme d’adulte. Je doute qu’il soit encore vivant. Si je connaissais son nom, je le prierais d’intercéder pour moi. Mais je peux peut-être le faire quand même. Je pourrais l’appeler Sanctus Ignotus : Saint Anonyme, le saint que personne ne connaît, dont personne ne se soucie. Si je devais lui attribuer un nom, ce serait Léoninus, Jeune Lion.

    J’ouvre l’un de mes albums reliés de The Century [1], celui sur la terrible année de guerre 1918. Il est difficile de décrire The Century aux gens habitués au Cosmopolitan, à Newsweek ou à TV Guide. On peut avoir un aperçu de sa teneur en considérant ces mots, tirés du texte « Le bon pasteur de Malines » :

    « Si Albert de Belgique, le prince chevaleresque dont le royaume consiste maintenant en quelques arpents de dunes de sable et quelques tranchées sanguinolentes, a été le Léonidas de son pays martyr, le cardinal Mercier a été son Hildebrand [2]. Albert a doté l’histoire et le charme romantique de son pays du glamour d’un autre Thermopyles ; le cardinal belge a remémoré au monde ces jours où un simple moine, élevé au trône des pécheurs, a affronté un autre empereur d’Allemagne et fait retentir à ses oreilles les mots qui font trembler jusqu’aux tyrans. »

    Cela pour décrire Désiré Félicien François Joseph Mercier, le grand philosophe, archevêque de Malines et primat de Belgique.

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  • Fêter Dieu à Bruxelles le dimanche 7 juin : procession du Saint-Sacrement

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  • Une lettre de l'archevêque d'Alep : "Nous sommes en train de payer cher notre présence dans notre cher pays"

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    D'AED-France (28 mai): 

    SYRIE : « nous sommes en train de payer cher notre présence » témoigne l’archevêque d’Alep

    Dans une lettre adressée à l’AED cette semaine (datée du 25 mai), Mgr Jeanbart, archevêque d’Alep, deuxième ville de Syrie,  témoigne de sa mission particulière auprès de « ses prêtres et ses fidèles » dans un archevêché maintes fois bombardé par les rebelles.

    Chers Amis,

    Je viens de rentrer à Alep, après une tournée aux États Unis où j’avais fait de mon mieux pour exposer notre situation aux Chrétiens américains dans plusieurs des grandes villes de l’Est du pays* (…). Malheureusement, arrivé à Alep, j’ai eu la grande tristesse de voir notre Archevêché détruit et notre Cathédrale gravement endommagée. Ces bâtiments construits par mes prédécesseurs depuis deux cents ans et pour lesquels nous avions entrepris beaucoup de travaux de restauration ces dernières années, se trouvent à présent très endommagés, dans un état lamentable et un délabrement désolant. Je ne peux vous dire toute ma peine et ma souffrance à la vue de cette catastrophe. Grâce à Dieu tous mes prêtres sont sortis indemnes, sains et saufs de cette énième atteinte à notre Archevêché perpétrée par les rebelles qui avaient fait pleuvoir une pluie d’obus sur cette zone chrétienne de la ville où se regroupent plusieurs Églises au lendemain de la commémoration du centenaire du Génocide Arménien!…

    Mes prêtres et mes fidèles sont consternés autant que moi-même et depuis deux jours j’essaye de reprendre mon souffle pour redonner courage à ceux qui sont autour de moi. Cela fait deux semaines que mes collaborateurs essayent de sortir tout ce qui est récupérable pour le mettre à l’abri. Moi-même j’ai pris soin de mettre en sécurité les archives, les icônes, les manuscrits et tout ce qui était précieux, irremplaçable et important. Vous comprenez que je puisse dans ces circonstances me trouver désemparé et incapable de fonctionner comme il se doit. Malgré tout j’essaye de faire de mon mieux pour rester présent à mes fidèles et à mon clergé, je sens qu’ils ont, aujourd’hui plus que jamais, besoin d’être entourés et rassurer. Par contre mon travail administratif et bureautique laisse à désirer pour le moment. Mes locaux sont délabrés et mon secrétariat hors d’usage. Il faut que je puisse trouver un bureau, récupérer l’ou l’autre de mes dossiers encore indemnes et m’organiser aussi vite que possible. Je me rends compte que nous vivons des moments d’émergence très difficiles qui requièrent de nous un éveil continue et une disponibilité sans faille.

    Dimanche (24 mai), le matin j’ai tenu à présider une Messe de requiem dite pour le repos de l’âme de l’un de mes collaborateurs qui s’est joint au cortège de nos martyrs, victimes de la violence des djihadistes. Dans l’après-midi j’ai assisté à un récital donné par l’une de nos écoles catholiques. Ma présence a marqué ces deux célébrations et confirmé à nos fidèles que l’Eglise est très proche de leurs souffrances et de leur joie. Malgré toute ma tristesse et ma désolation, le Seigneur m’a aidé à leur dire des mots qui consolent le cœur meurtri des uns et  qui raffermissent le courage des autres. Ce soir j’assiste à un récital de chants Byzantin dans l’une de nos églises. J’espère que nous ne serons pas épouvantés encore une fois par les tirs de mortiers et de hawns qui nous prennent pour cible depuis la fête de Pâque.

    Nous sommes en train de payer cher notre présence dans notre cher pays mais nous savons aussi que l’avenir de nos nouvelles générations sera bien meilleur une fois la paix établie et la liberté acquise. Entre-temps les obus continent à nous tomber dessus chaque jour. Nous ne savons pas au juste quand cette Paix tant souhaitée viendra, mais nous prions le Seigneur de nous l’accorder le plus tôt possible et nous croyons fermement qu’Il va nous la donner car sa bonté est grande et sa miséricorde ineffable. Priez avec nous je vous en supplie, vos prières nous seront d’un grand secours.

    Avec ma reconnaissance, ma gratitude et toute ma considération,

    Jean-Clément JEANBART

    Archevêque d’Alep

     *ndlr : ces journées étaient organisées par l’AED-Etats-Unis

  • Plain-chant sur Liège le samedi 30 mai 2015

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    la Schola Resupina de Vienne 

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    L'académie de chant grégorien à Liège

    LE PROGRAMME

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  • A l’Université de Liège, le mardi 26 mai 2015 : Regards croisés des religions monothéistes sur la famille

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    Judaïsme, Christianisme et Islam : quel regard les trois grandes religions monothéistes portent-elles sur la famille ? ce mardi 26 mai, une centaine d’invités ont pris part au lunch-débat organisé sur ce thème à l’université de Liège par le groupe Ethique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques.

    Copie de IMG_7335.JPGTrois orateurs ont successivement pris la parole : Albert Guigui, grand rabbin de la communauté israélite de Bruxelles, Renée Toussaint, professeur de philosophie au séminaire de Namur et Radouanne Attiya, assistant à l’université de Liège (service de langue arabe, des études islamiques et de l’histoire de l’art musulman). Les échanges étaient modérés, avec intelligence et diplomatie, par le chanoine Armand Beauduin, ancien secrétaire général de l’enseignement catholique.

    Premier orateur, le grand rabbin de Bruxelles Albert Guigui a fait  observer que11220072_925969127446618_8529644565881435913_n.jpg l’étymologie du texte hébraïque de la Genèse présente la femme à la fois comme aide et opposée à l’homme.

    Pluralité et unité sont donc présentes à la racine du couple : elles postulent une connaissance mutuelle  non pas du même mais de l’autre. Cette harmonie recherchée des contraires doit s’inscrire dans la logique du don et de la gratuité, seule capable de fonder un lien matrimonial durable.

    Ce qui caractérise la crise actuelle du couple, c’est l’absence d’une réelle connaissance de l’autre, qui débouche sur l’incompréhension, le conflit, l’échec, le divorce. Le  mariage ne peut se réduire à un contrat, un donnant-donnant qui induit d’incessantes revendications. Il puise sa force dans la capacité de donner sans attendre de retour, pour permettre une adaptation à l’autre, comme le symbolise l’eau qui épouse les formes  du puits auprès duquel nombre d’unions bibliques se sont nouées.

    Le rôle de la femme est déterminant dans la tradition familiale juive puisque la transmission de la judaïté se fait par elle : son avenir dépendant donc des femmes.  Et ce sont elles qui allument les lumières du Shabbat autant que la morale et les valeurs du judaïsme.

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  • Rixensart, jeudi 28 mai : une conférence sur les Chrétiens d'Orient par Mgr Gemayel

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    de info.catho.be :

    Conférence : Mgr Gemayel à Rixensart

    Maroun Nasser GEMAYEL

    Évêque des Maronites de France, Mgr Maroun Nasser Gemayel sera à Rixensart le jeudi 28 mai pour y donner une conférence sur les Chrétiens d’Orient. 

    « Les Chrétiens d’Orient: histoire et actualité – Origines, témoignage et défis », voilà le thème de la très intéressante conférence que l’unité pastorale Sainte-Croix – Saint-Etienne propose le 28 mai. Et pour en parler, l’UP a invité Mgr Gemayel qui est non seulement évêque des maronites en France mais aussi visiteur apostolique des maronites en Europe.  A ce titre, Mgr Gemayel parcourt de nombreux diocèses en Europe, pour y rencontrer les membres de sa communauté maronite mais également pour permettre à un plus grand public de mieux connaître ces chrétiens d’Orient qui sont plus, que jamais, au centre de l’actualité dramatique du Moyen Orient. Ce lieu de rencontre des trois grandes civilisations monothéistes est en effet devenu aujourd’hui un théâtre de luttes et de tensions qui voit la disparition graduelle des chrétiens. Et selon Mgr Gemayel, ce phénomène a des répercussions « dans tous les domaines », tant les chrétiens d’Orient sont des experts du dialogue islamo-chrétien et « passeurs de culture et de civilisation ».
    Pour l’évêque libanais, l’Europe est concernée par ce qui se passe au Moyen et au Proche Orient et on ne peut se résoudre à voir ses frères d’Orient « immigrés », « abandonnés » et encore moins « réfugiés  dans des réserves ». Bref, une conférence utile.

    Jeudi 28 mai 2015 à 20h15
    Eglise Saint-Etienne de Froidmont, Chemin du Meunier, à Rixensart - PAF 5 €

  • Pour l’Année de la Vie consacrée

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    Pour l’Année de la Vie Consacrée, le diocèse de Clermond-Ferrand propose un reportage sur l’Abbaye Notre-Dame de Randol et interroge Dom Bertrand de Hédouville, Père abbé de Randol, le RP Georges Rétoré, moine de Randol et Monsieur Paul Monnoyeur, architecte associé de l’abbaye.

    Ref. Abbaye Notre-Dame de Randol: «l’unique nécessaire» 

    JPSC

  • Eglise de Chine : non serviam

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    Nous avions pointé ici  « Chine : le cardinal Zen ne partage pas l’optimisme du Secrétaire d’Etat du Pape » le curieux langage employé par le cardinal Parolin concernant la situation de l’Eglise en Chine. Il est, à vue humaine, sans fondement comme le note Sandro Magister sur son site Chiesa :

    « ROME, le 23 mai 2015 – À l’issue de l'audience générale de mercredi dernier, le pape François a adressé des paroles de réconfort aux catholiques de Chine. Il les a exhortés à "vivre en étant spirituellement unis au rocher de Pierre, sur lequel l’Église est construite" et à prier avec une dévotion toute particulière, le jour de sa fête, célébrée le 24 mai, "la bienheureuse vierge Marie, soutien des chrétiens, qui est vénérée au sanctuaire de Sheshan, à Shanghai".

    Le pape n’a pas indiqué que c’est également à Sheshan qu’est maintenu en résidence surveillée, depuis près de trois ans, l’évêque de la capitale économique de la Chine, Thaddée Ma Daqin. Celui-ci a été privé de liberté tout de suite après son ordination épiscopale, le 7 juillet 2012, pour la simple raison qu’il avait démissionné, ce même jour, de l'Association patriotique catholique, l'organisme du parti communiste qui contrôle l’Église, et donc précisément pour avoir voulu être en pleine communion, en tant qu’évêque, avec le successeur de Pierre.

    Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.

    Séparer de Rome les évêques, le clergé et les catholiques chinois pour les asservir au régime et, en fin de compte, les anéantir, c’est un objectif qui remonte au temps de Mao Zedong et qui, depuis cette époque, n’a jamais été abandonné.

    C’est ce qu’a réaffirmé, ces jours derniers, l'actuel président chinois, Xi Jinping, à l’occasion d’une rencontre avec le Front uni, c’est-à-dire l’ensemble des petits partis vassaux, des associations de l'industrie et du commerce, et des représentants des diverses ethnies et religions :

    > Xi Jinping : Le religioni devono essere “cinesi” e senza “influenze straniere”

    Encore une fois Xi Jinping a dénoncé l’Église romaine comme une “puissance étrangère”. Encore une fois il affirmé que le mandat papal en ce qui concerne les nominations d’évêques constituait “une ingérence dans les affaires intérieures de la Chine”.

    L’Église catholique chinoise est, dans le monde, l’une de celles qui sont soumises depuis le plus de temps à un martyre ininterrompu.

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  • Mgr Aillet sur KTO

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    LA VIE DES DIOCèSES
    Mgr Marc Aillet - Diocèse de Bayonne, Lescar et Oloron

    Diffusé le 22/05/2015 / Durée 26 mn

    Le Père Louis-Edouard Cestac, fondateur des Servantes de Marie, va être béatifié le 31 mai en la cathédrale de Bayonne. Dans l'émission La Vie des Diocèses, nous découvrirons la vie et le témoignage du futur bienheureux français, avec l'évêque de Bayonne, Lescar et Oloron. "Je souhaite que la béatification du père Cestac ravive en nous le desir de la sainteté et nous aide a en faire la première urgence pastorale de nos communautées" souligne Mgr Marc Aillet dans sa dernière lettre pastorale. A la lumière de la vie du futur bienheureux, Mgr Aillet y aborde en vérité la question des vocations sacerdotales, la vie et le ministère des prêtres aujourd'hui ou encore l'attention aux pauvres et aux familles.