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Témoignages - Page 248

  • « Vultum tuum, Domine, requiram » (PS. 26,8)

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    jean-paul-ii-et-eucharistie.jpg« Quaesivi vultum tuum, vultum tuum Domine requiram, ne avertas faciem tuam a me , j'ai cherché ton visage, je rechercherai ton visage, Seigneur : ne détourne pas de moi ta face »: du saint au pécheur, ce verset du psalmiste (que nous chantons à la messe grégorienne du dimanche après l’Ascension), beaucoup  de femmes et d’hommes religieux l’ont répété dans leur cœur, des artistes nombreux aussi l’ont exprimé par leur art. Le  livre de Véronique Lévy, récemment convertie au catholicisme, lui emprunte son titre : « Montre-moi ton Visage » . Lu ce « post » date du 22 avril 2015 sur le blog « Jésus-Christ en France » : 

    « La sœur cadette de l’écrivain Bernard-Henri Lévy publie un livre dans lequel elle raconte sa conversion au catholicisme. Récit d’un parcours hors du commun.

    En ce premier dimanche de carême de l’année 2012, la nef de Notre-Dame de Paris est pleine à craquer. Une cérémonie présidée par Mgr Vingt-Trois rassemble les adultes qui seront baptisés quarante jours plus tard, dans la nuit de Pâques. Soudain, dans l’assistance, on s’avise de la présence de Bernard-Henri Lévy. Que fait-il là, dans les rangées réservées aux familles des catéchumènes ? Des tweets fusent, vite relayés. C’est ainsi que se répand l’incroyable nouvelle : Véronique Lévy, la sœur d’une des figures de la communauté juive française, s’est convertie au catholicisme.

    Lorsqu’elle annonça à son frère qu’elle allait être baptisée, « BHL » perçut tout de suite que ce n’était pas une nouvelle lubie de sa petite sœur, de plus de vingt ans sa cadette, que personne, dans leur famille, ne prenait au sérieux. « À l’assurance et à l’intensité avec laquelle elle parlait, j’ai compris que ce n’était pas un enfantillage mais une authentique expérience intérieure, dit-il. J’ai été très vite impressionné aussi par son degré de connaissance en théologie chrétienne mais aussi juive, dont elle ne savait pourtant rien avant. » Bernard, comme l’appellent ses proches, est bouleversé. Impressionné d’abord par la transformation de Véronique : elle était fragile, instable ; il constate qu’une force nouvelle l’anime et s’en réjouit. Mais une part de lui-même est attristée par cette conversion : « Qu’en auraient pensé nos parents ? Pendant son baptême, je songeais que cet événement les aurait désolés. C’est une rupture comme il ne s’en était sans doute jamais produit dans cette lignée multimillénaire des Lévy, confie-t-il. J’avais aussi le sentiment d’avoir échoué à transmettre quelque chose à cette petite sœur qui pourrait être ma fille. »

    Qui est cette mystérieuse Véronique, jamais apparue en public ?

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  • BXL, 5 mai : Ré-enchanter sa vie avec Martin Steffens à l'Institut Sophia

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    INSTITUT SOPHIA - CONFÉRENCE
    Le 05/05/2015 - Ré-enchanter sa vie
    Martin Steffens
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    Mardi 5 MAI à 20 heures

    CONFERENCE de Martin STEFFENS « RE-ENCHANTER SA VIE ! »

    Où ? Institut d’Etudes Théologiques, 24 Boulevard St Michel, 1040 Bruxelles

    PAF : 6€ et 3€ (étudiant)

    Inscription : confsophia@gmail.com

    Martin Steffens (né en 1977) est professeur agrégé de philosophie. Il est l'auteur d´études sur Descartes, Simone Weil (Gallimard 2006 et 2007) et Nietzsche (Ellipses 2008). Son appétit spirituel et philosophique le porte tout autant à penser le quotidien (Une journée philosophique Ellipses 2010) qu'à mettre ses pas dans ceux d´une grande mystique (Prier 15 jours avec Simone Weil Nouvelle Cité 2009). Père de deux enfants, il enseigne la philosophie à Metz, au lycée, en classes préparatoires ainsi qu´aux résidants d´un foyer d´accueil pour handicapés physiques.

  • L'Eglise aujourd'hui : une Eglise de martyrs

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    (fresque (vers 1500) - monastère moldave)

    « Aujourd'hui, L'Eglise est une Eglise de martyrs! »

    (RV) Lors de l’homélie ce mardi matin à Sainte-Marthe, le Pape François est revenu sur le martyr dont la liturgie fait mémoire en relatant la lapidation d’Etienne, premier martyr de l’histoire chrétienne. Le souverain pontife a ainsi rappelé combien l’Eglise était marquée ces temps-ci par le sang, et combien d’hommes et de femmes étaient aujourd’hui martyrisés en raison de leur fidélité au Christ.

    « Les paroles de Dieu déplaisent toujours à certains cœurs, a rappelé François. La Parole de Dieu est gênante, quand tu as le cœur endurci, parce que cette Parole de Dieu t’invite à aller de l’avant en cherchant et en se nourrissant de ce pain dont parlait Jésus. Les martyrs a souligné le Pape, n’ont pas besoin d’autre pain que Jésus. Dans l’histoire de la Révélation tant de martyrs ont été tués en raison de leur fidélité à la Parole de Dieu, à la Vérité de Dieu.

    La bénédiction de Dieu à travers leur témoignage

    Faisant référence à la lapidation d’Etienne, relatée dans les Actes des Apôtres, le Pape ainsi commenté avec force : « Combien d’Etienne peut-on voir ces jours-ci dans le monde ! Pensons à nos frères égorgés sur une plage en Libye, pensons à cet adolescent brûlé vif (au Pakistan) parce que chrétien, pensons à ces migrants qui ont été jetés à la mer parce que chrétiens, à ces Ethiopiens assassinés avant-hier et à tant d’autres que nous ne connaissons pas, qui souffrent dans les prisons parce que chrétiens. Aujourd’hui, a précisé François, l’Eglise est une Eglise de martyrs : ils souffrent, donnent leur vie et nous recevons la bénédiction de Dieu à travers leur témoignage ».

    Le Saint-Père a évoqué aussi ces nombreux martyrs qui vivent cachés pour rester fidèles et dont les familles souffrent tant par fidélité. « Notre célébration va nous faire voir le premier martyr, Celui qui a donné plus qu’un témoignage, mais le salut, à chacun de nous a conclu le Pape. Unissons-nous à Jésus dans l’Eucharistie et unissons-nous a tant de frères et sœurs qui souffrent le martyr de la persécution, de la calomnie et du meurtre pour être fidèles à l’unique pain qui rassasie, c’est-à-dire Jésus. » 

  • Quand une famille catho décide de vivre au coeur d'une cité HLM

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    Du site de l'Homme Nouveau (Adélaïde Pouchol) :

    Une famille catholique au coeur de la cité 
    Entretien avec Amaury Guillem

    Ils sont les « cathos du 11e étage », Amaury Guillem, sa femme et ses trois filles, venus vivre au cœur d’une cité de Marseille. Volontaires de l’association Le Rocher, ils ont choisis de témoigner de leur foi là où la misère est si grande. Après trois années passées là-bas, Amaury Guillem vient de publier un livre (Ceux du 11e étage, carnet de bord d’une famille catho en cité HLM, Cerf), où il témoigne des joies et difficultés de leur mission.

    Vous avez décidé de vous installer en cité HLM à Marseille, pourquoi ?

    Ma femme et moi avons eu, grâce à Dieu et à nos familles, des vies confortables, où nous n’avons jamais manqué de rien. Nous vivions à Bayonne et étions heureux. Mais il manquait quelque chose à ce bonheur : nous nous sentions appelés à vivre l’Évangile de façon plus radicale, par un engagement auprès des plus pauvres. Vu la situation des banlieues, il semble qu’elles soient l’enjeu n°1 de notre société française, puisque s’y concentrent de nombreuses problématiques, économiques, sociales, religieuses. Il y a urgence à ce que les chrétiens investissent ce terrain, pour servir les plus pauvres, témoignant de Celui qui, se faisant pauvre parmi les pauvres, a déjà porté toutes les souffrances du monde et leur donne un sens. Enfin, à l’école de bien des initiatives anciennes – Madeleine Delbrêl, Sœur Emmanuelle - ou actuelles – l’Arche, Simon de Cyrène, l’association pour l’amitié ou Lazare -, nous étions convaincu qu’il ne fallait pas se contenter de travailler auprès des démunis mais bien vivre avec eux. C’est là que se vit la radicalité de l’Évangile, dans ce qu’il a de plus crucifiant mais aussi de plus vivifiant.

    Lire la suite sur le site de l'Homme Nouveau

  • Eglise vivante : ici aussi

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    Cette Eglise vivante, nous l’avons illustrée par trois vidéos sur des ordinations en Afrique. Le site « Pro Liturgia » nous renvoie par ailleurs à de  magnifique images de la Semaine Sainte célébrée à Evron (dans la Mayenne) par la Communauté Saint-Martin : cliquer ici. "Comme quoi, observe Denis Crouan, appliquer la lettre comme l’esprit de “Sacrosanctum Concilium”, c’est possible. A condition de le vouloir et d’avoir la formation ad hoc autant que le véritable 'sensus Ecclesiae'." Nous ajouterons que l'accès aux diocèses belges demeure, malheureusement, fermé à cette congrégation sans doute "trop classique" à leur goût.

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    JPSC

  • Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague - Procession du 17 mai 2015

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    Le Sanctuaire de l'Enfant Jésus de Prague à Horion-Hozémont organise une procession le dimanche 17 mai 2015 à 9h30.

    (9h30 : Messe suivie de la procession / 12h15 : Pique-nique ou petite restauration / 15h : Office de l'Enfant Jésus de Prague et bénédiction des enfants).

    Renseignements : 04/250.10.64 -  http://jesusdeprague.blogspot.be/ - paroisse-saint-sauveur@hotmail.com

    Adresse : Eglise Saint-Sauveur / Place du Doyenné / 4460 Horion-Hozémont (autoroute Liège-Namur)

    L'église est accessible aux personnes à mobilité réduite et dispose de toilettes.

     JPSC

  • Persécutés, exilés, tués, parce que chrétiens

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    Les langues se délient. Le pape François a parlé fermement, le lundi de Pâques, « La Libre » y va maintenant d’un éditorial et d’un long article signé par Vincent Braun, Marie-France Cros et Christophe Lamfalussy  (mise à jour du mercredi 15 avril 2015) :

    "Les communautés chrétiennes ne sont pas menacées directement. Elles sont menacées par la violence, par l’anarchie, par l’insécurité, la pauvreté. C’est tout cela qui les pousse à fuir. Les chrétiens veulent vivre dignement, en liberté, avec les autres. En général, les musulmans les apprécient et demandent à ce qu’ils restent", nous disait en juin dernier Mgr Antoine Audo, l’évêque chaldéen d’Alep, en Syrie.

    Depuis, le groupe terroriste Etat islamique a entrepris d’édifier un "califat" en Irak et en Syrie. La menace est devenue plus directe sur les chrétiens d’Orient, de ces deux pays en particulier mais pas seulement.

    Les communautés chrétiennes du Moyen-Orient composent une mosaïque de cultes divers (copte, maronite, arménien, chaldéen, syriaque, grec melkite…) qui se sont implantés partout dans la région dès les premiers temps du christianisme. Celles-ci se sont intégrées aux Etats, trouvant des arrangements avec les pouvoirs locaux et les communautés dominantes, musulmanes, pour sinon vivre en harmonie avec elles, participer au mieux au tissu social de ces Etats.

    Depuis plusieurs années, la région est déstabilisée par des conflits qui remettent en cause les conditions de leur subsistance. Ces changements se traduisent par une poussée de l’intolérance et une inflation des violences à l’égard de ces communautés dans un environnement où la religion dominante, l’islam, est de plus en plus brandie comme repère moral absolu par des groupes plus ou moins structurés et nombreux (Frères musulmans, salafistes…), quand elle n’est pas instrumentalisée par des bandes armées.

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  • Les autres missionnaires de la miséricorde

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    Rien à voir avec le projet ici du pape François d’envoyer de par le monde des « missionnaires » ambulants de la miséricorde pontificale, chargés d’absoudre les péchés les plus graves (pédophilie cléricale, ordinations épiscopales illicites, viol du secret de la confession, sacrilège eucharistique, etc.) dont la remise est réservée au Saint-Siège.

    Il s’agit ici des missionnaires de la miséricorde divine fondés par l’abbé Fabrice Loiseau : nouant un dialogue fécond avec les musulmans, menant des évangélisations de plage, ces Missionnaires portent la Bonne nouvelle du Christ depuis dix ans déjà dans le diocèse de Fréjus-Toulon. L’abbé Loiseau en est persuadé : « On nous propose une société insultante vis-à-vis de tout ce qui est religieux. Il faut montrer que c'est la foi chrétienne qui nous permettra de vivre une véritable paix. ».Vu sur le site web de « Famille chrétienne » :

    JPSC

  • Eloge de la chasteté religieuse

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    Par un moine du monastère de La Garde (essaimage de l’abbaye Sainte Madeleine du Barroux): 

    JPSC

  • Eglise postconciliaire : l’adoration eucharistique revient de loin

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    L’adoration eucharistique revient de loin. Un temps délaissée, elle est remise à l’honneur dans les paroisses, comme une lame de fond silencieuse mais réelle (voir ci-dessous à Liège, la ville de l'institution de la Fête-Dieu, dès 1246). Lu sur le site de « Famille chrétienne », sous la plume de Bénédicte de Saint-Germain :4e couverture adoration[1]001.jpg

    «Dans les années 60-70, le culte de Jésus Eucharistie avait disparu », se souvient le Père Francis Kohn, postulateur de la cause de canonisation de Pierre Goursat, le fondateur de la Communauté de l’Emmanuel. Le prêtre fait partie de la première « maisonnée » de la communauté, structurée autour de l’adoration, la compassion et l’évangélisation. « Quand nous demandions à adorer dans les églises des lieux où nous allions, il n’y avait même plus d’ostensoirs. »

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  • Le magazine trimestriel « Vérité et Espérance-Pâque Nouvelle, n° 94 – avril 2015

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    Le magazine trimestriel « Vérité & Espérance – Pâque Nouvelle » édité par l’association « Sursum Corda » (responsable de l’église du Saint-Sacrement à Liège) sort sa livraison de printemps. Tiré à 4.000 exemplaires, ce magazine abondamment illustré parcourt pour vous l’actualité religieuse et vous livre quelques sujets de méditation (les titres en bleu sont disponibles en ligne: cliquez sur le titre). Au sommaire de ce numéro d’avril 2015 :

    SOMMAIRE n° 94 (1er trimestre 2015)  

    verite et esperance 94307.jpg 

    Famille : d’un synode à l’autre, la boîte de Pandore reste ouverte

    L’Islam et l’Occident

    Le « nunc dimittis » de Mgr Léonard

    Grand-Duché de Luxembourg : l’Eglise et l’Etat se séparent

    Islamisme : pourquoi Verviers ?

    Décès de Gilberte Degeimbre, dernière voyante des apparitions de Beauraing

    L’abbé Ringlet cautionne la transgression de l’interdit de tuer

    Quand le CDH organise un faux débat sur l’euthanasie

    Plain-Chant en Belgique : à votre agenda 

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  • Cardinal Sarah : une parole qui libère

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    2013.11.28_abbe_Barthe_s.jpg2174_sarah-cardinal.jpg

    Journaliste et écrivain, Nicolas Diat a mené des entretiens avec le cardinal Robert Sarah (photo), publiés sous le titre Dieu ou rien, entretien sur la foi. Pour le bimensuel L’Homme Nouveaul’abbé Claude Barthe (photo) et Philippe Maxence se sont entretenus à bâtons rompus avec ce cardinal guinéen à la parole aussi étincelante que le matin de la Résurrection. Nous publions ici un extrait de cet entretien paru dans l'Homme Nouveau n°1588 et sur son site web le 9 avril :

    Philippe Maxence : « Dieu ou rien », Éminence, c’est le programme de la sainteté. Voulez-vous être un saint ?

    Cardinal Robert Sarah : Oui, parce que c’est notre première vocation : être saint parce que le Seigneur, notre Dieu, est saint. Par Dieu ou rien, je voudrais parvenir à replacer Dieu au centre de nos pensées, au centre de notre agir, au centre de notre vie, à la seule place qu’Il doit occuper. Afin que notre cheminement de chrétiens puisse graviter autour de ce roc et de cette ferme assurance de notre foi. Avec ce livre, je voudrais témoigner de la bonté de Dieu, à travers le récit de mon expérience. Dieu est premier dans notre vie parce qu’Il nous aime et que la meilleure façon de lui rendre cet amour consiste à L’aimer au centuple. Le monde occidental a malheureusement oublié la centralité de l’amour divin. Il est nécessaire de reprendre cette relation à Dieu. À ce titre, mon témoignage est là pour inviter le monde à ne plus rejeter Dieu. Quand je regarde ma vie, j’y vois, en effet, la trace très concrète de la prédilection divine. Je viens d’une simple famille africaine et d’un village très éloigné du centre-ville. Qui aurait pu dire à ma naissance tout ce que Dieu allait accomplir ? Pour devenir séminariste puis prêtre, je suis allé de la Guinée au Sénégal en passant par la Côte d’Ivoire et la France. Par la suite, je suis devenu évêque de Conakry, dans des conditions difficiles. Puis j’ai été appelé à Rome, au cœur même de l’Église. Comment me taire alors que chaque étape de ma vie forme un signe très clair de l’action de Dieu sur moi ?

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