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BELGICATHO - Page 1855

  • Liège, 19 mars : Les Droits de l'Homme au défi des progrès scientifiques et médicaux

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    Cercle universitaire L'Union Royale          Groupe de Réflexion sur l'éthique sociale

    des étudiants catholiques de Liège
     
    Avec le concours du forum de conférences "Calpurnia"
     
    Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège, avec le concours du forum de conférences Calpurnia.

    Cette rencontre sera animée par Vincenzo d'ORIO, Bernard ARS et Paolo SIMONI. Elle aura lieu le mardi 19 mars 2013 à 18H00 dans les conditions indiquées ci-dessous.

                                                                           

    Cycle de Débats 

    LES DROITS DE L'HOMME EN PERIL

     Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

        Mardi 19 mars 2013 à 18h00 

     

      Les Droits de l'Homme au défi des Progrès Scientifiques et  Medicaux  

        

    Un dialogue entre  

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      Vincenzo d'ORIO,  Doyen de la Faculté de Médecine de l'Université de Liège, et Bernard ARS, Président de la Société Médicale Belge de Saint-Luc. 

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     Le débat sera modéré par Paolo SIMONI, Professeur à la Faculté de Médecine de l'Université de Liège 

      

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org  

    RSVP  avant le 16 mars  2013      

     

    e-mail : info@ethiquesociale.org internet :  http://www.ethiquesociale.org/

    tél : 04.344.10.89

  • Gaytés du moment

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    Nous lisons ICIUn lord veut préserver la monarchie du mariage gay

    Un membre de la Chambre des lords a déposé un amendement qui permettrait d'obtenir la garantie que l'héritier du trône sera toujours l'enfant biologique d'un père et d'une mère.

    La Chambre des lords n'a pas d'immenses pouvoirs mais elle se montre toujours soucieuse du respect des traditions britanniques. Alors que les députés ont adopté le projet de loi sur le mariage gay, des membres de la Haute Assemblée s'émeuvent de ses conséquences sur la monarchie. Dans le cadre de l'examen de la modification des règles de succession, autorisant une fille aînée à régner même si elle a des frères, lord True, pair conservateur, a proposé un amendement pour qu'un héritier du trône soit explicitement désigné comme l'enfant d'un mariage hétérosexuel.

    Lire la suite sur Le Figaro

  • Belgicatho à l'unisson de l'Eglise

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    Depuis huit jours, notre blog est littéralement assailli (1) par des visiteurs de plus en plus nombreux. Il est clair que le conclave et son aboutissement expliquent cela, mais aussi le rassemblement de Koekelberg et son riche contenu. Nous sommes évidemment heureux de ce beau succès malgré toutes les insuffisances de notre travail. 

    Nos visiteurs l'ont deviné à travers ce que nous avons mis en ligne depuis 48 heures : nous nous réjouissons du choix des cardinaux et nous sommes unis, de tout coeur et en totale communion, au nouveau pape qui, par ses premiers gestes et ses premiers mots, nous indique clairement dans quelle direction il nous faut aller.

    __________________________

    (1) 10060 visites en huit jours, soit une moyenne de 1257 visites journalières.

  • Le "patron" des jésuites réagit à l'accession d'un compagnon au souverain pontificat

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    Déclaration du Père Général des jésuites

    Rome, le 14 mars 2013

    Au nom de la Compagnie de Jésus je rends grâce à Dieu pour l’élection du nouveau Pape, le Cardinal Jorge Mario Bergoglio S.J., qui ouvre pour l’Église une étape pleine d’espérance.

    Tous les jésuites accompagnent par la prière notre confrère et nous le remercions pour la générosité avec laquelle il a accepté la responsabilité de guider l’Église en ce moment crucial. Le nom de « François », par lequel nous le connaissons désormais, évoque pour nous l’esprit évangélique de sa proximité envers les pauvres, son identification avec le peuple des petits et son engagement pour le renouvellement de l’Église. Dès le premier moment où il s’est présenté devant le peuple de Dieu il a témoigné de façon visible de sa simplicité de cœur, de son humilité, de son expérience pastorale et de sa profondeur spirituelle.

    « La caractéristique propre de notre Compagnie est donc d’être tout en même temps une société religieuse, apostolique, sacerdotale (…) liée au Pontife Romain par un lien très particulier d’amour et de service » (NC 2, n. 2). C’est pourquoi nous partageons la joie de toute l’Église et nous désirons en même temps renouveler notre disponibilité à être envoyés dans la vigne du Seigneur, selon l’esprit de notre vœu spécial d’obéissance, qui nous unit particulièrement au Saint Père (CG 35, D.1, 17).

    Adolfo Nicolás, S.J.
    Supérieur Général
    Rome, le 14 mars 201

  • BXL, 22 mars : Le Mystère du Salut à la Cambre en création mondiale

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  • Confesser le Christ, le Messie, le Fils de Dieu

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    Evangile du jour : Jean 7, 2.10.25-30

    La fête juive des Tentes approchait. Lorsque les frères de Jésus furent montés à Jérusalem pour la fête, il y monta lui aussi, non pas ostensiblement, mais en secret.

    Quelques habitants de Jérusalem disaient alors : « N'est-ce pas lui qu'on cherche à faire mourir ? Le voilà qui parle ouvertement, et personne ne lui dit rien ! Les chefs du peuple auraient-ils vraiment reconnu que c'est lui le Messie ? Mais lui, nous savons d'où il est. Or, lorsque le Messie viendra, personne ne saura d'où il est. » Jésus, qui enseignait dans le Temple, s'écria : « Vous me connaissez ? Et vous savez d'où je suis ? Je ne suis pas venu de moi-même : mais celui qui m'a envoyé dit la vérité, lui que vous ne connaissez pas. Moi, je le connais parce que je viens d'auprès de lui, et c'est lui qui m'a envoyé. »

    On cherchait à l'arrêter, mais personne ne mit la main sur lui parce que son heure n'était pas encore venue.

    Homélie du Père Joseph-Marie Verlinde (Homélies.fr(Archive 2009)

    La structure de cette péricope est complexe ; nous proposons comme angle d’approche, une interprétation symbolique des déplacements effectués par les divers acteurs. La première partie traite en effet d’un voyage géographique - de Galilée à Jérusalem - entrepris pas de nombreux personnages ; dans la seconde, il n’est question que de Jésus, et d’un mouvement à partir de ses origines, connues ou inconnues.

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  • François annonce la couleur

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    Premier sermon du pape, hier à la Sixtine, avec les cardinaux (traduction par nos soins) :

    Dans ces trois lectures, je vois qu'il y a quelque chose de semblable : la dynamique. Dans la première lecture, la dynamique lorsqu’on est en chemin ; dans la deuxième lecture, la dynamique lorsque l'on édifie l'Eglise ; dans le troisième, dans l'Évangile, la dynamique  lorsque l’on confesse. Marcher, édifier, confesser.

    Etre en chemin. « Maison de Jacob, venez, marchons dans la lumière du Seigneur » (Isaïe, 2,5). Il s'agit de la première chose que Dieu dit à Abraham : marche en ma présence et sois irréprochable. Etre en chemin : notre vie est un chemin et lorsque nous nous arrêtons, cela ne va pas. Toujours marcher, en présence de l'Éternel, à la lumière de l'Éternel, en cherchant à vivre de façon irréprochable comme Dieu l’a demandé à Abraham, lors de sa promesse.

    Édifier. Édifier l'Eglise. On parle de pierres ; les pierres ont de la consistance; mais des pierres vives, des pierres ointes par l'Esprit Saint. Édifier l'Eglise, l'Epouse du Christ, sur cette pierre angulaire qui est le Seigneur Lui-même. Voici une autre dynamique de nos vies : édifier.

    Troisièmement, confesser. Nous pouvons marcher tant que nous voulons, nous pouvons construire un tas de choses, mais si nous ne confessons pas Jésus Christ, cela ne va pas. Nous deviendrons une pieuse ONG, mais pas l'Eglise, Epouse du Seigneur. Quand on n’est  pas en chemin, on s’arrête. Lorsqu’on ne construit pas sur le roc, que se passe-t-il ? Il arrive ce qui arrive aux enfants sur la plage quand ils construisent des châteaux de sable ; tout s’écroule, et perd toute consistance. Quand on ne confesse pas Jésus Christ, cela me rappelle la phrase de Léon Bloy: « Qui ne prie pas le Seigneur, invoque le diable ». Lorsque l’on ne confesse pas Jésus Christ, on confesse la mondanité du diable, la mondanité du démon.

    Marcher, édifier-construire, confesser. Mais la chose n'est pas si facile, parce que lorsqu’on est en chemin, lorsqu’on construit, lorsqu’on confesse, des secousses se produisent parfois, il se produit des mouvements qui ne sont pas à proprement parler des mouvements de marche : ce sont des mouvements qui nous tirent en arrière.

    Cet Évangile se poursuit avec une situation particulière. Le même Pierre qui a confessé sa foi en Jésus Christ, lui dit : Tu es le Christ, le fils du Dieu vivant. Je te suis, mais ne parlons pas de la Croix. Ce n'est pas à propos. Je te suis avec une autre possibilité : sans la Croix. Mais quand nous marchons sans la Croix, lorsque nous construisons sans la Croix, et que nous confessons un Christ sans Croix, nous ne sommes pas des disciples du Seigneur : nous sommes des mondains, que nous soyons évêques, prêtres, cardinaux, papes, mais pas des disciples du Seigneur.

    Je voudrais que tous, après ces jours de grâce, nous ayons le courage, le courage à proprement parler, de marcher en présence du Seigneur, avec la Croix du Seigneur ; pour construire l'Eglise sur le sang du Seigneur qui est versé sur la Croix ; et de confesser la seule gloire : le Christ crucifié. Et si l'Eglise avancera.

    Je souhaite à chacun d'entre nous que l'Esprit Saint, par la prière de la Madone, notre Mère, nous accorde cette grâce: marcher, édifier, confesser Jésus Christ crucifié. Ainsi soit-il.

  • Quand un François pourrait en cacher un autre

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    Superbe commentaire de l'abbé Guillaume de Tanoüarn à propos de l'avènement de Benoît, et qui dit, beaucoup mieux que je n'ai pu le faire hier, combien ce pape pourrait nous surprendre :

    Un François peut en cacher un autre

    Ainsi donc le pape François a-t-il déjoué tous les pronostics, parvenant au Souverain pontificat à 76 ans, alors qu'il n'y était pas parvenu (ou qu'il y avait renoncé ?) à 68... lors du précédent conclave, dans lequel il s'était trouvé opposé à Benoît XVI. Pas un vaticaniste ne donnait un kopeck sur son nom. Il y aurait eu un bon coup à faire chez les bookmakers... Dommage ! Reste, malgré la visite de rigueur aujourd'hui à son prédécesseur, que cette élection apparaît comme un échec personnel pour Benoît XVI. Il suffisait, mercredi, de voir la tête de Mgr Marini, grand ordonnateur des cérémonies ratzinguériennes qui a deux reprises essuya un refus ostensible du nouveau pape, pour sentir que le vent avait tourné Place Saint-Pierre. C'est sans doute aussi ce que voulait nous dire le goéland, obstinément vissé à la cheminée de la Sixtine, comme s'il attendait la croisée des vents.
     
  • Premiers fioretti du nouveau pontife

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    A découvrir ici : http://www.lalibre.be/actu/international/article/803263/le-pape-francois-aux-cardinaux-que-dieu-vous-pardonne.html

  • Aujourd'hui sur KTO : programmation spéciale

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    30223220130313-francois-1.jpgProgrammation spéciale en direct sur KTO

    Ce soir 14 mars à 17h00 : Missa pro Ecclesia, première messe du Pape François avec les Cardinaux, à la chapelle Sixtine.

    Ce soir 14 mars à 20h40 : Édition spéciale Pape François. Philippine de Saint Pierre recevra :
    - le Cardinal Béchara Boutros Raï, Patriarche d'Antioche des Maronites,
    - le Cardinal André Vingt-Trois, Archevêque de Paris,
    - le Cardinal John Olorunfemi Onaiyekan, Archevêque d'Abuja.

    Accès commode en cliquant sur le lien suivant : http://playtv.fr/television/kto/

  • Pourquoi cherche-t-on à charger le nouveau pape ?

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    Nous lisons sur Radin.rue des précisions intéressantes au sujet des rumeurs lancées par la presse ("François, les premières morsures") :

    (...) Le nouveau pape est un homme très simple et en même temps qui sait diriger sans une autorité militariste. Très impliqués dans la lutte contre l’injustice - notamment en Argentine, - nombreux sont ceux qui ont tenté de le discréditer.

    Ainsi comme le souligne le père Gilles Routhier, recteur de la faculté de théologie de l’Université Laval ( Canada) cité par "lapresse.ca" : « J’ai habité trois semaines dans la même maison que lui. Il en imposait non pas par son charisme, parce qu’il est austère et réservé, mais par la force de sa conscience morale. Il a peu de mots, mais est d’une grande cohérence. Il sait beaucoup écouter et on me dit qu’il a gouverné la province des jésuites à un moment difficile, avec beaucoup de fermeté, sans être autoritaire. » Une plainte a été déposée en 2005 à l’encontre de l’évêque Bergoglio, mais celle-ci n’a rien donné. Certains veulent l’impliquer dans des tortures notamment de deux prêtres jésuites dans les années 70, des faits que le cardinal désormais pape a toujours farouchement nié. « À mon avis, on l’attaque parce qu’il est dangereux, précise le père Gilles Routhier au journaliste de lapresse.ca, la dictature militaire a cherché à le discréditer en semant des preuves contre lui. Il est l’un des principaux opposants aux Kirchner, qui se disent de gauche, mais aggravent les inégalités en Argentine. Beaucoup de gens lui en veulent. 

    Voir également : le-pape-et-la-dictature-argentine-un-mensonge-pour-un-cardinal-electeur.html

  • Le portrait du pape François, Jorge Mario Bergoglio

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    L'Osservatore Romano a mis en ligne une présentation du nouveau pape :

     

    Le premier pape américain est le jésuite argentin Jorge Mario Bergoglio, 77 ans, archevêque de Buenos Aires. C’est une haute figure de tout le continent et un pasteur simple et très aimé dans son diocèse, qu’il a visité en long et en large, aussi en métro et en autobus, au cours des quinze ans de son ministère épiscopal. « Mes gens sont pauvres et je suis un des leurs », a t-il dit à plusieurs reprises pour expliquer son choix d’habiter dans un appartement et de se préparer le repas du soir tout seul.

    Il a toujours recommandé à ses prêtres la miséricorde, le courage apostolique et d’ouvrir les portes à tous. Le pire qui puisse arriver dans l’Eglise, a-t-il expliquer à plusieurs occasions, « est ce que de Lubac appelle la mondanité spirituelle », qui signifie « se mettre soi-même au centre ». Et quand il cite la justice sociale, il invite à reprendre en main le catéchisme, à redécouvrir les dix commandements et les béatitudes. Son projet est simple: si l’on suit le Christ, l’on comprend que « piétiner la dignité d’une personne est un péché grave ».

    Malgré son caractère timide – sa biographie officielle ne comporte que quelques lignes, au moins jusqu’à sa nomination comme archevêque de Buenos Aires – il est devenu un point de référence pour ses fortes prises de position lors de la dramatique crise économique qui a bouleversé son pays en 2001.

    Il né dans la capitale argentine le 17 décembre 1936, fils d’émigrants piémontais: son père Mario est comptable, employé des chemins de fer, tandis que sa mère, Regina Sivori, s’occupe de la maison et de l'éducation de ses cinq enfants.

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