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BELGICATHO - Page 1858

  • Les cardinaux sont en conclave

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    ENTREE EN CONCLAVE

    Cité du Vatican, 12 mars 2013 (VIS). Les 115 Cardinaux électeurs se sont rassemblés dans la Chapelle Sixtine à 16 h 15' heure de Rome, où le Doyen de l'ordre des évêques, le Cardinal Re a déclaré: Le Seigneur, qui guide nos coeurs dans l'amour et la patience du Christ, soit toujours avec vous. Puis il a ordonné le départ en procession vers la Chapelle Sixtine à travers la Salle Royale: Frères vénérés, après avoir célébré le divin mystère nous entrons en conclave pour élire le Souverain Pontife. L'Eglise toute entière nous est unie dans la prière, invoquant sans cesse la grâce de l'Esprit afin que soit élu parmi nous un pasteur digne pour le troupeau du Christ. Puisse-t-il guider nos pas dans la vérité afin qu'avec l'intercession de la Vierge Marie et des Apotres Pierre et Paul, et de tous les saints, nous fassions toujours sa volonté. Au chant des litanies les Cardinaux électeurs et le Cardinal Prosper Grech non électeur chargé de la première méditation, accompagnés de l'Auditeur Genéral de la Chambre apostolique, du Maître des cérémonies, de deux protonotaires, de deux juges de la Rote, de deux prélats de la Chambre, du secrétaire du Cardinal Président, des huit cérémoniaires et de la chapelle musicale. Le cortège a été accueilli par le Préfet de la Maison pontificale, le Substitut de la Secrétairerie d'Etat, le Secrétaire pour les relations avec les états, le Commandant de la Garde suisse -dont un piquet a rendu les honneurs et assuré la garde de la porte-, et les divers assistants. Les Cardinaux ont pris la place qui leur était réservée selon leur ordre et préséance au chant du Veni Creator. Après quoi le Cardinal Re leur a lu la formule du serment, qu'ils ont ensuite prononcé un à un la main sur l'évangéliaire: Nous tous et chacun de nous, Cardinaux électeurs présents à cette élection du Souverain Pontife, promettons, faisons le vœu et jurons d'observer fidèlement et scrupuleusement toutes les prescriptions contenues dans la constitution apostolique Universi Dominici Gregis du 22 février 1996. De même, nous promettons, nous faisons le voeu et nous jurons que quiconque d'entre nous sera, par disposition divine, élu Pontife Romain, s'engagera à exercer fidèlement le Munus Petrinum de Pasteur de l'Eglise universelle et ne cessera d'affirmer et de défendre avec courage les droits spirituels et temporels, ainsi que la liberté du Saint-Siège. Nous promettons et nous jurons surtout de garder avec la plus grande fidélité et avec tous, clercs et laïcs, le secret sur tout ce qui concerne d'une manière quelconque l'élection du Pontife Romain et sur ce qui se fait dans le lieu de l'élection et qui concerne directement ou indirectement les scrutins, de ne violer en aucune façon ce secret aussi bien pendant qu'après l'élection du nouveau Pontife, à moins qu'une autorisation explicite en ait été accordée par le Pape lui-même, de n'aider ou de ne favoriser aucune ingérence, opposition ni aucune autre forme d'intervention par lesquelles des autorités séculières, de quelque ordre et de quelque degré que ce soit, ou n'importe quel groupe, ou des individus voudraient s'immiscer dans l'élection du Pontife Romain. Et moi, N. Cardinal N., je le promets, j'en fais le voeu et je le jure... Que Dieu m'y aide ainsi que ces saints Evangiles que je touche de ma main". Après le serment du dernier Cardinal électeur James Michael Harvey, le Maître des cérémonies Mgr.Guido Marini a prononce l'Extra Omnes, fixant la clôture des portes de la Sixtine à 17 h 35'. Resté parmi les électeurs aux côtés de Mgr.Marini, le Cardinal Grech a prononcé une méditation destinée à encourager l'assemblée à agir avec rectitude dans le processus de désignation du Pape, en faisant la volonté de Dieu et le bien de l'Eglise. Après quoi le Cardinal Président a demandé au collège s'il désirait procéder à un premier scrutin, ce qui est facultatif en cette session d'entrée.

  • "Misericordias Domini..." L'homélie du cardinal Sodano avant l'entrée en conclave

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    "L'Evangile de la Vie" a mis en ligne la traduction (non officielle) de l'homélie prononcée par le cardinal doyen du Sacré Collège, Mgr Sodano, au cours de la célébration pour l'élection du souverain pontife :

    Chers concélébrants, Eminentes Autorités, Chers frères et sœurs dans le Seigneur!

    «Je chanterai toujours les bontés de l'Éternel" est le chant qui une fois de plus a raisonné sur la tombe de l'apôtre Pierre, en cette heure importante de l'histoire de la Sainte Eglise du Christ. Ce sont les mots du Psaume 88, qui ont fleuri sur nos lèvres pour adorer, remercier et supplier le Père céleste. "Misericordias Domini in aeternum cantabo" est le beau texte latin, qui nous a fait entrer en contemplation de Celui qui veille toujours avec amour sur son Église, en la soutenant sur son chemin à travers les siècles et en la vivifiant de l'Esprit Saint.

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    traduction officielle : 

  • BXL, 19 mars : grand meeting de la Manif pour Tous

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    cliquer sur l'image pour accéder au site officiel

    Une soirée avec des porte parole du collectif LMPT et des intervenants européens pour comprendre les enjeux de la mobilisation en France contre la loi du "mariage et adoption pour tous", et avoir un regard croisé sur l'impact des différentes législations déjà votées dans d'autres pays d'Europe.

    Intervenants :
    • Frigide Barjot, porte parole de La Manif Pour Tous
    • Xavier Bongibault, président de l'association "Plus gay sans mariage" et porte parole de La Manif Pour Tous
    • Bobby Lopez, citoyen américain, élevé par un couple de lesbiennes, ayant pris position contre la loi du "mariage et l'adoption pour tous".
    • Maria Hildingsson, secrétaire générale de la FAFCE
    • Michel Ghins, président de l'association "Action Pour La Famille" 
    Entrée libre, une participation aux frais vous sera proposée sur place. 

    Les places sont limitées. Pour être sûr de pouvoir entrer, veuillez remplir le formulaire. 
  • Et si les maladies avaient un sens ?

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    Le contact avec la maladie conduit immanquablement à réfléchir sur sa signification. Il faut bien reconnaître que ce n'est pas la préoccupation première de l'univers médical. Face à celui-ci, on peut difficilement se défendre d'éprouver un certain malaise lorsqu'on se sent réduit à la condition de "patient objet", livré à la compétence toute-puissante des détenteurs du savoir médical, privé d'une vraie relation humaine où s'instaurerait un réel dialogue entre le médecin et le malade. On pourrait, dans des circonstances parfois pénibles, rêver d'être rencontré dans toute sa dimension humaine et non d'être réduit à un cas localisé relevant d'une compétence scientifique particulière. Cela ne veut pas dire, bien sûr, qu'on a systématiquement affaire à des soignants dénués de sens humain mais la question se pose de savoir si le système dans lequel ils fonctionnent ne les prive pas, faute de temps notamment, de prendre davantage en considération la personne qui se trouve devant eux et qui ne peut être identifiée simplement au patient lambda. Si l'on prenait en compte une réflexion sur le sens que peuvent revêtir les maladies, l'approche pourrait peut-être prendre une tournure plus humaine.

    Le Dr Soulier propose une approche de la maladie qui m'interpelle et qui vous intéressera peut-être :

    "... les maladies ont un sens. Elles ont pour nous une intention positive, c’est la manière qu’a le corps de survivre et de s’adapter. Sa solution face à la vie. le Dr. Olivier Soulier nous décrypte quelques clés.

    Les maladies répondent à des codes qui étaient pressentis depuis la nuit des temps dans tous les grands mythes et les grandes symboliques. Les recherches psychologiques récentes font qu’ils sont de mieux en mieux connus. Les dernières découvertes scientifiques viennent confirmer chaque jour ces compréhensions... "

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  • Regard sur les conclaves de l'époque moderne

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    Cité du Vatican, 11 mars 2013 (VIS). Voici une chronologie des conclaves de l'époque moderne, avec mentions de faits curieux ayant eu lieu lors de leur déroulement:

    Le conclave le plus long de l'histoire moderne se déroula en 1740 pour l'élection de Benoît XIV. Il dura du 18 février au 17 août, soit 181 jours. Les électeurs étaient au nombre de 51 à l'ouverture mais 4 cardinaux moururent durant le conclave.
     
    En 1758 le conclave pour l'élection de Clément XIII dura du 15 mai au 6 juillet (53 jours). Il comptait 45 cardinaux électeurs à son ouverture mais lors de la votation finale seuls 44 étaient présents.
     
    L'élection de Clément XIV au conclave de 1769, dura 94 jours, du 15 février au 19 mai et compta 46 électeurs.
     
    Le Pape Pie VI fut élu en un conclave qui se déroula du 5 octobre 1774 au 15 février 1775 (133 jours). Les cardinaux électeurs étaient 44 à l'ouverture, mais deux d'entre eux moururent au cours du conclave.
     
    L'élection de Pie VII eut lieu à Venise, Rome étant occupée par les troupes françaises. Le conclave dura du 1 décembre 1799 au 14 mars 1800 (105 jours). Ce fut le dernier conclave en dehors de Rome, auquel participèrent 34 électeurs.
     
    En 1823, le Pape Léon XII fut élu au bout de 27 jours (2 septembre-28 septembre) par 49 cardinaux électeurs.
     
    En 1829, le conclave pour l'élection de Pie VIII dura 36 jours, du 24 février au 31 mars. Il comptait 50 électeurs.
     
    Grégoire XVI fut le dernier cardinal non évêque élu Pape. Le conclave pour son élection dura 51 jours, du 14 décembre 1830 au 2 février 1831, avec 45 cardinaux.
     
    Les conclaves “courts” commencèrent en 1846 avec l'élection de Pie IX (50 cardinaux) à l'issue d'un conclave qui dura 3 jours, du 14 au 16 juin.
     
    En 1878, Léon XIII fut élu après un conclave de 3 jours, du 18 au 20 février, auquel participèrent 61 électeurs. Le Cardinal John McCloskey, archevêque de New York, premier cardinal non européen devant participer au conclave arriva trop tard.
     
    En 1903 fut élu Pie X. Durant le conclave fut exercé pour la dernière fois le Ius Exclusivæ (droit d'exclusion dont disposaient certains monarques catholiques d'Europe pour opposer leur veto à un candidat à la papauté). A cette occasion, ce fut l'empereur François Joseph I d'Autriche qui exerça son veto contre le cardinal italien Mariano Rampolla. Le conclave dura 5 jours du 31 juillet au 4 août. 64 cardinaux électeurs participèrent et il y eut 7 scrutins. Après son élection Pie X abolit le droit de veto.
     
    En 1914 le conclave qui élit Benoît XV dura 4 jours, du 31 août au 4 septembre. Les électeurs étaient 57 et il y eut 10 scrutins. Deux cardinaux nord-américains et un canadien, arrivés trop tard, ne purent entrer dans la Chapelle Sixtine. Cependant, pour la première fois un cardinal d'Amérique latine participa à l'élection.
     
    En 1922, durant le conclave qui élit Pie XI, 2 Américains et 1 Canadien restèrent dehors à nouveau. Une règle fut alors instituée établissant qu'à compter du Siège vacant les cardinaux auraient un délai de 15 jours pour arriver à Rome. Les électeurs étaient au nombre de 53. Le conclave dura 5 jours, du 2 au 6 février et il y eut 7 scrutins.
     
    Le conclave qui élit Pie XII en 1939 connut pour la première fois la participation d'un patriarche de rite oriental. Ce conclave qui fut le plus court, dura deux jours, du 1 au 2 mars. Il compta 62 électeurs et 3 scrutins.
     
    Jean XXIII fut élu en 1958. Pour la première fois, participèrent au conclave des cardinaux chinois, indiens et africains. Il y eut 51 électeurs. Il dura 4 jours, du 25 au 28 octobre, avec 11 scrutins.
     
    En 1963, le conclave dura 3 jours, du 19 au 21 juin, et 80 électeurs y élirent Paul VI après 6 scrutins.
     
    En 1978, le conclave qui élit Jean-Paul I fut le premier auquel ne participèrent pas les cardinaux de plus de 80 ans. Le conclave dura deux jours, du 25 au 26 août, avec 4 scrutins et 111 électeurs.
     
    Lors du second conclave de 1978, du 14 au 16 octobre, (3 jours) 111 électeurs élirent Jean-Paul II au bout de huit scrutins.
     
    En 2005 Benoît XVI fut élu Pape au quatrième scrutin d'un conclave qui dura 2 jours, du 18 au 19 avril et qui compta le plus grand nombre de cardinaux électeurs de l'histoire: 115.
     
    Le conclave qui s'ouvre demain, 12 mars, sera le premier depuis 1829 à avoir lieu en Carême.
  • A la piscine de Bezatha

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    Évangile (de ce jour) selon saint Jean 5,1-16.

    A l'occasion d'une fête des Juifs, Jésus monta à Jérusalem. 
    Or, à Jérusalem, près de la Porte des Brebis, il existe une piscine qu'on appelle en hébreu Bézatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades : aveugles, boiteux et paralysés. 

    Il y en avait un qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu'il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Est-ce que tu veux retrouver la santé ? » Le malade lui répondit : « Seigneur, je n'ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l'eau bouillonne ; et pendant que j'y vais, un autre descend avant moi. » Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. » 

    Et aussitôt l'homme retrouva la santé. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent à cet homme que Jésus avait guéri : « C'est le sabbat ! Tu n'as pas le droit de porter ton brancard. » Il leur répliqua : « Celui qui m'a rendu la santé, c'est lui qui m'a dit : 'Prends ton brancard, et marche ! ' » Ils l'interrogèrent : « Quel est l'homme qui t'a dit : 'Prends-le, et marche' ? » Mais celui qui avait été guéri ne le savait pas ; en effet, Jésus s'était éloigné, car il y avait foule à cet endroit. 

    Plus tard, Jésus le retrouva dans le Temple et lui dit : « Te voilà en bonne santé. Ne pèche plus, il pourrait t'arriver pire encore. » L'homme partit annoncer aux Juifs que c'était Jésus qui lui avait rendu la santé. Et les Juifs se mirent à poursuivre Jésus parce qu'il avait fait cela le jour du sabbat.

    (Homélie sur http://homelies.fr/)

  • Le conclave sur KTO

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    Mardi 12 mars
    Ouverture du Conclave

    Le conclave pour élire le prochain Pape s'ouvrira le mardi 12 marsKTO  ajuste sa programmation pour vous permettre de vivre en union avec l'Église universelle.

    Lundi 11 mars à 18h30, messe pour l'élection du Pape, présidée par le nonce apostolique, Mgr Luigi Ventura, à l'occasion de l'ouverture du Conclave, en direct de Notre-Dame de Paris. A 20h40, une Édition spécialeLe Conclave, en direct de Rome, permettra de relire le temps des Congrégations générales.

    Mardi 12 mars, KTO retransmettra en direct les différentes célébrations de la journée :
    - 10h00 : messe Pro Eligendo Pontifice.
    - 16h30 : Procession et entrée en Conclave jusqu'à l'Extra Omnes (fermeture des portes).

    - 19h00 : les premières fumées seront diffusées en direct.

  • Conclave : la vraie question

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    C'est Bosco d'Otreppe qui la pose sur son blog. C'est une des heureuses surprises que les circonstances actuelles nous ont réservée : la présence à Rome d'un envoyé spécial de la Libre animé par un esprit de bienveillance qui tranche réellement avec cette volonté de dénigrement systématique caractérisant la démarche de nombreux journalistes. Hier encore, l'un d'entre eux, n'hésitait pas à accuser les cardinaux, lors des conclaves, d'obéir à de méprisables réflexes moutonniers. Dans ses "Carnets du Vatican", notre envoyé spécial pose la bonne question : "qui élit le pape finalement ?". Et d'insister sur le rôle que joue l'acteur principal : l'Esprit Saint. Et d'expliquer le rôle que joue l'Esprit Saint et comment Il est appelé à le jouer. C'est ICI et cette démarche qui va à contre-sens des commentaires habituels mérite d'être soulignée.

  • Oraison pour la désignation d'un nouveau pape

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    Prions 

    Seigneur, nous vous en supplions humblement, que votre bonté infinie accorde à la Sainte Eglise Romaine un Pontife qui vous plaise toujours par sa sollicitude paternelle envers nous et dont le bienfaisant gouvernement mérite la vénération de votre peuple pour la plus grande gloire de votre nom. Par Jésus-Christ Notre Seigneur. Ainsi soit-il.

    Prier parce que, comme on le dit ICI :

    "La situation de l'Eglise est grave nous a fait savoir Benoît XVI en démissionnant. Tellement grave que l'idéologie passe au second plan Cette élection n'est pas celle d'un progressiste ou d'un traditionaliste, mais celle de l'homme donné, de l'homme efficace par le don qu'il aura fait de lui-même pour conduire la barque de Pierre à travers les récifs. Tout le monde comprend bien que "faire des réformes" ne suffit pas et qu'en une telle occurrence, les réformes constitueraient surtout un aveu d'impuissance. Le problème n'est pas de réformer mais de reformer l'Eglise (...), de retrouver l'élan initial, l'appel de Dieu sur lequel l'Eglise (qahal en hébreu) a été fondée. Pour réentendre cet appel, tous ensemble avec le prochain pape, il n'y a qu'une seule solution : la prière."

  • Liège, 14 mars : Le Saint Suaire de Turin, actualité sur une des énigmes les plus passionnantes

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    Le suaire de Turin est vénéré depuis bien longtemps avant l’invention de la photographie. S’agit-il du tissu qui recouvrait le visage du Christ lors de la résurrection ?

    Le premier photographe qui a développé l’image de ce célèbre tissu s’est rendu compte que le négatif représentait le corps et le visage d’un homme ressemblant à Jésus de Nazareth, portant des marques de clous dans les mains, les pieds et le côté !

    Cette énigme est l’une des plus passionnantes de notre époque. Elle divise les scientifiques dont certains ne parviennent pas à démontrer le contraire.

     

    « Le saint Suaire de Turin - actualité sur une des plus passionnantes énigmes de la Science »

    Par l’abbé Philippe Dalleur, spécialiste du sujet, docteur en Sciences Appliquées à l’Université Catholique de Louvain et professeur de philosophie à l’Université Pontificale de la Sainte Croix à ROME

    Jeudi 14 mars, dès 20h15, Presbytère de Saint Jacques, 8 place Saint Jacques, 4000 Liège

     

    Une organisation des groupes adultes et jeunes de la Communauté de l’Emmanuel sur Liège avec la paroisse Saint Jacques.

  • Tous nos amis français seront à Paris le 24 mars

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  • Cet homme a blasphémé !

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    Le directeur des "Petits Riens" s'est demandé s'il était encore loisible à quelqu'un de penser que l'homosexualité puisse être une "maladie". Encore ne prenait-il pas cette supputation à son propre compte mais il posait simplement la question de savoir si l'on était libre ou non d'y réfléchir en ces termes. Toutefois, c'était suffisant pour susciter un tollé : le secrétaire d'Etat à l'égalité des chances a immédiatement réagi en affirmant : «  Chacun peut avoir son opinion, c’est vrai. On peut être contre l’homosexualité. Mais dire que c’est une maladie, c’est tout autre chose  ! ». Actiris, une asbl liée aux "Petits Riens" a suspendu sa collaboration avec eux tant que leur directeur n'aura pas clarifié sa position. Reconnaissons par ailleurs que ce dernier a commis effectivement un éditorial assez maladroit et doit à présent s'en mordre les doigts. Il faut croire qu'il n'avait pas pris la mesure de l'offensive que mènent actuellement les lobbies LGBT. D'ailleurs, il s'empresse à présent de préciser qu'il ne pense pas personnellement qu'il s'agisse d'une maladie. Toujours est-il qu'il a commis un véritable crime en osant imaginer que quelqu'un puisse être laissé tranquille dans le cas où il viendrait à se demander si l'homosexualité pourrait bien constituer un trouble par rapport à une hétérosexualité qu'il privilégierait éhontément. On peut bien sûr blasphémer quand il s'agit des religions, et d'ailleurs on ne s'en prive pas; mais s'il s'agit des "avancées sociétales" et particulièrement du dogme selon lequel l'homosexualité constitue une forme de sexualité qui mérite autant de considération et de droits que l'hétérosexualité, tout blasphème constitue un crime irrémissible qui sera aussitôt sanctionné par la censure médiatique et verra bientôt son auteur traîné devant cours et tribunaux. Il est d'ailleurs étonnant que le Secrétaire d'Etat ait affirmé que "l'on peut être contre l'homosexualité". C'est une hardiesse au sujet de laquelle on l'interpellera sans doute.

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    P.S. : Définition de la maladie : "Altération de l'état de santé se manifestant par un ensemble de signes et de symptômes perceptibles directement ou non, correspondant à des troubles généraux ou localisés, fonctionnels ou lésionnels, dus à des causes internes ou externes et comportant une évolution." (source)