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BELGICATHO - Page 2192

  • Lettre apostolique "La Porte de la Foi" promulguant l'Année de la Foi

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    Lettre Apostolique en forme de Motu proprio "Porta fidei" du Souverain Pontife Benoît XVI par laquelle est promulguée l’Année de la foi (sur Radio Vatican)

    1. « La porte de la foi » (cf. Ac 14, 27) qui introduit à la vie de communion avec Dieu et permet l’entrée dans son Église est toujours ouverte pour nous. Il est possible de franchir ce seuil quand la Parole de Dieu est annoncée et que le cœur se laisse modeler par la grâce qui transforme. Traverser cette porte implique de s’engager sur un chemin qui dure toute la vie. Il commence par le baptême (cf. Rm 6, 4), par lequel nous pouvons appeler Dieu du nom de Père, et s’achève par le passage de la mort à la vie éternelle, fruit de la résurrection du Seigneur Jésus qui, par le don de l’Esprit Saint, a voulu associer à sa gloire elle-même tous ceux qui croient en lui (cf. Jn 17, 22). Professer la foi dans la Trinité – Père, Fils et Saint-Esprit – équivaut à croire en un seul Dieu qui est Amour (cf. 1 Jn 4, 8) : le Père, qui dans la plénitude des temps a envoyé son Fils pour notre salut ; Jésus-Christ, qui dans le mystère de sa mort et de sa résurrection a racheté le monde ; le Saint-Esprit, qui conduit l’Église à travers les siècles dans l’attente du retour glorieux du Seigneur.

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  • Une très belle interview de Fabrice Hadjadj sur KTO :

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    V.I.P. - Fabrice Hadjadj (Diffusé le 24/09/2011 / Durée 52 mn)

    « Le simple fait d'assister, d'avoir vu la beauté du monde est une première étape dans ce retournement du coeur ». Par cette formule, Fabrice Hadjadj parle du chemin de conversion. Pourtant tout l'éloignait du christianisme. Né dans une famille juive originaire de Tunisie, et bercé aux sons des hymnes marxisants plutôt qu'à la liturgie catholique, il est le témoin d'une époque sécularisée. Mais un jour l'indicible lui a ouvert les yeux. Et comme il le dit lui-même, « avoir la Foi n'est qu'un commencement ». VIP vous propose de rencontrer ce philosophe et dramaturge qui cache bien d'autres talents, notamment d'accordéoniste.

    C'est ici : http://www.ktotv.com/

  • De Duve : de l’art d’amalgamer les choses

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    pict_367494.jpgGuy Duplat, un ex du « Soir » passé à sa consoeur « La Libre » a eu ce week-end un coup de cœur pour la pensée « humaniste » de Christian de Duve, professeur émérite (94 ans) de biochimie à l’Ucl.

    Ce dernier, ancien prix Nobel de médecine (1974), ne s’est en effet pas contenté de découvrir les structures du lysosome et du peroxysome  mais il a consacré (voici deux ans) un livre à la « génétique du péché originel » (sic) : nous y apprenons, paraît-il, que la sélection darwinienne a amené au triomphe de l’homme, par son intelligence mais aussi par sa particularité de protéger son groupe tout en étant fort agressif vis-à-vis de l’Autre. Mais cette particularité de nos gènes qui fit son succès devient sa condamnation, conduisant à une Terre surpeuplée, dévastée, annonçant des conflits dramatiques. Conclusion : « nous avons  besoin d’un urgent sursaut mondial qui passerait par des mesures antidémographiques et un message nouveau qui lutterait contre celui, agressif, de nos gènes ».

    L’éminent biochimiste propose aujourd ‘hui le remède dans un « surprenant » petit livre paru chez Odile Jacob "De Jésus à Jésus en passant par Darwin ». Attention : « Pas le Christ qui parle "en vérité", ni celui qui captive par des "miracles". Non, de Duve apprécie l’homme Jésus, le philosophe qui s’élève contre les rejets, les dogmatismes, les exclusions. Il parle aussi d’un message à dégager de toute l’interprétation qu’en a fait l’Eglise dont il dénonce aujourd’hui, à côté de prêtres remarquables, "un petit cénacle autoperpétué de vieillards célibataires et misogynes, engoncés dans leur pourpre, leurs rites, leurs certitudes et leur présomption de légitimité". La réaction, continue-t-il, ne viendra pas des Eglises, mais bien de la base, des croyants comme des libres-penseurs de toute obédience qui peuvent pousser ce message-là de Jésus. De Duve est-il croyant ? Dans un chapitre, il dit croire en la méthode scientifique et ses résultats, mais aussi dans une "ultime réalité qui nous touche par l’émotion artistique ». Le tout ici : De Duve en appelle au message de Jésus

    Prix Nobel de médecine peut-être, pas de philosophie ni de théologie. Que d’indigence et d’amalgames. Une belle application du principe de Peter.

  • Vatican II continue de susciter de vifs débats

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    C'est Sandro Magister qui en rend compte sur www.chiesa.espressonline.it

    "Le cardinal Cottier, le juriste Ceccanti, le théologien Cantoni défendent les nouveautés de Vatican II. Mais les lefebvristes ne cèdent pas et les traditionalistes accentuent leurs critiques. Les derniers développements d'une controverse enflammée. La controverse relative à l'interprétation du concile Vatican II et aux changements dans le magistère de l’Église a connu de nouveaux développements ces dernières semaines, y compris à haut niveau..."

    Découvrir la suite ici : http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/1349865?fr=y

  • Le latin, langue morte. Et enterrée ?

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    5248.jpgC’est le titre d’un article dans « La Libre Belgique » de ce jour qui nous explique, entre autres que « 28% des écoles proposent encore du latin. Seul un élève sur cinq en fait. Une langue ancienne qui divise et continue de susciter le débat (…). Selon un comptage annuel réalisé par le cabinet de la ministre Simonet (CDH), au 15 janvier dernier, à peine une école sur quatre (28 %) en Communauté française organise le cours de latin aux deuxième et troisième degrés de l’enseignement secondaire. Dans lesquelles à peine 20 % des élèves optent pour la langue de Cicéron comme option de base. C’est relativement peu. Quoi qu’il en soit, le latin est toujours là, il divise et continue de nourrir le débat(…).

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  • Rock, sexe, et révolution

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    "Le Barde" poursuit son passage au crible du phénomène "rock". C'est la huitième partie de son analyse qui paraît ici : http://www.citeetculture.com/

    En voici le fil pour ceux qui en auraient manqué l'un ou l'autre "épisode" : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • 2012-2013 : une année de la foi

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    Benoît XVI annonce la tenue d’une « Année de la Foi » qui débutera le 11 octobre 2012 – 50e anniversaire de l’ouverture du Concile œcuménique Vatican II – et qui se conclura le 24 novembre 2013, solennité du Christ Roi de l’Univers. (Zenit.org) Le pape venait de l'annoncer aux "nouveaux évangélisateurs" pour qui il a célébré la messe ce dimanche en la basilique Saint-Pierre, au terme de la première rencontre organisée par le Conseil pontifical pour la Promotion de la Nouvelle évangélisation.

    Devant ldes milliers de visiteurs rassemblés place Saint-Pierre pour la prière de l’angélus dominical, le pape a réitéré cette annonce, soulignant que « les motivations, les finalités et les lignes directrices » de cette « Année » ont été exposées une Lettre Apostolique qui sera publiée dans les prochains jours. Le pape a rappelé qu’une année semblable avait été convoquée en 1967 par le serviteur de Dieu Paul VI, à l’occasion du 19e centenaire du martyre des apôtres Pierre et Paul, et durant une période de grands changements culturels.

    « Cinquante ans après l’ouverture du Concile, liée à l’heureuse mémoire du bienheureux Jean XXIII, j’estime qu’il est opportun de rappeler la beauté et le caractère central de la foi, l’exigence de la renforcer et de l’approfondir au niveau personnel et communautaire, et de le faire dans une perspective qui ne soit pas tant de célébration mais plutôt missionnaire, dans la perspective, justement, de la mission ad gentes et de la nouvelle évangélisation », a expliqué le pape.

    Sur Metablog, l'abbé Guillaume de Tanoüarn se livre à ce commentaire au sujet de l'initiative de Benoît XVI qui a annoncé hier cette "année de la foi"

    2012 année de la foi : I've a dream !

    Ainsi en a décidé Benoît XVI. Cette année de la foi commencera en octobre 2012, pour le cinquantième anniversaire du concile Vatican II, et plus précisément pour l'anniversaire du Discours d'ouverture de Jean XXIII : Gaudet Mater Ecclesia, le 11 octobre 1962.

    Moi qui suis né le 2 novembre 1962, je suis totalement... conciliaire, avec mon demi-siècle. Je n'ai connu que le Concile ou la résistance au Concile et j'ai plus appris (j'ai vraiment beaucoup appris, au collège déjà) dans la résistance que dans le grand élan conciliaire. Ce grand élan, je l'ai vécu comme une sorte de poussée iconoclaste au sein même de l'Eglise romaine. Il y avait autour de moi, dans mon enfance et mon adolescence une hargne à briser les images, à détruire les formes. C'était déjà comme si il ne restait rien debout. Et c'était il y a longtemps. il faut bien reconnaître qu'aujourd'hui, même si elle ne s'est pas encore sorti de son accès de fièvre, notre chère Eglise va plutôt mieux.

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  • Les indignés : conformistes, contradictoires et sélectifs

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    Dans "Valeurs Actuelles", le 29 septembre dernier, Chantal Delsol proposait son analyse sous le titre "Si conformes “indignés”

    "... Les “indignés” ressemblent très peu à leurs parents soixante-huitards. Ils sont souvent chômeurs ou intermittents. Leur stabilité dans la vie est aléatoire, qu’il s’agisse des sentiments ou de la profession. Ils ont peu de projets à long terme, peu d’ambition. Ils ne rêvent pas de s’enrichir, car ils ont eu dans leur enfance à peu près tout ce que l’on peut désirer...
    Les indignations des “indignés” sont à la fois contradictoires et sélectives. Où l’on peut repérer à la fois leur multiplicité et leurs tendances. Mais dans l’ensemble, ils sont terriblement les fils de leur temps, et si politiquement corrects que peu de médias les désavoueraient. Ils réclament à la fois un État très providentiel, distributeur de prestations et de nouveaux droits créances, et le retrait des avantages des fonctionnaires ; ou bien, le développement des services publics et la fin de la dette… Ils récusent les centrales nu­cléaires et la corruption politique, les désastres écologiques. Ils réclament des droits pour l’animal. Ils sont tellement comme tout le monde que, sur la place de la Bastille, ils brandissent une pancarte “L’alcool non merci”, et à Madrid finissent par se dissoudre dans les procès pour harcèlement sexuel… tout cela est si peu original, si “comilfo”, si désespérément conforme ! ..."

    Lire la suite ici : http://www.valeursactuelles.com/

  • L'impact de la crise sur les familles

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    http://www.radiovaticana.org/fr1/articolo.asp?c=529330

    Benoît XVI demande des solutions pour concilier famille et travail, surtout dans le contexte de crise actuel. Il l’a souligné en recevant ce samedi matin les participants au congrès international annuel organisé par la Fondation Centesimus annus, sur le rapport entre familles et entreprises. Le Pape a évoqué les difficultés actuelles, la crise économique et celle de l’emploi, qui ont des répercussions sur la famille; il a cité les conflits au sein des couples et entre les générations, le malaise qui touche les rapports sociaux. Les règles économiques doivent dépasser la seule logique du profit et tenir compte des intérêts et de la sauvegarde de la famille, cellule de base de la société – a martelé Benoît XVI en soulignant que l’étymologie du mot économie contient une référence à la famille : Oikia et nomos, autrement dit la loi de la maison (l'économie est l'art de bien administrer une maison).
    Même s’il ne revient pas à l’Eglise de définir une stratégie de sortie de crise, les chrétiens ont le devoir de dénoncer les problèmes actuels, de témoigner des valeurs sur lesquelles est fondée la dignité de la personne et de promouvoir les formes de solidarité qui favorisent le bien commun. Mais le Pape a averti que le devoir de solidarité ne peut être délégué à l’État. La famille a son rôle à jouer. Dans son exhortation apostolique Familiaris consortio, publiée il y a 30 ans, Jean-Paul II a énoncé les quatre tâches prioritaires de l’institution familiale, toutes fondées sur l’amour et la gratuité : la formation d’une communauté de personnes ; le service à la vie ; la participation sociale et la participation ecclésiale. Aujourd’hui, plus que jamais, l’économie a besoin de la famille pour être au service de la personne, pour avoir un visage humain.

  • Quand les "indignés" dérapent méchamment...

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    Deuxième "emprunt" au site de notre amie de "Benoît et moi" ce matin :

    "Gentils" indignés, à Rome

    Ils ont mis la ville à feu et à sang, fait irruption dans une église, détruit une statue de la Vierge et un crucifix. (15/10/2011)

    Source: il suffit de taper "indignati roma" ou "indignés rome" dans le moteur de recherche, rubrique actualités...

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    Le vicariat de Rome condamne les profanations et les actes blasphématoires.
    Dans une paroisse de Rome, San Marcellino e Pietro, les aimables manifestants ont fait irruption et détruit une statue de la Sainte Vierge et un Crucifix. (http://paparatzinger4-blograffaella.blogspot.com/)

    Et bien entendu, on nous refait le coup des quelques violents qui ont pollué la pureté des intentions des manifestants (argument qui ne vaut que quand les cibles sont catholiques).
    Bien sûr qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, dans cette société.
    Mais cette façon d'aborder les problèmes est la pire de toutes, et les gens qui la cautionnent sont des irresponsables.

    On peut se demander qui tire les ficelles, et trouver étrange de découvrir derrière tout cela la "grande main" (entre autres) d'une ONG www.avaaz.org/fr (voir notice wikipedia - neutre, mais instructive)

    Sur Radio Vatican :

    Le cardinal vicaire de Rome, Agostino Vallini, s’est dit profondément troublé par l’irruption de casseurs dans une église située dans le centre de Rome, en marge du défilé des indignés le samedi 15 octobre. Une statue de la Vierge et un Crucifix ont été détruits. Des incidents ont éclaté dès le début du cortège. Des éléments incontrôlés, masqués de foulards noirs, ont fracassé les vitrines. mis le feu à des voitures, transformé en champ de bataille la place historique de Saint Jean de Latran où se trouve la cathédrale de Rome. La police a chargé des centaines de jeunes qui lançaient fumigènes, cocktails Molotov et bouteilles contre les forces de l'ordre, tandis que les manifestants pacifiques quittaient les bras en l'air pour ne pas être confondus avec les casseurs.
    Le cardinal Vallini fait part de sa profonde préoccupation souhaitant que soit rétabli au plus vive un climat de dialogue et de convivialité. Les Associations catholiques ont elles aussi élevé leur voix pour condamner ces violences. C’est un jour de profonde tristesse, presque de deuil – affirment les jeunes de l’Action catholique dans un communiqué. Les violences, provoquées par des groupes de black block, équipés pour une guérilla urbaine, ont transformé cette manifestation en un rituel macabre et effrayant. Les jeunes catholiques italiens souhaitent que justice soit faite pour les manifestants pacifiques, pour les jeunes italiens, pour la ville de Rome, pour les forces de l’ordre. D’autres associations catholiques soulignent que ce qui s’est passé ce samedi à Rome soulève des interrogations sur le climat de tension qui s’est emparé des Italiens surtout des plus jeunes. (Avec agences)

  • Rendre à Dieu ce qui est à Dieu (29e dimanche ordinaire)

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    "Benoît et moi" met en ligne la traduction d'une homélie de l'évêque de Cordoue que nous livrons à votre méditation en ce 29e dimanche "ordinaire"

    Dieu et César
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    Dans l’Évangile de ce dimanche Jésus a établi un principe aux énormes conséquences pour la vie sociale des peuples et des nations, qui sont composées de personnes individuelles. «Donnez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » - Matthieu XXII, 21 – (ndt dans saVersion latine de la Sacra Biblia Vulgata Clementina : Reddite ergo quæ sunt Cæsaris, Cæsari : et quæ sunt Dei, Deo). Il s’agit d’un principe pré-politique d’une importance capitale, également de nos jours. Beaucoup de conflits qui aujourd’hui prennent naissance dans la vie sociale proviennent du non respect de ce principe que le Christ a introduit dans l’histoire et dans la vie des hommes et qui est un principe que se trouve à la portée de la raison humaine.

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  • Un aveu inédit de l'abbé Pierre, sur les droits de l'homme

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    abbe-pierre1.jpgDepuis mon adolescence, je n’ai pu me retenir de colère, le plus souvent, beaucoup trop souvent gardée au fond du cœur et non exprimée (à la fois sans doute par manque de courage mais aussi par timidité, par sentiment d’incompétence face à d’illustres « experts », politiques, moralistes ou juristes), je n’ai pu m’empêcher de ressentir jusqu’à la colère l’évidence de l’absurdité de prétendre espérer le respect de ces droits du seul fait de leur « proclamation », puis de leur abandon aux fragiles arbitraires et de gouvernants et d’opinions publiques incapables, pour le plus grand nombre, de dire tout simplement « pour quoi être homme »?

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