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  • Liège : inauguration d’une vitrine numérique pour les paroisses et sanctuaires du centre-ville

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    Le 17 septembre, c’est la fête de saint Lambert – patron du diocèse de Liège – mais aussi de l’Unité Pastorale qui regroupe les paroisses du cœur historique de Liège. C’est donc cette date symbolique qui a été choisie pour lancer le site web de « l’Unité Pastorale Saint-Lambert au cœur de Liège » (UPSL). L’UPSL regroupe – en lien avec la Cathédrale – les paroisses de Liège-centre. Curieusement, l’UPSL n’avait pas encore de présence sur internet, alors que tant d’autres Unités Pastorales avaient franchi le pas. La raison en est que le centre-ville est constitué de très nombreuses réalités catholiques. Regrouper celles-ci dans un site qui soit tout à la fois complet et lisible, n’était pas chose facile. Avec l’aide d’un jeune professionnel et de dynamiques bénévoles, cette lacune est désormais comblée.

    Ce lundi à 11h30, Mgr. JOUSTEN, évêque de Liège, a donc symboliquement ouvert au public le nouveau site web, et ceci au cours d’un point presse qui se déroula dans la salle du chapitre de la cathédrale. Après un mot de bienvenue du chanoine Eric de BEUKELAER, curé-doyen de l’UPSL, l’évêque a inauguré le nouveau site. Ensuite Stéphane FUNTOWICZ, concepteur du site, ainsi que Leonor De MULLEWIE et Jean-Christophe THIRY, les deux administrateurs bénévoles, en ont expliqué le fonctionnement.

    Une diversité insoupçonnée. Pour en savoir plus, cliquez ici :  www.upsl.be

    Contact : Pour l’UPSL – Eric de Beukelaere.debeukelaer@catho.be GSM: +32(0)474.35.90.27

  • Deux nouvelles victimes chrétiennes au Pakistan

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    ASIE/PAKISTAN - Deux chrétiens tués dans la périphérie de Karachi : dans la terreur, les fidèles érigent un mur

    Karachi (Agence Fides) - Deux chrétiens ont été tués par balles dans le quartier d'Essa Nagri, dans la périphérie de Karachi par des groupes musulmans extrémistes d'ethnie pashtoun qui terrorisent la population résidente. C'est ce qu'indique à l'Agence Fides le Père Victor John, Curé catholique d'Essa Nagri qui célèbrera cet après-midi les obsèques des deux défunts : Nasir Masih, catholique et Rafi Masih, protestant. Il s'agit de la troisième attaque en deux semaines dans le faubourg chrétien (attaques qui se sont soldées par un total de quatre morts), pris pour cible par des groupes extrémistes qui agissent en toute impunité, sans que la police ne les arrête.

    L'épisode a eu lieu voici deux jours, le 15 septembre, lorsqu'un groupe de criminels en moto est entré dans le quartier, menaçant les résidents, demandant des pots-de-vin sur les activités commerciales, intimant le versement de la « Jizya » (la taxe imposée par la charia aux minorités non musulmanes). Dans une dispute ayant suivi ces actes, les extrémistes ont tué deux chrétiens dans la rue n° 7 du quartier et en ont blessé deux autres.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (17/9/2012)

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    Sommaire

  • Chaque religion a sa place en Terre Sainte

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    "Pourquoi le Pape tend la main aux musulmans" un "décryptage" proposé par lefigaro.fr/international

    Dans son discours prononcé au Liban, Benoît XVI a souhaité démontrer que chacun avait sa place en Terre sainte.

    Une des surprises du voyage de Benoît XVI au Liban aura été sa volonté marquée d'opérer un rapprochement avec le monde musulman. On pourrait l'attribuer à l'actualité brûlante de la semaine dernière, ponctuée par la diffusion d'un film injurieux pour l'islam - «fermement condamnée» par l'Église -, qui a provoqué une chaîne de violences contre des représentations américaines. Des réactions qui, elles aussi, ont été qualifiées d'inacceptables par le Vatican. Il n'en est pourtant rien.

    La préparation des discours du Pape pour un voyage international demande de longs mois. Il est donc rare qu'ils traitent d'une actualité aussi chaude. L'idée de ces visites pastorales est plutôt de soutenir les chrétiens dans leurs difficultés personnelles, sociales, politiques et religieuses. Au Moyen-Orient, les communautés catholiques se déchirent en querelles internes et souffrent de la diaspora de leurs élites. Mais ce sont là des problèmes mineurs face à la question cruciale de leur avenir, qui ne peut s'écrire sans l'islam.

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  • Un Patriarche fustige l'attitude de l'Occident à l'égard de la Syrie

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    2012-09-15 Radio Vatican

    1_0_621578.jpgDepuis le début de son voyage, Benoît XVI presse les chrétiens de ne pas fuir la région, berceau du christianisme, en dépit de toutes les difficultés. La présence chrétienne "n'est ni nouvelle, ni accidentelle mais historique" écrit le Pape dans son exhortation post-synodale signée vendredi. « Un Moyen-Orient sans ou avec peu de chrétiens n'est plus le Moyen-Orient » souligne-t-il. Il invite les dirigeants politiques et religieux à éviter une politique ou une stratégie communautariste qui tendrait vers un Moyen-Orient monochrome. Même si le Pape leur dit de ne pas avoir peur, les chrétiens sont inquiets de la poussée islamiste au Moyen-Orient. En Irak, ils étaient un million à l'époque de Saddam Hussein. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 450 000, en raison des violences qui ont ensanglanté leur pays et les ont visés directement. C’est le scénario que tous les chrétiens redoutent.

    Interrogé par Olivier Bonnel, Mgr Ignace Youssef Younan, patriarche syrien catholique d’Antioche, salue les encouragements du Pape mais il est pessimiste et accuse, en passant, les Occidentaux de ne pas comprendre la situation dans le monde arabe. Pour lui, ils sont soit naïfs, soit hypocrites :

    Ici: Un Patriarche fustige l'attitude de l'Occident à l'égard de la Syrie

  • Le pari audacieux de Benoît XVI

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    Sous le titre "Le roi Salomon et la découverte de la vraie croix", Sandro Magister analyse le message délivré par le pape au Liban :

    Au Liban, Benoît XVI a demandé pour tous le bénéfice de cette grammaire commune qu'est le droit naturel. Et il a indiqué aux chrétiens la croix comme signe de la victoire. Suivant l'exemple de Constantin, l'empereur qui assura la liberté de religion 

    ROME, le 16 septembre 2012 – À peine son avion avait-il atterri à l'aéroport de Beyrouth que Benoît XVI a demandé aux citoyens du Liban de faire preuve de la sagesse du roi Salomon. Afin de conserver cet "équilibre" essentiel entre les chrétiens et leurs frères appartenant à d’autres religions qui peut servir de "modèle pour les habitants de toute la région et pour le monde entier". Dans un pays qui porte les marques d’une guerre civile et qui a été plusieurs fois envahi par des armées étrangères, le pari était audacieux. Mais le pape Joseph Ratzinger n’a pas hésité à le faire, au cours des trois jours de sa visite. Dans le discours qu’il a adressé, au palais présidentiel de Baadba, le samedi 15 septembre, aux représentants de la république libanaise, aux membres du gouvernement, aux dirigeants religieux et aux représentants du monde de la culture, il a demandé à tous de se retrouver unis autour de ces "valeurs communes à toutes les grandes cultures, parce qu’enracinées dans la nature de l’être humain".Parmi ces valeurs, il a mis au premier plan la liberté religieuse. À partir d’une référence inattendue à Constantin, qui concéda, en 313 après J.-C., la liberté aux chrétiens dans l’empire, Benoît XVI a demandé à ce que, non seulement au Liban – seul pays de la région dans lequel la conversion des musulmans au christianisme soit socialement tolérée – mais dans tout le Moyen-Orient, on ait pleine liberté de pratiquer publiquement toute foi religieuse, "sans mettre sa vie en danger". En plus de cela, parmi les "bases" de cette "grammaire qu’est la loi naturelle inscrite dans le cœur de l’homme", le pape a particulièrement mis en valeur "le caractère sacré de la vie donnée par le Créateur". La défense de la vie, a-t-il dit, est la voie qui conduit à la véritable paix :"Aujourd’hui, les différences culturelles, sociales, religieuses, doivent aboutir à vivre un nouveau type de fraternité, où justement ce qui unit est le sens commun de la grandeur de toute personne et le don qu’elle est à elle-même, aux autres et à l’humanité. Là se trouve la voie de la paix ! Là est l’engagement qui nous est demandé ! Là est l’orientation qui doit présider aux choix politiques et économiques, à chaque niveau et à l’échelle planétaire !".

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  • Synthèse de l'exhortation synodale "Ecclesia in Medio Oriente"

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    SYNTHESE DE "ECCLESIA IN MEDIO ORIENTE"

    Cité du Vatican, 15 septembre 2012 (VIS). Voici la synthèse de l'exhortation apostolique post-synodale Ecclesia in Medio Oriente, rendue publique hier après-midi à Beyrouth (Liban). Il s'agit du document élaboré par Benoît XVI sur la base des 44 propositions finales du Synode spécial pour le Moyen Orient qui s’est déroulé au Vatican du 10 au 26 octobre 2010 (L’Eglise catholique au Moyen Orient. Communion et témoignage. La multitude de ceux qui étaient devenus croyants avait un seul cœur et une seule âme). Le texte est divisé en trois parties, plus une introduction et une conclusion.

     
    "INTRODUCTION
     
    L’exhortation invite l’Eglise catholique au Moyen Orient à revivifier la communion en son sein, en regardant aux “fidèles natifs” qui appartiennent aux Eglises orientales catholiques sui iuris et en s’ouvrant au dialogue avec les juifs et les musulmans. Il s’agit d’une communion, d’une unité à rejoindre dans la diversité des contextes géographiques, religieux, culturels et socio-politiques du Moyen Orient. En même temps, Benoît XVI renouvelle son appel à conserver le patrimoine religieux et les rites des Eglises orientales, trésors pour l’ensemble de l’Eglise du Christ.

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  • L' "Union" à Liège: Conférence et Messe de Rentrée

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    Rentrée le Samedi 6 octobre 2012

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     Plus d'informations, cliquez ci-dessous: 

    http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com 

  • Benoît XVI au Liban : une marée humaine pour la messe dominicale à Beyrouth

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    Sous la plume d’Emilie Sueur, le journal « L’Orient- Le Jour » commente :

    topelement.jpg« La visite de Benoît XVI se clôture aujourd’hui dimanche par une messe solennelle en plein air sur le front de mer, au City Center Waterfront de Beyrouth. Quelque 75.000 places assises ont été prévues, mais près de 300.000 personnes assistent également à la messe debout.
    La foule était d'ailleurs tellement dense ce matin que nombre de personnes ont préféré quitter le lieu de la cérémonie pour suivre la messe sur les trottoirs environnants.

    A partir de 7h du matin, et malgré la chaleur accablante, une marée humaine déferlait de la place Sassine, à Achrafieh, vers le centre-ville de Beyrouth, certains à pied d'autres dans des petits bus. De toutes les rues et ruelles débouchant au centre-ville, un flot ininterrompu de personnes, dont notamment de très nombreux jeunes, affluait vers le lieu de la cérémonie.
    Les participants brandissent tous des drapeaux du Liban ou du Vatican, mais aussi quelques drapeaux étrangers, et certains entonnent des chants.

    Dans la foule, beaucoup de jeunes, des familles, des personnes âgées mais aussi des employées de maison sont venus participer à la cérémonie. Ils portent tous des casquettes blanches, donnant ainsi l'impression d'une marée blanche devant le grand autel dressé pour l'occasion, avec comme toile de fond un immense panneau en forme de cèdre.

    Des bus immatriculés en Syrie, sur les vitres desquels on pouvait voir des photos de Benoît XVI, frayaient également leur passage vers le centre-ville.
    La foule était entourée d'un impressionnant dispositif de sécurité, des véhicules blindés et des camions avec des chiens renifleurs pour détecter la présence d'éventuels explosifs se dirigeant vers le centre-ville »

    Extraits de l’homélie du Saint-Père : 

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  • Et pour vous, qui suis-je ?

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    POUR VOUS, QUI SUIS-JE ? Homélie : http://www.carmel.asso.fr/Homelie-d-Avon-21e-Dimanche-T-O.html

    Admirable texte de l’évangile de ce jour qui nous montre la pédagogie de Jésus et nous fait entrer dans la révélation du mystère de sa personne et dans la contemplation du dessein de Dieu.

    Dans la région de Césarée de Philippe, Jésus va commencer à interroger les disciples d’une manière vague. Qu’est ce qui se raconte ? Quelles sont les rumeurs que l’on entend ? Ce n’est pas très engageant, très impliquant. On peut répondre assez facilement à la question. Aujourd’hui Jésus pourrait nous interroger : qu’est-ce qu’on dit de moi ? Nous pourrions répondre à partir de diverses publications : des magazines font régulièrement des articles sur Jésus à partir de telle découverte ou pseudo-découverte… Nous pourrions prendre des choses plus sérieuses comme le livre du cardinal Ratzinger-Benoît XVI, les écrits des saints du Carmel, etc. Il nous serait donc facile de donner des réponses à cette question très générale.

    Mais Jésus va aller plus loin : « Pour vous qui suis-je ? » Après une question qui n’engage pas beaucoup, Jésus se situe au niveau de la relation inter personnelle, c’est un “Je” qui interroge un “Tu”. Là, il n’y a plus moyen de se dérober ou d’emprunter des mots à d’autres. Jésus, en posant cette question, demande un engagement de tout notre être. Ce matin, à chacun et chacune d’entre nous, Jésus dit : Pour toi, dans ta situation concrète, aujourd’hui, tel que tu es, pour toi, en cet instant, qui suis-je ?

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  • Liban : le pape s’adresse aux jeunes

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    maree-humaine.jpgTemps fort de la visite papale au Liban, Benoît XVI rencontrait ce soir au patriarcat maronite situé au nord de Beyrouth, des jeunes venus de tout le Moyen-orient. Parmi la foule,se trouvent des délégations de chrétiens palestiniens, des chrétiens d'Egypte, de Chypre, de Jordanie, d'Irak et surtout de Syrie. Dans le « Figaro »,  Jean-Marie Guénois observe que le Pape ne devait pas parler de la Syrie au Liban, un sujet jugé trop politique. Il l'a fait pourtant devant les vingt milles jeunes réunis en son honneur à Bkerké: «J'ai appris également qu'il y a parmi nous des jeunes venus de Syrie. Je veux vous dire combien j'admire votre courage. Dites chez vous, à vos familles et à vos amis, que le Pape ne vous oublie pas. Dites que le Pape est triste à cause de vos souffrances et de vos deuils. Il n'oublie pas la Syrie dans ses prières et ses préoccupations. Il n'oublie pas les Moyen-orientaux qui souffrent. Il est temps que musulmans et chrétiens s'unissent pour mettre fin à la violence et aux guerres.» Voilà une phrase de Benoît XVI très remarquée qui restera sans doute comme le grand message de ce vingt-quatrième voyage du pape hors d'Italie. »

     Voici quelques extraits du message prononcé par Benoît XVI :

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  • Vatican II, les religions et la vérité, une question très actuelle

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    De Christine Pedotti  sur le site de “La Vie” aujourd’hui, ces quelques fleurs (artificielles?) au concile Vatican II:

    Parmi les textes débattus, celui qui portait sur la liberté religieuse fut l’un des plus disputés. Il ne visait pas à proprement parler la liberté de conscience, même si les deux notions sont liées, mais plus précisément les conditions de cohabitation des différentes traditions religieuses et philosophiques dans une même société, entre elles et avec l’État.

    L’une des difficultés tenait au fait qu’il fallait continuer à affirmer sans ambiguïté que le catholicisme est la voie d’accès sûre et fiable à la vérité révélée par Dieu pour le bien de l’humanité, et en même temps, admettre que ceux qui sont « objectivement » dans l’erreur ont le droit de croire et de célébrer librement.

    Les adversaires du texte se récrièrent principalement au nom des « droits de la Vérité ». Leur slogan était simple : nous ne pouvons pas donner des droits à l’erreur car seule la vérité a des droits. Les défenseurs du texte répliquèrent qu’il ne s’agissait pas de donner des droits à une idée mais à des personnes. Selon eux, la liberté religieuse trouvait son principal fondement dans la « dignité de la personne humaine » et non dans une logique de « tolérance de l’erreur ». La nuance était de taille. D’autant que le texte allait plus loin encore et fondait cette liberté en Dieu lui-même, décrit comme constant éducateur de la liberté humaine. Finalement le texte, bien que rencontrant jusqu’à son adoption finale de farouches résistances, fut voté, recueillant 2308 voix en sa faveur et seulement 70 votes d’opposition.

    Référence ici: Vatican II, les religions et la vérité, une question très actuelle

    Le bien et le mal, la vérité et l’erreur font l’objet de la loi révélée par Dieu. Si l’homme a été créé libre, l’application de cette loi dans la conduite de sa vie relève du discernement de sa conscience. Mais, en même temps, il a l’obligation d’éclairer celle-ci, en s’informant et en se laissant former à l’écoute de la parole de Dieu et du magistère de son Eglise. Pas de liberté sans responsabilité. En toute hypothèse, ses choix l’engagent aux yeux du Souverain Juge. S’il peut éventuellement être exonéré de sa faute ou de son erreur, l’homme n’a en revanche aucunement le droit de définir lui-même ce qui est moralement bien ou vrai.

    Où serait la contradiction entre la” dignité” que l’homme tient objectivement de sa création à l’image de Dieu (on n’a pas attendu Vatican II pour le savoir) et la simple “tolérance” morale des erreurs (il n’est pas Dieu)  dont le caractère invincible ôte l'imputabilité à son auteur? Objectivement, l'action erronée reste une erreur.