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Actualité - Page 1516

  • Comment interpréter les dernières nominations de Benoît XVI ?

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    C'est sur le site chiesa.espressonline de Sandro Magister :

    De Gänswein à Balestrero en passant par l'IOR. Une analyse des nominations décidées par Benoît XVI au cours de la phase finale de son pontificat. Elles n'étaient pas toutes obligatoires. Vont-elles constituer pour le futur pape un obstacle ou une aide? 

    Lire cette analyse sur le site de S. Magister

    Et pour Liège ? Toujours rien malgré les nombreuses nominations de ces dernières semaines. Ce sera sans doute pour le prochain pontificat...

  • Trois conférences à la cathédrale de Liège sur "Religion et violence"

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    L'association "Cultures, Cité et Église" vous convie cordialement à assister aux trois conférences consacrées au thème "Religion et violence" organisées à la cathédrale Saint-Paul à Liège

    Dans un monde violent, les religions sont souvent accusées d’être un facteur de violence, d’identités meurtrières. Les religions monothéistes plus souvent que les autres.

     

    Elles se veulent pourtant un facteur de justice et de paix. À quelles conditions les religions penchent plutôt du côté du renforcement de la violence ou de la paix ?

     

    Trois conférences sont proposées 

     

    ■           Dimanche 3 mars 2013 à 14h30

                  Religion, facteur de violence ou de paix ?

     

                  Un débat entre Pierre Somville, doyen honoraire de la Faculté de Philo et Lettres de l’ULg et Jean-Pierre Delvillle, professeur d’histoire du christianisme à la Faculté de théologie de l’UCL.

     

    ■           Dimanche 10 mars 2013 à 14h30

                  La violence et le Sacré

     

                 Le Sacré a-t-il partie liée avec la violence ? La justifie-t-il dans la pratique du sacrifice cultuel où la victime serait responsable de tous les maux ? Que nous apprennent les sources chrétiennes ?

     

                  La question a été abordée dans l’œuvre de René Girard, professeur à Stanford (USA). Elle sera reprise par Pierre Verjans, professeur d’histoire politique à l’ULg.

     

    ■           Dimanche 17 mars 2013 à 14h30

                  Le politico – religieux, source de violences ?

     

                  Le politico-religieux ou l' "Un sacral" met les religions en situation d'affronter les discordes avec pour effet de les pousser à recourir à la violence. Par sa « sortie de la religion » le christianisme occidental s’inscrit-il dans un nouveau rapport avec la violence ? Une attention particulière sera apportée aux religions séculières.

     

                  L’œuvre de Marcel Gauchet, professeur à l’EHESS, sera sollicitée. C’est Jean-Marie Lacrosse, professeur de sociologie à l’ULg, qui abordera ce questionnement.

     

    Invitation à tous !

    Entrée libre.

     

    Informations : Chanoine Lambert Wers - 04 220 53 73

  • Droits de l'homme : une mise au point énergique du cardinal Mamberti

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    Droits de l'homme : le Saint-Siège met les points sur les i
    Intervention de Mgr Mamberti à l'ONU - Anne Kurian

    (Zenit.org) - Dans une déclaration très ferme, Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Relations avec les Etats, rappelle que les droits de l'homme sont « antérieurs à leur reconnaissance par les Etats » car fondés sur « la nature et la dignité innée de la personne humaine ».

    L’archevêque, qui est intervenu ce 26 février 2013 dans le cadre de la 22e session du Conseil des droits de l'homme à Genève, préconise « une attention particulière au droit à la vie, à sa promotion et à l'approfondissement de notre compréhension de ce droit » reconnu, mettant en garde contre la tentation des débats actuels du CDH d’imposer de « nouveaux droits » (cf.Zenit du 11 décembre 2012).

    Encore beaucoup à faire

    La Conférence mondiale de Vienne sur les droits de l'homme en 1993 a proclamé « l'indivisibilité et l'universalité de tous les droits de l'homme », rappelle Mgr Mamberti, qui constate qu’« il reste beaucoup à faire pour que l'indivisibilité des droits de l'homme devienne une réalité », évoquant de « larges segments de la population mondiale » auxquels manquent l’accès aux médicaments nécessaires, l'éducation adéquate, l'eau potable, l’alimentation suffisante, le statut politique, la sécurité, ou encore la liberté d'expression et la liberté religieuse.

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  • Un nouveau pape pour Pâques ?

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    On annonce la tenue anticipée du conclave pour accélérer le remplacement de Benoît XVI à la tête de l’Eglise avant Pâques. On voudrait bien le croire, mais cela sera-t-il si facile ?

    Une fois le pape retiré à Castel Gandolfo, la partie qui va se jouer risque d’être infiniment plus longue et plus délicate que ne l’annonce un scénario qui pèche par trop d’optimisme. Personne ne semble disposer d’une autorité morale et spirituelle suffisante pour imposer le respect d’une discipline bien cadrée. La personnalité du cardinal camerlingue, le cardinal Bertone, est souvent contestée. Ses rapports avec le doyen du Sacré Collège, le cardinal Sodano, ne sont pas vraiment harmonieux. Entre les cardinaux, on est loin d'être toujours sur la même longueur d'ondes comme on a pu le constater lors du dernier synode. Et, parmi tous ces prélats rassemblés à Rome, il y en aura bien l’un ou l’autre qui succombera à la tentation de se présenter comme l'homme avisé ou comme l’homme de la situation… Et tout cela au milieu d’un environnement médiatique sans bienveillance qui, après avoir « couvert » le départ de Benoît XVI, s’empressera d’exploiter toutes les indiscrétions et d’amplifier toutes les rumeurs. Toutes les précautions prises par le pape dans les nouvelles dispositions concernant la tenue du conclave suffiront-elles à assurer la discrétion requise ? Et en cas de transgression, la validité des scrutins sera-t-elle assurée ?

    On nous rétorquera que nous cédons inutilement à des fantasmes pessimistes, mais les évènements des dernières années nous autorisent-ils à être béatement confiants ? Nous craignons effectivement que le retrait de Benoît XVI ouvre une période de transition difficile dans un trouble climat de confusion soigneusement attisé par les médias (1) et instigué par l’esprit de division. Il reste à implorer le Ciel. 

    (1) Ça "commence" : http://bourse.challenges.fr/news.hts?urlAction=news.hts&idnews=RTR130227_0091Q03W&numligne=5&date=130227&source=RTR

  • Et durant l'éclipse pontificale ?

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    Sur Zenit.org : Vacance du Siège apostolique: une période de prière intense (Anita Bourdin)

    Rien ne se substitue à l'autorité du pape pendant "l'intérim"

    La période de « Sede vacante », de la « vacance » du Siège apostolique commencera jeudi prochain, 28 février 2013, à 20 h, et s’achèvera avec l’acceptation de son élection par le pontife romain élu par le conclave avec les deux tiers des suffrages.

    Habituellement, cette période commence avec le décès d’un pape, mais pour la première fois à l’époque moderne, elle commencera avec la date fixée par Benoît XVI lui-même pour la fin de son pontificat, une renonciation à sa charge « faite librement » et « dûment manifestée», devant les cardinaux le 11 février dernier, selon les exigences du Droit canon (canon 332, § 2).

    Vacance du Siège apostolique

    Dès le premier jour de la « vacance », vendredi 1er mars, le cardinal doyen du collège cardinalice, le cardinal Angelo Sodano, convoquera à Rome les cardinaux du monde entier, certes par la poste, mais aussi par les moyens plus rapides, comme le fax, a précisé le porte-parole du Saint-Siège, le P. Federico Lombardi, lors d’une rencontre avec la presse ce mardi 26 février au Vatican. Le 2 et le 3 mars étant un samedi et un dimanche, la convocation pourrait bien être pour le lundi 4 mars.

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  • Un hors-série historique de l'Homme Nouveau

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    L'Homme Nouveau consacre un numéro spécial à la transition pontificale (cliquer sur l'image) :

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  • Non, Pie XII n'était pas muet

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    Dans son Message de Noël 1942, Pie XII évoque les "centaines de milliers de personnes, qui, sans aucune faute de leur part, et parfois pour le seul fait de leur nationalité ou de leur race, ont été vouées à la mort ou à une extermination progressive. »

    Il répète presque mot pour mot  ce qu'il a dit dans son message de Noël, le 2 juin 1943 devant le Sacré Collège: "Notre coeur répond avec une sollicitude toute prévenante et émue aux prières de ceux qui tournent vers Nous un regard d'anxieuse imploration, tourmentés comme ils le sont, à cause de leur nationalité ou de leur race, par des malheurs plus grands, par des douleurs plus pénétrantes et plus lourdes, et livrés, même sans faute de leur part, à des mesures d'extermination."

  • Trop conservatrice, La Vie ?

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    C'est en tout cas l'avis de Pierre Bergé qui a décidé d'y mettre bon ordre (source OJIM) :

    "Le Monde" : encadrer la liberté éditoriale de La Vie

    Selon la Lettre de l'Expansion, Pierre Bergé, le président du Conseil de Surveillance du Groupe "Le Monde" "s'est inquiété du traitement conservateur du Directeur de la rédaction de "La Vie" (qui appartient au groupe "Le Monde", ndlr), Jean-Pierre Denis" concernant le projet de loi du Mariage pour Tous. Une « préoccupation » paraît-il « partagée par la rédaction ». «Outre le recrutement d’un adjoint plus progressiste, le groupe veut mettre en place un dispositif pour mieux encadrer la ligne éditoriale», indique La Lettre de L’Expansion. Jérôme Anciberro, l’ancien rédacteur en chef de Témoignage chrétien, devrait devenir rédacteur en chef de La Vie.

  • Benoît XVI sera "pape émérite"

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    BENOIT XVI SERA PAPE EMERITE

    Cité du Vatican, 26 février 2013 (VIS). En début d'après-midi, le Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège a informé les journalistes que le Saint-Père sera Pape émérite, qu'il sera appelé Sa Sainteté Benoît XVI, qu'il conservera la soutane blanche sans mantelette.

    Pour l'ultime audience générale, on a déjà distribué 50.000 billets d'accès Place St.Pierre, même si l'affluence sera certainement majeure. Mis à part le parcours en papamobile, qui sera plus ample, l'audience se déroulera comme d'habitude. Les présentations individuelles finales seront remplacées par la réception qui se tiendra après l'audience au palais pour saluer les autorités présentes à Rome, tels le Président slovaque ou le Ministre Président de Bavière.

    Le 28, dernier jour du pontificat, le Pape saluera comme prévu tous les Cardinaux présents à Rome puis, à 16 h 55' dans la Cour St.Damase il recevra les honneurs d'un piquet de la Garde suisse et sera salué par le Secrétaire d'Etat et ses collaborateurs. Il sera ensuite salué par le Cardinal Doyen à l'héliport. A l'arrivée à Castelgandolfo, à 17 h 15', il sera salué par le Cardinal Président et le Secrétaire général du Governorat, l'Evêque d'Albano et de Directeur du domaine pontifical. Ensuite, il se présentera au balcon extérieur du palais pour saluer la foule. A 20 h débutera la vacance du siège apostolique et la Garde suisse se retirera car elle doit passer au service du Sacré Collège. La sécurité du Pape émérite sera assurée par la Gendarmerie vaticane.

    Le P.Lombardi a également précisé qu'il n'utiliserait plus l'anneau du pêcheur et la matrice des bulles à son nom.

    Le 1 mars, le Doyen adressera la lettre de convocation aux Cardinaux, de manière que les congrégations générales puissent en principe démarrer la semaine prochaine. Elles se tiendront dans la Salle du Synode, tandis que les Cardinaux électeurs devront résider à la maison Ste.Marthe voisine dès la veille de l'entrée en conclave. Les logements seront attribués par tirage au sort.

    Et si vous voulez savoir ce qui se passera durant la vacance du siège pontifical : http://www.news.va/fr/news/que-se-passe-t-il-durant-la-sede-vacante

  • Une fiche didactique sur la déclaration anticipée en fin de vie

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    L'Institut Européen de Bioéthique continue à faire de l'excellent travail :

    Nouvelle fiche didactique! Déclaration anticipée en fin de vie :  ICI

    La Déclaration anticipée en fin de vie, aussi appelée par certains, testament de vie,  est le document dans lequel la personne exprime par écrit son souhait d’être euthanasiée selon les conditions de la loi si elle n’était plus en mesure d’exprimer sa volonté du fait d’une situation de coma prolongé. Nous n’aborderons pas dans cette fiche didactique cet autre document que sont les directives anticipées relatives au refus de traitements, qui, elles, relèvent de la loi sur les droits du patient du 22 août 2002.

    QUE DIT LE DROIT ? - APPRÉCIATION CRITIQUE

    Expression d'un choix concernant une situation future incertaine - Difficultés d'interprétation et risque de conflits pour l’entourage et les soignants - Volonté du patient vs Serment d'Hippocrate - Extension à la démence : quelles limites ? - Principe d'autonomie : un leurre ?

  • Quand médisances, calomnies et médiocrité s'invitent à "C dans l'air" (corrigé)

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    Peut-être avez-vous regardé l’émission « C dans l’air » de lundi consacrée aux « Dossiers secrets du Vatican ». Une vraie caricature du genre avec des reportages constitués par de troubles images auxquelles on peut faire dire n’importe quoi et des allégations assénées et répétées inlassablement, aussi gratuites qu’invérifiables. Les personnalités invitées se sont surpassées : l’inévitable Terras déchaîné et véritablement hystérique, l’oracle obligé - Odon Vallet – débitant ses jugements approximatifs avec une condescendance ridicule, Isabelle de Gaulmyn avec très peu de consistance. Seul Jean-François Colosimo tranchait dans ce chorus par sa pondération et son souci d’objectivité.

    A regarder une telle émission, on peut se demander comment l’Eglise pourrait survivre à tant de malversations et de vices en tout genre dont le malheureux pape sortant illustrerait l’impuissance à remédier. On doit également en conclure à la débilité de tous ces catholiques, tels ceux qui se sont pressés place Saint-Pierre dimanche dernier, qui s’obstinent dans leur attachement à l’Eglise. Et tout cela à partir d’un mystérieux dossier remis au pape par les cardinaux chargés de l’enquête sur Vatileaks et que Benoît XVI a choisi de garder secret pour le remettre à son successeur. Les illustres augures rassemblés sur le plateau étaient-ils censés en connaître le contenu ? Dans la négative, tout cet échange basé sur des supputations fumeuses et malodorantes se révèle sans fondement et trahit la malveillance d’un certain monde médiatique d’autant plus agressif qu’on le sentait frustré de n’avoir pas accès au véritable contenu de documents gardés secrets, sans doute pour de bonnes raisons.

    Pourquoi ces vertueux faiseurs d’opinion feignent-ils l’étonnement et l’indignation lorsqu’ils semblent découvrir qu’il y a de l’hommerie dans l’Eglise ? Ne savons-nous pas, depuis la trahison de Judas et le reniement de Pierre, que, même dans l’entourage le plus proche du Christ, le mal est tapi. Doit-on en conclure pour autant que le Christ, à cause de tout cela, n’a pas pu accomplir sa mission ? Et, bien sûr, nous aspirons, nous aussi, à une conversion de l’Eglise, dans sa tête et dans ses membres, à commencer par celle de chacun d’entre nous, pour qu’elle puisse rendre témoignage, en toute transparence et cohérence, de Celui qui nous aime et qui nous sauve.

  • Le langage de Vatican II

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    Les actes de ce concile ne sont pas toujours marqués par la limpidité et la rigueur d’expression d’un bon texte juridique, si bien qu’ils dissimulent quelquefois des conclusions pratiques diamétralement opposées au principe d’abord énoncé. Pour s’en tenir à la constitution sur la liturgie par exemple, le « Forum Catholique » nous livre cette petite démonstration :

     « La langue liturgique

    « 1. L’usage de la langue latine, sauf droit particulier, sera conservé dans les rites latins

    La règle est l'usage de langue latine ; cette règle doit être conservée sauf cas particulier.

    «  2. Toutefois, soit dans la messe, soit dans l’administration des sacrements, soit dans les autres parties de la liturgie, l’emploi de la langue du pays peut être souvent très utile pour le peuple ; on pourra donc lui accorder une plus large place, surtout dans les lectures et les monitions, dans un certain nombre de prières et de chants, conformément aux normes qui sont établies sur cette matière dans les chapitres suivants, pour chaque cas.

    Ce qui est au 1 un cas particulier devient au 2 quelque chose de très souvent utile

     «  3. Ces normes étant observées, il revient à l’autorité ecclésiastique qui a compétence sur le territoire, mentionnée à l’article 22 (même, le cas échéant, après avoir délibéré avec les évêques des régions limitrophes de même langue), de statuer si on emploie la langue du pays et de quelle façon, en faisant agréer, c’est-à-dire ratifier, ses actes par le Siège apostolique.

    Comme c'est très souvent utile il est logique de l'étendre au maximum, c'est ce qu'ont fait les évêques.

    Le cas particulier du 1 devient la règle, la règle devient cas particulier ».

    réf.ici:  A ses risques et périls

    On pourrait recommencer la démonstration avec le chant grégorien dont la constitution affirme à l’article 116 qu’il doit occuper la « première place » dans les actions liturgiques, mais s’empresse d’ajouter  « toutes choses égales d’ailleurs », en précisant : les autres genres de musique sacrée, mais surtout la polyphonie, ne sont nullement exclus de la célébration des offices divins et, pour l’emploi de ces « autres genres », renvoie à l’article 30  lequel stipule que pour « promouvoir la participation active », on favorisera ainsi les acclamations du peuple, les réponses, le chant des psaumes, les antiennes, les cantiques et aussi les actions ou gestes et les attitudes corporelles…). Si les répons, les psaumes, les antiennes et les acclamations sont  concernés de la sorte, que reste-t-il encore au chant grégorien finalement ? Voilà pourquoi votre fille est muette, aurait conclu Molière...

    JPS