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Belgique - Page 324

  • « Forum chrétien de la vie sociale » le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

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    « Forum chrétien de la vie sociale »

    pour la première fois en Belgique 
    le 1er mai 2013 à Louvain-la-Neuve

    Ma foi, ça change tout...

    bracelet_news.jpgLe 1er mai 2013 prochain, la Communauté de l'Emmanuel organisera un « Forum chrétien de la vie sociale », à Louvain-la-Neuve. Cela fait plus de 20 ans que de tels forums sont organisés à Paray-le-Monial, en France, mais c'est la première fois que ce forum sera aussi organisé en Belgique.

    A l'occasion de l'année de la foi, que nous célébrons cette année, ainsi que du cinquantième anniversaire du Concile Vatican II, ce premier forum belge aura pour thème : « Ma foi, ça change tout... ». Nous vivons dans une société, ou une époque de l'histoire, qui se décrit souvent elle-même comme en transition, porteuse d'espoirs comme de désillusions. Un monde en perte de repères ou de sens, autant qu'en recherche de nouvelles voies d'avenir. Dans ce contexte, quelle est la place de la foi religieuse ? Doit-elle aussi être rangée au nombre des croyances et illusions déçues ? Ou, au contraire, dans un paysage où les idéologies s'éteignent, apparaît-elle plus que jamais comme une lumière toujours nouvelle, alors même que sa flamme semble parfois si fragile ?

    La foi, ça change la vie !

    Le « Forum du 1er mai » sera tout d'abord une occasion de redécouvrir comment la foi peut réellement être une lumière intérieure pour nos vies personnelles. L'avenir n'est pas fermé. Il ne nous condamne pas à nous replier sur nous-mêmes ou à fuir les angoisses du monde présent dans la surconsommation ou la recherche excessive de plaisir.

    La foi, ça change le travail !

    Mais il y a plus : si nous avons la chance d'être croyant, la foi peut aussi transformer notre regard sur le monde du travail et nous aider à ouvrir des perspectives renouvelées d'humanisation de ce lieu important de nos vies, même au coeur des difficultés que nous ne manquons pas de rencontrer.

    La foi, ça change la société !

    Mais n'y a-t-il pas encore plus ? La foi ne nous pousse-t-elle pas aussi à oser continuer à croire qu'un autre monde est possible ? Et que nous pouvons participer à sa construction. Mais comment faire ? Dans quelle direction aller ? Ici encore, la foi peut nous donner une lumière aussi précieuse que largement méconnue : celle de la doctrine sociale de l'Eglise.

    Mais que nous dit exactement la doctrine sociale chrétienne ? En quoi peut-elle être un guide pour notre temps ? Comment donc la foi peut-elle transformer nos vies personnelles, professionnelles et sociales ?

    Tel est le faisceau de questions que ce premier « Forum chrétien de la vie sociale » nous donnera l'occasion d'approfondir.

    Etes-vous, vous aussi, intéressés par ces réflexions ? Rendez-vous alors sur notre site pour en savoir plus et obtenir tous les renseignements utiles sur le Forum !

    D'ici le 1er mai, vous y découvrirez, notamment, une série de brèves vidéos qui seront publiées régulièrement et dans lesquelles plusieurs témoins, diversement engagés dans la vie, témoigneront de la façon dont la foi peut changer la vie, le travail ou la société.

    Dès maintenant, vous pouvez donc découvrir une première vidéo, en allant sur la partie "Blog" du site, ou en cliquant sur une des images suivantes :

     jacques_galloy.jpgsophia_kuby.JPG

     

     

     
     
  • Quand la franc-maçonnerie se dévoile un tout petit peu

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    Sur l’édition de lalibre.be de ce jour, on découvre, sous la plume de Christian Laporte, que la première Journée belge du livre maçonnique aura lieu ce dimanche 21 avril. 

    En France, le Salon maçonnique du livre de Paris a soufflé ses 10 bougies fin 2012 et des initiatives fleurissent partout dans l’Hexagone. Rien de tel par contre en Belgique. Le seul salon jamais mis sur pied eut Liège comme cadre mais fut sans doute ouvert surtout aux initiés. La lacune sera comblée ce dimanche 21 avril avec "Masonica" à Bruxelles. Et pas n’importe où ! Cela se passera autour des temples et du Musée de la franc-maçonnerie de la rue de Laeken, un haut-lieu du Grand Orient qu’y côtoient les principales obédiences belges au Musée.

    Pourquoi cette Journée maintenant ? Les maçons belges sont de longue date plus réticents à se montrer que ceux d’autres pays européens. Moins par volonté de garder secrètes leurs cogitations comme le pensent les obsédés des théories du complot que mus par un souci de discrétion consécutif aux traumatismes subis pendant la Seconde Guerre.

    Reste à voir ce que La Libre entend par se dévoiler « un tout petit peu ». Aura-t-on accès aux comptes-rendus liés aux travaux parlementaires conduisant à des réformes de sociétés liées à l’éthique, au début et à la fin de vie ? Au « mariage » entre personnes de même sexe, le tout dans une optique internationale ?

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  • Un projet de législation qui bouleverserait le système des fabriques d'église

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    Nous lisons sur le site du Diocèse de Liège :

    "Après avoir informé la presse de ses projets en vue de l’élaboration d’un nouveau décret concernant le temporel du culte, le ministre Furlan vient enfin de transmettre aux évêques wallons un projet de circulaire instituant une opération "pilote" et demandant leur réaction. (accessible en PDF)

    Au travers de cette opération, c’est un bouleversement complet du système jusqu’à présent mis en place pour les fabriques d’église ; ce qui est actuellement obligatoire deviendrait conventionnel et donc négociable.

    La nature même des fabriques d’église est mise en cause en ce que ces dispositions en font des établissements totalement dépendants du bon vouloir communal. Le caractère mixte de la matière de temporel du culte (civil et religieux) ne serait plus respecté, la tutelle de l’évêque serait considérablement réduite. L’autorité communale pourrait intervenir tant dans la gestion des biens des fabriques que dans l’utilisation des lieux de culte.

    Si certains points nous semblent acceptables, il n’en est pas moins important de bien comprendre vers où veut aller le Ministre afin de pouvoir réagir en toute connaissance de cause avec des arguments juridiquement forts."

    Lire la note de réaction du Service des Fabriques d'église

  • Banneux, 1er mai : les diocèses de Liège et de Hasselt consacrés à Marie

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    Renouvellement de la consécration des diocèses de Liège et de Hasselt à Marie

    Le mercredi 1er mai, ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux, les évêques de Liège et de Hasselt renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres

    Chaque année, le 1er mai marque l’ouverture officielle de la saison des pèlerinages à Banneux. Et pour cause : le mois de mai est celui de Marie et les pèlerins affluent en grand nombre. Cela n’empêche évidemment pas que le Sanctuaire de la Vierge des Pauvres reste accessible toute l’année, 365 jours sur 365. Car, la « belle dame » est là, chaque fois que nous nous rendons à la petite chapelle ou à la source.

    En 2013, le 1er mai est le jour où les évêques de Liège et de Hasselt nous donnent rendez-vous pour un moment intense et solennel : ensemble, ils renouvelleront la consécration de leurs diocèses à la Vierge des Pauvres.
    Au moment des apparitions, en 1933, le diocèse de Liège recouvre encore les provinces de Liège et de Hasselt. C’est d’ailleurs un Limbourgeois qui est le bon pasteur de ce troupeau où l’on parle les trois langues nationales, le flamand, le français et l’allemand. Après la reconnaissance officielle des huit apparitions, l’évêque a voulu consacrer son diocèse solennellement à Marie. Ce qui fut fait le 15 août 1953.

    Quel peut être le sens d’une telle consécration ?
    J’y vois d’abord l’expression d’une profonde gratitude : Marie a visité ce coin de terre à une époque d’énormes bouleversements politiques et sociaux. De grandes épreuves se dessinent –malheureusement– à l’horizon. Je viens soulager la souffrance promet-elle. Ceux qui se sont confiés à elle avec leur vie telle qu’elle est, ont pu faire l’expérience du secours maternel de Marie.


    La seconde guerre mondiale est passée par là et, après 1945, l’immense défi de la reconstruction et de la réconciliation a dû être relevé. Lorsque Mgr Kerkhofs décide de consacrer son diocèse à la Vierge des Pauvres, il sait que la dimension spirituelle ne peut pas être absente d’une telle aventure. Marie n’avait-elle pas affirmé que la source, réservée pour elle, était pour toutes les nations ?


    Après vingt ans, Banneux a fait ses preuves et l’évêque a bien compris que le ciel lui a fait un immense cadeau : il le reconnaît par cette consécration. Mais il souhaite surtout que toute l’Église qui est à Liège accueille joyeusement ce cadeau et trouve son secours auprès de Marie.


    Depuis le 31 mai 1967, le Limbourg est devenu un diocèse à part, réforme institutionnelle oblige, même à l’intérieur de l’Église de Belgique. Mais les habitants du Limbourg sont encore bien « chez eux » quand ils viennent à Banneux. C’est ainsi que les anciens mineurs de cette province ont gardé un merveilleux attachement à Notre-Dame : dans les heures tellement sombres de la fermeture de leurs mines, la Vierge des Pauvres a été un réel soutien pour eux. D’ailleurs quand le diocèse de Hasselt a fêté ses 40 ans d’existence, c’est à Banneux que l’évêque a donné rendez-vous à ses diocésains.


    Heureuse celle qui a cru ! est-il dit de Marie dans les évangiles. L’Année de la Foi voulue par le pape émérite Benoît XVI pour 2013 ne se prête-t-elle pas parfaitement à un renouvellement solennel de la consécration des deux diocèses à la Vierge des Pauvres ?

    Rendez-vous donc le 1er mai 2013 pour ce temps fort, tant pour les Limbourgeois que pour les Liégeois !


    Abbé Leo Palm, 
    Recteur du Sanctuaire de Banneux

    source : liege.diocese.be

  • Liège, 19 avril : action de grâce pour l'épiscopat de Mgr Jousten

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    Action de grâce pour l’épiscopat de Mgr Jousten

    Le vendredi 19 avril à 18h à la Cathédrale Saint-Paul

     

    "Étant bientôt arrivé à la fin de ma mission d’évêque diocésain, je souhaite rendre grâce au Seigneur avec vous pour tout ce qu’il m’a donné de vivre au milieu de vous. C’est pourquoi je vous invite à une célébration de l’eucharistie le vendredi 19 avril à 18 heures à la Cathédrale. Nous prierons aussi pour le futur évêque et pour notre diocèse."

     

    Les prêtres et les diacres apporteront aube et étole blanche.

  • Université de Liège, mercredi 24 avril 2013 : « les Dix Commandements et les Droits de l’Homme »

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    Prochaine rencontre du cycle de lunch-débats organisé à l’Université de Liège sur le thème "les droits de l'homme en péril" par le Groupe de réflexion sur l’éthique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques de Liège.   

         Mercredi 24 avril 2013 à 18h00 

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    à l'Université de Liège

    IMG_5391.JPGconférence 23 novembre 034.JPG 

    Place du XX août, 7, 1er étage (Salle des Professeurs)  

    Les Dix Commandements et les Droits de l’Homme

     

    Un entretien entre 

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    Mgr André-Joseph LEONARD

     archevêque de Malines-Bruxelles

    et M. Albert GUIGUI

    grand rabbin de Belgique 

    Les racines spirituelles communes aux juifs et aux chrétiens ne les invitent-elles pas à un témoignage commun pour relever les défis de notre temps ? Plus fondamentalement que toutes les déclarations des droits de l’homme, le Décalogue n’est-il pas le message éthique commun d'une valeur permanente pour Israël, pour l'Eglise, pour les non-croyants et pour toute l'humanité ? En quoi les « Dix Commandements » fondent-ils une juste vision de l’écologie de la nature dans toutes ses dimensions, en particulier celle de la famille humaine ? Le drame  bouleversant de la Shoah n’est-il pas, pour ainsi dire, l’archétype de tous les drames contemporains où l’humanité s’est engagée, depuis le XXe siècle plus que jamais, sur  la voie de la haine mortifère enracinée dans l'idolâtrie de l'homme, de la race ou de l'État, une haine qui commence lorsque l'homme  se place au centre de l'univers ?

     

     Le débat sera modéré par M. Paul VAUTE , chef d'édition de la Libre Belgique-Gazette de Liège 

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    La rencontre aura lieu à la Salle des Professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché). Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi d’un lunch-débat : de 18h15 à 20h30.

    Inscription obligatoire avant le 19 avril 2013, par téléphone : 04.344.10.89   ou e-mail info@ethiquesociale.org . P.A.F. : 10 €,  à régler sur place. L'accès à la salle (cent places disponibles) ne peut être garanti  aux personnes qui ne s'inscrivent pas au préalable 

    Plus d’informations ici :  http://www.ethiquesociale.org/

     

     

    Les droits de l’homme : enjeu et impasses

    3175451760.jpgLe 21 septembre 2000, une controverse (au sens de la disputatio médiévale) fut organisée, au théâtre Quirino à Rome le 21 septembre 2000, entre le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, et un professeur à l’Université romaine de la Sapienza, le philosophe libertaire Paolo Flores d’Arcais, pour explorer des voies de convergence possibles sur quelques principes absolus relatifs à toute société humaine digne de ce nom. Au moment décisif du dialogue, le modérateur – Gad Lerner, un juif, journaliste à la  Repubblica – s’est demandé si des principes aussi fondamentaux que ceux du Décalogue ne pourraient pas être retenus comme base éthique commune, même par des athées (qui y souscriraient seulement « velut si [comme si] Deus daretur »). Mais cette proposition fut aussitôt rejetée par le philosophe laïc. 

    Ce dernier nia que certaines règles morales ou de droit naturel  puissent constituer des postulats, ou des acquis irréversibles, pour l’humanité : le contrat social est toujours relatif, contingent, renégociable. Ainsi, certains revendiquent-ils maintenant à l’ONU l’insertion de nouveaux « droits » (à l’avortement, à l’euthanasie, au choix du « genre » etc.) dans une Déclaration universelle des droits de l’homme vieille de 50 ans à peine (1948) !

    Tout s’écoule, disait déjà le vieil Héraclite. Pareille impasse montre à quel point une définition véritablement universelle (selon la formule « ubique, semper et ab omnibus » de Vincent de Lérins, Ve s.) des droits et donc des devoirs humains sans Dieu semble aléatoire.

    JPS

     

     

  • Le pape François subjugué par le Cardinal Danneels ?

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    Le chroniqueur « religieux » de La Libre, Christian Laporte,  a, en tout cas,  trouvé son Hercule  pour le nettoyage de la Curie romaine et s'en réjouit dans l'éditorial du  quotidien autrefois catholique de Bruxelles

    "Cette fois, il n’y a plus de doute possible. Exactement un mois après son élection comme nouvel évêque de Rome, le pape François est sorti du bois. Il entend vraiment réformer l’Eglise, trop secouée, à ses yeux, depuis plusieurs années par des rivalités intestines et pichrocolines ainsi que par des scandales à répétition qui ont fini par miner la santé de son prédécesseur et ont sans doute précipité sa décision de se retirer !

    Par un bref mais très éclairant communiqué, le nouveau "patron" de l’Eglise catholique a fait savoir qu’il était bien décidé à mettre de l’ordre dans la Curie romaine qui, quoi qu’en disent certains prélats, ne succombait que trop aux tentations du pouvoir, elles-mêmes aux antipodes du message de l’Evangile.

    Pour ce faire, il s’appuiera sur un "conseil de la Couronne", à savoir un groupe de neuf prélats représentant tous les continents. Une idée qui vient tout droit des congrégations générales d’avant-conclave. Sans dévoiler le secret des débats, elle est même belge. C’est en effet un cheval de bataille récurrent du cardinal Danneels, qui plaide depuis longtemps pour pareille structure réunissant des conseillers éclairés autour du Pape.

    A en juger par la composition du groupe, la réforme de la Curie n’est plus du tout un vœu pieux. A l’évidence, en nommant à sa tête le cardinal hondurien, Oscar Maradiaga, par ailleurs "numero uno" de Caritas, et en optant pour des décideurs de la périphérie et non du centre romano-romain, François veut faire concorder le fonctionnement de l’Eglise avec ses propres intentions, à savoir une Eglise plus proche des pauvres et dont le maître-mot est la miséricorde.

    Voir ici  Edito: nettoyer la Curie

    Ainsi donc la bonne idée viendrait du cardinal Danneels : entourer le pape d’un « conseil de la couronne » pour réformer la « constitution » de l’Eglise.

    Soit dit en passant, en Belgique le « conseil de la couronne » (composé du gouvernement et des ministres d’Etat) est une institution tombée en désuétude : sauf erreur, elle s’est réunie pour la dernière fois  en 1960 aux fins d’entériner la décision d’octroyer l’indépendance au Congo, dans les conditions déplorables que l’on sait.

    Les Belges sont aussi les champions de la  révision constitutionnelle, avec une loi fondamentale en mutation tous les dix ans depuis plus de trente ans.  Les articles bis, ter, ou quater n’ont plus de secret pour leurs experts juridiques (et seulement pour eux).

    On a peine à croire que c’est là ce qui aurait pu convaincre les cardinaux d’accorder leurs voix à un Jorge Mario Bergoglio rallié à une proposition aussi "géniale" de l’archevêque émérite de Malines-Bruxelles.

    Les vrais problèmes de l’Eglise ne sont pas de structures mais de foi,  particulièrement en Europe, comme l’a déjà exposé clairement et à maintes reprises un autre émérite, pape celui-là : vous vous souvenez ? Il s’appelait Benoît XVI.

    Cessons de fantasmer sur la Curie romaine. Le gouvernement pontifical a sans doute besoin d’un chef affirmé et d’une meilleure coordination. Mais sûrement pas d’une révolution institutionnelle et encore moins sous le couvert abusif de la collégialité épiscopale ou de la souveraineté du peuple de Dieu(x)…

    JPS

  • Les Philippins ne seraient plus très catholiques

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    De Nathalia Trouiller sur le site web de “La Vie”:

    C'est l'enseignement-surprise d'un sondage effectué par le Social Weather Seasons, un institut indépendant philippin réputé pour son sérieux, rapporte Eglises d'Asie. "Dans cette enquête réalisée en février dernier, le SWS révèle en effet que les catholiques seraient les moins pratiquants parmi les croyants des différentes religions présentes aux Philippines. Une surprise dans un pays où l’Eglise considère pouvoir s’appuyer sur une très écrasante majorité de catholiques pratiquants, particulièrement dans le cadre de son combat contre la RH Bill (loi sur la santé reproductive).  Plus troublant encore, un catholique sur onze se poserait 'parfois' la question de quitter l’Eglise. L’institut a expliqué que cette investigation inhabituelle dans le domaine du sentiment religieux (et non pas du taux de pratique ou d'affiliation confessionnelle) lui a été suggérée par un billet publié par un prêtre jésuite, le P. Joël Tabora, sur son blog, très suivi par la communauté philippine catholique.  Dans un article publié le 7 février dernier, le prêtre s’exprimait sur 'les difficultés de l’Eglise' face aux fidèles qui désertent les églises. Le post avait été abondamment commenté, aussi bien par les croyants que les non-croyants, mais surtout par un très grand nombre de catholiques philippins qui affirmaient se retrouver dans ' les propos courageux et clairvoyants' du prêtre, le félicitant de briser un tabou et de révéler enfin la vraie nature de l’Eglise philippine d’aujourd’hui".

    Ici: Les Philippins ne seraient plus très catholiques

    Ce sentiment est partagé par un prêtre de la Communauté de Frères de Saint-Jean, qui a  aujourd’hui rejoint le Prieuré « Regina Pacis » de Banneux (Belgique ) après un long apostolat aux Philippines : nous l’avions interrogé voici quelques semaines déjà à ce sujet. Il est grand temps que toute l’Eglise se ressaisisse et ne renoue pas avec les vieilles querelles « conciliaires » que Benoît XVI a tenté d’apaiser par son « herméneutique de continuité ». …

  • Herve (Battice), 15 avril : conférence sur la Résurrection par Mgr Léonard

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    Mgr Léonard fait une conférence à Herve  15 avril 2013  
    André-Mutien Léonard: « La résurrection du Christ et la nôtre : mythe ou réalité ? ». Homme d’Eglise controversé, souvent mis à mal dans les médias, Monseigneur Léonard est un théologien et un croyant de haut vol. Avec simplicité et beaucoup de conviction, il nous proposera une réflexion autour du « mystère » de la résurrection du Christ et de « l’au-delà » de notre vie et de notre mort. Autant s’y intéresser quand on est vivant…

     

    Date(s), horaire(s) et lieu(x)
      Le 15/04/2013 à 20:00 
    Où ?: Cercle Saint-Vincent, rue du Centre 30 à 4651 Battice
    Personne de contact Abbé Alain Schlim
    Téléphone de contact 0477/34.54.31.
  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (13/4/2013) : avortement, Alzheimer, césariennes

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    Sommaire (cliquer sur les intitulés pour accéder aux articles)

  • Georges-Henri Dumont est mort

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    Belgicatho salue un grand historien belge qui vient de disparaître, un homme qui s'est appliqué à l'étude du passé d'un pays auquel nous restons attachés malgré son état actuel de déchéance extrême... L'oeuvre de G.H. Dumont constitue une référence incontournable pour celui qui veut comprendre notre passé.

    Membre belge littéraire élu à l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique le 13 février 1988 (Prédécesseur : Carlo Bronne)

    BIOGRAPHIE (sur le site de l'ARLLFB)


    Georges-Henri Dumont naît à Zottegem le 14 septembre 1920. Il entame sa scolarité au Collège Sainte-Barbe, à Gand, et la poursuit au Collège Saint-Michel à Bruxelles, où sa famille s'est installée. Il entame des études supérieures aux Facultés Saint-Louis puis à l'Université de Louvain, où il a notamment pour professeur Léon van der Essen et pour compagnon Paul Warzée. En 1942, il est licencié en philosophie et lettres et en histoire. Il compte à son actif un ouvrage paru l'année précédente, un recueil de poèmes, La Voie rédemptrice, qui frappe par la violence de son expression. Ce sera sa seule incursion dans ce domaine, quoiqu'il ne dédaigne pas le lyrisme, auquel il consacre un essai d'une centaine de pages en 1943, À corps perdu, publié simultanément à Bruxelles et à Paris, qui s'attache à la poésie de l'entre-deux-guerres.

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  • Belgique : l’un des deux exorcistes du diocèse de Namur se confie au journal « Vers l’Avenir »

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    PID_$340603$_2ad16dce-9d5a-11e2-983f-44b1b35e8f45_web_jpg_h170.jpgIl existe deux prêtres exorcistes dans le diocèse de Namur. L’un d’eux est chez les frères de saint Jean à Libramont. Le journal « Vers l’Avenir » l’a interviewé .

    Le père Jean-Marie, 57 ans, est l’aîné des frères de saint Jean, une communauté du prieuré Notre-Dame de la Paix installée à Libramont depuis 21 ans. Il est aussi un des deux exorcistes du diocèse de Namur. Pour être précis, le père Jean-Marie est l’adjoint du père Daniel-Marie Ramiro-Gonzales, l’exorciste de Namur. Ils succèdent à ce poste à l’abbé Paul Léonard (le frère de l’actuel primat de Belgique, Mgr André Joseph Léonard)

    Lors de son élection, le pape François a parlé ouvertement de ce que la notion du mal, selon lui, était quasi volontairement niée dans notre société occidentale. Il a exhorté les baptisés à se montrer vigilants.

    Et justement, le père Jean-Marie l’est, lui, vigilant. Il parle de la lutte contre le mal ou le Malin.

    Père Jean-Marie, comment devient-on exorciste ? On le choisit ou est-on désigné pour ce ministère ?

    Un évêque ne peut pas contraindre un prêtre. C’est un ministère qui s’exerce en correspondance avec ce qu’on ressent, en fonction des circonstances qui font la vie d’un prêtre. Moi par exemple, j’ai vécu dans des communautés en Afrique et dans le Sud de la France. C’est à travers cette mission que j’ai senti que même chez des gens qui venaient de recevoir le baptême, quelque chose les empêchait d’être pleinement libérés. Un peu comme s’il demeurait des liens dans la périphérie de leur âme.

    Comment cela ?

    Ce n’est pas facile à expliquer, c’est comme une résistance qui demeurerait après avoir reçu le sacrement de pardon (la confession). Comme si les actes du passé, ce qui est lié à la mémoire, les instincts, le corps empêchaient la personne d’être pleinement libre. Comme j’avais vécu cela, j’ai accepté d’en connaître davantage ; j’ai travaillé avec l’abbé Paul Léonard [le frère de Mgr André-Joseph Léonard ndB]. Je suis arrivé à ce ministère d’exorciste un peu par hasard. C’est l’évêque Remi Vancottem qui a officialisé mon ministère.

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