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Belgique - Page 46

  • Bruxelles ("aux Minimes"), 26 novembre : Journée pour la Vie

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    La Paroisse des Saints Jean et Étienne « aux Minimes » vous invite le samedi 26 novembre à une « Journée pour la Vie » :

  • La mort d'une figure emblématique de la Flandre post-catholique

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    De Philippe Keulemans sur Het Nieuwsblad via kerknet.be, cette apologie d'une figure de la communauté LGBT qui était persuadé que le Christ lui-même était gay... :

    La foi a guidé la vie de Will Ferdy

    8 novembre 2022

    Will Ferdy a été le premier Flamand connu à faire son coming-out en 1970 ; il a également déclaré être sincèrement religieux.

    Le chanteur flamand Will Ferdy est décédé ce matin à l'âge de 95 ans. Il est né Werner Ferdinande à Gand le 9 mars 1927, mais ses amis l'appelaient Will. Il déménage ensuite de Gand à Anvers et troque sa carrière de cabarettiste pour celle de chanteur.

    Sa carrière s'est étendue sur plus de 66 ans et a produit une œuvre de plus de 500 chansons, souvent très engagées, sur disque. Malgré de nombreux prix et distinctions, il était rarement diffusé à la radio ces dernières années. En 1970, il est le premier Flamand connu à déclarer ouvertement son homosexualité, d'abord à la radio, puis dans l'émission Inspraak. À contrecœur, il est devenu une figure de proue de la communauté gay. Elle lui a aussi appris ce qu'est une vraie amitié et un vrai amour. Il a par la suite témoigné qu'il a payé un lourd tribut à sa sincérité et à sa vulnérabilité et qu'on lui a souvent barré la route ou qu'on ne lui a même pas demandé son avis. Mais en même temps, il a témoigné qu'il n'a pas regretté une seule seconde sa sortie. 

    Fidèle

    À sa mort, plusieurs de ses amis proches ont témoigné qu'il était toujours resté très religieux malgré toutes ses épreuves. Lorsqu'il tombait malade, il leur demandait également d'allumer une bougie pour lui. Dans l'une de ses dernières interviews avec Het Nieuwsblad, il a déclaré qu'il avait subi de nombreuses cicatrices dans sa vie, mais qu'il les avait également toutes oubliées. Dans ma vie, il y a un fil conducteur : l'amour et le respect. Aimez quelqu'un de tout votre cœur et de toute votre âme, mais n'exigez jamais d'un autre ce qu'il ne peut vous donner, disait-il à l'époque. Il a également témoigné de sa foi inébranlable : L'Église n'a rien à voir avec cela. Je crois, mais je ne connais pas Dieu. Je crois en quelque chose, mais pas en un homme avec une longue barbe. Le Christ est pour moi un ami, un grand exemple. Je prie beaucoup. Chaque soir, pour tous mes amis. Si je prie pour quelque chose, je l'obtiens. Je sais que cela peut paraître terriblement risible et naïf, mais c'est vrai. (...) Ma foi m'a toujours sauvé. Partout. Même après ma sortie en 1970, quand je suis tombé en dépression. Le médecin avait prescrit des médicaments. Je ne les ai pas pris. Je m'en suis sorti moi-même. Mes prières étaient suffisantes.

    Reposez-vous

    Lorsqu'on lui a demandé s'il y avait une vie après la mort, il n'a pas pu répondre. S'il ne reste rien, c'est la plus grande paix que vous puissiez avoir. La mort ne me fait pas peur. Seulement le chemin. Donner et montrer de l'amour, c'est ça la vie. Les gens qui s'aiment vraiment sont la plus belle chose qui soit. Je suis heureux d'avoir vécu cette expérience.

    Source : Het Nieuwsblad

    Lisez l'interview complète de Will Ferdy dans le Het Nieuwsblad.

  • Bruxelles (Stockel), 12 novembre : Grande Veillée des Familles avec Jubilate

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    La famille d'Hébrail vient à Stockel le samedi 12 novembre prochain à 18h pour un grand concert et une veillée de prière. 
     
     
    Grande soirée tout public, concert, adoration, confession.

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  • Liège : reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

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    Reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

    172 adultes dont plus de 100 enfants ont participé à cette 14è édition d’Holywins. La plupart des enfants étaient déguisés en leur saint favori. On dénombrait également beaucoup d’anges. La bonne météo a participé au succès de cette belle journée autour de saint François d’Assise.

    L’après-midi s’est déroulée en trois parties. D’abord un grand jeu à la découverte de saintes et saints de la famille franciscaine autour de saint François d’Assise et de sainte Claire, au cours d’une balade dans le magnifique parc de la Chartreuse, voisin du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon à Liège. Les petites pièces de théâtre étaient jouées par des ados qui ont raconté les vies des saints du jour : saint Antoine de Padoue, sainte Claire et sainte Agnès, saint Maximilien Kolbe, sainte Maria Goretti, saint Padre Pio, sainte Elisabeth du Portugal et puis évidemment Saint François d’Assise. Ensuite, tout le monde s’est réuni dans l’église sainte Julienne pour un temps de rencontre de saint François, quelques joyeux chants de louange et un bref mais intense moment d’adoration. Enfin, un délicieux goûter a ponctué cette belle journée.

    « Ce qui m’émerveille à chaque fois, c’est l’émerveillement des enfants. Les parents étaient très heureux de ce qu’ils apprenaient et aussi de se balader dans ce magnifique parc de la Chartreuse », a dit Jean-Pierre Pire, le curé-doyen qui a participé à l’après-midi.

    « Nous sommes venus fêter les saints avec tous nos amis chrétiens, du ciel et de la terre. C’était l’occasion de super rencontres. Et puis quelle joie de voir que nos jeunes ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans les jeux et les animations », se réjouit Marianne.

    « Nous sommes contents car cette fête est une belle alternative. La Toussaint est la fête de la lumière, de la joie et de l’Amour de Dieu », dit Renzo.

    Plutôt la bonne soupe au potiron de grand-mère que les pommes pourries de la sorcière. Holywins est à la lumière ce qu’Halloween est à l’ombre. D’ailleurs, les fêtes Holywins se multiplient un peu partout dans le monde et en Belgique. Tant mieux. En avant les enfants de la lumière !

    Holywins est une initiative de membres et d’amis de la Communauté de l’Emmanuel et du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon.

    Si vous ne l’avez pas encore vu, voici le Reportage vidéo du média 1RCF Belgique :

    L’album photos :

    Cliquez sur l’image ou sur ce lien :

    unnamed.jpgLe podcast RCF dans lequel Jean explique le sens de Holywins :

    Retrouvez et partagez la joie d’Holywins sur les réseaux sociaux :

    Site : https://www.saintejulienne.org/?page_id=1646
    Page Facebook : 
    https://www.facebook.com/HolyWinsBelgique
    Page Youtube : 
    HolyWins
    Compte Instagram: 
    Holywins_belgium

  • 10-22 novembre : festival d'adoration eucharistique Venite Adoremus

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    Du site du festival :

    Logo

    Festival d’Adoration Eucharistique

    Quoi ?

    Le Festival « Venite Adoremus », c’est 11 jours et 11 nuits d’adoration continue, de lieu en lieu. Les participants sont aussi bien des paroisses que des communautés religieuses et même des maisons de repos. Chaque lieu s’inscrivant idéalement pour toute une journée ou toute une nuit.

    Pourquoi ?

    Jésus a dit : « Je suis venu apporter un feu sur la terre et combien je voudrais qu’il soit déjà allumé ! » Une paroisse ou une communauté qui réserve un temps privilégié au Christ durant l’année trouve un nouveau dynamisme !

    Comment ?

    L’adoration est le prolongement de la célébration eucharistique. C’est pourquoi la messe tient une place privilégiée dans l’horaire. Chaque lieu organise le temps d’adoration suivant sa spécificité (chants, silence, méditation, chapelet, …) De nombreuses paroisses invitent les enfants à un temps de prière animé spécialement pour eux. Dans les lieux qui s’y prêtent, les passants sont invités à entrer pour un moment.

    Quand ?

    Les dix jours aboutissant à la fête du Christ Roi (en novembre, dimanche qui clôture l’année liturgique)

    Où ?

    Le Festival a commencé dans trois paroisses en 2007. Il s’est étendu ensuite dans Bruxelles puis dans tout le diocèse Malines-Bruxelles. Depuis 2014, d’autres diocèses se sont adjoints. En 2016, tous les diocèses belges sont représentés.

    Et toi ?

    Tu es invité à soutenir ta paroisse en réservant du temps à l’adoration et en invitant tes amis. C’est aussi l’occasion de découvrir des paroisses ou communautés près de chez toi ou de ton lieu de travail.

    Voir le site du Festval : https://veniteadoremus.be/

    Programme : https://veniteadoremus.be/programme/

    L'église du Saint-Sacrement à Liège présente une proposition de lectionnaire biblique pour accompagner l'adoration eucharistique.

    A l'heure où la Confrérie du Saint-Sacrement va être relevée à Liège, voilà une petite pierre à l'édifice...

  • RDC : Avec « L’Empire du silence », deux soirées pour dénoncer l’impunité autour du martyre du peuple congolais

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    Lu dans la « Libre Afrique » :

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    « Le dernier film du cinéaste belge Thierry Michel est au cœur de deux soirées spéciales : l’une ce mercredi à 20h25 sur La Une RTBF et l’autre, le 14 novembre à Bozar (Bruxelles).

    Ni repos, ni répit. Depuis près de 25 ans, des hordes de belligérants s’abattent par vagues successives sur le territoire congolais. Dans l’Est de la RDC particulièrement, la population est soumise à une insécurité permanente. Ce martyre silencieux est au cœur du dernier film de Thierry Michel.

    En trente ans de voyage au Congo, le cinéaste a accumulé une somme de témoignages, d’images d’archives et d’analyses sur le pays-continent dont le destin fut longtemps lié à la Belgique. Dans L’Empire du silence, le réalisateur belge dénonce le chaos en cours au Congo et l’insoutenable impunité de ses auteurs. Depuis plus de vingt ans, les effets dévastateurs de la guerre s’y sont étendus sans que jamais ses instigateurs nationaux et internationaux ne soient inquiétés. C’est contre cette impunité que s’érige le film relayant notamment la voix du prix Nobel de la paix congolais, le Dr Denis Mukwege.

    Le Congo face à l’appétit du Rwanda et de l’Ouganda

    La première vertu de L’Empire du silence*** est sa formidable clarté. Même un public néophyte, qui ne connaîtrait rien des méandres de l’histoire congolaise, y retrouvera son chemin. De 1990 à nos jours, le cinéaste retrace le tragique destin d’une population soumise aux exactions sans fin des innombrables factions rebelles et troupes en présence depuis plus de vingt ans sur son territoire. Singulièrement depuis 1994 et le déclenchement du génocide des Tutsis dans le Rwanda voisin, entraînant l’exode de centaines de milliers de Hutus rwandais sur les terres congolaises.

    Le cinéaste croise les témoignages d’officiels de nationalités multiples ayant œuvré au sein des Nations Unies et du Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR), mais aussi de civils et témoins (journalistes et responsables de la Croix Rouge congolais) pris en étau dans les territoires de l’Est du Congo convoités pour leur incroyable richesse géologique. Il met ainsi en lumière les mécanismes prédateurs qui maintiennent la population dans la terreur et ont permis à d’anciens chefs de guerre de se frayer un chemin jusqu’aux postes les plus élevés de l’armée régulière congolaise. Car si les troupes étrangères, principalement rwandaises et ougandaises, sont responsables d’attaques, pillages et actes de barbarie par milliers sur le territoire de la RDC, les troupes gouvernementales et groupes armés congolais ont également commis d’innombrables crimes de guerre en Ituri, dans le Kivu et au Kasaï.

    Le film cite souvent le rapport Mapping, réalisé en 2010, documentant plus de 600 violations, les plus graves, des droits de l’Homme et du droit international commises en RDC entre mars 1993 et juin 2003. Un rapport qui, à ce jour, est toujours « resté enfoui dans un tiroir » de l’Onu.

    Parcours de cinéma, de Charleroi à Kinshasa

    Thierry Michel connaît bien le pays pour l’avoir arpenté en long et en large depuis Le Cycle du serpent (1992) en passant par Mobutu Roi du Zaïre (1999) jusqu’à son avant-dernier film sur le Docteur Denis Mukwege rebaptisé L’homme qui répare les femmes (2015). C’est dans le sillage du combat du célèbre médecin et prix Nobel de la paix 2018 que s’inscrit L’Empire du Silence***.

    Ce onzième film, réalisé au Congo par Thierry Michel, prend la forme d’un plaidoyer en faveur de la justice transitionnelle afin que soient jugés les responsables de crimes de guerre et reconnu le droit des victimes. Il pointe le silence international, l’inaction des autorités congolaises et la complicité de nombreuses compagnies étrangères exploitant les précieux minerais congolais. Après sa présentation dans divers festivals et au cours d’une tournée au Congo organisée fin août – début septembre à Kinshasa, Bukavu, Goma et Kisangani, le film sera visible ce mercredi à 20h25 sur La Une. Sa diffusion sera suivie d’un débat à 22h15. Dans la foulée (23h25), on pourra également revoir un autre film de Thierry Michel, Enfants du hasard, tourné dans sa région natale.

    Cette soirée préfigure la participation du cinéaste aux Grandes conférences catholiques le 14 novembre à Bozar. Soirée au cours de laquelle sera retracé son parcours, de Charleroi à Kinshasa, en passant par le Brésil et l’Iran.

    Karin Tshidimba »

    Ref. RDC : Avec « L’Empire du silence », deux soirées pour dénoncer l’impunité autour du martyre du peuple congolais

    ...Dans une éternelle série na balokuta, de poker menteurs : nationale, transfrontalière et internationale, entretenant  un imbroglio dont on n’aperçoit hélàs pas la fin (JPSC).

  • Koekelberg : une pétition demande le maintien du Père Marc Leroy

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    Une nouvelle pétition contre une décision de Mgr Kockerols à Bruxelles mobilise des centaines de fidèles :

    "Un curé qui rassemble, un curé qui se bat contre les injustices, un curé qui parle aux jeunes.

    Pourquoi nous en priver ?

    Pourquoi ne nous a-t-on pas demandé notre avis ? Pourquoi ne nous a-t-on pas consulté alors même que l'Eglise nous invite, en plein chemin synodal, à davantage de coresponsabilité dans les paroisses... ?

    Pourquoi une telle décision de nous retirer celui grâce à qui notre Unité pastorale est ce qu'elle est ? Une UP vivante, joyeuse, pleine de projets... Une UP qui rassemble les uns et les autres au-delà des différences. Un pôle spirituel au coeur de la Ville.

    Nous souhaitons que le Père Marc reste notre berger !"

  • Enquête sur les funérailles : 53% à l’église. 56% d’inhumations et 44% d’incinérations

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    Communiqué de presse

    Enquête sur la réalité des funérailles : 53% à l’église. 56% d’inhumations et 44% d’incinérations.

    2 novembre 2022.

    Egliseinfo.be, le GPS de plus de 2.500 clochers en Belgique francophone, dévoile les résultats de son enquête sur la réalité de la pratique des funérailles en Belgique francophone. Combien choisissent une cérémonie religieuse ? Y-a-t’il plus d’inhumations que d’incinérations ? Cela varie-t’il d’une province à l’autre ?

    « Notre site est la référence des heures de messe et reçoit également beaucoup de visites liées aux funérailles, des recherches d’adresses d’églises et de cimetières. De même pour des prières pour les défunts. Avec l’équipe, nous avons voulu objectiver la réalité des funérailles en Belgique francophone. », dit Jacques Galloy, initiateur de la plateforme egliseinfo.be.

    Le 2 novembre est le jour de la commémoration des défunts. Les cimetières fleurissent et s’illuminent. Des millions de belges visitent les tombes de leurs proches. En 2021, 112.291 habitants sont décédés en Belgique (toutes causes de décès confondues) selon Statbel, l'office belge de statistique, soit environ 55.000 Belges francophones.

    La moyenne d’âge des 540 avis de décès analysés est de 78 ans. L’échantillon a été extrait du 15 au 31 octobre 2022, sur les sites enaos.be, inmemoriam.be, defunt.be et lesfunerailles.be. Il représente proportionnellement les provinces du Brabant Wallon, Hainaut, Liège, Luxembourg, Namur et la région de Bruxelles capitale.

    53% des funérailles ont lieu sous la forme d’une cérémonie religieuse dans une église. C’est même 70% dans les provinces de Luxembourg et de Namur et 44% dans le Brabant-Wallon, à Bruxelles et à Liège. Le Hainaut, la province la plus peuplée avec ses 1 351 127 habitants au 1 janvier 2022 selon statbel, affiche 59% de cérémonies religieuses à l’église. Pour être complet, il faudrait aussi tenir compte des liturgies religieuses dans les crématoriums mais cette information n’apparaît pas toujours clairement sur les avis.

    Parmi ces célébrations religieuses dans une église, 72% optent pour une inhumation, contre 28% d’incinérations. Au contraire, en absence de liturgie, 69% choisissent une incinération tandis que 31% préfèrent un enterrement dans un cercueil. En moyenne, sur l’ensemble des obsèques de l’échantillon, 56% sont des inhumations contre 44% d’incinérations, en croissance. C’est dans la province de Liège que le taux d’incinération est le plus élevé : 53%, et dans les provinces de Luxembourg et de Namur qu’il est le plus faible : 34%. A Liège-ville, le crématorium situé sur le site de l’ancien abbaye devenu cimetière de Robermont affiche de plus en plus souvent complet. Dès lors, davantage d’incinérations ont lieu au sud des Pays-Bas dans le crématorium d’Eijsden où il y aura bientôt un espace aménagé pour le recueillement des proches.

    Par ailleurs, en ces temps troublés, les cimetières militaires des malheureuses grandes guerres sont plus fréquentés que d’habitude. Les arbres se parent de leurs couleurs d’automne. Les feuilles tombent. L’hiver approche et, nous le savons, il sera suivi du printemps.

    Notice technique : Enquête sur les funérailles en Belgique francophone par egliseinfo.be, le GPS des clochers. Echantillon de 540 faire-parts de décès du 15 au 31 octobre 2022, sur les sites enaos.be, inmemoriam.be, defunt.be et lesfunerailles.be.

    Marge d’erreur 4%. Statbel : https://statbel.fgov.be/fr/themes/population/mortalite-et-esperance-de-vie/mortalite-generale#

    Contacts : Gabriel Crutzen, webmaster, +32 470 03 21 74, support@egliseinfo.be
    Jacques Galloy, initiateur, +32 (4) 374 23 74, +32 (497) 44 67 36 info@egliseinfo.be
    Gaudeto sprl - Chemin du Frise 46, 4671 Saive

    A propos d’Egliseinfo.be : Egliseinfo.be est une start-up catholique belge qui géolocalise gratuitement les clochers et les horaires des célébrations. Lancée à Pâques 2014, elle regroupe 2.500, soit 95%, des clochers et paroisses de Belgique francophone. Ce projet collaboratif est porté par des chrétiens laïcs en partenariat avec des diocèses belges francophones et CathoBel.

    www.egliseinfo.be - https://www.facebook.com/egliseinfo.be - https://www.instagram.com/egliseinfo.be

  • François a donné un anneau cardinalice à Mgr Van Looy

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    De Vida Nueva (Mateo Gonzales Alonso): 

    François a donné un anneau de cardinal à l'évêque belge qui a renoncé à la barette cardinalice

    Pour le porte-parole du Saint-Siège, cela "ressemble plus à un geste personnel du pape qu'à un événement d'importance ecclésiastique".

    Les 8 et 9 octobre, le salésien Luc Van Looy, évêque émérite de Gand (Belgique), a participé aux différentes manifestations organisées à Rome pour la canonisation d'Artémides Zatti, salésien d'origine italienne qui a passé sa vie religieuse en Argentine à s'occuper de nombreux malades. Mgr Van Looy avait fait la une des journaux quelques mois auparavant lorsqu'il avait renoncé à son cardinalat à la suite de l'annonce du pape François, le 29 mai, pour sa gestion des cas d'abus passés à la tête du diocèse belge.

    Un geste personnel

    Cependant, une image a été portée à l'attention du journal catholique néerlandais Nederlands Dagblad, à savoir la manière dont le souverain pontife a embrassé l'anneau de l'évêque émérite. Une chose qui était visible par tous, puisqu'il s'agit de l'une des principales photos que le Vatican conserve sur son site web. Mgr Van Looy a salué François en public après l'audience avec la famille salésienne le 8 octobre et après la messe de canonisation le jour suivant sur la place Saint-Pierre. Le baiser de vénération papale a donné une notoriété à ce qui semblait jusqu'alors être un geste discret et personnel du pontife.

    Selon les médias flamands, Mgr Van Looy a reçu du pape une bague en cadeau, semblable à celle que les autres cardinaux ont reçue lors du consistoire du 27 août, bien que le prélat n'ait pas participé à la célébration ni aux journées d'étude du nouveau document sur la Curie romaine. Bien que sa renonciation ait été rendue publique le 16 juin, la presse rapporte maintenant que l'anneau a été remis par le cardinal sud-coréen Lazarus You Heung, préfet du dicastère pour le clergé, et que pendant son séjour dans la congrégation salésienne, Van Looy a été missionnaire pendant plusieurs années en Corée du Sud.

    "C'est quelque chose entre moi et le Pape. Je n'ai pas reçu cet anneau publiquement et cela ne doit donc pas être annoncé publiquement", tels sont les mots de l'évêque belge rapportés par le Nederlands Dagblad. Pour lui, ce cadeau n'est qu'"un geste du pape et rien de plus, je pense". Le Vatican n'a pas donné de "réponse officielle", mais le porte-parole du Saint-Siège, Matteo Bruni, a répondu au journal en déclarant qu'il s'agissait "plutôt d'un geste personnel du pape que d'un événement d'importance ecclésiastique".

    Mgr Van Looy, qui est à la retraite et qui donne un coup de main à un sanctuaire marial belge, a déclaré à Vida Nueva après sa démission : "Je me souviens que Don Bosco n'a jamais accepté les honneurs ou les titres, et que Jésus est passé par les gens quand ils ont voulu le faire roi. Nous sommes dans la main de Dieu".

  • Bruxelles, 8 novembre et 12 décembre : Dieu existe-t-il ? avec Emmanuel Tourpe

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    8 NOVEMBRE | « DIEU EXISTE-T-IL ? » : LA QUESTION EST AU CENTRE DE DEUX CONFÉRENCES AU FSM

    Le Forum Saint-Michel organise deux conférences avec Emmanuel Tourpe les 8 novembre et 12 décembre à 20 h.
     
    Emmanuel Tourpe est né en 1970, un philosophe français qui enseigne la philosophie et la communication dans plusieurs universités belges et française. Il mène par ailleurs une carrière directoriale dans des médias de service public (RTBFARTE)1 et privés (IPM/LN24). Il est Chevalier des Arts et des Lettres (2021) de la République Française.

    Leur titre « Dieu existe-t-il ? » est aussi la question qui va guider le cheminement et essayer d’approcher une réponse qui, si elle s’appuie sur une tradition et des recherches fondamentales, n’en reste pas moins toujours personnelle et ancrée dans la réalité propre de chacun.

    Conférences « programmatiques« , ces temps de novembre et décembre seront suivis d’un cycle de conférences qui se répartiront sur 3 semestres à raison d’une conférence par mois. Elles permettront de parcourir un ensemble de philosophes qui tentent d’approcher la question.

    Les interpellations et perspectives ouvertes lors de ces deux soirées pourront être approfondies dans un parcours qui s’étendra sur 3 semestres ou une quinzaine de rencontres.

    Inscriptions souhaitées forumsaintmichel.be, accueil@forumsaintmichel.be ou tél. 02/739 04 51

    Participation aux frais : libre

    Pour plus d’infos visiter le site Forum Saint-Michel

  • 1.250 jeunes ont participé au Festival JMJ a l’abbaye de Maredsous

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    De RCF sur youtube :

  • "Je n'ai pas de successeur à vous envoyer" : le message de Mgr Kockerolls aux paroissiens de l'Unité Pastorale de Stockel-au-Bois

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    Un paroissien de Woluwé-St-Pierre réagit à ce message :

    "L’évêque sollicite les fidèles de la paroisse Sainte Alix car il n’a pas de successeur à proposer. 

    Certains se souviendront des décisions contestées du départ non souhaité des Fraternités Monastiques de Jérusalem de Saint-Gilles. Pour rappel, cette communauté a Bruxelles accueillait aussi un Noviciat.  D’autres se rappelleront du départ forcé des prémontrés de l’abbaye de La Cambre. La fermeture de l’IET est également encore forte dans les mémoires.  Cette fermeture entraînant la fin d’une formation de qualité importante pour les prêtres et les laïcs, entraînant par ailleurs l’arrêt de la présence de prêtres étudiants apportant  des services à l’Eglise qui est à Bruxelles. 
     
    Sans parler de la gestion catastrophique de la dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres  en 2016. La raison invoquée était la solidarité avec les diocèses français dont étaient issus une grande partie de ses séminaristes. Argument non appliqué pour d’autres séminaristes étrangers (la plupart) qui sont formés à Namur pour tous les diocèses francophones de Belgique. 
     
    On vous avait dit qu’après cet episode compliqué tout rentrerait dans l’ordre et que les vocations reprendraient ensuite.  Il serait intéressant de connaître le nombre de séminaristes francophones rentrés depuis 2016 pour Bruxelles. 
     
    De façon générale il est assez curieux d’invoquer la synodalité pour trouver des solutions à des problèmes en partie causés par des décisions prises d’en haut sans impliquer les fidèles concernés et fortement contestées par eux. 
     
    Un fidèle de Woluwé-St-Pierre"