Les Facultés Universitaires Catholiques de Mons (FUCaM)
proposent
une conférence-débat sur
« Le Sud du bassin méditerranéen : un espace de recomposition »
ce lundi 4 avril à 19h30, sur le campus
(chaussée de Binche 151 à Mons, bâtiment des cours).
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Les Facultés Universitaires Catholiques de Mons (FUCaM)
proposent
une conférence-débat sur
« Le Sud du bassin méditerranéen : un espace de recomposition »
ce lundi 4 avril à 19h30, sur le campus
(chaussée de Binche 151 à Mons, bâtiment des cours).
Cette initiative de Benoît XVI, destinée à ouvrir un lieu d'échange et de dialogue avec ceux qui ne partagent pas la foi de l'Eglise, a commencé à Paris les 25 et 26 mars dernier. L'évènement a été répercuté très discrètement par les médias et n'a guère soulevé l'enthousiasme. On a parlé de "succès relatif" car "malheureusement, ce sont surtout les catholiques qui ont répondu à cette invitation de l’Église. Les athées, eux, ont plutôt boudé cet événement qui était pourtant organisé à leur attention, à l’exception de quelques intellectuels, dont le généticien Axel Kahn, l’écrivain Jean Clair et le chef d’entreprise Bertrand Collomb." (dépêche de Catho.be)
Sur le blog de Jean Quatremer ces considérations lucides, au milieu de l’immobilisme inquiétant de la nation belge (ou ce qui en tient lieu) :
« 289 jours se sont écoulés depuis les élections législatives du 13 juin 2010. 337 depuis la démission, le 26 avril 2010, du gouvernement d’Yves Leterme. Soit la plus longue crise politique du monde, le record irakien étant désormais atteint, du moins si l’on peut comparer un pays en pleine guerre civile avec un royaume où le calme règne. En attendant, la Belgique est dirigée par un gouvernement en « affaires courantes » ce qui, il est vrai, lui permet de tout faire, vu l’interprétation extrêmement souple de la Constitution dans ce pays. Et rien ne frémit à l’horizon : un accord de majorité paraît toujours aussi improbable qu’au lendemain du 13 juin entre les Néerlandophones et les Francophones. Et ce, dans la plus grande indifférence de l’opinion publique, en dépit de quelques manifestations sporadiques et très minoritaires…
"Sans le savoir, on mange régulièrement de la viande issue du clonage. Malgré la volonté des députés d’informer les consommateurs sur l’origine de cette alimentation, le Conseil européen a refusé d’imposer un étiquetage des produits dérivés du clonage.