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Eglise - Page 1095

  • Shahbaz Bhatti : vers l'ouverture d'une enquête de béatification

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    Lu sur Eglises d'Asie, le site de l'agence d'information des Missions Etrangères de Paris :

    Vers l’ouverture d’une enquête en vue de la béatification de Shahbaz Bhatti

    Cinq ans après l’assassinat, le 2 mars 2011, de Shahbaz Bhatti, ministre catholique des Minorités religieuses, tué pour avoir défendu la cause d’Asia Bibi, chrétienne condamnée à mort pour blasphème et emprisonnée depuis 2009, des témoignages en vue de sa béatification commencent à être recueillis, afin d’ouvrir une enquête diocésaine.

    « C’était un bon chrétien, catholique, un homme bon, honnête, qui cherchait à faire quelque chose pour créer des rapports entre les musulmans et les non-musulmans. Et œuvrer à l’édification d’une société multi-religieuse. Pour nous, c’est un modèle. Il était porteur d’une vision pour un Pakistan qui soit une société de paix et d’harmonie », a déclaré le 29 février à Radio Vatican Mgr Joseph Coutts, archevêque de Karachi et président de la Conférence des évêques catholiques du Pakistan, en visite en Italie. Selon lui, Shahbaz Bhatti est « devenu un modèle pour toute la communauté chrétienne du Pakistan ».

    Interrogé par l’agence Fides, le 29 février, Mgr Coutts a précisé que le ministre catholique « avait toujours parlé avec foi et faisait preuve de courage. Il a fait en sorte que la voix des chrétiens soit écoutée dans le pays. Il nous a montré la route. Il était un bon catholique et il a donné sa vie pour sa mission. Il a été tué en tant que chrétien et, même si bon nombre de personnes lui suggéraient de quitter le pays parce qu’il était menacé, il a voulu rester au Pakistan et accomplir jusqu’au bout sa mission ». Toujours selon Mgr Coutts, il appartenait à « l’évêque d’Islamabad, lieu où il a été martyrisé, d’ouvrir une enquête canonique en vue du procès diocésain qui peut le proclamer martyr ». « J’y suis favorable », a souligné le président de la Conférence épiscopale du Pakistan.

    Selon le P. John Williams, de la Commission ‘Justice et Paix’ de l’archidiocèse d’Islamabad, les conditions à l’ouverture de cette enquête sont favorables. « L’actuel évêque d’Islamabad, Mgr Rufin Anthony, est né dans le même village que Shahbaz Bhatti et il connaît bien les lieux, la famille et la communauté locale. Il existe donc toutes les circonstances favorables pour mener une enquête soigneuse dont nous espérons qu’elle pourra avoir une issue positive. Toute la communauté catholique au Pakistan l’espère. Le souvenir de Shahbaz Bhatti est encore vif et, ces jours-ci, se dérouleront de nombreuses commémorations », a-t-il indiqué le 1er mars.

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  • Famille Chrétienne consacre un dossier à ce qui germe dans l'Eglise de Belgique

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    numero-1990-samedi-05-mars-2016-journee-de-la-femme-il-y-a-une-place-entre-les-burqas-et-les-femen-!_large.jpgBelgique : l’Église n’a pas dit son dernier mot

    29/02/2016 | Numéro 1990 | Par Bertille Perrin et Antoine Pasquier

    Petites lucioles d’espérance, des familles maintiennent vive la flamme de la foi en Belgique. Des paroisses, des mouvements et des communautés les aident à bâtir leur vie spirituelle sur le roc, dans une société belge rongée par le sécularisme et le relativisme.

    On ne présente plus la face nord de la Belgique, la plus connue, la plus courue. Elle est celle dont les journaux parlent le plus, et que l’on pourrait résumer par ce triptyque : laïcisme, relativisme, régionalisme. Pas une semaine, ou presque, sans que l’on ne parle de la lente scission entre Flamands et Wallons, des dernières trouvailles du législateur belge pour enfreindre les interdits fondamentaux – comme l’euthanasie des mineurs ou la gestation pour autrui – ou des déclarations offusquées d’officines franc-maçonnes ou gouvernementales contre la supposée ingérence de l’Église catholique.Le nouvel archevêque de Bruxelles, Mgr Josef De Kessel, en a récemment fait les frais lorsque, affirmant que les établissements hospitaliers catholiques étaient en droit de s’opposer à l’euthanasie, parlementaires et médecins lui sont littéralement tombés dessus. Au Plat Pays, on n’aime pas que les têtes dépassent. « La société belge est très consensuelle, confirme un prêtre officiant dans la grande région de Bruxelles. Surtout, il ne faut pas faire de vagues. » Les structures de l’Église n’échappent pas à cet état d’esprit. Son enseignement, notamment sur les questions morales et familiales, y est souvent contesté. La désignation de Mgr Bonny, évêque d’Anvers, pour représenter la Belgique au Synode sur la famille n’a pas toujours été comprise ni admise en raison de ses positions à rebours du Magistère.

    La suite est réservée aux abonnés de Famille Chrétienne : 

  • Les Bénédictines de Liège chantent le Christ Roi

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    Abbaye des bénédictines de Liège
    Vêpres du Christ-Roi (22 novembre 2015) 

    JPSC

  • Liège : conférence d’Andrea Riccardi à la cathédrale, le lundi 14 mars 2016 à 20h00

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    riccardi à Liège415.jpg

    A l’invitation de l’évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, le prof. Andrea Riccardi, fondateur de la Communauté de Sant’Egidio, sera à Liège le 14 mars 2016.

    Il y donnera une conférence sur le thème « Ecrire une nouvelle page d’histoire avec la miséricorde ». La conférence, qui s’inscrit dans le cadre de l’année jubilaire de la miséricorde, aura lieu à 20h dans la Cathédrale Saint-Paul.

    Ce lundi 29 février, 93 réfugiés syriens sont arrivés à Rome en provenance du Liban. Ils n’ont pas effectué un voyage dangereux par la mer. Ils sont arrivés sur le sol européen, en avion, après un voyage en toute sécurité, munis d’un visa humanitaire.

    Cela a été rendu possible grâce à l’accord conclu entre la Communauté de Sant’Egidio, la Fédération des Eglises protestantes et, d’autre part, le gouvernement italien.

    Ce projet pilote permettra à 1.000 réfugiés syriens vulnérables (des femmes enceintes, des femmes seules avec enfants, des personnes âgées, des malades,…) d’être accueillis en Europe, après un voyage sponsorisé, en sécurité, en avion.

    Pour plus d’informations, voir le communiqué de presse.

    Voir aussi l'article dans La Libre.

    JPSC

  • Un comte de Flandre élevé sur les autels

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    s2pm6xj6.jpgLe bienheureux Charles le Bon, comte de Flandre, martyr (+ 1127); fêté le 2 mars (Source : Saints et saintes de l'Eglise)

    Charles Ier de Flandre, dit Charles le Bon né Charles de Danemark (vers 1083 - 2 mars 1127), est le fils du roi du Danemark Knut IV et d'Adèle de Flandre, petit-fils du comte Robert Ier et de Gertrude de Saxe, neveu du comte Robert II et cousin germain du comte Baudouin VII. Il est comte de Flandre de 1119 à 1127. On le fête le 2 mars comme saint.

    Le cours de sa vie
    Knut IV de Danemark ayant été assassiné en 1086, Adèle se réfugie en Flandre, prenant le très jeune Charles avec elle. Charles grandit à la cour de son grand-père Robert Ier et de son oncle Robert II. En 1092 Adèle le quitte pour se marier avec Roger Borsa, duc des Pouilles dans le sud de l'Italie.

    Charles part à la croisade en 1096 avec son oncle, qui meurt en 1111. Il devient un proche conseiller du nouveau comte Baudouin VII (qui était de plusieurs années plus jeune) qui le prend d'affection et lui procure plusieurs avantages. Il lui donne d'abord la seigneurie et le château d'Encre qu'il avait enlevé à Hugues de Camp d'Avène, comte de Saint-Pol. En 1118, Charles épouse l'héritière du comte d'Amiens, Marguerite de Clermont.
    En 1119, il est reconnu par les États convoqués à Rouliers comme successeur de Baudouin VII agonisant. Il devient effectivement comte le 19 juin. Sa prise de couronne est néanmoins vivement contestée. La comtesse douairière Clémence de Bourgogne s’avère son opposante la plus acharnée : elle favorise son propre candidat, Guillaume d'Ypres. Charles vainc un à un tous ses rivaux, et Clémence doit renoncer à une partie de son douaire ; Guillaume, fait prisonnier, est amadoué par quelques seigneuries et une somme d’argent ; Baudoin III, allié à Thomas de Coucy, est vaincu en bataille rangée ; le comte Gauthier d’Hesdin est chassé et privé de ses états ; Hugues Champ d’Avoine voit les forteresses de son comté de Saint-Pol rasées ; le comte de Boulogne Eustache III doit finalement se tenir coi.

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  • L'islam a la lumière de la foi chrétienne

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    Du Père Edouard-Marie Gallez sur le site eecho.fr :

    Beaucoup d’études paraissent sur l’islam. Même sans aucune prétention à être exhaustifs, nous sommes bien en retard sur l’actualité de leur parution – mais l’actualité de leur contenu, elle hélas, ne faiblit pas.

    • L´islam à la lumière de la foi chrétienne, Henri de Saint-Bon (février 2016)

    9782356311405.jpgAprès Catholique/Musulman : je te connais, moi non plus, écrit avec Saad Khiari (F.-X. de Guibert, 2006), le Petit lexique islamo-chrétien (éd. de l’Oeuvre, 2012) et Le christianisme oriental dans tous ses états (éd. Le livre ouvert, 2014), Henri de Saint-Bon publie L´islam à la lumière de la foi chrétienne

    Cet ouvrage de clarification n’est pas inutile dans un contexte chrétien où l’on évite encore et toujours d’avoir un discours cohérent sur l’islam. Faut-il que le discours (catéchétique en particulier) soit fait pour plaire et convenir à tout le monde ? Faut-il s’interdire d’avoir une pensée sur l’islam ?

    On remarque tout de suite, à la fin de l’ouvrage, la présence de deux lexiques considérables (qui, ensemble, couvrent 80 de ses 310 pages) : l’un est consacré aux « mots catholiques ou à vision catholique », l’autre aux « mots islamiques ou à vision islamique ». L’objectif de l’auteur est clairement de dénoncer les ambiguïtés des mots, tout en sachant que, d’abord, beaucoup de chrétiens ne savent plus le sens des mots chrétiens ni celui des réalités qu’ils désignent – d’où l’intérêt évident de deux lexiques, avec des renvois du premier au second. Par exemple, la courte définition de la miséricorde dans le premier (p.259) renvoie au mot rahma dans le second (p.302) : la différence radicale est mise en lumière (mais elle pourrait l’être davantage : la rahma islamique et coranique est en fait plutôt une anti-miséricorde).

    Le souci pédagogique inspire l’ensemble des 26 chapitres, dont certains ne font que deux pages mais qui se terminent tous par un tableau comparatif reprenant en quelques phrases-clefs le contenu du chapitre. Le tour d’horizon des thèmes abordés est impressionnant et, bien sûr, beaucoup demanderaient de nombreux développements. La conjonction de tous constitue l’originalité de cet outil.

    On regrettera cependant que l’auteur, à la suite d’Annie Laurent, imagine qu’il existe des « valeurs spirituelles communes aux chrétiens et aux musulmans » (p. 225) – qu’il tente d’énumérer ensuite abstraitement. Nous avons eu l’occasion d’expliquer que cette approche qui découpe les croyances en notions abstraites équivaut à chercher le plus grand commun diviseur entre deux chiffres : c’est faire fi de l’histoire, où s’enracinent l’origine et les raisons véritables des oppositions entre le christianisme et un phénomène religieux qui est apparu à sa suite. Et l’auteur fait fi aussi de l’expérience et de la pensée de nos Frères chrétiens d’Orient, qui « dialoguent » avec les musulmans depuis 14 siècles et qui n’ont pas attendu les textes de Vatican II (lesquels ne sont pas aussi clairs que les caricatures qu’on en a faites).

    Le problème est là : s’il s’agissait de comparer la philosophie d’Epicure à celle d’Aristote, la démarche abstraite, thématique et comparative de l’auteur serait excellente. Mais nous n’avons pas affaire à deux systèmes philosophiques mais, d’une part, à la Révélation du Salut en la Personne de Jésus, et d’autre part à la contrefaçon de cette Révélation en un système de salut (et non pas philosophique) ; dans ce système de salut, l’Oumma prend la place et le rôle du Sauveur (du monde).

    Cette prétention de salut global (on connaît le slogan : « l’Islam, c’est la solution ! »), l’auteur ne l’entrevoit même pas, sinon de manière indirecte à travers son analyse du djihad (p. 169-173). On notera que la comparaison qui y est faite avec la parole de Jésus « Je ne suis pas venu apporter la paix sur la terre… » tombe mal : il y a deux mots en araméen qui sont traduits par le seul mot paix (eirènè en grec), une donnée qui est disponible sur le web depuis plus d’un an.

    Or, la question essentielle à la sensibilité islamique est pourtant celle-là : comment Dieu peut-Il et doit-Il sauver ce monde qui est en train de s’autodétruire, notamment sous l’égide de maffias mondiales ? Nulle part la question du devenir de ce monde n’est abordée.

    Des outils performants pour comparer thématiquement le christianisme et l’islam peuvent être utiles au public occidental désinformé et habitué à raisonner de manière notionnelle ; mais outre le fait que de moins en moins de gens sont capables de tels raisonnements, il faut bien constater que de tels outils existent depuis fin 1997, avec la parution de La croix et le croissant du P. Antoine Moussali et dont même le titre a été copié maintes fois. Vingt ans après, en serait-on toujours là ? Comparer n’est pas expliquer. Au mieux, on lève ainsi des ambiguïtés sur les fausses ressemblances et les oppositions radicales entre le christianisme et l’islam. Et ensuite ? Ne faudrait-il pas aborder les choses d’une toute autre manière ?

    Edouard-M G.

  • Les intentions de prière du pape pour le mois de mars

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    Intentions de prière pour mars

    L'intention de prière générale du Saint-Père pour mars est:

    "Pour que les familles en difficulté reçoivent le soutien qui leur est nécessaire, et que les enfants puissent grandir dans un environnement sain et serein".

    Son intention missionnaire est:

    "Pour que les chrétiens, discriminés ou persécutés à cause de leur foi, restent forts dans les épreuves et fidèles à l'Evangile grâce à la prière incessante de toute l'Eglise".

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  • 30 ans après, la publication d'une interview censurée du grand Urs von Balthasar

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    L’interview censurée de Hans Urs von Balthasar

    L’interview interdite et perdue de Hans Urs von Balthasar par Vittorio Messori.  En exclusivité, 30 ans plus tard.

    En exclusivité en français dans une traduction de Rédaction Diakonos.be

    En exclusivité et presque dans son intégralité, le livre-interview disparu et mis à l’index il y a plus de trente ans.  Dans cet entretien controversé de Hans Urs von Balthasar avec Vittorio Messori, le grand théologien suisse se lance dans une critique en règle de l’Eglise post-conciliaire, du progressisme (sans pour autant épargner les lefébvristes) et prend ses distances avec « l’oracle » de Vatican II, Karl Rahner.  Il propose une réforme « tridentine » des séminaires et critique vertement le théologien Hans Küng (le maître à penser du cardinal Walter Kasper).  La réaction de ce dernier fut si violente qu’elle a provoqué la mise à l’index de ce livre qui fut à l’époque presque immédiatement retiré de la vente et envoyé au pilon avant de tomber dans l’oubli d’une véritable damnatio memoriae couverte par la loi du silence.  Le plus frappant cependant c’est que cette interview nous semble pourtant terriblement actuelle : rien n’a vraiment changé depuis lors.  Nous vous proposons donc de redécouvrir ce document non seulement rare mais véritablement introuvable transmis par son auteur, l’auteur et journaliste Vittorio Messori, qui nous a autorisé à le publier.

     

    A lire sur diakonos.be

  • S'engager pour une culture de vie : la conférence de Caroline Roux à Notre-Dame

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    S'engager pour une culture de vie, par Caroline Roux

    Les conférences de Carême à Notre-Dame de Paris constituent un grand rendez-vous de réflexion sur l'actualité de la foi chrétienne. Thème abordé cette année : le sens spirituel des cultures, cycle confié à Rémi Brague, Professeur émérite de philosophie. Intervenante : Caroline Roux d'Alliance Vita.

    Conférence de Carême du 28/02/2016.

    Le texte de la conférence est ici : http://www.paris.catholique.fr/conferences-de-careme-a-notre-dame-19056.html

  • La France n’a plus d’ambassadeur au Vatican depuis un an…

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    Le site du journal « La Croix » nous le rappelle opportunément :

    4353912_3_979f_francois-hollande-et-le-pape-francois-lors-de-l_97d4217cb7392b1fea0b55773389091b.jpg« Le poste d’ambassadeur de France près le Saint-Siège demeure vacant depuis le départ de Bruno Joubert, le 28 février 2015, sans perspective claire de solution.

    Les visites se succèdent Villa Bonaparte, siège de l’ambassade de France près le Saint-Siège. Les télégrammes partent. L’institut culturel, le Centre Saint-Louis, tourne à plein régime. Le numéro deux du poste n’a plus de congés. Un nouveau conseiller ecclésiastique a pris ses fonctions à l’été 2015. Mais il manque toujours le numéro un. Depuis le 28 février 2015, jour du départ du dernier ambassadeur près le Saint-Siège, Bruno Joubert, aucun successeur n’a été nommé.

    Les candidats n’ont jamais manqué – ni les rivalités – pour ce poste convoité. Mais après la proposition de l’Élysée, validée en conseil des ministres le 5 janvier 2015, de nommer Laurent Stefanini, actuel chef du protocole connu pour sa fine connaissance de l’Église, l’agrément du Saint-Siège n’est jamais arrivé.

    L’homosexualité du candidat apparaissant dans la presse comme un enjeu de sa nomination, cet agrément s’est trouvé de fait politiquement instrumentalisé. Paris a alors répété, en public, qu’il s’agissait du « choix de la France » et si le Vatican le rejetait, il lui revenait de « l’assumer ». Un ton qui n’était pas de nature à dédramatiser la décision.

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  • Troisième anniversaire de l’abdication de Benoît XVI (28 février 2013)

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    Le 28 février 2013, Benoît XVI quitte le Vatican pour se rendre à Castelgandolfo, résidence d'été des Papes. Il a en effet annoncé le 11 février sa renonciation à sa charge apostolique prenant effet à cette date.

    JPSC

  • Liturgie : ordinations au pays du matin calme

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    Diocèse de Séoul (Corée), 2016 

    JPSC