Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Eglise - Page 781

  • Les règles du secret professionnel et du secret de la confession; un rappel des évêques de Belgique

    IMPRIMER

    De Pierre Granier sur le site cathobel.be :

    Les évêques rappellent les règles du secret professionnel et du secret de la confession

    Suite à la condamnation d’un prêtre par le Tribunal de Bruges à un mois de prison avec sursis pour non-assistance à personne en danger, la Conférence épiscopale de Belgique a réagi. Dans un long communiqué, elle rappelle les règles de base en matière de  et celles concernant le secret de la .

    L’affaire qui a conduit les évêques de Belgique à réagir concerne la condamnation, le 17 décembre, du père Alexander Stroobandt à une peine d’un mois de prison avec sursis et un euro symbolique de dommages et intérêts pour négligence coupable. Dans cette affaire, le tribunal correctionnel de Bruges a considéré que cet aumônier d’une maison de retraite de Bruges avait eu tort de ne pas avoir prévenu les secours lorsqu’un homme lui avait fait part de son intention de se suicider au téléphone. Pour le tribunal, le secret de la confession peut être assimilé au secret professionnel mais il n’est pas absolu car « il est du devoir de chacun de porter assistance à autrui ».

    L’avocat du P. Stroobandt a décidé de faire appel.

    Le communiqué des évêques

    Les aumôniers sont tenus au secret professionnel. Ils ne peuvent divulguer l’information personnelle qui leur est confiée dans l’exercice de leurs fonctions.  Leur secret professionnel – et celui d’autres groupes de professions – vise à protéger les personnes qui leur confient ces informations ainsi que l’ordre public.  Récemment, le secret professionnel des aumôniers a soulevé des questions qui ont trait notamment à la prévention des abus sexuels sur mineurs et à la prévention du suicide.  En réponse à ces questions, nous aimerions clarifier quelques règles de base sur le secret professionnel dans un contexte pastoral.

    Lire la suite

  • Allumer une bougie pour la paix en Syrie

    IMPRIMER

    acn-20160413-39299.jpg

     

    Le pape François et les enfants syriens lancent un appel pour la paix «La Syrie bien-aimée est tourmentée par une guerre qui dure déjà depuis huit ans», a déclaré le pape François, appelant à la paix. «À ce stade, j’aimerais faire mien l’espoir des enfants en Syrie». «Que ces flammes d’espoir dissipent les ténèbres de la guerre» – avec ces paroles le pape François a alors allumé un grand cierge pour la paix et la réconciliation dans un pays déchiré par la guerre. Pour que la porte de la paix s’ouvre, nous voudrions inviter toutes les personnes de bonne volonté du monde entier à aider les chrétiens à rester en Syrie en témoins de la miséricorde divine, du pardon et de la réconciliation.

    REJOIGNEZ-NOUS

  • Il est temps que les apologistes de l’Europe ouverte aux flux migratoires descendent de leur marchepied

    IMPRIMER

    Une opinion d'un haut fonctionnaire fédéral publiée sur le site de la Libre :

    Au-delà du Pacte migratoire

    Il est urgent d’avoir un vrai débat sur la question migratoire et sur la société que nous voulons, un débat qui ne se résume pas au débitage de poncifs autorisés et identiques. Il est temps que les apologistes de l’Europe ouverte aux flux migratoires descendent de leur marchepied.

    Depuis quelques semaines, la Belgique est en proie à une crise politique suscitée par l’opposition de dernière minute de la N-VA (et d’une partie de son électorat, sans doute) au "Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières". La N-VA rejoint en cela les gouvernements de plusieurs États membres européens comme l’Italie, l’Autriche ou le Danemark.

    Discours aux allures orwelliennes

    La plupart des commentateurs s’étonnent de cette opposition, relevant que le Pacte contient essentiellement des dispositions non contraignantes et assez peu révolutionnaires. C’est passer à côté de l’essentiel. Ce qui suscite l’hostilité, c’est l’argument idéologique qui sous-tend le Pacte, et sur lequel il est urgent d’avoir un débat de fond.

    Comme La Libre le relevait, le Pacte prône un discours univoque sur l’immigration, "présentée comme un phénomène inéluctable et automatiquement bénéfique pour tous les pays du monde entier" (LLB 5/12/2018). Le Pacte déclare en effet dans son préambule : "Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable." En septembre dernier, sur Twitter, l’Agence des Nations unies pour la migration reprenait le même argument, résumé en une triade de choc : "La migration est inévitable, la migration est nécessaire, la migration est désirable."

    Ce discours aux allures orwelliennes (la migration serait à la fois inévitable et bénéfique) est martelé aux peuples européens avec insistance par la quasi-totalité des élites, institutions européennes et internationales (Commission européenne, Nations unies, FMI…), intellectuels et économistes, anciens hommes d’État, médias, universités, écoles, bref, par tous ceux qui dans nos sociétés libérales tiennent le porte-voix, et que Maurras désignait sous l’expression de "pays visible", par opposition au pays réel, c’est-à-dire, en l’occurrence, les peuples, privés de voix et de repères, fragilisés par un libéralisme global toujours plus destructeur de racines, de solidarité, de frontières, d’environnement et de travail.

    Pourtant, malgré l’insistance pénible avec laquelle ce mantra est répété par tous les temps, sur toutes les ondes et dans tous les journaux (le concept de fake news ne pouvant, comme on le sait, s’appliquer aux médias mainstream), les peuples européens s’entêtent à le refuser, avec une obstination acharnée et lourdaude, celle des sans-voix, qui les conduit à voter toujours plus pour des tribuns populistes, seuls à aller à contre-courant de la doxa en vigueur.

    Lire la suite

  • Comment fonctionne l'accord entre le Vatican et la Chine ?

    IMPRIMER

    De Sandro Magister, traduit sur le site diakonos.be :

    L’accord entre la Chine et le Vatican est un secret de polichinelle. Voici comment il fonctionne

    La seule chose que l’on sait de cet accord signé le 22 septembre entre le Vatican et la Chine c’est qu’il concerne la nomination des évêques.  Son contenu est tenu secret.  Mais les événements qui ont eu lieu depuis sa signature nous permettent de comprendre son fonctionnement.

    Le cardinal Zen Ze-Kiun (photo), 88 ans, s’est envolé de Hong-Kong pour Rome afin de remettre en mains propres au Pape François un appel à l’aide dans une lettre de sept pages décrivant la situation dramatique dans laquelle se trouve l’Église catholique dite souterraine ou clandestine en Chine depuis la signature de l’accord.

    En revanche, en ce qui concerne l’autre partie de l’Église chinoise, celle qui est officielle et reconnue par le régime de Pékin, tout semble se dérouler dans le meilleur intérêt du régime.

    Même les sept évêques imposés de force contre la volonté de Rome ont été reconnus par le pape qui a levé l’excommunication survenue au moment de leur ordination illégitime, malgré l’absence de toute demande publique de pardon et le fait que deux d’entre eux aient concubines et enfants. Le Pape François est allé jusqu’à lever l’excommunication qui pesait sur un huitième évêque nommé par le gouvernement et décédé en 2017 mais que les autorités de Pékin tenaient à voir réhabiliter à tout prix.

    De plus, le pape a dû avaler l’envoi à Rome de l’un de ces sept évêques ex-excommuniés comme délégué de l’Église chinoise au synode mondial qui s’est tenu en octobre. L’annonce de son arrivée a été d’abordannoncée par les autorités chinoise et ce n’est qu’après que le pape l’a ajouté à la liste de ses invités.

    Guo Jincai est depuis des années une créature parfaite du régime chinois. Il est membre de l’Assemblée du peuple, le parlement chinois, où il a été nommé par le département central de l’organisation du parti communiste, il est également secrétaire général et vice-président du Conseil des évêques chinois, la conférence épiscopale fantoche, hier encore jamais reconnue par Rome, qui ne rassemble que les évêques officiellement reconnus par le gouvernement et qui sera désormais chargée, selon les termes de l’accord, d’indiquer au pape le nom de tous les futurs évêques, préalablement « démocratiquement » élus par des représentants des diocèses respectifs préalablement désignés et cornaqués par des fonctionnaires du parti communiste.

    Lire la suite

  • L'archevêque d'Utrecht : un cardinal qui ne mâche pas ses mots

    IMPRIMER

    Featured Image

    Du site Lifesitenews.com (traduit à l'aide de translate.google.be) :

    Cardinal Eijk: L'Eglise doit enquêter sur les témoignages de Viganò pour regagner sa crédibilité

    ROME, 14 décembre 2018 (LifeSiteNews) - Un cardinal renommé se joint à une foule d'évêques pour demander une enquête approfondie sur les témoignages de l'archevêque Viganò qui impliquait plusieurs grands prélats et le pape François dans la dissimulation des relations sexuelles de l'ancien cardinal Theodore McCarrick abusant de prêtres et de séminaristes.

    Dans une interview accordée le 13 décembre au quotidien italien Il Giornale, le cardinal Willem Jacobus Eijk, archevêque d'Utrecht (Pays-Bas), a déclaré "il est clair" que les allégations contenues dans les témoignages de Viganò devraient être examinées de manière approfondie", ajoutant que "de nombreux évêques" ont demandé une telle enquête.

    «Cela doit être clarifié si l’Eglise veut retrouver sa crédibilité», a-t-il déclaré.

    Dans un entretien de grande envergure (voir le texte intégral ci-dessous), le cardinal néerlandais a également souligné l’importance de la persévérance dans la doctrine catholique alors que des pressions étaient exercées pour qu’elle adopte un modèle plus protestant-anglican. «La force de l'Eglise catholique, dit Eijk, est que sa doctrine est valable pour le monde entier. Le dialogue avec les protestants ne doit pas amener l'Église catholique elle-même à devenir protestante. "

    Eijk, 65 ans, donne également son point de vue sur l’inclusion de l’acronyme «LGBT» dans le récent document de travail du Synode pour la jeunesse et ses réflexions sur le mouvement attendu pour ordonner les hommes mariés dans l’Église latine avec le Synode amazonien de l’année prochaine.

    «Autoriser temporairement les prêtres mariés n'est pas une solution», insiste-t-il. «Une fois que cela est décidé, cela devient irrévocable» et «avec cela, le célibat sacerdotal, une tradition séculaire magnifique et féconde de l'Église latine, serait perdu».

    Le cardinal Eijk, qui a publié un commentaire énergique après que le pape François eut refusé de rejeter un projet de proposition de la Conférence des évêques allemands autorisant dans certains cas les protestants à accéder à la Sainte Communion, a également déclaré dans l'interview qu'il aimerait que le titulaire du ministère pétrinien, qui est le principe de l'unité de la foi chrétienne, clarifie la question des catholiques divorcés et remariés ayant accès au Saint-Sacrement.

    Créé cardinal par le pape Benoît XVI en 2012, Eijk est également médecin et expert en éthique médicale. Il a écrit l'une de ses thèses de doctorat sur l'euthanasie et une autre sur les problèmes éthiques posés par le génie génétique des êtres humains. En 2004, le pape Jean-Paul II l'a nommé membre de l'Académie pontificale pour la vie et membre de son conseil d'administration en 2005. Sous le pape Benoît XVI, Eijk a également été membre des congrégations du Vatican pour l'enseignement du clergé et de l'éducation catholique.

    Dans l'interview du 13 décembre, Eijk s'est également tourné vers la politique en discutant de l'afflux de migrants en Europe et de la montée du «nationalisme» et du «populisme».

    Le cardinal soutient que si le nationalisme ne doit jamais être utilisé comme un "bouclier pour empêcher les autres d'entrer, les gouvernements ne sont pas obligés" d'accorder la résidence "aux migrants économiques". Il note également que les migrants, pour leur part, "ont des obligations envers le bien commun du pays où ils cherchent refuge", et doivent en particulier respecter« l’inviolabilité de la personne humaine ».

    Ci-dessous, une traduction LifeSite de l’interview complète avec Cardinal Eijk.

    Lire la suite

  • Quand la joie de l'amour nous est offerte

    IMPRIMER

    Une homélie de l'abbé Christophe Cossement :

    La joie de l’amour nous est offerte

    homélie du 3e dimanche de l’Avent C, 16 décembre 2018

    Il m’arrive souvent de souhaiter à quelqu’un de connaître la paix et la joie. Saint Paul va beaucoup plus loin : il ne souhaite pas, il donne une injonction, comme si c’était une composante de la vie du chrétien : « soyez toujours dans la joie du Seigneur ; je le redis : réjouissez-vous ! » (Ph 4,4)

    Qu’est-ce que la joie, qui nous est ainsi commandée ? Peut-on exiger la joie ? Est-ce qu’on n’entre pas de le domaine de l’auto-persuasion, bien souvent déconnectée de la réalité ? Le pape nous demande souvent de rejeter la tristesse. « S’il vous plaît ! Pas de prêtre ou de sœur avec des têtes de piment au vinaigre ! », dit-il volontiers. Ce n’est pas une joie dont on se persuade. Ce n’est pas non plus une joie qui vient du divertissement, car le divertissement se termine toujours et n’attend fébrilement que d’être réitéré. Cette joie est un don. Et celui qui nous en indique le chemin aujourd’hui c’est Jean le Baptiste.

    Jean-Baptiste ouvrais un chemin d’espérance pour tous ceux qui venaient à lui, tous ceux qui croyaient que leur vie était dans l’impasse à cause de leurs fautes et qui pouvaient de nouveau espérer la miséricorde de Dieu. Ceux qui viennent à Jean peuvent enfin trouver Dieu car lui vient à eux : « il vient, celui qui est plus grand que moi » (Lc 3,16). La nouveauté du Nouveau Testament n’est pas qu’on y parle enfin de miséricorde, car dès la Première alliance Dieu annonce sa tendresse au pécheur. Mais la nouveauté c’est que Dieu a fait désormais tout le chemin pour que cette miséricorde atteigne son but, qui est l’union de l’homme à Dieu. Et cette union est proposée à tous. Jean n’est pas le Christ, mais il peut le désigner et dire : voici l’Agneau de Dieu ! Il annonce que le Messie vient baptiser dans l’Esprit et le feu. On peut comprendre que c’est baptiser dans l’Esprit d’amour qui l’unit au Père, c’est-à-dire que le Christ vient offrir la communion, l’intimité que la conversion préparait.

    En attendant ce baptême dans l’Esprit, Jean provoque un changement de vie, une conversion. « Produisez donc des fruits qui expriment votre conversion » (Lc 3,8), disait-il. C’est-à-dire faire en sorte qu’il y ait un vrai changement dans notre vie, un changement simple mais fort. Et les gens répondent : « que devons-nous faire ? » Non pour mériter le pardon, comme une monnaie d’échange pour un Dieu qui serait commerçant ou guichetier. Le pardon ne se paie pas, il est donné au cœur qui regrette sincèrement et veut réparer. Le changement auquel Jean invite est plutôt comme la détermination d’un cœur qui aime, qui se détourne de ce qu’il a voulu de mauvais pour s’unir à Celui qui peut le combler. Un cœur qui veut aimer comme Celui qui l’aime tant. Et cela passe par des actions très concrètes, des changements selon la vie de chacun, pour mettre en œuvre l’annonce de l’amour de Dieu.

    De là la joie de ce jour : elle est la joie de l’amour retrouvé. Tu m’aimes, Seigneur, et je peux t’aimer : l’amour de mon cœur tiède et inconstant, l’amour de mon cœur vite découragé, peut atteindre ton cœur car tu es venu toi-même dans notre nuit, car tu es le Sauveur. Et ainsi tu amasses le « grain » de mon amour dans ton « grenier ». Pour aujourd’hui, donne-moi de vivre dans la foi, de placer mon cœur face à toi que je ne vois pas, de t’offrir du temps et de l’attention, d’être généreux envers ceux que tu me donnes comme prochain.

    Par notre amour actif, produisons du fruit et prions que personne ne se contente d’être la « paille » et ne se dise : « c’est assez qu’il y ait la miséricorde, il n’est pas nécessaire de produire du fruit, il n’est pas nécessaire de vivre dans la justice, il n’est pas nécessaire de répondre à cet amour par mon amour actif ; la miséricorde me permet de vivre comme je veux puisqu’il m’aime quand-même ; aimer le Seigneur, suivre ses chemins est facultatif puisqu’il est bon pour tous. » Parler ainsi, c’est oublier que l’amour est une relation. Celui qui néglige de vivre dans l’amour, de répondre à l’amour par un amour de plus en plus fidèle, comment tiendra-t-il devant le « feu » de l’amour ? Car l’amour, c’est l’amour et pas une vague bienveillance.

    Que le Seigneur nous donne maintenant de choisir la joie qui vient parce que nous accueillons son amour et que nous l’aimons. Et qu’il nous permette d’entraîner les autres dans la joie profonde, la joie de se donner soi-même, la joie de faire de sa vie une offrande qui réjouit le cœur de Dieu. Ce n’est pas une joie pour les parfaits seulement. Dieu veut que par sa miséricorde cela soit accessible à chacun, quelle que soit sa situation.

  • Bruxelles : Et si on mettait le cap vers une pastorale de l'espérance ?

    IMPRIMER
    Pour une Eglise missionnaire
    à Bruxelles, au cœur de l’Europe
    Halte à la politique de la décroissance,  

    cap vers la pastorale de l’espérance!

    Halte à la politique de la réduction ou suppression des paroisses, des églises, des miracles reconnus, des fraternités religieuses et sacerdotales, des sacrements durant l’enfance, …

    Cap vers la pastorale

    du don et de la multiplication !

    Et si nous encouragions nos évêques à changer de cap pastoral ?

     
    Quel est le cap pastoral actuel à Bruxelles (Belgique) ?

    1. Supprimer les paroisses pour les fondre (avec tous leurs biens) dans des Unités Pastorales 
    2. Réduire le nombre d’églises ( paroissiales catholiques) et redistribuer (réaffecter, désacraliser ?) les « excédantes » 
    3. Supprimer (sauf pour les « très pratiquants ») les sacrements pendant l’enfance et les repousser au seuil de l’adolescence 
    4. Supprimer ou éloigner les fraternités monastiques et sacerdotales et plaider pour l’ordination d’hommes mariés 
    5. Effacer la mémoire du miracle eucharistique bruxellois (1370), le réduire à une « légende » et radier sa chapelle dans la cathédrale?

    Une même logique et dynamique …de désacralisations successives

    Vraiment évangélique ?

    Et si nous changions, avec nos évêques, de cap pastoral?

    www.cap-ciel-bxl.be

    Pour l’équipe cap-ciel-bxl.be
     
    Anne-Marie Boden, Gérard et Magda Cuchet, Michèle et Jean-Louis Cupers, Bernard de la Croix, Cécile de Mérode, Philippe Gosseries, Valentina Gottifredi, Véronique Hargot, Vesna Hanon, Edith et Marc Moreau

  • Après s'être droguée et avoir avorté à trois reprises, elle a rencontré le Dieu de miséricorde

    IMPRIMER

    De KTO

    La lecture de son témoignage paru aux éditions Tequi -"Transfigurée"- laisse comme sonné : Patricia Sandoval, américaine d'origine mexicaine, raconte par le menu le divorce de ses parents, la drogue, la rue et surtout trois IVG et son expérience dans une clinique d'avortements du Planning familial avant de finir seule, à la rue, mais se sachant aimée de Dieu. Et c'est bien Lui qui est venu la rechercher au fond du trou comme elle le raconte sans ambages sur le plateau de KTO ce soir. Un Dieu de Miséricorde qui la pousse aujourd'hui -alors que nous venons de fêter Notre-Dame de Guadalupe, patronne des Amériques- à défendre la vie à naître via son livre, ses conférences et sa présence dans Un Coeur qui écoute.

    Transfigurée

    Après l’avortement, la drogue, la rue…

    T'est-il arrivé de vivre l'intolérable ? T'es-tu sentie coupable au plus profond de ton être ? As-tu eu des liaisons qui t'ont fait perdre pied ? T'es-tu laissé entraîner dans des choix de mort ?

    Moi, j'étais dépendante de la drogue, j'ai vécu dans la rue, j'ai avorté trois fois, j'ai travaillé dans une clinique d'avortement du planning familial (USA). Je cherchais un sens à ma vie, j'avais besoin de me sentir aimée et je me suis retrouvée détruite, dans une impasse. Et pourtant Dieu m'a tendu la main, Dieu m'a sauvée, Dieu m'a enseignée : je suis pardonnée, je suis « fille de Roi ».

    Ce témoignage poignant de conversion a transformé les cœurs les plus blessés et les plus désorientés : il ne s'agit pas seulement de l'histoire d'une guérison des blessures de l'IVG, d'une libération de l'addiction à la drogue, ou de révélations sur l'industrie de l'avortement. C'est l'histoire d'un Dieu qui se tient prêt à nous consoler, à guérir nos âmes meurtries, à nous restaurer à son image. C'est l'expérience d'un Dieu de Miséricorde qui jaillit de la lecture de ces pages.

    Préface du père Marie-Michel

    L'auteur

    Patricia Sandoval est américaine et mexicaine. Encouragée par l'archevêque de San Francisco, Mgr S. Cordileone, et l'évêque d'Oakland, Mgr M. Barber, elle porte son témoignage d'Espérance à la télévision, dans des stades ou des écoles. Un ouvrage co-écrit avec Christine Watkins, éditrice et convertie elle aussi, qui anime des émissions et intervient dans des conférences et retraites.

    Le père Marie-Michel, le préfacier, est cofondateur de l'École internationale Jeunesse Lumière et fondateur du Carmel de la Vierge Missionnaire.

  • Quand le PVDA (PTB) mobilise pour éviter qu'une église de Gand soit transformée en supermarché

    IMPRIMER

    Peut-être l'extrême-gauche sera-t-elle plus efficace pour protéger le patrimoine religieux que ne l'est l'autorité ecclésiastique ? 

    TEKEN DE PETITIE: SINT-ANNA IS VAN ONS!

    Het Gentse stadsbestuur wil de bekende Sint-Annakerk omvormen tot een Delhaize. Wij aanvaarden niet dat Gent waardevol historisch erfgoed te grabbel gooit. Wij vragen dat het stadsbestuur haar belofte nakomt en de beschermde Sint-Annakerk een culturele of gemeenschapsfunctie geeft, in overleg met de buurt. Gent is geen supermarkt, Gent is van ons.

    Deze actie werd al door 1,472 mensen ondertekend.

    Teken jij ook?

     
     
  • Aider les séminaristes du Cameroun

    IMPRIMER

    Du site belge de l'Aide à l'Eglise en Détresse :

    Cameroun : Aide à la formation pour les séminaristes d’un diocèse affecté par le terrorisme de Boko Haram

    Le Nigeria n’est pas le seul pays terrorisé par Boko Haram. Le nord du Cameroun, frontalier du Nigeria, est également frappé par la violence de cette organisation terroriste islamiste. Alors que les attaques armées de Boko Haram ont diminué grâce à une offensive militaire conjointe de plusieurs pays africains, les attentats-suicides, les assassinats et les enlèvements continuent. Les gens vivent dans la peur.

    Le diocèse catholique de Maroua-Mokolo fait face à des défis majeurs : non seulement il est situé dans l’une des régions les plus pauvres du pays, mais il doit aussi accueillir un grand nombre de réfugiés nigérians et de déplacés internes camerounais.

    Toutefois, il y a aussi des nouvelles positives, car la foi des gens est intacte, et en dépit des craintes d’attaques, les fidèles affluent vers les églises. En même temps, le nombre de vocations est également en augmentation. Au séminaire, 32 séminaristes se préparent actuellement à être ordonnés prêtres. Il y a par ailleurs 18 garçons au « petit séminaire », et quatre autres qui suivent leur année de propédeutique en vue d’entrer au séminaire. Ces chiffres sont étonnamment élevés si on les compare au nombre de catholiques, qui ne sont qu’environ 84.000. Mgr Bruno Ateba Edo se réjouit de ces vocations, mais il a besoin d’aide pour pouvoir bien former ces jeunes. Il a demandé de l’aide à l’Aide à l’Église en Détresse et nous aimerions l’aider à hauteur de 27.000 euros.

    Votre don bénéficiera à ce projet ou à un projet similaire, et permettra le travail pastoral de l’Aide à l’Église en Détresse. Communication sur votre virement : 113-04-79 Cameroun

    Ensemble, avec vous, nous aidons ceux qui sont dans le besoin. Grâce à vous, l’Aide à l’Église en Détresse apporte un soutien aux fidèles partout où ils sont persécutés, opprimés ou en détresse, à travers des informations, des prières et des actions.

    Vous pouvez nous soutenir par :

    • un don pour un projet pastoral au numéro de compte :-

    - Belgique : IBAN : BE25 1960 0933 4182 et BIC : CREGBEBB (Aide à l’Église en Détresse a.s.b.l. sans attestation fiscale). En vertu de la loi Belge, les projets pastoraux ne sont pas admissibles à l’octroi d’une attestation fiscale.

    - Luxembourg : IBAN : LU66 1111 0261 9404 0000 et BIC : CCPLLULL

    • un don pour un projet social au numéro de compte IBAN : BE72 1960 1357 6116 et BIC : CREGBEBB (Aide et Espoir a.s.b.l. – avec attestation fiscale à partir de € 40,00). Ceux qui, au cours de l’année, ont fait un don de € 40,00 ou plus pour un projet social, reçoivent automatiquement une attestation fiscale l’année qui suit.

    Merci pour votre soutien !

  • Un cours sur le mariage chrétien, à Bruxelles, de janvier à juin 2019

    IMPRIMER

    Sans titre.jpg

    Sans titre3.jpg

    Sans titre2.jpg

  • Nouvelle mise en garde du Cardinal Müller

    IMPRIMER

    Lu sur le site « Pro Liturgia » :

    « Certains évêques sont clairement sortis de leur domaine de compétence. »

    C’est ce que déclare le Cardinal dans un récent interview repris par le site Kathnet

    « Il semblerait qu’il existe des évêques qui abusent de leur autorité en exigeant qu’on leur obéisse lorsqu’ils qu’ils édictent des comportements s’opposant à la loi naturelle et qu’ils propagent de faux enseignements concernant la foi et les mœurs.

    Il semblerait que Mgr Theodore McCarrick, ancien archevêque de Washington, ait demandé à certains séminaristes et prêtres d’accomplir des actes contraires aux bonnes mœurs, abusant de son pouvoir en distribuant récompenses et de punitions. Il ne s’agit pas là d’une simple évocation du scandale des abus sexuels, mais de l’incapacité à y mettre un terme : on ne veut pas voir que la source du problème est dans l’effondrement de la morale sexuelle et l’on se refuse à crever cet abcès. 

    C’est aussi grave que si un évêque, s’appuyant sur le principe de « l’obéissance religieuse » que lui doivent les prêtres et les fidèles de son diocèse (Cf. Lumen Gentium, n.25), demandait aux fidèles et aux clercs placés sous son autorité d’opérer, en guise d’enseignement et de pastorale, une entorse à « la vérité de l’Evangile » (Cf. Gal 2, 14). Le cas échéant, les catholiques - et tout particulièrement les clercs - auraient, comme l’avait fait Paul face à Pierre, le devoir de « s’opposer ouvertement à lui parce qu’il [est] dans son tort » (Cf. Gal 2, 11).

    Malheureusement, tous nos pasteurs ne sont pas de la trempe de Saint Paul. Certains évêques pratiquent le libéralisme, c’est-à-dire la négligence et l’indifférence en matière de doctrine de la foi, quand ce n’est pas le relativisme, alors qu’en même temps ils se comportent avec autoritarisme en ne s’imposant qu’en usant de menaces et de sanctions face au catholique voulant demeurer fidèle à sa foi.

    En arrière-fond, on devine le processus de sécularisation de l’Eglise. Les catégories idéologiques que sont la « modernité » et le « conservatisme » opèrent une distorsion de notre perception lorsqu’il s’agit de faire une claire distinction, dans l’expression et la défense de la foi catholique, entre ce qui est orthodoxe et ce qui relève de l’hérésie.

    La sainte Communion ne peut être reçue dignement que par un chrétien baptisé qui vit en total accord avec le « Credo », c’est-à-dire avec la doctrine de l’Eglise Catholique, avec ses sacrements, et avec le pape et les évêques. A cela s’ajoute la Réconciliation avec Dieu et l’Eglise en cas de péché grave, sous forme du sacrement de la Pénitence ou d’une parfaite contrition avec la ferme volonté de confesser ses péchés à un prêtre dès que l’occasion se présentera. Par conséquent, en remettant au pape leur proposition concernant la réception de la communion par le conjoint protestant d’une union mixte - proposition très maladroite et mal préparée (de l’avis même de la Congrégation pour la doctrine de la foi en accord avec le pape François) - les évêques allemands ont clairement outrepassé leurs compétences doctrinales. 

    Lire la suite