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Jeunes - Page 32

  • Liège : reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

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    Reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

    172 adultes dont plus de 100 enfants ont participé à cette 14è édition d’Holywins. La plupart des enfants étaient déguisés en leur saint favori. On dénombrait également beaucoup d’anges. La bonne météo a participé au succès de cette belle journée autour de saint François d’Assise.

    L’après-midi s’est déroulée en trois parties. D’abord un grand jeu à la découverte de saintes et saints de la famille franciscaine autour de saint François d’Assise et de sainte Claire, au cours d’une balade dans le magnifique parc de la Chartreuse, voisin du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon à Liège. Les petites pièces de théâtre étaient jouées par des ados qui ont raconté les vies des saints du jour : saint Antoine de Padoue, sainte Claire et sainte Agnès, saint Maximilien Kolbe, sainte Maria Goretti, saint Padre Pio, sainte Elisabeth du Portugal et puis évidemment Saint François d’Assise. Ensuite, tout le monde s’est réuni dans l’église sainte Julienne pour un temps de rencontre de saint François, quelques joyeux chants de louange et un bref mais intense moment d’adoration. Enfin, un délicieux goûter a ponctué cette belle journée.

    « Ce qui m’émerveille à chaque fois, c’est l’émerveillement des enfants. Les parents étaient très heureux de ce qu’ils apprenaient et aussi de se balader dans ce magnifique parc de la Chartreuse », a dit Jean-Pierre Pire, le curé-doyen qui a participé à l’après-midi.

    « Nous sommes venus fêter les saints avec tous nos amis chrétiens, du ciel et de la terre. C’était l’occasion de super rencontres. Et puis quelle joie de voir que nos jeunes ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans les jeux et les animations », se réjouit Marianne.

    « Nous sommes contents car cette fête est une belle alternative. La Toussaint est la fête de la lumière, de la joie et de l’Amour de Dieu », dit Renzo.

    Plutôt la bonne soupe au potiron de grand-mère que les pommes pourries de la sorcière. Holywins est à la lumière ce qu’Halloween est à l’ombre. D’ailleurs, les fêtes Holywins se multiplient un peu partout dans le monde et en Belgique. Tant mieux. En avant les enfants de la lumière !

    Holywins est une initiative de membres et d’amis de la Communauté de l’Emmanuel et du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon.

    Si vous ne l’avez pas encore vu, voici le Reportage vidéo du média 1RCF Belgique :

    L’album photos :

    Cliquez sur l’image ou sur ce lien :

    unnamed.jpgLe podcast RCF dans lequel Jean explique le sens de Holywins :

    Retrouvez et partagez la joie d’Holywins sur les réseaux sociaux :

    Site : https://www.saintejulienne.org/?page_id=1646
    Page Facebook : 
    https://www.facebook.com/HolyWinsBelgique
    Page Youtube : 
    HolyWins
    Compte Instagram: 
    Holywins_belgium

  • Pour la paix liturgique : comment noyer le poisson Traditionis Custodes ?

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    Voici la méthode de Mgr Aillet, évêque de Bayonne, diffusée par le site de la revue « L’Homme nouveau » :

  • Les Scouts d’Europe offrent un terrain particulièrement favorable à l’évangélisation

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    De Mathilde de Robien sur Aleteia.org :

    Les Scouts d’Europe, un terrain favorable à la mission

    02/11/22

    Dans leur manière d’aller à la rencontre et d’accueillir des jeunes de tous horizons, puis de les aider à grandir humainement et spirituellement, les Scouts d’Europe offrent un terrain particulièrement favorable à l’évangélisation.

    Chef de troupe pendant trois ans, puis tout autant chef de clan, Rémi de Saint Albin, 27 ans, toujours engagé dans le mouvement, a vu grandir et s’épanouir de nombreux scouts, d’horizons et de profils très variés. « La pédagogie scoute révèle des choses merveilleuses dans chaque jeune. Elle porte des fruits incroyables, notamment chez les jeunes les plus éloignés de la foi ou de la vie au grand air ! », témoigne-t-il. Un constat que partage également le mouvement, convaincu que la pédagogie élaborée par Baden Powell fait éclore le meilleur chez les jeunes qui s’engagent dans le scoutisme.

    Une merveilleuse école de vie qui permet à des jeunes de 8 à 19 ans de grandir dans toutes les dimensions de leur être : corps, esprit et âme. « Plus j’avance dans la connaissance de la pédagogie scoute, plus je suis émerveillée par cette méthode éducative intégrale qui vise à faire de nos jeunes des catholiques et des citoyens heureux et engagés », confie Myriam Cocquet, Commissaire générale Guides depuis mai 2020. Un trésor que les Scouts d’Europe désirent partager au plus grand nombre, et qui les pousse à être de véritables missionnaires.

    Lire la suite sur Aleteia.org

  • Nos enfants ont le droit de bénéficier d'une parentalité ferme et bienveillante qui leur donne la possibilité de bien grandir

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    Une carte blanche publiée sur le site de la Libre :

    La parentalité exclusivement positive ne respecte pas le développement psychologique de l'enfant

    Quand va-t-on se rendre compte que cette parentalité qui veut faire l'économie de l’éducation, est un manquement grave aux droits des enfants? Ce sont des limites fermes et bienveillantes qui permettront aux enfants de sortir de leur toute-puissance infantile, de devenir des adultes autonomes.

    Contribution externe

    28-10-2022

    Une carte blanche signée par six spécialistes, belges et français, de la psychiatrie et de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent (voir la liste des signataires ci-dessous)

    Récemment, une représentante du Conseil de l'Europe aurait exprimé, selon certaines sources, l'hypothèse de déconseiller le 'time-out' pour nos enfants (ou « temps mort » c’est-à-dire le fait de les isoler pour qu’ils se calment ou pour les punir), considérant cette technique d’éducation comme trop violente alors même qu’elle est recommandée par de nombreuses instances internationales (1). Cette expression en a choqué plus d'un. Elle incarne en effet les dérives d’une parentalité « exclusivement » positive.

    Tandis que la parentalité positive allie deux vecteurs essentiels au développement de l’enfant, à savoir la bienveillance ET la fermeté (Daly, 2006), la parentalité dite « exclusivement » positive qui voit dans toute fermeté, contrainte ou effort exigé, une forme de violence faite aux enfants, gagne du terrain. Si la parentalité positive doit agir comme point de repère-phare tant pour les professionnels que pour les parents, la dérive de la parentalité « exclusivement » positive (Larzelere et al., 2017), doit quant à elle être dénoncée et endiguée.

    Les premiers à souffrir de cette parentalité sont les enfants qui souffrent de ne pas être aidés à grandir, se sentant abandonnés par des adultes à l’attitude exclusivement empathique, à qui on fait croire qu’un enfant peut se contenir, se limiter, s'éduquer, s'élever tout seul. On parle de leur retirer les limites et le cadre dont ils ont besoin pour se construire. Cette parentalité-là menace les droits fondamentaux de l’enfant. Et pourtant, les adeptes de la parentalité exclusivement positive, tentent encore de reculer les limites du possible en matière d’éducation.

    Les enfants ne sont pas les seules victimes de cette parentalité. Les parents le sont également et nombreux sont ceux qui se sentent démunis face à la proposition de la représentante au conseil de l’Europe. Ils se trouvent menottés dans l’exercice de leur autorité, paralysés par la crainte de blesser leur enfant de façon irrémédiable en l’exposant à un cadre ferme. Il en est de même pour les professionnels de la santé mentale dont les consultations se remplissent de jeunes patients souffrant des conséquences de cette dérive, entre narcissisme, toute-puissance, intolérance à la frustration et émergence de pathologies psychiatriques graves.

    Les enseignants voient leur santé mentale et parfois physique affectée face à des enfants exprimant de plus en plus fort des « besoins » de plus en plus complexes. Les enseignants sont facilement critiqués pour ne pas être à la hauteur des besoins de l’enfant ou pour y répondre de manière inappropriée, voire violente. On leur en demande toujours plus et particulièrement, d’exercer leur métier de pédagogue et d’éducateur avec une bienveillance excluant toute contrainte et tout effort imposé aux enfants.

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  • 1.250 jeunes ont participé au Festival JMJ a l’abbaye de Maredsous

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    De RCF sur youtube :

  • Liège, 30 octobre : 14ème HolyWins "En avant les enfants, fêtons les saints!"

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    Lumières ! 14ème #HolyWins #Toussaint

    Bons congés de la Toussaint !
    Vous vous demandez comment occuper vos enfants dans un cadre idéal, en bonne compagnie avec une activité plus lumineuse que ténébreuse ? 

    Nous avons la solution idéale pour vous: venez fêter Holywins le dimanche 30 octobre 2022 à 14h, la fête de tous les saints en famille ! Au programme:

    • Grand jeu avec tous les enfants dans le jardin du Sanctuaire
    • Louange suivi d'un temps d'adoration avec les enfants
    • Garderie pour les plus petits
    • Grand goûter autour d'un chocolat chaud et de gaufres

    Voici le petit reportage vidéo de 1RCF Belgique sur HolyWins 2021 qui avait rassemblé environ 200 participants:

    Dans une société qui élude souvent la question de la mort, la fête d’Halloween a le mérite de nous interroger sur ce thème, mais sans autres références que celles empruntées à des rituels morbides et macabres. C’est pourquoi HolyWins met en valeur la fête de la Toussaint, fête de la sainteté, et rappele qu’elle est habitée par l’Espérance.

    A la Toussaint, l’Eglise célèbre tous les saints – connus ou anonymes – qui sont vivants auprès de Dieu. Selon la foi chrétienne, la mort constitue en effet un passage vers la vie éternelle à la suite du Christ. Soutenus par cette espérance, les croyants se rappellent le lendemain 2 novembre les défunts de leur famille.

    Formulaire d'inscriptionInformations utiles :

    • Quand ? Dimanche 30 octobre 2022, de 14h à 18h
    • Où ? Sanctuaire Sainte Julienne de Cornillon, rue de Robermont 2, 4020 Liège
    • Qui participe ? Enfants accompagnés de leurs parents, grand-parents ou catéchistes
    • PAF ? 20 eur par famille ou groupe de max 4 personnes adultes ou enfant. Prix de 4 eur/personne pour un groupe de plus de 4. Vous pouvez payer par banque sur notre compte IBAN BE57 0689 4175 4435, ASBL Sainte Julienne. Il est aussi possible de payer sur place.
    • Qui organise ? Holywins est organisé par des familles et amis de la Communauté de l'Emmanuel et du Sanctuaire de sainte Julienne

    Merci de vous inscrire via le lien ci-dessous, et/ou de faire suivre l'e-mail à ceux de votre entourage qui pourraient être intéressés: amis, famille, voisins,...

    Infos et inscriptions: https://www.saintejulienne.org/?page_id=1646

    Formulaire d'inscriptionEmailWebsiteFacebookInstagramYouTube

  • Belgique : retour sur l'euthanasie de la jeune Shanti

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    De Stefano Chiappalone sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    L'euthanasie de l'espoir : le "cas Shanti" révèle l'abîme des droits civils

    11-10-2022

    Après avoir survécu à une attaque terroriste de l'organisation Etat islamique, Shanti De Corte, une Flamande de 23 ans, a été traumatisée au point de demander l'euthanasie, avec le consentement de ses parents. Il y avait des alternatives, selon un neurologue. Mais sans perspective de vie après la mort, on finit par rejeter la réalité, également constituée de drames, et par s'échapper par tous les moyens, y compris la mort.

    Le 7 mai, Shanti De Corte, une jeune Flamande de 23 ans, est décédée par euthanasie, entourée de ses parents qui ont suivi son choix. La nouvelle s'est répandue ces jours-ci, alors que même la Cour européenne des droits de l'homme, qui a approuvé l'euthanasie pour les personnes dépressives, a dû déplorer le laxisme de la Belgique en matière de contrôle a posteriori des procédures d'euthanasie et les conflits d'intérêts entre ceux qui devraient contrôler et les militants de la "mort douce".

    Shanti a demandé à mourir non pas à cause d'une maladie physique incurable, mais à cause d'un mal plus caché qui la rongeait de l'intérieur, qui a éclaté après le tragique attentat d'Isis à l'aéroport de Bruxelles le 22 mars 2016, dans lequel elle a également perdu des camarades de classe, en plus du choc de l'événement lui-même. La jeune fille avait survécu, mais - déjà éprouvée par des problèmes antérieurs, eux aussi de nature psychologique - elle n'avait pas pu se remettre depuis.

    Depuis, Shanti a vécu un calvaire de six ans, comprenant des hospitalisations, des médicaments et même une tentative de viol à l'hôpital. En 2020, elle a tenté de mettre fin à ses jours. Elle se sentait "comme un fantôme qui ne peut plus rien ressentir". Sa mère a raconté que c'était "une bataille qu'elle ne pouvait pas gagner". Elle était tellement limitée par la peur qu'elle ne pouvait plus faire ce qu'elle voulait. Elle vivait dans une peur constante et avait complètement perdu son sentiment de sécurité. Chaque fois que Shanti sortait, elle était toujours sur le qui-vive. Ne suis-je pas en danger ? Est-ce que quelque chose pourrait arriver ?".

    Jusqu'à la décision extrême : "Après une grave tentative de suicide, elle s'était retrouvée aux urgences. C'était la première fois qu'elle me demandait : "Pourquoi je ne peux pas mourir ?". Sa mère a répondu qu'elle ne voulait pas la perdre mais qu'elle comprenait en quelque sorte sa demande. Être là et la soutenir "est la seule chose que vous pouvez faire en tant que mère", a-t-elle confié, "vous continuez à espérer que ça va marcher, mais en même temps, j'ai senti dès le début que c'est ce qu'elle voulait vraiment". Enfin, la décision de Shanti était aussi la sienne : "J'ai réalisé que Shanti devrait passer ses dernières années à survivre, et qu'il n'était pas possible pour elle de continuer à vivre comme ça".

    Une décision prématurée, cependant, selon le neurologue Paul Deltenre, de la clinique Brugmann à Bruxelles, qui a exprimé les préoccupations médicales et éthiques soulevées par cette affaire et, en général, par la loi permissive sur l'euthanasie en Belgique. Alors que la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie s'est retranchée derrière la rectitude formelle, déclarant que "la jeune fille était dans un tel état de souffrance psychique que sa demande était logiquement accordée", selon le neurologue Deltenre, l'affaire n'aurait pas dû être poursuivie, car ce n'était de loin pas la seule solution. Sur son rapport, la justice anversoise a ouvert une enquête.

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  • Le discours du pape aux jeunes catholiques belges reçus en audience le 10 octobre 2022

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    Le Pape François a reçu en audience près de 300 jeunes catholiques Belges en salle Clémentine du Palais apostolique, lundi 10 octobre. Dans le sillage de son exhortation apostolique post-synodale aux jeunes, Christus Vivit, parue en mars 2019, le Souverain pontife a exhorté la jeunesse catholique belge à ne pas craindre la vulnérabilité et à être porteurs de joie et d’Évangile, dans un contexte de sécularisation croissante. (vaticannews.va)

    DISCOURS DU PAPE FRANÇOIS AUX JEUNES CATHOLIQUES DE BELGIQUE

    source 

    Chers amis,

    je suis très heureux de vous accueillir et de vous rencontrer. Je vous salue avec affection et, à travers vous, j’exprime ma proximité spirituelle aux jeunes engagés dans leurs communautés chrétiennes et leurs paroisses de Belgique.

    J’admire l’audace de votre foi, votre engagement et votre témoignage chrétien dans une société qui, nous le savons, est de plus en plus sécularisée. Comme c’est beau de voir des jeunes de votre âge prêts à se dépenser dans des projets d’évangélisation et à vivre le message évangélique au milieu de vos occupations quotidiennes. Vous êtes non seulement l’avenir de l’Église, non, non pas seulement ça, mais surtout et surtout le présent, car elle a besoin de vous, parce que l’Église est jeune : elle a besoin de votre générosité, de votre joie, de votre volonté de construire un monde différent imprégné de valeurs de fraternité, de paix, de réconciliation et d’ouverture.

    Vous faites l’expérience de la joie, de l’enthousiasme mais parfois aussi de la peur, de difficultés, de blessures, de confrontation à ses limites, de remises en cause. N’aie pas peur des crises, car les crises nous font grandir. Ils te mettent devant diverses situations et tu dois aller de l’avant et résoudre des problèmes. Ne confonds pas crise et conflit : le conflit te ferme, la crise te fait grandir. C’est pourquoi votre relation avec le Christ doit être solide. Il est l’Ami fidèle qui ne déçoit jamais. La rencontre avec Jésus vous permet de porter un regard neuf sur vos situations, de trouver des réponses à vos questions, de vous découvrir capables de prendre des responsabilités, d’avancer dans la vie et de consolider votre foi par un échange réciproque sur vos convictions. Aussi, n’ayez pas peur d’accepter votre vulnérabilité, votre faiblesse, et cela, le faire avec humilité : “ce sont mes limites, mais allons de l’avant”. “Père, je suis un névrosé, ou je suis une névrosée...”. Réjouis-toi d’être névrosée et avance, sans crainte. Vous n’avez pas besoin d’être des super héros mais plutôt de personnes sincères, vraies et libres dont les autres ont besoin.

    Comme ambassadeurs de la jeunesse belge pour les préparatifs des Journées Mondiales de la jeunesse au Portugal en 2023, je vous invite à cultiver la proximité à tous les jeunes, particulièrement à ceux qui vivent dans des situations précaires, aux jeunes migrants et réfugiés, aux jeunes de la rue, sans oublier les autres, surtout ceux qui font l’expérience d’une vie de solitude et de tristesse.

    Je sais que vous avez soif d’une Église vraie et authentique constituée d’hommes et de femmes ayant une foi vivante et contagieuse. Alors posez-vous la question : qu’est-ce que j’apporte personnellement à cette fin, quelle est ma contribution pour une communauté chrétienne joyeuse ? La joie doit toujours être là, parce que, vous savez, les chrétiens avec des visages de funérailles ne vivent pas, ils ne sont pas chrétiens. Si tu es chrétien, tu auras la joie.

    Cher jeune, une chose très importante : laisse-toi éclairer par les conseils et le témoignage des anciens. En effet, « là où les jeunes parlent avec les personnes âgées, il y a un avenir ; si ce dialogue n’existe pas entre les personnes âgées et les jeunes, l’avenir ne s’entrevoit pas clairement » (Audience générale, 17 août 2022). Dialoguer avec les racines, avec les personnes âgées, avec ceux qui nous ont précédés, et nous, aller de l’avant. C’est en grandissant sous le regard bienveillant et attentionné des anciens que nous nous forgeons une personnalité solide pour les luttes quotidiennes et, de plus, ils nous transmettent la foi et leurs convictions religieuses. Chers jeunes, l’une de ses luttes est celle pour la paix. Vous le savez bien, nous vivons des moments difficiles avec notre humanité qui est en grand péril.  Nous sommes en grave péril. Alors vivez-la autour de vous et en vous. Soyez donc des ambassadeurs de la paix pour que notre monde redécouvre la beauté de l’amour, du vivre ensemble, de la fraternité, de la solidarité. Je te rappelle que ta vie « est un engagement concret, à partir de la foi, pour la construction d’une société nouvelle, elle consiste à vivre au milieu du monde et de la société, pour faire grandir la paix, la cohabitation, la justice, les droits humains, la miséricorde, et étendre ainsi le Règne de Dieu dans le monde » (Christus vivit, n. 168).

    Face à tous ces défis, vous pouvez vous décourager, vous sentir incapables, sans armes et impuissants, c’est vrai. N’ayez pas peur ! N’ayez pas peur ! Soyez créatifs, soyez inventifs ! Relevez la tête ! Faites face au défi de la vie ! Chers amis, comblés des grâces du Seigneur et sous l’action de l’Esprit Saint, « n’attendez pas demain pour collaborer à la transformation du monde avec votre énergie, votre audace et votre créativité » (ibid., n. 178).

    Chères filles et chers garçons, je vous en prie : ne vous lassez jamais d’être les porteurs de l’Évangile partout où vous allez. Je sais que vous êtes généreux, je sais que vous êtes pleins d’enthousiasme et prêts à conquérir le monde. Ne vous laissez pas distraire par les choses futiles de la vie, et elles sont nombreuses ! Concentrez-vous sur l’essentiel qui découle de l’amitié profonde avec Jésus-Christ.

    Je vous encourage et vous félicite pour le travail que vous faites dans les communautés chrétiennes et les paroisses. Vous confiant à la sollicitude maternelle de la Vierge Marie, Notre Dame du Rosaire, et à l’intercession des jeunes saints, je vous accompagne tous avec ma bénédiction, ainsi que vos familles et toute la jeunesse belge. Et s’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi, j’en ai besoin. Merci !

  • Liège : les Jeunes musiciens du Judd School (Kent, UK) vous invitent à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège) le samedi 22 octobre 2022 à 17h00. Entrée libre.

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    Liège

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    Un concert pour toutes les familles, le samedi 22 octobre 2022 à 17 heures:

    Musique classique et chorale par les jeunes musiciens de la Judd School du Kent (U.K.)

    Oeuvres de Bach, Vaughan, Williams, Poulenc, Strauss

     Entrée libre 

    Plus de renseignements :

    sursumcorda@skynet.be  Tel 04 344 10 89 •

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  • Belgique : Shanti (23 ans) s'est fait euthanasier

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    Du HuffPost :

    Attentats de Bruxelles : une victime choisit l’euthanasie face à ses souffrances psychologiques

    Shanti De Corte, jeune étudiante flamande, faisait partie des victimes de l’un des attentats survenu le 22 mars 2016 à l’aéroport de Bruxelles National.

     
    Incapable de se remettre du traumatisme vécu durant l’attentat de l’aéroport de Bruxelles, Shanti De Corte a eu recours à l’euthanasie. (Photo d’illustration)

    BELGIQUE - C’est un récit éprouvant mais important qui émane de la presse belge ce mercredi 5 octobre. Âgée de seulement 23 ans, Shanti De Corte, a décidé de recourir à l’euthanasie, après un long parcours thérapeutique et hospitalier pour tenter de se remettre de l’attentat survenu sous ses yeux dans le hall des départs de l’aéroport de Bruxelles National.

    Comme le raconte la RTBF, la jeune flamande a choisi de mettre un terme à sa vie, entourée de sa famille le 7 mai 2022, près de six ans après avoir été témoin de l’un des attentats survenu à Bruxelles le 22 mars 2016, à l’aéroport de Bruxelles National. Sortie indemne de cette attaque terroriste ayant causé la mort de 18 personnes (dont deux terroristes) et fait au moins 92 blessés, la jeune femme a suivi un long parcours pour se remettre de cet épisode traumatisant, en vain.

    Questionnée par le média belge, la Commission fédérale de contrôle et d’évaluation de l’euthanasie explique que la loi a bien été respectée et que la « jeune fille était dans une souffrance psychique telle que sa demande a été logiquement acceptée ». Toujours selon le journal, une information judiciaire concernant cette euthanasie a été ouverte au parquet d’Anvers, sans que l’information ne puisse être confirmée pour l’heure.

    « De sérieux troubles psychologiques avant l’attentat »

    Lors de ce jour de mars 2016 décisif dans la vie de Shanti De Corte, elle devait prendre l’avion pour un séjour scolaire à Rome. Un voyage qu’elle n’effectuera jamais et qui se transformera en long chemin de croix pour la Flamande, sortie traumatisée de l’attentat.

    « Il y a certains élèves qui réagissent plus mal que d’autres à des événements traumatisants. Et pour l’avoir eue deux fois en entretien, je peux vous dire que Shanti De Corte faisait partie de ces élèves fragiles. Pour moi c’est clair, elle avait déjà de sérieux troubles psychologiques avant l’attentat. Je l’ai donc aiguillée vers la psychiatrie », raconte à la RTBF la psychologue de l’école ayant pris en charge les élèves après l’attentat revendiqué par l’État islamique.

    Rapidement, Shanti est hospitalisée dans une structure psychiatrique pour soigner ses souffrances psychologiques. « Avec tous les médicaments que je prends, je me sens comme un fantôme qui ne ressent plus rien. Il y avait peut-être d’autres solutions que les médicaments », écrivait-elle alors sur son mur Facebook, déjà habituée à ce type de séjour en psychiatrie avant même l’attentat de l’aéroport.

    « Je vais maintenant partir en paix »

    La convalescence de Shanti De Corte prend une autre dimension entre 2018 et 2020. Victime d’une tentative d’agression sexuelle par un patient de l’hôpital où elle est internée, cela ne l’empêche pas de prendre la parole pour témoigner de son parcours. Des hauts et des bas qui conduiront finalement la jeune fille à tenter de se donner la mort en 2020, avant d’enchaîner « plusieurs demandes d’euthanasie pour souffrance psychique inaltérable », toutes refusées.

    C’est en avril 2022 que Shanti dépose une nouvelle « demande d’euthanasie pour souffrance psychiatrique irrévocable ». Une demande finalement acceptée avant sa mise en œuvre début mai. Mettant un terme définitif à ses profondes souffrances.

    « J’ai ri et j’ai pleuré. Jusqu’au tout dernier jour. J’ai aimé et j’ai eu le droit de ressentir ce qu’était le véritable amour. Je vais maintenant partir en paix. Sachez que vous me manquez déjà », livre-t-elle comme ultime message sur son compte Facebook qui lui servait aussi de journal de bord dans sa vie.

    Un recours à l’euthanasie qui suscite toutefois quelques débats en Belgique, après le refus de Shanti de participer à une semaine thérapeutique organisée à Ostende par une autre victime de l’attentat de 2016. « Il n’y avait rien à perdre à accepter l’offre de soin proposée par l’équipe thérapeutique ostendaise » estime le neurologue au CHU Brugman Paul Deltenre, lié au dossier médical de Shanti.

  • Marche pour la vie à Salzbourg; le plus fondamental des droits de l'homme est le droit à la vie

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    Lu sur kath.net/news :

    Marche pour la vie à Salzbourg -Le plus fondamental des droits de l'homme est le droit à la vie.

    5 octobre 2022

    Salzbourg (kath.net/pm) La "Jeunesse pour la vie" ne se lasse pas de descendre dans la rue pour défendre le droit humain le plus fondamental : Le droit à la vie de chaque être humain. Après sa traditionnelle action estivale, le Pro Life Tour et le lancement des "40 jours pour la vie" à Vienne, elle a mobilisé environ 300 manifestants samedi dernier, le 1er octobre, à Salzbourg.

    La marche a débuté par la célébration de la sainte messe à l'église catholique grecque ukrainienne de St. Markus. Le Dr Manfred Müller, qui est notamment l'auteur du livre "Mehr Licht - Heilung nach Wunden einer Abtreibung" et membre du comité directeur des "Prêtres pour la vie", a célébré avec les participants à la marche. "Le premier et le plus fondamental de tous les droits est le droit inviolable à la vie de tout être humain innocent". C'est en ces termes que Müller a cité l'encyclique Evangelium vitae du pape Jean-Paul II.

    Aujourd'hui, le plus grand destructeur de la paix est le cri de l'enfant innocent qui n'est pas encore né.

    A la fin de la sainte messe, une jeune femme s'est avancée : Myroslava Mashkarynets, porte-parole de la "Jeunesse pour la vie". Cette Autrichienne d'origine ukrainienne a souligné qu'elle était très touchée de célébrer la messe de la Marche pour la vie précisément dans l'église ukrainienne gréco-catholique. Depuis le début de la guerre, elle travaille en étroite collaboration avec des réfugiés et craint également pour les membres de sa famille vivant en Ukraine. Sans vouloir minimiser la souffrance des personnes vivant dans la guerre, elle a souligné qu'il existe également une souffrance indicible en Autriche. Elle a lu une citation tirée du discours de Mère Theresa pour le prix Nobel de la paix :

    "Le plus grand destructeur de la paix aujourd'hui est le cri de l'enfant innocent à naître. Si une mère peut assassiner son propre enfant dans son propre sein, quel pire crime y a-t-il que de s'entretuer ? ? Mais aujourd'hui, des millions d'enfants à naître sont tués, et nous ne disons rien. ? Pour moi, les nations qui ont légalisé l'avortement sont les pays les plus pauvres. Ils ont peur des petits, ils ont peur de l'enfant à naître".

    Mashkarynets a appelé à la solidarité, non seulement avec les personnes frappées par la guerre, mais aussi avec les enfants à naître, leurs parents et leurs familles.

    Anna a ouvert notre cœur à l'amour

    Malgré la pluie battante, les quelque 300 participants à la marche ont répandu une véritable joie de vivre dans les rues du centre-ville de Salzbourg avec des pancartes colorées portant des inscriptions telles que "Droits de l'homme avant et après la naissance", "Aime-les tous les deux" et "Souris s'il te plaît, ta mère a choisi de t'aimer". Un jeune homme, qui a lui-même été confronté involontairement au thème de l'avortement, a livré un témoignage touchant. Lui et sa femme avaient décidé de donner la vie à leur enfant Anna, atteinte de trisomie 13, contre l'avis des médecins.

    "Que l'enfant soit avorté, c'est votre femme qui décide !", se souvient le père en évoquant les paroles douloureuses et insensibles du médecin. "Votre enfant ne survivra pas à la 30e semaine de grossesse et 90% des femmes mettraient fin à leur grossesse si elles étaient à votre place", ajoutait-on. Contre le pronostic des médecins, Anna était une battante qui a dépassé toutes les attentes et a survécu à la grossesse et à l'accouchement.  Les parents ont pu passer encore près d'un an avec leur enfant bien-aimée avant qu'elle ne s'endorme paisiblement. "J'aimerais encourager tous les parents confrontés à un pronostic similaire. Choisissez la vie. Notre Anna a appris à nous aimer inconditionnellement", a déclaré le jeune père.

    Pleins d'espoir, de couleurs et de vie - par cette attitude, les participants à la marche veulent encourager et montrer aux femmes et aux hommes en conflit avec leur grossesse : Tu n'es pas seul ! Il y a toujours des alternatives à l'avortement !

    Le courage de tenir un discours public dans notre société fait défaut !

    En Autriche, l'avortement est dépénalisé jusqu'à la douzième semaine de grossesse. Après la douzième semaine de grossesse, les bébés peuvent être avortés jusqu'au début des contractions de l'accouchement, si l'on soupçonne par exemple un handicap. Dans les débats publics, le sujet est souvent abordé de manière subjective, en raison de l'absence de statistiques objectives et de recherches sur les motifs de l'avortement en Autriche. En outre, on ne sait pas ce qu'il advient des restes des embryons.

    Les associations de protection de la vie, comme la "Jeunesse pour la vie", insistent depuis des années sur la collecte de données précises et sur une meilleure information sur le thème de l'avortement, afin de mieux soutenir les femmes et les hommes en conflit avec leur grossesse et de les protéger contre l'avortement. Par des actions telles que la "Marche pour la vie", la "Jeunesse pour la vie" revendique l'inclusion, même avant la naissance, et souhaite renforcer la capacité des femmes à décider pour leur enfant. La "Jeunesse pour la vie" ne cesse d'attirer l'attention sur le fait qu'il existe de nombreux problèmes et "points aveugles" autour du thème de l'avortement, auxquels la politique, mais aussi la société, doivent s'attaquer.

    Photo : Marche pour la vie Salzbourg 2022 (c) Eduard Pröls/Jeunesse pour la vie

  • L’enfant trans, un nouveau produit marketing ?

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    Du site de l'hebdomadaire Famille Chrétienne :

    « L'enfant trans est devenu le nouveau produit marketing »

    Pauline Quillon, journaliste à Famille Chrétienne est l'auteur de Enquête sur la dysphorie de genre. Bien comprendre pour aider vraiment les enfants (Mame).

    Comment l’idéologie transgenre peut-elle connaître aujourd'hui un tel succès, alors que le fait existait de façon très marginale dans le débat public ?

    La marche progressiste de nos sociétés en faveur de la reconnaissance du droit qu’auraient les enfants à « autodéterminer » leur genre est un phénomène mondialisé. Non seulement elle se produit dans tout le monde occidental, mais elle répond de surcroît à une volonté explicite des organisations internationales. En 2006, un groupe d’experts des droits humains réunis en Indonésie a signé les vingt-neuf principes de Jogjakarta qui portent sur les normes juridiques internationales non contraignantes auxquelles tous les États devraient idéalement se conformer en ce qui concerne l’orientation sexuelle et l’« identité de genre » et dont s’inspirent les institutions internationales (l’ONU, le Conseil de l’Europe) qui, à leur tour, les recommandent aux pays du monde.

    Sous quelle autorité ?

    Ces experts n’ont aucun mandat, aucune autorité, mais leurs principes servent de référence juridique et de boussole morale. En 2017, ce groupe y a ajouté dix principes et obligations des États, qui portent sur « l’expression de genre ». On y trouve l’obligation d’accepter le changement de prénom et de sexe à l’état civil à tout âge (principe 31), l’obligation de protéger le droit de tout enfant à l’autodétermination (principe 32), ou de « veiller à ce que toutes les écoles et autres institutions offrent des installations sanitaires sûres » (principe 33). À savoir, les recommandations mêmes de la circulaire Blanquer.…

    Sait-on tout de même qui, exactement, tire les ficelles de ce phénomène mondialisé ?

    Un lobbying intense serait présent au sein des institutions européennes. En 2020, le Centre européen pour le droit et la justice (ECLJ), ONG chrétienne conservatrice dirigée par Gregor Puppinck, a étudié la Cour européenne des droits de l’homme, et notamment le « pedigree » de ses quarante-sept juges. Cette étude, révélée par l’hebdomadaire Valeurs actuelles en février 2020, démontre que cette Cour est infiltrée par des juges qui sont liés à l’Open Society Foundations du milliardaire américano- hongrois George Soros. Sur les cent juges qui y ont siégé entre 2009 et 2019, l’ECLJ en a compté vingt-deux.

    Qu’est-ce que cette Open Society ?

    L’Open Society milite activement pour le droit des personnes trans à changer légalement de sexe. En 2014, elle a produit un rapport, « License To Be Yourself », qui se présente comme un texte ressource pour les activistes du monde entier œuvrant pour les droits des personnes trans et pour l’évolution des législations en faveur du changement de sexe à l’état civil, y compris pour les enfants.

    Il est étonnant cependant que le mouvement trans ait obtenu en quelques années seulement une visibilité et des conquêtes législatives telles qu’il a fallu plusieurs décennies pour les mouvements de défense des femmes et des homosexuels pour en obtenir de comparables.…

    Michael Biggs, professeur de sociologie à Oxford, a creusé la question. La raison, selon lui, tient au soutien financier massif d’une poignée de milliardaires. Parmi eux, George Soros, que je viens d’évoquer, dont l’OSF est le principal donateur des causes trans. L’OSF a ainsi accordé des subventions d’une valeur de 3,07 millions de dollars pour 2016-2017 ! ONG, partis politiques, institutions internationales sont nombreux à recevoir de l’argent de la part de milliardaires ou de compagnies pharmaceutiques.

    Quelles sont leurs motivations à donner ces sommes faramineuses ?

    Contrairement aux autres mouvements de défense des minorités, le lobby trans ne semble pas émaner d’une minorité opprimée, mais bien plutôt d’une petite minorité ultra-capitaliste qui pourrait trouver un intérêt financier à promouvoir l’idéologie transgenre et à banaliser la transformation des corps par la chirurgie et les produits chimiques. Se promeut une figure qu’elle présente sous le masque séduisant de la réalisation de soi et du courage.

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