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Jeunes - Page 34

  • La liberté d'enseignement gagne dans les écoles américaines

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    De Luca Volonte sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    L'AUTRE VOTE
    La liberté d'enseignement gagne dans les écoles américaines

    14-11-2022

    Outre le Mid Term aux États-Unis, il y a eu des élections beaucoup moins visibles, mais non moins importantes : le renouvellement des conseils scolaires au niveau du comté et de l'État. Les conservateurs ont enregistré une nette victoire, grâce à l'activisme d'associations telles que "Mères pour la liberté". Contre l'endoctrinement de la théorie critique de la race et de la théorie du genre.

    Aux États-Unis, les organisations locales et nationales qui se consacrent à la défense des droits parentaux dans le domaine de l'éducation célèbrent des succès significatifs dans de nombreux États dont les comtés ont renouvelé la représentation des parents dans les conseils scolaires. Ce vaste réseau national d'associations et d'organisations pour la liberté de choix de l'éducation remporte des succès étonnants, si l'on considère que la plupart d'entre elles ont été fondées au cours des deux dernières années pour défendre l'éducation et les droits de leurs enfants dans un système scolaire public de plus en plus imprégné d'idéologies "raciales", LGBTI et anti-historiques (woke).

    L'année dernière, en Virginie, grâce au soutien de nombreuses organisations locales de parents qui protestaient dans l'État contre l'endoctrinement subi par leurs enfants, Glenn Youngkin, candidat républicain et partisan des droits parentaux et de la liberté d'enseignement, a été élu gouverneur de l'État, après dix ans de "règne" ininterrompu des démocrates. Un signal important et significatif qui a anticipé les succès de ces derniers jours. Pour défendre les libertés et les droits des parents et des enfants, on trouve des organisations purement juridiques comme l'ADF, des cabinets de conseil technico-organisationnel comme la Fondation pour les droits parentaux, des plateformes d'information ("NoLeftturn" dans l'éducation) mises à jour en temps réel sur tout ce qui se passe dans le domaine des abus éducatifs perpétrés par la gauche dans les écoles publiques et privées, mais aussi des organisations et des réseaux électoraux. En particulier les "Mamans pour la liberté", des groupes de parents qui font campagne localement pour plus de transparence dans l'éducation et pour pouvoir publier (et éventuellement contester) les programmes des écoles publiques, et le "1776 Project PAC", un groupe d'intellectuels et d'experts en philosophie et en histoire qui soutiennent les parents opposés à la TRC (la "théorie critique de la race" qui propage une éducation et une scolarisation discriminatoires envers les blancs) ont vu plusieurs des candidats qu'ils soutiennent remporter des sièges dans les conseils scolaires des comtés de tous les États et renforcer par leur présence les droits à la liberté d'enseignement et au respect des parents.

    Les succès de ces organisations de parents dans des États comme le Maryland, l'Indiana et le Michigan ont changé les majorités dans plusieurs conseils scolaires, même en Floride les associations de parents ont gagné des majorités historiques dans tous les conseils scolaires de comté de l'État. "La nuit dernière a été une nuit décevante pour l'élection de membres républicains du Congrès dans de nombreuses régions du pays, mais nous sommes heureux de dire que nous avons remporté un grand succès dans des courses clés en Floride, au Michigan, en Oklahoma, en Ohio et dans le Maryland, qui étaient de loin les endroits les plus importants que nous ciblions", a déclaré Aiden Buzzetti, responsable de la coalition des candidats pour '1776 Project PAC'.

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  • Bruxelles ("aux Minimes"), 26 novembre : Journée pour la Vie

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    La Paroisse des Saints Jean et Étienne « aux Minimes » vous invite le samedi 26 novembre à une « Journée pour la Vie » :

  • "Dé-transition" : Oli London,  témoigne de sa conversion au christianisme

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    De Edie Heipel sur The Catholic World Report :

    Dé-transition : Oli London,  témoigne de sa conversion au christianisme

    5 novembre 2022

    Alors que de plus en plus d'hommes et de femmes partagent publiquement leurs histoires sur la façon dont ils ont "dé-transitionné", ou inversé leurs transitions de genre, un homme parle de la façon dont son expérience l'a conduit au Christ.

    Le chanteur britannique et influenceur viral sur les médias sociaux Oli London attribue à la Bible la nouvelle vie qu'il mène et le fait d'avoir pu "s'accepter" tel que Dieu l'a fait. "En fait, cela a en quelque sorte sauvé ma vie. Elle m'a ramené à qui je suis en tant que personne, en trouvant Dieu", a déclaré London à CNA jeudi.

    Les "problèmes d'identité" sont à l'origine de la transition

    Dès l'âge de 13 ans, London a expliqué à CNA qu'il a lutté contre la dysmorphie corporelle et les "problèmes d'identité", ce qui l'a conduit à détester son apparence. Il a été victime d'intimidation à l'adolescence parce qu'il était en surpoids.

    London, qui a maintenant 32 ans, réside à Londres, en Angleterre.

    "Je suis sûr que beaucoup de jeunes peuvent s'identifier à cela. À l'école, parfois, nous sommes tous victimes d'intimidation à cause de notre apparence ou de ce que nous sommes", a déclaré London. "Mais c'est un peu ce qui a stimulé mon parcours au départ - le fait d'avoir cette sorte de haine de moi-même."

    Après avoir déménagé en Corée du Sud pour enseigner l'anglais en 2013, London dit avoir été "bombardé" de messages sur la façon dont la chirurgie plastique pouvait transformer ceux qui étaient "jugés pas beaux".

    La Corée du Sud est la "capitale mondiale de la chirurgie plastique", réalisant 24 % des retouches esthétiques dans le monde.

    London a commencé à consulter des médecins spécialistes de la chirurgie plastique pour changer l'aspect de son visage, et a finalement subi 32 opérations. "C'est en quelque sorte la raison pour laquelle j'avais des problèmes avec mon identité. Je n'étais pas sûr : suis-je censé être féminin ? Suis-je censé être un garçon ? Plus je subissais d'opérations, plus je voulais avoir l'air féminin."

    London a fait l'objet de critiques pour avoir pratiqué des chirurgies de féminisation du visage à l'image des pop stars coréennes. Un article récent de Fox News disait de London que "son désir de ressembler à un Coréen provenait de sa vie en Corée du Sud et de son amour pour le peuple et la culture de ce pays".

    Le désir de revenir à "ce que Dieu a fait de moi".

    London a déclaré qu'au début de 2022, il a commencé à être "heureux" de son apparence après avoir subi de multiples opérations chirurgicales, notamment une chirurgie du menton, un lifting du visage, un lifting du cou, une chirurgie des yeux et le rasage de la graisse des joues et de l'os du front pour rendre son visage plus féminin.

    "Quand j'ai vu les résultats de tout cela, j'étais super, super heureux. Je me suis dit : 'vous savez quoi, je suis mieux. En tant que femme, je suis plus belle. Je pense que je vais me sentir plus heureuse. Peut-être que c'est la raison pour laquelle j'ai eu toutes ces luttes d'identité toute ma vie, [parce que] je suis piégée dans le mauvais corps.'"

    C'est alors que London a commencé sa transition sociale en femme, portant des vêtements, des chaussures et du maquillage féminins. Mais il a dit qu'il "ne se sentait pas bien".

    Puis, en août, London est entré dans une église catholique. "Il y a trois mois, j'ai commencé à lire la Bible après avoir visité une église catholique", a déclaré London - qui était auparavant athée - ajoutant que la gentillesse accueillante de chacun l'a encouragé à continuer à y aller.

    London se souvient qu'il a parlé avec un prêtre après le service, qui lui a donné une Bible. "J'ai commencé à y aller plusieurs fois par semaine. J'ai commencé à lire la Bible moi-même à la maison", a-t-il déclaré. "J'ai réalisé que Dieu m'avait fait d'une certaine façon, qu'il m'avait fait tel que je suis. Pourquoi diable voudrais-je changer cela ? Pourquoi est-ce que je me soumets à toutes ces procédures extrêmes ? Ce n'est pas ainsi que Dieu m'a fait, ce n'est pas ce que je devais être dans la vie".

    London a déclaré que son expérience à l'église catholique lui a fait comprendre que changer son apparence n'était pas important - ce qui était important était "à l'intérieur". "Laisser Jésus et Dieu entrer dans mon cœur [a] sauvé ma vie. Cela m'a ramené à qui je suis en tant que personne, en trouvant Dieu."

    Son prochain plan ? Se faire baptiser.

    "Je me considère comme chrétien mais je penche plutôt vers le catholicisme. J'aimerais me faire baptiser bientôt", a déclaré London. Il a ajouté qu'il aimerait être baptisé en Amérique par un "prêtre très respecté [qui] a une bonne connexion avec Dieu et [un] système de croyance solide".

    London pense que le baptême l'aidera à guérir des "traumatismes" passés de ses opérations chirurgicales et de la "mentalité" de vivre en tant que personne trans. "L'une des choses que j'ai le plus appréciées dans la Bible est l'histoire du traitement du lépreux par Jésus", a déclaré London. "Cette personne était rejetée par la société. Personne ne voulait aller vers cette personne parce qu'ils pensaient qu'elle était infectée. Et puis Jésus ... a voulu aider cette personne. Il l'a lavée."

    Depuis que London a parlé de son histoire sur les médias sociaux et dans des interviews, il a dit avoir reçu "des milliers et des milliers de messages de chrétiens et de catholiques" priant pour lui et envoyant des encouragements. Il a exhorté les catholiques à tendre la main aux personnes atteintes de dysphorie de genre, en particulier les enfants, et à les inviter à l'église. "Si vous pouvez leur apporter un soutien moral et prier pour eux, je pense que cela les aidera incroyablement et les aidera à changer de vie. La plupart de ces enfants sont perdus, ils sont désorientés", a-t-il dit. Tout à coup, vous avez une personne chrétienne qui vous dit : "Tiens bon, reste fort". Je suis vraiment reconnaissant aux catholiques et aux chrétiens qui ont fait cela jusqu'à présent."

    Et pour son avenir ? London a déclaré qu'il prévoit d'utiliser sa plate-forme pour aider les personnes sans foi, en particulier les adolescents et les enfants qui luttent contre la dysphorie de genre, à s'accepter pour la façon dont "ils ont été destinés par Dieu." "Je veux essayer de diffuser ce message d'acceptation de soi, [que] nous sommes tels que Dieu nous a faits. Acceptons-le. Aidons-les à s'en rendre compte."

    À Londres, en Angleterre, où London vit actuellement, le service national de santé du pays a arrêté ce mois-ci les traitements transgenres pour les enfants après avoir déterminé que la dysphorie de genre est le plus souvent une "phase transitoire" et que les bloqueurs de puberté et les médicaments hormonaux ont de graves effets sur la santé.

    London "remercie Dieu" de ne pas avoir pris d'hormones féminisantes ni subi d'autres interventions chirurgicales. "On pousse les enfants dès l'âge de 12 ans à prendre des bloqueurs de puberté et des traitements hormonaux de substitution. Je ne crois pas que ce soit bien. Les enfants ont besoin d'être des enfants", a-t-il déclaré.

  • Liège : reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

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    Reportage sur la 14e #Holywins, grande fête de la sainteté qui gagne.

    172 adultes dont plus de 100 enfants ont participé à cette 14è édition d’Holywins. La plupart des enfants étaient déguisés en leur saint favori. On dénombrait également beaucoup d’anges. La bonne météo a participé au succès de cette belle journée autour de saint François d’Assise.

    L’après-midi s’est déroulée en trois parties. D’abord un grand jeu à la découverte de saintes et saints de la famille franciscaine autour de saint François d’Assise et de sainte Claire, au cours d’une balade dans le magnifique parc de la Chartreuse, voisin du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon à Liège. Les petites pièces de théâtre étaient jouées par des ados qui ont raconté les vies des saints du jour : saint Antoine de Padoue, sainte Claire et sainte Agnès, saint Maximilien Kolbe, sainte Maria Goretti, saint Padre Pio, sainte Elisabeth du Portugal et puis évidemment Saint François d’Assise. Ensuite, tout le monde s’est réuni dans l’église sainte Julienne pour un temps de rencontre de saint François, quelques joyeux chants de louange et un bref mais intense moment d’adoration. Enfin, un délicieux goûter a ponctué cette belle journée.

    « Ce qui m’émerveille à chaque fois, c’est l’émerveillement des enfants. Les parents étaient très heureux de ce qu’ils apprenaient et aussi de se balader dans ce magnifique parc de la Chartreuse », a dit Jean-Pierre Pire, le curé-doyen qui a participé à l’après-midi.

    « Nous sommes venus fêter les saints avec tous nos amis chrétiens, du ciel et de la terre. C’était l’occasion de super rencontres. Et puis quelle joie de voir que nos jeunes ont donné le meilleur d’eux-mêmes dans les jeux et les animations », se réjouit Marianne.

    « Nous sommes contents car cette fête est une belle alternative. La Toussaint est la fête de la lumière, de la joie et de l’Amour de Dieu », dit Renzo.

    Plutôt la bonne soupe au potiron de grand-mère que les pommes pourries de la sorcière. Holywins est à la lumière ce qu’Halloween est à l’ombre. D’ailleurs, les fêtes Holywins se multiplient un peu partout dans le monde et en Belgique. Tant mieux. En avant les enfants de la lumière !

    Holywins est une initiative de membres et d’amis de la Communauté de l’Emmanuel et du Sanctuaire de sainte Julienne de Cornillon.

    Si vous ne l’avez pas encore vu, voici le Reportage vidéo du média 1RCF Belgique :

    L’album photos :

    Cliquez sur l’image ou sur ce lien :

    unnamed.jpgLe podcast RCF dans lequel Jean explique le sens de Holywins :

    Retrouvez et partagez la joie d’Holywins sur les réseaux sociaux :

    Site : https://www.saintejulienne.org/?page_id=1646
    Page Facebook : 
    https://www.facebook.com/HolyWinsBelgique
    Page Youtube : 
    HolyWins
    Compte Instagram: 
    Holywins_belgium

  • Pour la paix liturgique : comment noyer le poisson Traditionis Custodes ?

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    Voici la méthode de Mgr Aillet, évêque de Bayonne, diffusée par le site de la revue « L’Homme nouveau » :

  • Les Scouts d’Europe offrent un terrain particulièrement favorable à l’évangélisation

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    De Mathilde de Robien sur Aleteia.org :

    Les Scouts d’Europe, un terrain favorable à la mission

    02/11/22

    Dans leur manière d’aller à la rencontre et d’accueillir des jeunes de tous horizons, puis de les aider à grandir humainement et spirituellement, les Scouts d’Europe offrent un terrain particulièrement favorable à l’évangélisation.

    Chef de troupe pendant trois ans, puis tout autant chef de clan, Rémi de Saint Albin, 27 ans, toujours engagé dans le mouvement, a vu grandir et s’épanouir de nombreux scouts, d’horizons et de profils très variés. « La pédagogie scoute révèle des choses merveilleuses dans chaque jeune. Elle porte des fruits incroyables, notamment chez les jeunes les plus éloignés de la foi ou de la vie au grand air ! », témoigne-t-il. Un constat que partage également le mouvement, convaincu que la pédagogie élaborée par Baden Powell fait éclore le meilleur chez les jeunes qui s’engagent dans le scoutisme.

    Une merveilleuse école de vie qui permet à des jeunes de 8 à 19 ans de grandir dans toutes les dimensions de leur être : corps, esprit et âme. « Plus j’avance dans la connaissance de la pédagogie scoute, plus je suis émerveillée par cette méthode éducative intégrale qui vise à faire de nos jeunes des catholiques et des citoyens heureux et engagés », confie Myriam Cocquet, Commissaire générale Guides depuis mai 2020. Un trésor que les Scouts d’Europe désirent partager au plus grand nombre, et qui les pousse à être de véritables missionnaires.

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  • Nos enfants ont le droit de bénéficier d'une parentalité ferme et bienveillante qui leur donne la possibilité de bien grandir

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    Une carte blanche publiée sur le site de la Libre :

    La parentalité exclusivement positive ne respecte pas le développement psychologique de l'enfant

    Quand va-t-on se rendre compte que cette parentalité qui veut faire l'économie de l’éducation, est un manquement grave aux droits des enfants? Ce sont des limites fermes et bienveillantes qui permettront aux enfants de sortir de leur toute-puissance infantile, de devenir des adultes autonomes.

    Contribution externe

    28-10-2022

    Une carte blanche signée par six spécialistes, belges et français, de la psychiatrie et de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent (voir la liste des signataires ci-dessous)

    Récemment, une représentante du Conseil de l'Europe aurait exprimé, selon certaines sources, l'hypothèse de déconseiller le 'time-out' pour nos enfants (ou « temps mort » c’est-à-dire le fait de les isoler pour qu’ils se calment ou pour les punir), considérant cette technique d’éducation comme trop violente alors même qu’elle est recommandée par de nombreuses instances internationales (1). Cette expression en a choqué plus d'un. Elle incarne en effet les dérives d’une parentalité « exclusivement » positive.

    Tandis que la parentalité positive allie deux vecteurs essentiels au développement de l’enfant, à savoir la bienveillance ET la fermeté (Daly, 2006), la parentalité dite « exclusivement » positive qui voit dans toute fermeté, contrainte ou effort exigé, une forme de violence faite aux enfants, gagne du terrain. Si la parentalité positive doit agir comme point de repère-phare tant pour les professionnels que pour les parents, la dérive de la parentalité « exclusivement » positive (Larzelere et al., 2017), doit quant à elle être dénoncée et endiguée.

    Les premiers à souffrir de cette parentalité sont les enfants qui souffrent de ne pas être aidés à grandir, se sentant abandonnés par des adultes à l’attitude exclusivement empathique, à qui on fait croire qu’un enfant peut se contenir, se limiter, s'éduquer, s'élever tout seul. On parle de leur retirer les limites et le cadre dont ils ont besoin pour se construire. Cette parentalité-là menace les droits fondamentaux de l’enfant. Et pourtant, les adeptes de la parentalité exclusivement positive, tentent encore de reculer les limites du possible en matière d’éducation.

    Les enfants ne sont pas les seules victimes de cette parentalité. Les parents le sont également et nombreux sont ceux qui se sentent démunis face à la proposition de la représentante au conseil de l’Europe. Ils se trouvent menottés dans l’exercice de leur autorité, paralysés par la crainte de blesser leur enfant de façon irrémédiable en l’exposant à un cadre ferme. Il en est de même pour les professionnels de la santé mentale dont les consultations se remplissent de jeunes patients souffrant des conséquences de cette dérive, entre narcissisme, toute-puissance, intolérance à la frustration et émergence de pathologies psychiatriques graves.

    Les enseignants voient leur santé mentale et parfois physique affectée face à des enfants exprimant de plus en plus fort des « besoins » de plus en plus complexes. Les enseignants sont facilement critiqués pour ne pas être à la hauteur des besoins de l’enfant ou pour y répondre de manière inappropriée, voire violente. On leur en demande toujours plus et particulièrement, d’exercer leur métier de pédagogue et d’éducateur avec une bienveillance excluant toute contrainte et tout effort imposé aux enfants.

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  • 1.250 jeunes ont participé au Festival JMJ a l’abbaye de Maredsous

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    De RCF sur youtube :

  • Liège, 30 octobre : 14ème HolyWins "En avant les enfants, fêtons les saints!"

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    Lumières ! 14ème #HolyWins #Toussaint

    Bons congés de la Toussaint !
    Vous vous demandez comment occuper vos enfants dans un cadre idéal, en bonne compagnie avec une activité plus lumineuse que ténébreuse ? 

    Nous avons la solution idéale pour vous: venez fêter Holywins le dimanche 30 octobre 2022 à 14h, la fête de tous les saints en famille ! Au programme:

    • Grand jeu avec tous les enfants dans le jardin du Sanctuaire
    • Louange suivi d'un temps d'adoration avec les enfants
    • Garderie pour les plus petits
    • Grand goûter autour d'un chocolat chaud et de gaufres

    Voici le petit reportage vidéo de 1RCF Belgique sur HolyWins 2021 qui avait rassemblé environ 200 participants:

    Dans une société qui élude souvent la question de la mort, la fête d’Halloween a le mérite de nous interroger sur ce thème, mais sans autres références que celles empruntées à des rituels morbides et macabres. C’est pourquoi HolyWins met en valeur la fête de la Toussaint, fête de la sainteté, et rappele qu’elle est habitée par l’Espérance.

    A la Toussaint, l’Eglise célèbre tous les saints – connus ou anonymes – qui sont vivants auprès de Dieu. Selon la foi chrétienne, la mort constitue en effet un passage vers la vie éternelle à la suite du Christ. Soutenus par cette espérance, les croyants se rappellent le lendemain 2 novembre les défunts de leur famille.

    Formulaire d'inscriptionInformations utiles :

    • Quand ? Dimanche 30 octobre 2022, de 14h à 18h
    • Où ? Sanctuaire Sainte Julienne de Cornillon, rue de Robermont 2, 4020 Liège
    • Qui participe ? Enfants accompagnés de leurs parents, grand-parents ou catéchistes
    • PAF ? 20 eur par famille ou groupe de max 4 personnes adultes ou enfant. Prix de 4 eur/personne pour un groupe de plus de 4. Vous pouvez payer par banque sur notre compte IBAN BE57 0689 4175 4435, ASBL Sainte Julienne. Il est aussi possible de payer sur place.
    • Qui organise ? Holywins est organisé par des familles et amis de la Communauté de l'Emmanuel et du Sanctuaire de sainte Julienne

    Merci de vous inscrire via le lien ci-dessous, et/ou de faire suivre l'e-mail à ceux de votre entourage qui pourraient être intéressés: amis, famille, voisins,...

    Infos et inscriptions: https://www.saintejulienne.org/?page_id=1646

    Formulaire d'inscriptionEmailWebsiteFacebookInstagramYouTube

  • Belgique : retour sur l'euthanasie de la jeune Shanti

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    De Stefano Chiappalone sur la Nuova Bussola Quotidiana :

    L'euthanasie de l'espoir : le "cas Shanti" révèle l'abîme des droits civils

    11-10-2022

    Après avoir survécu à une attaque terroriste de l'organisation Etat islamique, Shanti De Corte, une Flamande de 23 ans, a été traumatisée au point de demander l'euthanasie, avec le consentement de ses parents. Il y avait des alternatives, selon un neurologue. Mais sans perspective de vie après la mort, on finit par rejeter la réalité, également constituée de drames, et par s'échapper par tous les moyens, y compris la mort.

    Le 7 mai, Shanti De Corte, une jeune Flamande de 23 ans, est décédée par euthanasie, entourée de ses parents qui ont suivi son choix. La nouvelle s'est répandue ces jours-ci, alors que même la Cour européenne des droits de l'homme, qui a approuvé l'euthanasie pour les personnes dépressives, a dû déplorer le laxisme de la Belgique en matière de contrôle a posteriori des procédures d'euthanasie et les conflits d'intérêts entre ceux qui devraient contrôler et les militants de la "mort douce".

    Shanti a demandé à mourir non pas à cause d'une maladie physique incurable, mais à cause d'un mal plus caché qui la rongeait de l'intérieur, qui a éclaté après le tragique attentat d'Isis à l'aéroport de Bruxelles le 22 mars 2016, dans lequel elle a également perdu des camarades de classe, en plus du choc de l'événement lui-même. La jeune fille avait survécu, mais - déjà éprouvée par des problèmes antérieurs, eux aussi de nature psychologique - elle n'avait pas pu se remettre depuis.

    Depuis, Shanti a vécu un calvaire de six ans, comprenant des hospitalisations, des médicaments et même une tentative de viol à l'hôpital. En 2020, elle a tenté de mettre fin à ses jours. Elle se sentait "comme un fantôme qui ne peut plus rien ressentir". Sa mère a raconté que c'était "une bataille qu'elle ne pouvait pas gagner". Elle était tellement limitée par la peur qu'elle ne pouvait plus faire ce qu'elle voulait. Elle vivait dans une peur constante et avait complètement perdu son sentiment de sécurité. Chaque fois que Shanti sortait, elle était toujours sur le qui-vive. Ne suis-je pas en danger ? Est-ce que quelque chose pourrait arriver ?".

    Jusqu'à la décision extrême : "Après une grave tentative de suicide, elle s'était retrouvée aux urgences. C'était la première fois qu'elle me demandait : "Pourquoi je ne peux pas mourir ?". Sa mère a répondu qu'elle ne voulait pas la perdre mais qu'elle comprenait en quelque sorte sa demande. Être là et la soutenir "est la seule chose que vous pouvez faire en tant que mère", a-t-elle confié, "vous continuez à espérer que ça va marcher, mais en même temps, j'ai senti dès le début que c'est ce qu'elle voulait vraiment". Enfin, la décision de Shanti était aussi la sienne : "J'ai réalisé que Shanti devrait passer ses dernières années à survivre, et qu'il n'était pas possible pour elle de continuer à vivre comme ça".

    Une décision prématurée, cependant, selon le neurologue Paul Deltenre, de la clinique Brugmann à Bruxelles, qui a exprimé les préoccupations médicales et éthiques soulevées par cette affaire et, en général, par la loi permissive sur l'euthanasie en Belgique. Alors que la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie s'est retranchée derrière la rectitude formelle, déclarant que "la jeune fille était dans un tel état de souffrance psychique que sa demande était logiquement accordée", selon le neurologue Deltenre, l'affaire n'aurait pas dû être poursuivie, car ce n'était de loin pas la seule solution. Sur son rapport, la justice anversoise a ouvert une enquête.

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  • Le discours du pape aux jeunes catholiques belges reçus en audience le 10 octobre 2022

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    Le Pape François a reçu en audience près de 300 jeunes catholiques Belges en salle Clémentine du Palais apostolique, lundi 10 octobre. Dans le sillage de son exhortation apostolique post-synodale aux jeunes, Christus Vivit, parue en mars 2019, le Souverain pontife a exhorté la jeunesse catholique belge à ne pas craindre la vulnérabilité et à être porteurs de joie et d’Évangile, dans un contexte de sécularisation croissante. (vaticannews.va)

    DISCOURS DU PAPE FRANÇOIS AUX JEUNES CATHOLIQUES DE BELGIQUE

    source 

    Chers amis,

    je suis très heureux de vous accueillir et de vous rencontrer. Je vous salue avec affection et, à travers vous, j’exprime ma proximité spirituelle aux jeunes engagés dans leurs communautés chrétiennes et leurs paroisses de Belgique.

    J’admire l’audace de votre foi, votre engagement et votre témoignage chrétien dans une société qui, nous le savons, est de plus en plus sécularisée. Comme c’est beau de voir des jeunes de votre âge prêts à se dépenser dans des projets d’évangélisation et à vivre le message évangélique au milieu de vos occupations quotidiennes. Vous êtes non seulement l’avenir de l’Église, non, non pas seulement ça, mais surtout et surtout le présent, car elle a besoin de vous, parce que l’Église est jeune : elle a besoin de votre générosité, de votre joie, de votre volonté de construire un monde différent imprégné de valeurs de fraternité, de paix, de réconciliation et d’ouverture.

    Vous faites l’expérience de la joie, de l’enthousiasme mais parfois aussi de la peur, de difficultés, de blessures, de confrontation à ses limites, de remises en cause. N’aie pas peur des crises, car les crises nous font grandir. Ils te mettent devant diverses situations et tu dois aller de l’avant et résoudre des problèmes. Ne confonds pas crise et conflit : le conflit te ferme, la crise te fait grandir. C’est pourquoi votre relation avec le Christ doit être solide. Il est l’Ami fidèle qui ne déçoit jamais. La rencontre avec Jésus vous permet de porter un regard neuf sur vos situations, de trouver des réponses à vos questions, de vous découvrir capables de prendre des responsabilités, d’avancer dans la vie et de consolider votre foi par un échange réciproque sur vos convictions. Aussi, n’ayez pas peur d’accepter votre vulnérabilité, votre faiblesse, et cela, le faire avec humilité : “ce sont mes limites, mais allons de l’avant”. “Père, je suis un névrosé, ou je suis une névrosée...”. Réjouis-toi d’être névrosée et avance, sans crainte. Vous n’avez pas besoin d’être des super héros mais plutôt de personnes sincères, vraies et libres dont les autres ont besoin.

    Comme ambassadeurs de la jeunesse belge pour les préparatifs des Journées Mondiales de la jeunesse au Portugal en 2023, je vous invite à cultiver la proximité à tous les jeunes, particulièrement à ceux qui vivent dans des situations précaires, aux jeunes migrants et réfugiés, aux jeunes de la rue, sans oublier les autres, surtout ceux qui font l’expérience d’une vie de solitude et de tristesse.

    Je sais que vous avez soif d’une Église vraie et authentique constituée d’hommes et de femmes ayant une foi vivante et contagieuse. Alors posez-vous la question : qu’est-ce que j’apporte personnellement à cette fin, quelle est ma contribution pour une communauté chrétienne joyeuse ? La joie doit toujours être là, parce que, vous savez, les chrétiens avec des visages de funérailles ne vivent pas, ils ne sont pas chrétiens. Si tu es chrétien, tu auras la joie.

    Cher jeune, une chose très importante : laisse-toi éclairer par les conseils et le témoignage des anciens. En effet, « là où les jeunes parlent avec les personnes âgées, il y a un avenir ; si ce dialogue n’existe pas entre les personnes âgées et les jeunes, l’avenir ne s’entrevoit pas clairement » (Audience générale, 17 août 2022). Dialoguer avec les racines, avec les personnes âgées, avec ceux qui nous ont précédés, et nous, aller de l’avant. C’est en grandissant sous le regard bienveillant et attentionné des anciens que nous nous forgeons une personnalité solide pour les luttes quotidiennes et, de plus, ils nous transmettent la foi et leurs convictions religieuses. Chers jeunes, l’une de ses luttes est celle pour la paix. Vous le savez bien, nous vivons des moments difficiles avec notre humanité qui est en grand péril.  Nous sommes en grave péril. Alors vivez-la autour de vous et en vous. Soyez donc des ambassadeurs de la paix pour que notre monde redécouvre la beauté de l’amour, du vivre ensemble, de la fraternité, de la solidarité. Je te rappelle que ta vie « est un engagement concret, à partir de la foi, pour la construction d’une société nouvelle, elle consiste à vivre au milieu du monde et de la société, pour faire grandir la paix, la cohabitation, la justice, les droits humains, la miséricorde, et étendre ainsi le Règne de Dieu dans le monde » (Christus vivit, n. 168).

    Face à tous ces défis, vous pouvez vous décourager, vous sentir incapables, sans armes et impuissants, c’est vrai. N’ayez pas peur ! N’ayez pas peur ! Soyez créatifs, soyez inventifs ! Relevez la tête ! Faites face au défi de la vie ! Chers amis, comblés des grâces du Seigneur et sous l’action de l’Esprit Saint, « n’attendez pas demain pour collaborer à la transformation du monde avec votre énergie, votre audace et votre créativité » (ibid., n. 178).

    Chères filles et chers garçons, je vous en prie : ne vous lassez jamais d’être les porteurs de l’Évangile partout où vous allez. Je sais que vous êtes généreux, je sais que vous êtes pleins d’enthousiasme et prêts à conquérir le monde. Ne vous laissez pas distraire par les choses futiles de la vie, et elles sont nombreuses ! Concentrez-vous sur l’essentiel qui découle de l’amitié profonde avec Jésus-Christ.

    Je vous encourage et vous félicite pour le travail que vous faites dans les communautés chrétiennes et les paroisses. Vous confiant à la sollicitude maternelle de la Vierge Marie, Notre Dame du Rosaire, et à l’intercession des jeunes saints, je vous accompagne tous avec ma bénédiction, ainsi que vos familles et toute la jeunesse belge. Et s’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi, j’en ai besoin. Merci !

  • Liège : les Jeunes musiciens du Judd School (Kent, UK) vous invitent à l’église du Saint-Sacrement (Bd d’Avroy, 132 à Liège) le samedi 22 octobre 2022 à 17h00. Entrée libre.

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    Liège

    EGLISE DU SAINT-SACREMENT

    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège

    Un concert pour toutes les familles, le samedi 22 octobre 2022 à 17 heures:

    Musique classique et chorale par les jeunes musiciens de la Judd School du Kent (U.K.)

    Oeuvres de Bach, Vaughan, Williams, Poulenc, Strauss

     Entrée libre 

    Plus de renseignements :

    sursumcorda@skynet.be  Tel 04 344 10 89 •

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