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Jeunes - Page 94

  • Les encouragements du pape aux jeunes qui marchent pour la vie

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    D'Anne Kurian sur zenit.org :

    Etats-Unis: le pape remercie les jeunes de la Marche pour la Vie

    Un « témoignage impressionnant » pour « nos frères et sœurs les plus vulnérables »

    Marche pour la Vie, Etats-Unis © Facebook The March for Life

    Marche Pour La Vie, Etats-Unis © Facebook The March For Life

    Le pape François remercie les jeunes qui ont participé à la Marche annuelle pour la Vie le 27 janvier 2017, aux Etats-Unis, pour leur « témoignage impressionnant ». Dans un message signé du cardinal secrétaire d’Etat Pietro Parolin, il encourage à défendre « nos frères et sœurs les plus vulnérables ».

    Assurant les dizaines de milliers de « jeunes de tous les Etats-Unis » réunis à Washington, de sa « proximité dans la prière », le pape est « profondément reconnaissant pour ce témoignage impressionnant au caractère sacré de toute vie humaine ».

    Le message, publié par Radio Vatican au lendemain de l’événement, cite l’exhortation apostolique Amoris Laetitia (83) : « La valeur d’une vie humaine est si grande, et le droit à la vie de l’enfant innocent qui grandit dans le sein maternel est si inaliénable qu’on ne peut d’aucune manière envisager comme un droit … la possibilité de prendre des décisions concernant cette vie ».

    Le pape François souhaite que cette Marche « où de nombreux citoyens américains prennent la parole au nom de nos frères et sœurs les plus vulnérables, contribue à une mobilisation des consciences pour la défense du droit à la vie et pour des mesures efficaces afin d’assurer sa protection légale ».

  • Bruxelles (Stockel), 15 février : spectacle "Don et mystère" retraçant la vie de St Jean-Paul II par la jeunesse franciscaine de Bitche

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    « Vous avez fait un travail magnifiquement riche pour pénétrer -autant qu'on peut- dans le mystère de la vie d'un autre. C’est un exploit d’acteur, un véritable exploit »

    Cardinal Schönborn, archevêque de Vienne et ami de Jean-Paul II.

    La jeunesse franciscaine de Bitche donnera un spectacle retraçant la vie de St Jean-Paul II à Notre-Dame de Stockel le 15 février à 20h30.

    La jeunesse franciscaine de Bitche (en Moselle, près de Metz) est un groupe d'une centaine de jeunes de 16 à 30 ans. Il a été créé en 1934 par le Père Marie Joseph, actuellement en procès de béatification.

    Ces jeunes se présentent :

    Nous vivons notre foi à l'image de Saint François, dans la simplicité du coeur et la confiance de l'amour! Nous nous retrouvons chaque semaine en cellules d'évangélisation dans nos villes respectives, et chaque mois pour un week-end d'enseignement et de ressourcement spirituel.

    Cette chance de nous retrouver si régulièrement nous donne l'opportunité de créer une vraie et belle fraternité en Christ. Par notre Foi, nous nous sentons un appel à l'évangélisation et à la diffusion de la Parole de Dieu, notamment chez les jeunes.

    Le Seigneur nous a fait don des charismes du chant et la mise en scène. Nous avons d'ailleurs déjà réalisé auparavant plusieurs jeux scéniques sur différentes figures de l’Eglise, comme Ste Thérèse de l'Enfant Jésus, Ste Claire, St Paul ou encore Ste Edith Stein. C'est pour nous une belle manière d'évangéliser et de transmettre notre Foi!

    NOTRE PROJET

    L’appel : don et mystère est un jeu scénique retraçant, à travers des textes et chants spécialement composés, la vie de Jean-Paul II, dans le but de faire connaitre cette grande figure du XXe siècle.

    Pendant toute la préparation de ce jeu scénique, dont nous avons déjà fait deux représentations pendant les JMJ de Cracovie, nous avons été subjugués par la profondeur et l’humanité de ce Saint fou de Dieu. Sa vie est tel un roman, qui nous apprend l’Amour et l’abandon total de son existence au Seigneur.

    Le spectacle met en scène Karol Wojtyła comme homme, frère et prêtre. Au cours des tableaux présentés, le spectateur entre dans le chemin que cet homme a parcouru pour répondre à l’appel de Dieu.

    Pendant plus d'une heure et demi, nous retraçons le chemin de conversion de Jean-Paul II. Plusieurs extraits de pièces de théatre qu'il a lui même écrites sont également jouées.

     
  • La tendance aux baptêmes tardifs s'accentue en Flandre

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    Lu sur Het Laatste Nieuws (lundi 16 janvier, p. 14) :

    Treize enfants baptisés à Hoegaarden

    Pas moins de treize enfants âgés de 6 ou 7 ans ont été baptisés ensemble, hier à l'église Saint-Gorgonius; une tendance sans précédent à Hoegaarden. "Une fois, nous avons eu une demande de baptême à un âge tardif, mais aujourd'hui, soudainement treize à la fois, c'est très surprenant"a déclaré l'animatrice paroissiale Liesbeth Goris, qui veut faire du premier dimanche après l'Épiphanie un jour annuel de baptême. "Je pense que beaucoup de parents doutent quant à savoir s'ils veulent baptiser leurs enfants à la naissance." Goris explique le phénomène. "Ils veulent que leur enfant aie la liberté, mais ne savent pas dans quelle direction ils veulent aller. Il ne s'agit pas de conversions venant d'une autre religion, mais surtout de familles où l'un des partenaires n'est pas croyant." Le nombre élevé reste difficile à expliquer. "L'opposition de principe à l'égard de l'Eglise a pris fin. Les gens s'interrogent sur leur identité et ont peur de la situation instable dans le monde", dit Goris. "Nous leur souhaitons à tous la bienvenue, même si l'un des parents n'est pas déterminé. Je pense qu'il est également préférable d'avoir des enfants qui soient baptisés à l'âge de 6 ans, l'année de leur première communion."

  • Le document préparatoire du synode 2018 sur les jeunes, la foi et le discernement vocationnel est publié

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    Synode 2018 : découvrez le document préparatoire ! (source)

    Le Vatican a dévoilé ce vendredi 13 janvier 2017 le document préparatoire du XV synode ordinaire des évêques consacré aux jeunes, à la foi, et au discernement vocationnel qui aura lieu à Rome en octobre 2018.

    Découvrez le en cliquant ici.

  • Hergé, un "anticommuniste primaire" ?

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    Une opinion de Corentin de Salle, directeur scientifique du Centre Jean Gol, sur LaLibre.be :

    Tintin, "l’anticommuniste primaire" (OPINION)

    En 1929, "Tintin au Pays des Soviets" dénonçait un régime dont l’idéologie a fait 100 millions de morts dans le monde. Ne serait-il pas opportun de rappeler aux Belges francophones d’aujourd’hui les méthodes et les crimes du communisme ?

    Comme chacun sait, "Tintin au Pays des Soviets" sort enfin en version colorisée. Comme tous les autres lecteurs de ma génération, je l’ai découvert en noir et blanc durant mon enfance. Mais quand on évoque cette bande dessinée, je pense directement à une autre : une planche de Claire Bretécher lue durant mon adolescence. Claire Bretécher était, dans les années 70, la dessinatrice vedette du "Nouvel Obs". Elle séduisait chaque semaine un public de gauche bourgeoise et cultivée (on ne disait pas encore "bobo" à l’époque) car, avec talent, elle tournait en dérision ce milieu qui adorait se voir étrillé de la sorte.

    Le gag tient en une planche : un enfant lit un exemplaire de "Tintin au Pays des Soviets" (acheté dans une brocante ou autre part). Sur ces entrefaites, les parents arrivent. Ils sont scandalisés. Ce sont des parents de la classe supérieure votant PS -typiquement le couple qui lit le "Nouvel Obs" - et, d’autorité, le père confisque l’album et décide qu’il est hors de question que son fils lise cette BD car elle véhicule un "anticommunisme primaire"… Mais, saisi d’un doute, il se demande subitement s’il ne s’agit pas de l’édition originale, auquel cas l’exemplaire vaudrait une fortune. Du coup, son attitude change du tout au tout et il dit, de manière admirative : "Tu as eu le nez fin, mon fils." Avant de s’apercevoir, déçu, qu’il s’agit en réalité d’une réédition.

    Les horreurs du régime soviétique

    Aussi étrange que cela puisse paraître aujourd’hui, cette attitude de rejet de la première aventure de Tintin était très répandue dans le troisième quart du siècle passé. A cette époque, une portion importante des intellectuels, des journalistes, des enseignants, etc., était communiste ou proche des idées communistes. Et, pour beaucoup de gens, y compris les non-communistes, il était stigmatisant de se voir traiter "d’anticommuniste primaire". Condamner trop brutalement cette idéologie rédemptrice du genre humain revenait à passer pour un ignare doublé d’un imbécile. C’était également courir le danger de passer pour un être dénué de compassion face aux souffrances de la classe exploitée. Rétrospectivement, cela fait sourire quand on sait que la mise en œuvre criminelle de cette idéologie a fait 100 millions de morts dans le monde. Cet aveuglement volontaire face aux horreurs du régime soviétique a été abondamment commenté depuis, notamment dans "Le Passé d’une illusion", le remarquable ouvrage de François Furet, et dans toute l’œuvre indispensable de Jean-François Revel.

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  • Liège : Foliamusica au Saint-Sacrement, le dimanche 15 janvier à 16h00

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    Dans son parcours d’aide aux jeunes artistes surdoués, « Foliamusica »

    vous offre son premier concert 2017 avec la découverte de deux talents exceptionnels :

     

    FOLIAMUSICA AFFICHE DE duo JORIS 2017-page-001.jpg

     

    Le dimanche 15 janvier 2017 à 16h à l’église du Saint-Sacrement, Bd d’Avroy, 132 à Liège :

    Duo “le contrepoint”

    JORIS  VERCRUYSSE -  FLUTE

    THOMAS  VANBINSBERGEN -  VIOLON

    Une heure de musique avec Telemann, Leclair, Beethoven, Bartok...

    Au plaisir de se retrouver au concert  (suivi de l'apéro dans la salle de réception)

    Entrée: 9 €

    Prévente : 6 €, par mail cecile.leleux.be@gmail.com

     ou gsm  0473 321983

    JPSC

  • A l’Ulg, l’Union des Etudiants Catholiques de Liège et le Groupe « Ethique sociale » organisent un nouveau cycle de lunchs débats inauguré par Mgr Delville le mardi 17 janvier 2017 : les inscriptions sont ouvertes

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     aimable rappel: les inscriptions sont reçues jusqu'au 12 janvier inclusivement (téléphone, email ou réservation en ligne, comme indiqué ci-dessous)  

    « Le christianisme médiéval, creuset de l’Europe », par Monseigneur Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, professeur honoraire d’histoire du christianisme à l’Université catholique de Louvain (U.C.L.) : un lunch-débat organisé  le mardi 17 janvier 2017 à 18h00, à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l'Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Participation aux frais : 15 € (à régler sur place) – 5 € pour les étudiants

    Inscription nécessaire au plus tard trois jours ouvrables à l’avance (12 janvier 2017)

    soit par téléphone : 04 344 10 89

    soit par email : info@ethiquesociale.org 

    Plus de renseignements et  s’inscrire en ligne, cliquez ci-dessous:

    http://www.ethiquesociale.org/

      

    CYCLE DE CONFÉRENCES 2017

    L’EUROPE, SES FONDEMENTS, AUJOURD’HUI ET DEMAIN 

    Le cycle complet comportera quatre rencontres :

    Mardi 17 janvier 2017

    1. Le christianisme médiéval, creuset de l’Europe

    par Mgr Jean-Pierre DELVILLE, évêque de Liège

    L’Europe a-t-elle des racines spirituelles, et plus précisément des racines chrétiennes ? Les invasions germaniques qui ont suivi la chute de l’Empire romain ont bouleversé l’Europe. Le christianisme, et plus spécifiquement l’Église latine, s’est alors affirmé comme fondement de valeurs créatrices d’une culture commune, enracinée dans une histoire des peuples où la mémoire biblique et l’héritage chrétien jouent un rôle majeur.

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  • Le pape François plaide pour les enfants du monde

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    Du site de zenit.org (Anita Bourdin) :

    Le pape François demande aux évêques du monde de prendre fait et cause pour les enfants

    Le pape François plaide pour les enfants du monde, spécialement ceux qui sont tués, exploités, réduits en esclavage, dont des membres du clergé ont abusé, dans une lettre aux évêques du monde en date de la fête des Saints-Innocents, le 28 décembre 2016 et publiée par le Saint-Siège ce 2 janvier 2017.

    Il rappelle aux évêques sa consigne de « tolérance zéro », adoptée dans le sillage de Benoît XVI: « Ecoutons les pleurs et les lamentations de ces enfants; écoutons aussi les pleurs et les lamentations de notre mère l’Eglise, qui pleure non seulement devant la souffrance causée à ses enfants les plus petits, mais aussi parce qu’elle connaît le péchéde certains de ses membres: la souffrance, l’histoire et la douleur des mineurs qui ont été abusés sexuellement par des prêtres. Péché qui nous fait honte. Des personnes qui avaient la responsabilité de prendre soin de ces enfants ont détruit leur dignité. Nous déplorons cela profondément, et nous demandons pardon. Nous nous unissons à la souffrance des victimes et, à notre tour, nous pleurons le péché. Le péché de tout ce qui est arrivé, le péché d’avoir omis de porter assistance, le péché de taire et de nier, le péché d’abus de pouvoir. L’Eglise aussi pleure avec amertume ce péché de ses fils, et elle demande pardon. Aujourd’hui, faisant mémoire des Saints Innocents, je veux que nous renouvelions tout notre engagement pour que ces atrocités ne se produisent plus parmi nous. Trouvons le courage indispensable pour promouvoir tous les moyens nécessaires et protéger, en toute chose, la vie de nos enfants pour que de tels crimes ne se répètent plus. Faisons nôtre, clairement et loyalement, la consigne «tolérance zéro» dans ce domaine. »

    « Contempler la crèche c’est aussi contempler ces pleurs, c’est aussi apprendre à écouter ce qui arrive autour de nous et avoir un cœur sensible et ouvert à la souffrance du prochain, spécialement quand il s’agit d’enfants; et c’est aussi être capables de reconnaître que ce triste chapitre de l’histoire est encore en train de s’écrire aujourd’hui. Contempler la crèche en l’isolant de la vie qui l’environne, ce serait faire de la Nativité une belle fable qui susciterait en nous de bons sentiments mais qui nous priverait de la force créatrice de la Bonne Nouvelle que le Verbe Incarné veut nous donner. Et la tentation existe », avertit le pape.

    Le pape cite la réalité des chiffres: « Aujourd’hui, 75 millions d’enfants – en raison des situations d’urgence et des crises prolongées – ont dû interrompre leur instruction. En 2015, 68% des personnes faisant l’objet de trafic sexuel dans le monde étaient des enfants. Par ailleurs, un tiers des enfants qui ont dû vivre en dehors de leurs pays l’on fait par déplacement forcé. Nous vivons dans un monde où presque la moitié des enfants qui meurent en dessous de 5 ans, meurent de malnutrition. En 2016, on calcule que 150 millions d’enfants mineurs ont travaillé, pour beaucoup dans des conditions d’esclavage. Selon le dernier rapport de l’UNICEF, si la situation mondiale ne change pas, en 2030, 167 millions d’enfants vivront dans une extrême pauvreté, 69 millions d’enfants en dessous de 5 ans mourront entre 2016 et 2030, et 60 millions d’enfants n’iront pas à l’école primaire. »

    Voici le texte intégral de cette lettre :

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  • 8 janvier : Célébration de l'Epiphanie à l'église Sainte-Julienne à Verviers

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    INVITATION

    à la Messe d’Epiphanie

    en l’Eglise Sainte-Julienne de Verviers,

    le dimanche 8 janvier 2017 à 11h

    La Messe sera animée par la Chorale Ste Julienne qui interprètera les œuvres suivantes :

    Kyrie de la messe en sol - Schubert
    Offertoire - Beati Quorum - Stanford

    Sanctus - Mozart K 192 

    Agnus Dei - Victoria missa O magnum Mysterium

    Anamnèse - Ave Verum Corpus – William Byrd 

    Communion - Es wird ein Stern de Christus op 97 - Mendelssohn
    Ave Maria - Rachmaninoff  

    Vous êtes cordialement invités à partager avec nous, après la messe, le vin de l’amitié, la galette des Rois et le Christmas Cake.
    La Chorale Sainte-Julienne

    La chorale Sainte-Julienne aura le privilège d’aller chanter à la basilique Saint-Pierre de Rome le 26 février 2017.

    Cette chorale, où se côtoient jeunes et adultes, anime les grandes fêtes liturgiques en interprétant de belles œuvres du répertoire classique.

    C’est ainsi que nous avons eu l'honneur d’être invités au Vatican

    Nous sommes conscients que pour nos jeunes, cette expérience sera fondatrice. Ils se préparent d’ailleurs avec beaucoup de motivation et d’effort. Ce sont des jeunes talentueux, de tous milieux, qui ont déjà prouvé leur compétence en interprétant notamment le Requiem de Mozart, la Création de Haydn, Le Messie de Haendel, la Passion selon Saint Jean de J. S. Bach, et tout dernièrement, le Requiem de Brahms. Les répétitions ne manquent jamais de mettre en lumière le caractère spirituel de chaque œuvre.

    Les choristes qui vont visiter Rome sont au nombre de  26 et  les coûts de voyage et d’hébergement sont considérables.  Si vous désirez apporter une contribution financière par virement bancaire, votre geste sera très apprécié. D’avance nous vous en remercions.

    Voici les coordonnées bancaires de la chorale :

    CHORALE SAINTE JULIENNE - BE75 3631 0182 2051

  • Sauver l'enfant sans prix

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    DANS LE SILLAGE DE LA MANIF POUR TOUS

    Pour sauver l’enfant sans prix

    par le père Daniel-Ange (source)

    Dans la première partie d’un de ces manifestes dont le père Daniel-Ange a le secret, un parallèle était fait entre l’idéologie du gender et celle du djihadisme, l’une préparant en fait la voie à la seconde. Ici, dans son homélie chez les Soœurs de Bethléem, le matin du 16 octobre, il nous prépare à fêter l’Enfant de Bethléem, réfugié politique en Afrique.

    La «  guerre mondiale contre le mariage et la famille  » (François), cela veut dire contre le bonheur, car contre l’amour. Mais plus précisément, qui est visé en premier  ? L’enfant devenu l’ennemi n° 1. L’adoption qui frustre l’orphelin d’un papa ou d’une maman  : quelle victime  ? L’enfant déstabilisé !

    Les soupçons et doutes sur l’identité sexuelle  : quelle victime  ? L’enfant déstabilisé  !

    La fabrication d’orphelins programmés qui ne connaîtront jamais leurs parents  : quelle victime  ? L’enfant déraciné [1].

    Le commerce d’enfants adoptés revendus d’occasion  : quelle victime  ? L’enfant gadgetisé  !

    L’embryon inséminé en gestation sans amour  : quelle victime  ? L’enfant frigorifié  ! Le zygote produit pour la recherche  ? Quelle victime  ? L’enfant congelé  ! Le fœtus en éprouvette puis en utérus artificiel  : quelle victime  ? L’enfant chosifié  !

    Le divorce réduit à une banale déclaration unilatérale  : quelle victime  ? L’enfant crucifié car écartelé [2] !

    Le rejet, l’exclusion de la vie banalisés, sans délai de réflexion, — alternatives interdites —  : quelle victime  ? L’enfant torturé pour être éliminé  !

    Les soupçons et doutes sur son identité sexuelle  : l’enfant traumatisé  ! La fillette à qui l’on assène  : «  T’as un corps de femme, mais tu peux être garçon si t’as envie  »  : quelle victime  ? L’enfant schizophrèné [3] ! Notre patrimoine humain et spirituel non transmis  : l’enfant déshérité  !

    L’histoire nationale tronquée  : quelle victime  ? L’enfant trompé  !

    L’addiction du virtuel  : quelle victime  ? L’enfant débranché du réel. Le matraquage de la pornographie  : quelle victime  ? L’enfant perverti. Sans parler du pire  : le commerce sexuel international des enfants. Et là… il n’existe plus de mot pour qualifier sinon celui… d’enfer  ! Et là où l’enfant est agressé, la famille par répercussion immédiate, l’est aussi.

    L’élève à qui l’école donne du porno à lire ou à voir, quelle victime ? L’enfant perverti !

    Les parents frustrés de leur droit au libre choix de l’éducation  : quelle victime  ? Les enfants kidnappés par l’État pour les formater  [4]  !

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  • Le pape François critique la formation de séminaristes "rigides" et incapables de "discernement"

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    De Sandro Magister sur son blog « Chiesa » (extrait) :

     «   […] Il faut avant tout prendre en compte les propos qui ont été tenus par François le 24 octobre dernier lors de sa rencontre avec les jésuites réunis pour l’élection de leur nouveau préposé général, d’après la transcription qui en a été publiée dans "La Civiltà Cattolica" le 10 décembre :

    "Le discernement, la capacité de discerner, est l’élément-clé. Et je constate justement qu’il y a un manque de discernement dans la formation des prêtres. Nous courons en effet le risque de prendre l’habitude du 'tout blanc ou tout noir' et de ce qui est légal. D’une manière générale, nous sommes passablement fermés au discernement. Une chose est claire : actuellement, on constate de nouveau, dans un certain nombre de séminaires, l’existence d’une rigidité qui n’est pas proche d’un discernement des situations. Il s’agit là de quelque chose de dangereux, parce que cela peut nous conduire à une conception de la morale qui a un sens casuistique. […]

    "J’ai été formé, ainsi que les prêtres de ma génération – ce n’est peut-être pas le cas des prêtres les plus jeunes, mais c’est celui de ma génération et de certaines de celles qui l’ont suivie – à une scolastique décadente. Nous étudiions la théologie ainsi que la philosophie dans un manuel.  […] C’est cette scolastique décadente qui a provoqué le comportement casuistique. Un fait curieux : à la faculté de théologie, la matière 'Sacrement de la pénitence' était enseignée, habituellement – mais pas partout – par des professeurs de morale sacramentelle. Tout le domaine de la morale était restreint à 'il est permis', 'il n’est pas permis', 'jusqu’ici oui et jusque là non'. […] C’était une morale très étrangère au discernement. […] Je crois que Bernard Häring a été le premier qui ait cherché une voie nouvelle pour faire refleurir la théologie morale. Bien évidemment, de nos jours, la théologie morale a beaucoup progressé dans ses réflexions et dans sa maturité ; désormais, ce n’est plus une casuistique".

    Comme on peut facilement le constater, les attaques de Bergoglio contre la "rigidité" qui est, selon lui, enseignée encore aujourd’hui dans les séminaires sont étroitement liées à la controverse beaucoup plus importante et plus grave qui divise actuellement l’Église à propos de l'interprétation et de l’application d’"Amoris laetitia" en ce qui concerne la question-clé de l’accès des divorcés remariés à la communion.

    Il suffit, pour s’en convaincre, de remarquer la coïncidence - y compris terminologique - entre les propos tenus par le pape lors de cette conversation avec les jésuites et sa non-réponse télégraphique aux cinq "dubia" rendus publics par quatre cardinaux précisément à propos de l'exhortation post-synodale, dans l’interview qu’il a accordée à la revue "Avvenire", publiée le 18 novembre :

    "Certains continuent à ne pas comprendre, pour eux c’est ou tout noir ou tout blanc, alors que c’est dans le flux de la vie qu’il faut discerner".

    En second lieu, "discernement" est également le mot-clé des instructions destinées aux séminaires qui ont été publiées le 8 décembre.

    Le cardinal Stella a souligné ce point dans une interview de présentation de la "Ratio", publiée dans "L'Osservatore Romano" du même jour :

    "Le discernement est un don que les pasteurs doivent exercer sur eux-mêmes et, encore davantage, dans le domaine de la pastorale, afin d’accompagner et de comprendre en profondeur surtout les situations de vie les plus compliquées, qui font que, bien souvent, les personnes qui se confient à nous sont marquées, alourdies et blessées".

    Et pour que personne ne doute qu’il s’agit là de la principale préoccupation du pape, Stella a poursuivi en reprenant une phrase que François avait prononcée lorsqu’il s’était exprimé devant les jésuites :

    "Une chose est claire : actuellement, on constate de nouveau, dans un certain nombre de séminaires, l’existence d’une rigidité qui n’est pas proche d’un discernement des situations".

    *

    Toutefois le pape a été encore plus explicite et plus rude quand il s’est adressé aux séminaristes et aux supérieurs du grand séminaire de Rome, lors de l'homélie de la messe célébrée le 9 décembre à la chapelle de la Maison Sainte-Marthe :

    Il faut en premier lieu signaler que les relations entre François, qui est l’évêque de Rome, et son séminaire n’ont jamais été harmonieuses.

    Sous les pontificats de Jean-Paul II et de Benoît XVI une tradition s’était établie : le pape se rendait au moins une fois par an au séminaire afin d’y prononcer une méditation devant les séminaristes, le jour de la fête de Notre-Dame de la Confiance.

    En revanche Bergoglio, à peine élu pape, a interrompu cette tradition et supprimé ces visites. Une seule fois, le 9 novembre 2015, il est venu saluer rapidement les séminaristes romains, à la fin de l'ordination épiscopale d’Angelo De Donatis, le nouvel évêque auxiliaire du diocèse, célébrée à Saint-Jean-de-Latran. Et il a tenu à entrer tout seul dans le séminaire pour les saluer, en laissant brusquement à la porte aussi bien le cardinal vicaire Agostino Vallini, qui l’accompagnait, que le recteur et les autres supérieurs, qui s’apprêtaient à lui faire les honneurs de la maison.

    François n’a jamais expliqué publiquement quelles étaient les raisons de cette aversion. Il n’a pas non plus souhaité attirer l’attention sur le fait qu’il avait invité les séminaristes et les supérieurs du grand séminaire de Rome – mais hors de la présence du cardinal vicaire et des évêques auxiliaires – à assister à la messe qu’il a célébrée à la Maison Sainte-Marthe le 9 décembre dernier.

    Toutefois, au cours de l’homélie qu’il a prononcée ce jour-là, il a fait état de toutes ses préoccupations à propos de la formation qui est donnée actuellement au clergé, sans se soucier du fait qu’il les reversait sur ceux qui avaient la malchance de se trouver là, comme si c’était eux qui en étaient coupables.

    Voici quelques passages de cette homélie, tirés du compte-rendu officiel publié dans "L'Osservatore Romano" :

    "Pour se donner de l’importance, les prêtres prennent une attitude de rigidité : très souvent, ils sont coupés des gens et ne savent pas ce qu’est la souffrance humaine ; ils oublient ce qu’ils avaient appris chez eux, qui leur avait été enseigné par leur père, par leur mère, par leur grand-père, par leur grand’mère, par leurs frères et sœurs". En oubliant "ces choses, ils deviennent rigides et ils font porter aux fidèles beaucoup de choses qu’eux-mêmes ne portent pas ".

    "La rigidité" signifie "avoir le fouet en main vis-à-vis du peuple de Dieu : ceci est permis, cela n’est pas permis". Et "beaucoup de gens qui viennent les trouver en cherchant un peu de consolation, un peu de compréhension, sont éloignés par cette rigidité". Toutefois "la rigidité ne peut pas durer très longtemps, complètement". Et surtout, "fondamentalement elle est schizophrénique : en fin de compte, le prêtre paraît rigide mais, intérieurement, il est dans un état désastreux".

    Et "en plus de la rigidité" il y a aussi "la mondanité". C’est ainsi qu’"un prêtre mondain, rigide, est quelqu’un qui est insatisfait parce qu’il a pris le mauvais chemin". Précisément "à propos de rigidité et de mondanité" François a voulu raconter une histoire, "qui a eu lieu il y a longtemps : un vieux monsignor de la curie, qui travaille, un homme normal, un homme bon, plein d’amour pour Jésus, était venu me voir et m’avait raconté qu’il s’était rendu à l’Euroclero [magasin de vêtements ecclésiastiques, à Rome] pour s’acheter deux chemises. Là il avait vu, devant un miroir, un jeune homme – il pensait que celui-ci n’avait pas plus de 25 ans, que c’était soit un jeune prêtre soit quelqu’un qui allait devenir prêtre – qui avait enfilé une cape, grande, large, avec du velours et une chaîne d’argent, et qui se regardait. Ensuite le jeune homme avait pris un 'saturno' [chapeau ecclésiastique romain], s’en était coiffé et s’était regardé dans le miroir : c’était un rigide mondain". Et "le vieux prêtre – un sage, ce monsignor, un homme très sage – a réussi à surmonter sa tristesse par une phrase pleine d’humour sain, puisqu’il a dit : 'Et après cela on dit que l’Église ne permet pas aux femmes de devenir prêtres !'". C’est ainsi "que le métier qu’exerce le prêtre quand il devient un fonctionnaire finit dans le ridicule, toujours".

    Un détail curieux : dans la courte vidéo diffusée par le Centre de Télévision du Vatican, on constate qu’aucun des séminaristes romains qui étaient présents à la messe ne portait la soutane, un vêtement "de femme" qui ne plaît pas à Bergoglio :  > Casa Santa Marta, Santa Messa del 9 dicembre 2016

     Lire  tout l’article ici 

    JPSC

  • Le Prix de la BD chrétienne a été décerné à deux albums ex aequo

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    Deux albums ex aequo au Prix de la BD chrétienne 2017 (source)

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    Pour son 30ème anniversaire, le Prix de la BD chrétienne a été décerné à deux albums ex aequo : « Vincent. Un saint au temps des mousquetaires » (Ed. Dargaud) et « Les larmes d’Esther » (Ed. Bayard). Le Prix sera remis pendant le Festival international de la Bande Dessinée d’Angoulême, le 26 janvier 2017, à l’église Saint-Martial d’Angoulême.

    Le jury de la Bande Dessinée chrétienne d’Angoulême s’est réuni à la Conférence des évêques de France à Paris, le 1er décembre 2016, sous la présidence du Père Michel Manguy, vicaire épiscopal curé et doyen à Angoulême.

    Parmi les 15 albums sélectionnés, le jury « a eu du mal à départager ces deux albums très éloignés l’un de l’autre, d’une qualité BD indéniable et qui porte un message similaire. Les deux histoires portent en effet des valeurs communes et mettent en avant le Jubilé de la Miséricorde vécu cette année. L’ensemble du jury a apprécié ces deux albums, car ils marquent l’évolution graphique et scénaristique de la BD Chrétienne. En trente ans de prix, les critères de sélections se sont affinés, tout comme le graphisme et l’esthétique ».

    « Vincent. Un saint au temps des mousquetaires » de Jean Dufaux, scénariste, et Martin Jamar, dessinateur coloriste

    Le jury « a été séduit par un scénario bien construit et porteur d’un message d’Amour, de charité et d’humanité, qui, par une intrigue intéressante et un graphisme haut en couleur invite à la réflexion. A travers ces très belles planches, le lecteur se retrouve au XVIIe dans le Paris de ce siècle, avec sa misère et sa noblesse ».

    Véritable plongée au coeur du Paris du XVIIe siècle, l’histoire nous entraine dans le quotidien de Vincent de Paul, un homme d’Église dévoué, en quête de vérité.

    couv_larmes_esther« Les larmes d’Esther » de Robin

    « Un album apprécié par l’ensemble du jury pour son graphisme épuré et moderne. Une belle fiction, qui, à chaque page, nous fait découvrir des personnages contemporains du Christ et dont la rencontre bouleverse et transforme leurs vies ».

    Esther, Tsour, Ephraïm… Trois personnages que la vie n’a pas épargnés. Mais sur le chemin de chacun d’eux se dresse la silhouette d’un homme qui leur donnera la force de se relever. Cet homme, c’est Jésus.