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Enseignement - Education - Page 22

  • Retour américain sur le blocage des ordinations à Fréjus-Toulon

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    De Jules Gomes sur Church Militant :

    Rome bloque l'ordination pour s'en prendre à un évêque exemplaire

    3 juin 2022

    Des cardinaux libéraux se sont ligués pour persécuter un évêque fidèle, connu pour son soutien aux catholiques traditionalistes et qui préside un séminaire français florissant. 

    Mgr Dominique Rey, évêque du diocèse de Fréjus-Toulon, a annoncé jeudi que Rome lui avait interdit de procéder à l'ordination de six diacres et de quatre prêtres à la fin du mois de juin. Cette sanction fait suite à une "visite fraternelle" de l'archevêque de Marseille et de l'archevêque métropolitain de la province, Jean-Marc Aveline, dans le diocèse, à la demande de Rome. Dans une lettre adressée aux prêtres de Fréjus-Toulon, Mgr Rey a déclaré que Rome avait ordonné la révision du diocèse en raison des "questions que certains dicastères romains se posaient sur la restructuration du séminaire et la politique d'accueil du diocèse". 

    La visite de Mgr Aveline a été suivie d'une rencontre avec Mgr Marc Ouellet, ancien archevêque de Québec et préfet de la Congrégation pour les évêques - l'un des bureaux les plus puissants du Vatican, qui supervise la sélection des évêques.

    Des sources cléricales du diocèse français ont déclaré à Church Militant que l'évêque Rey s'était attiré les foudres de Rome parce que certains estimaient qu'il accueillait trop de clercs traditionalistes dans le diocèse. Un membre du clergé a expliqué que "le catholicisme traditionaliste fait partie du panorama catholique français, avec de nombreuses communautés religieuses offrant la messe traditionnelle en latin" et "près de 50% des vocations sacerdotales provenant de communautés traditionalistes."

    Un professeur de théologie du diocèse a expliqué comment de nombreuses autres vocations provenaient d'associations du clergé comme la Communauté de Saint-Martin, qui a une formation classique mais ne célèbre pas la Messe latine traditionnelle. 

    L'universitaire a noté : 

    Ces dernières années, Mgr Rey a modelé son séminaire diocésain sur le modèle de St Martin. Il a accueilli des séminaristes traditionalistes, mais leur a toujours demandé d'être ouverts à la nouvelle messe. Il a aidé à fonder des communautés charismatiques, mais liées à l'ancien rite. 

    L'évêque Rey est lui-même issu de la communauté charismatique de l'Emmanuel et est très ouvert au mouvement du Saint-Esprit. Cela n'est pas compris à Rome, où l'idéologie libérale est fermée à l'action du Saint-Esprit et ouverte à l'esprit du temps, comme le mouvement LGBTQ+. 

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  • Pentecostes : Factus est repente, de caelo sonus advenientis spiritus vehementis…

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    Soudain, il se fit du ciel le bruit de l’arrivée d’un vent impétueux, là où ils étaient assis, alleluia : tous furent remplis du Saint-Esprit et professant les merveilles de Dieu¨ : une composition musicale de l’un des plus jeunes musiciens écossais, James MacMillan. « Jeune », c’est une façon de parler puisqu’il est né en 1959 ! Mais voilà, en musique la jeunesse n’a pas d’âge. MacMillan est un homme de convictions: politiques (très « à gauche ») et religieuses (catholique dans un pays protestant): Son épouse et lui sont tertiaires dominicains, c’est dire s’ils sont engagés. La référence au sacré est de fait omniprésente dans son œuvre. Ici la superbe « transfiguration » et non défiguration du propre de l’antienne de communion de la messe grégorienne traditionnelle de la Pentecôte.

     

  • Comment le couperet du Saint-Siège s'est abattu sur un diocèse plein de vitalité

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    De Luisella Scrosati sur le site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    Le couperet du Saint-Siège s'abat sur un diocèse trop bien portant

    4-6-2022

    La décision retentissante de Rome de bloquer dix ordinations (4 prêtres et 6 diacres) imminentes dans le diocèse français de Fréjus-Toulon. La raison ? Officiellement, en raison de la politique d'accueil du diocèse, qui est très ouverte aux différentes sensibilités et aux communautés de différents types. Il est certainement "singulier" que le Saint-Siège décide toujours de frapper les diocèses qui font preuve d'une certaine vitalité et d'une ouverture aux réalités "traditionnelles".

    Le diocèse de Fréjus-Toulon était dans le collimateur du Saint-Siège depuis un certain temps. Depuis plusieurs mois, en effet, l'archevêque de Marseille, Mgr Jean-Marc Aveline, étonnamment sur la liste des futurs cardinaux, effectuait une visite "fraternelle" dans le diocèse de Mgr Dominique Rey. Toutefois, il ne fallait pas s'attendre à ce que l'affaire dégénère au point de bloquer les prochaines ordinations sacerdotales dans le diocèse, prévues le 26 juin. Quatre candidats au sacerdoce et six au diaconat devront donc attendre. Pour l'instant, sine die, et avec la perspective que le séminaire français suive la recette qui a conduit à la fermeture du séminaire de Ferrare, trop largement au-dessus de la moyenne en termes de vocations, dans un délai très court.

    Les raisons de cette décision sont à peine esquissées dans l'annonce que Mgr Rey a rendue publique le 2 juin dernier : restructuration du séminaire et politique d'accueil dans le diocèse. Deux aspects interdépendants. Le Séminaire de l'Immaculée Conception La Castille compte plus de quarante séminaristes, plus une douzaine en année propédeutique et des diacres, ce qui en fait, parmi les séminaires des diocèses français, le deuxième après celui du grand archidiocèse de Paris. Le séminaire accueille des candidats au sacerdoce d'origines et de sensibilités assez hétérogènes : des séminaristes venant d'autres diocèses ; d'autres appartenant à la Société des Missionnaires de la Miséricorde divine, fondée par l'abbé Fabrice Loiseau, prêtre appartenant à la Fraternité Saint-Pierre, et profondément attaché à la célébration de la messe selon l'ancien rite ; d'autres encore par la Fraternité Missionnaire Jean-Paul II, une fondation récente avec une sensibilité missionnaire particulière ; une mission qui caractérise également une autre communauté nouvelle, présente dans le diocèse et le séminaire de Fréjus-Toulon, la Communauté Catholique Mére de Divin Amour, à tendance charismatique. On note également une présence discrète de membres du Missionnaire de la Très Sainte Eucharistie, une association cléricale publique pour la diffusion de l'adoration eucharistique perpétuelle.

    Outre le Séminaire de La Castille, le diocèse de Fréjus-Toulon accueille également le Séminaire international Redemptoris Mater Sainte Marie-Madeleine du Chemin Néocatéchuménal. D'autres communautés sont également présentes dans le diocèse (comme on peut le voir ici), dont beaucoup sont de fondation récente, allant de la charismatique Communauté de l'Emmanuel, à la plus traditionnelle et toujours plus grande Communauté Saint-Martin, en passant par des instituts plus historiques comme les Maristes, les Salésiens et les Oratoriens.

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  • Que penser du blocage sine die des ordinations dans le diocèse de Toulon ?

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    Libres propos d’Arnaud Dumouch, de l'Institut Docteur Angélique (Belgique) :

    4 Juin 2022 : Que penser du blocage sine die des ordinations dans le diocèse de Toulon ? (15 mn) 

    https://youtu.be/LJD5G0-Hlb0  

    Cette décision vient manifestement du Vatican puisque l’archevêque de Marseille, Mgr Jean-Marc Aveline, qui a mené la visite pastorale à Toulon, vient de recevoir le chapeau de cardinal. 

    Qui est Monseigneur Dominique Rey, évêque de Toulon depuis 2000 ? Il est un évêque atypique dans le paysage français : soucieux d’une théologie fidèle au Magistère (donc « traditionnelle »), il est à la fois un pasteur de terrain (n’hésitant pas à prêcher l’évangile dans les cafés et sur les marchés). En outre, il a décidé depuis le début de son épiscopat de donner une chance à toute personne ou toute communauté qui, rejetée ailleurs, frappe à sa porte. Son séminaire est en conséquence l’un des trois plus grands de France, attirant des critiques de la part de certains autres évêques qui l’estiment « de droite » et « sans discernement ». La jalousie, sentiment très humain, n’est certainement pas étrangère à leur jugement. 

    Que reproche-t-on à ses séminaristes ? Comme ceux de Paris ou de la Communauté saint Martin, leur sensibilité est majoritairement « traditionnelle » (amour de la philosophie réaliste, de la théologie thomiste) mais aussi ouverte à un apostolat vivant et tourné vers « les périphéries ». Cependant, il semble qu’on reproche à ce séminaire de ne pas renvoyer quelques personnes dont la sensibilité va plus loin et se rigidifie dans un intégrisme de type janséniste (attention de ne pas confondre « traditionalisme » et « intégrisme » !!)  

    Cette décision du pape François est-elle justifiée ? Brutale et blessante pour les jeunes vocations, elle risque de décourager, ou pire d’entrainer la dissimulation. Elle ajoute un peu plus de cailloux à ce parcours du combattant qu’est devenu le chemin vers l’ordination de jeunes en rejet de la déconstruction liée aux années 70. Mais le pape François est aussi un pasteur et il peut très vite adoucir les choses comme on l’a vu faire plusieurs fois.  

  • Stupeur : Monseigneur Rey prié de surseoir aux ordinations de la fin juin

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    Voici ce qu'on peut lire sur le site du diocèse de Fréjus-Toulon :

    Ces derniers mois, l’archevêque métropolitain de notre province, Mgr Aveline, archevêque de Marseille, a conduit une visite fraternelle dans notre diocèse à la demande de Rome. À côté des nombreux beaux fruits que portent l’annonce de l’Évangile et la mission des chrétiens engagés – clercs, consacrés et laïcs – dans notre diocèse, ont pu être abordées les questions que certains dicastères romains se posaient autour de la restructuration du séminaire et de la politique d’accueil du diocèse. Un entretien sur ces sujets encore récemment, avec le Cardinal Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques, a permis d’apporter des compléments utiles. Dans l’attente des suites de ces échanges en cours avec les dicastères romains, il a été demandé de surseoir aux ordinations diaconales et sacerdotales prévues fin juin.

    Nous accueillons cette demande à la fois dans la douleur et la confiance, conscients de l’épreuve qu’elle représente avant tout pour ceux qui s’apprêtaient à recevoir l’ordination.
    Nous aurons à cœur de les porter dans la prière et de continuer à les accompagner dans leur cheminement. Je vous encourage chacun à prier aussi pour notre diocèse, en attendant que puisse s’éclaircir la situation pour le bien de tous.

    Que l’Esprit de Pentecôte garde nos cœurs dans la paix, heureux de servir et d’aimer,

    + Dominique Rey"

    L'ère bergoglienne est décidément peu favorable à tout ce qui s'inscrit dans la ligne de la Tradition : les ordinations (6 diacres et 4 prêtres) prévues fin juin à Toulon n’auront pas lieu. Rome s’interrogerait sur la restructuration du séminaire de la Castille et sur sa politique d’accueil, notamment de membres de communautés nouvelles. Comme le dit Jean-Marie Guénois sur le site du Figaro, "le fait est sans précédent dans l'histoire récente de l'Église de France. Sa violence également, trois semaines avant la cérémonie. (...) Si la décision est tombée aussi brutalement aujourd'hui - typique du mode de gouvernement du pape François -, ce serait, selon une source informée, en raison de « l'ouverture de Mgr Rey à l'option traditionaliste qui est maintenant ciblée et combattue depuis un an dans toute l'Église de France sur ordre de Rome et du pape.»"

    D'après Antoine Pasquier, sur Famille Chrétienne, "cette décision fait suite à une visite « fraternelle », à la demande de Rome, entreprise ces derniers mois par le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille et métropolitain de la province éponyme dont dépend Toulon. Le prélat aurait relevé, selon nos informations, plusieurs points qui posent question dans la formation et le discernement des candidats du séminaire de la Castille, mais également l’accueil de membres de communautés nouvelles - charismatiques et traditionnelles - et de jeunes issus de diocèses extérieurs à Toulon."

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  • Liège : Bach inspiration le dimanche 12 juin 2022 à 17h00 en l’église du Saint-Sacrement,Bd d’Avroy, 132 :

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    icone 300px.jpgDans le cadre de l’ouverture de la Semaine liégeoise de la Fête-Dieu (12-19 juin 2022) nous vous invitons à un après-midi musical autour de Jean-Sébastien Bach dans la jolie église du Saint-Sacrement:

    Bach inspiration 20190623_175956.jpg

    Bach Inspiration.jpg

  • Vivante Afrique : Jubilé d’or de l’Abbaye de Keur Moussa

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    L'abbaye de Keur Moussa fut fondée à Keur Moussa, au Sénégal, par neuf moines de l'ordre de Saint-Benoît venus de Solesmes. Les bâtiments furent inaugurés le 23 juin 1963 en présence du président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor.

    Formée de neuf moines bénédictins à l'origine, la communauté s'est fort agrandie et compte aujourd'hui une quarantaine de membres. Elle présente un caractère international. En effet, si les deux tiers d'entre eux sont de nationalité sénégalaise, on y dénombre en 2020 deux Béninois, deux Camerounais, un Congolais (Brazzaville), deux Français, deux Gabonais et un Guinéen.

    Le 30 janvier 1984, le monastère devient une abbaye autonome de la Congrégation de Solesmes.

    Le 8 mai 2000, le père Ange-Marie Niouky, Sénégalais, succède au premier abbé, le père Philippe Champetier de Ribes, décédé six ans plus tard (2006).

    En 2003, quatre moines sont détachés pour une nouvelle fondation à Saint-Joseph de Séguéya, en Guinée.

    Le 19 janvier 2019, le Père Olivier-Marie SARR succède au père Ange-Niouky, comme troisième Abbé de Keur Moussa

  • Massacres dans les écoles américaines : et si le vrai problème n'était pas les armes à feu

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    De Riccardo Cascioli sur le Daily Compass :

    Massacres dans les écoles américaines : le vrai problème n'est pas les armes à feu

    26-05-2022

    La réponse courante à une nouvelle fusillade de masse causée par un jeune tireur est l'habituelle polémique sur le droit de garder et de porter des armes aux États-Unis. Mais il s'agit d'une vision réductrice qui ne tient pas compte de tous les facteurs en jeu. Ce qui ressort, c'est le profond désespoir des auteurs de ces massacres, un manque de sens qui les pousse à la mort. Ceci devrait être le point de départ de la réflexion.

    Le nouveau massacre d'enfants au Texas, perpétré par un jeune homme de 18 ans lourdement armé qui a fait irruption dans l'école primaire Robb à Uvalde, ne peut laisser indifférent et amène à se demander quelle est la cause de la répétition de ces fusillades de masse. Malheureusement, cela ressemble à un rituel inutile qui se répète à chaque massacre, après les jours de deuil et les polémiques politiques, rien ne change en attendant la prochaine fusillade.

    Une des raisons de cette inutilité réside dans le fait que l'on réagit toujours en considérant la réponse comme acquise : c'est la faute du droit de garder et de porter des armes aux Etats-Unis, et donc c'est le lobby des armes qui empêche le Congrès d'intervenir pour limiter ou interdire leur achat. Depuis hier, tous les journaux sont remplis de ces analyses qui disent en chœur la même chose. Mais est-ce vraiment le cas ? Ou bien y a-t-il d'autres facteurs à prendre en compte et qui, à long terme, sont beaucoup plus déterminants que les armes ?

    En fait, la thèse "tout est de la faute des armes" est très réductrice, et ce pour plusieurs raisons, notamment le fait que "c'est l'homme qui tue, pas son épée", comme le rappelait Jean-Paul II dans son message pour la Journée de la Paix de 1984. Il est donc nécessaire de regarder de façon plus réaliste l'être humain, son cœur et ses motivations plutôt que son épée ou son fusil automatique.

    Peu importe le fait que la possession d'armes personnelles aux États-Unis soit enracinée dans ses origines, qui placent la liberté et la propriété privée comme fondement de l'identité américaine. Il existe d'autres faits concernant la diffusion et l'utilisation des armes à feu qui font douter qu'il s'agisse de la véritable cause du problème. Tout d'abord, les États-Unis ne sont pas le seul pays où il est largement possible de garder les armes à feu chez soi. Il y a seulement deux ans, le Canada a fixé des limites en interdisant l'achat de fusils d'assaut, mais même avant cela, les fusillades de masse ont été des événements très rares. Dans de nombreux autres pays, en outre, il est très facile de se procurer des armes de manière plus ou moins légale - pensez, pour ne pas trop vous éloigner, au Mexique et au Venezuela - mais il n'y a pas de phénomène de ce type, même si la violence y est très répandue. De plus - comme le dit un rapport du FBI, publié il y a quelques jours et cité par la BBC - les attaques armées par des citoyens privés ont doublé depuis le début de la pandémie de Covid-19. Cela réfute une relation directe entre la disponibilité des armes et les fusillades de masse (les armes n'ont pas doublé au cours de la même période). Elle devrait plutôt susciter des interrogations sur les conséquences de certaines politiques de gestion des pandémies.

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  • Cours de liturgie par Denis Crouan, docteur en théologie; 12ème leçon : L’histoire de l’apparition du missel plénier à partir de l’Ordre franciscain au XIIIème siècle

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    Liturgie 12 – L’histoire de l’apparition du missel plénier à partir de l’Ordre franciscain au XIII° s. (44 mn)  

    https://youtu.be/I2Ijx8XmUbA   

    Denis Crouan aborde dans cette leçon le grand changement qui marque le XIII° s : Ce siècle est sans doute celui de la vraie entrée de l’Europe dans la Renaissance : on s’oriente vers une Eglise plus "mondaine", et des évêques voulant montrer leur puissance par de grandes constructions. Les Ordres mendiants (Dominicains et Franciscains) réagissent à cela. Ils ne sont plus cloitrés et ont besoin de livres portatifs et simplifiés. On y voit apparaitre les messes privées. Le missel qu’ils vont composer pour raison d’itinérance fera un retour à Rome et influencera la pratique liturgique de la Curie papale et ainsi façonner l’« Ordo Missalis secundum consuetudinem romane Curie ». C’est donc grâce aux Franciscains qu’une unification de la structure rituelle de la liturgie romaine fut réalisée dans l’Église latine au XIII° s.  

    Deux questions en fin de cours : La présence d’un servant de messe était-elle obligatoire ? Les servantes de messe féminines existaient-elles à cette époque ? 

    COURS DE LITURGIE, PAR DENIS CROUAN, DOCTEUR EN THEOLOGIE, 2022 

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI 

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch. 

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin. 

    Denis Crouan 2022. 

  • Philo à Bruxelles, 17 mai : "La tactique du diable" avec Stéphane Mercier

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  • Liturgie, deuxième leçon introductive : La déconstruction de la liturgie dans les années 70 puis le début de son renouveau, par Denis Crouan

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    Liturgie 2 – La déconstruction de la liturgie dans les années 70 puis le début de son renouveau, par Denis Crouan (48 mn) 

    https://youtu.be/HLznFTCeSpg   

    Dans cette deuxième leçon introductive, le Docteur Denis Crouan établit une liste (non exhaustives) des lentes dégradations de la liturgie. En réalité, c’est comme une vague qui s’est abattue sur l’Eglise et qui a accompagné les années 70. Elle a déconstruit la vérité (la théologie), puis la bonté (l’amour de Dieu et le sens du sacré) et enfin le beau. Il en analyse les causes et le début du redressement par le cardinal Ratzinger qui est un grand amoureux de la liturgie. 

    COURS DE LITURGIE, PAR DENIS CROUAN, DOCTEUR EN THEOLOGIE, 2022

    https://www.youtube.com/playlist?list=PLuko328jWH_06CYFfUP8d6v_vzl9f4UbI 

    Cours donné par Denis Crouan, docteur en théologie, en entretien interactif avec Arnaud Dumouch. 

    Vidéo du site http://docteurangelique.free.fr/fichiers/InstitutDocteurAngelique.htm, les œuvres complètes en français de saint Thomas d'Aquin. 

    Denis Crouan 2022. 

  • Quand La Libre vous emmène dans la dernière "école" des prêtres de Belgique francophone

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    Pour la série "Dans le secret des lieux", La Libre vous emmène dans la dernière "école" des prêtres de Belgique francophone.

    Au pied de la citadelle de Namur, face au pont de l'Évêché, un site hors du temps semble isolé du reste de la ville, en raison de sa large enceinte en pierre. Rares sont les Namurois à savoir ce qu'abrite cet espace de 7.000 m², pourtant en plein cœur de la capitale wallonne.

    Le calme du lieu, parfois brisé par des chants à la gloire du Christ, ne laisse que peu de doute quant à sa fonction religieuse. Les salles de classe, auditoires et bibliothèques attestent d'un lieu d'apprentissage. Un réfectoire au rez-de-chaussée de l'aile nord, des chambres où sèche du linge aux étages supérieurs, un espace de détente dans les combles de l'aile sud témoignent d'une vie en communauté.  

    Toutefois, il ne s’agit ici ni de la cour d'une abbaye, ni d’une faculté ou d’un internat, mais plutôt d’un peu tout cela à la fois...

    A découvrir sur le site de La Libre