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Culture - Page 279

  • Liège, 3 novembre – Saint Hubert / Cathédrale: Messe aux Trompes de chasses

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    Ce 3 novembre, c'est la Saint-Hubert - dont la fête tombe cette année un dimanche. On l'ignore souvent, mais si saint Lambert est le patron du diocèse de Liège, le nom de saint Hubert est lié à la Cité Ardente. Né vers 656 dans la haute noblesse franque et mort en 727, il devint évêque de Tongres-Maastricht et établit sur les lieux de l'assassinat de son prédécesseur - saint Lambert - une institution religieuse, base de la future cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert, y ramenant ses reliques. Ce fait contribua à la création d'une métropole qui devint dans le courant du VIIIe siècle, le nouveau siège du diocèse de Tongres-Maastricht. Enterré à Liège et élevé à son tour sur les autels, son corps fut transféré en 825 à Andage en Ardennes - lieu qui reçut dès lors le nom de "Saint-Hubert".

    La Messe en l'honneur de saint Hubert sera célébrée à 10 heures en la Cathédrale Saint-Paul de Liège. L'office sera animé par les trompes de chasses du Bien-Aller Ardennes, qui chaque année - et ce, depuis plus de 20 ans - viennent sonner la Saint-Hubert à la cathédrale. Cette année, la fête tombant un dimanche, cela se fera exceptionnellement au cours de la Messe. A la fin de la liturgie, les fidèles pourront venir admirer la "clef de Saint-Hubert". Ce chef-d'œuvre de l'orfèvrerie mosane sera amené pour la circonstance sur place par l'équipe du Trésor de la Cathédrale. Selon la légende, cette clef aurait été offerte à saint Hubert par le pape comme souvenir de son pèlerinage à Rome. La poignée de la clef contient en effet une limaille des liens de Saint-Pierre. En fait, il s'agit d'un reliquaire datant - selon les parties - du XIIe au XIIIe siècle, et donné à l'évêque pour rehausser le prestige de l'Eglise de Liège.

     

    Contact chanoine Armand Beauduin, Doyen du chapitre, tél0475/913753

  • 3 novembre : festivités de la Saint-Hubert

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    Festivités de la Saint-Hubert :
    Fête Patronale. Folklore et Traditions (source)

    Patron des chasseurs depuis le 9ème siècle, St Hubert est aussi invoqué pour le succès des chasses et la protection des chiens et des chevaux. A Saint-Hubert, le 03/11/13 !

    Dès 9h, différentes animations prennent place devant la basilique avec des groupes folkloriques, un marché artisanal, des sonneries de trompes de chasse, des rassemblements de cavaliers, de chasseurs, de Compagnons de St Hubert, ou encore de lanceurs de drapeaux…

    Après la messe, vers 11h, a lieu la traditionnelle distribution de pains bénis et la bénédiction des animaux sur le parvis de l'église en présence des sonneurs de trompes de chasse.

    La cérémonie est suivie d'un marché artisanal avec dégustation et vente de produits locaux et animations diverses. 

    • 9h : Messe à l’autel de saint Hubert (Basilique)
    • 9h : Marché artisanal - Dégustation et vente de produits régionaux
    • 9h30 à 10h30 : Adoration du Saint Sacrement et permanence pour les confessions (crypte)
    • 10h : Sonneries de trompes de chasse, démonstrations de fauconnerie, lanceurs de drapeaux, démonstrations de dressage de chiens (centre ville)
    • 10h45 : Rassemblement et départ en cortège vers la Basilique (Place du Fays)
    • 11h : Grand-messe en l’honneur de saint Hubert par le Royal-Forêt Saint-Hubert et chantée par la chorale paroissiale.(Basilique)
    • Bénédiction des pains et imposition de la relique (Basilique)
    • 12h15 : bénédiction des animaux (devant la Basilique)
    • 13h : départ rallye équestre (Complexe sportif)

     

    Renseignez-vous
  • François salue l'oeuvre de Benoît XVI qui "faisait de la théologie à genoux"

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    "Benoît XVI faisait de la théologie à genoux"

    Le pape François remet le Prix Ratzinger à deux théologiens (zenit.org)

    « Benoît XVI faisait de la théologie à genoux… et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible », a déclaré le pape François en remettant le Prix Ratzinger, samedi 26 octobre 2013, au Vatican.

    Le Prix Ratzinger, institué en 2011 par la « Fondation vaticane Joseph Ratzinger – Benoît XVI », a été attribué cette année au prof. Richard A. Burridge, doyen du King’s College de Londres et ministre de la Communion anglicane et au laïc Christian Schaller, professeur en théologie dogmatique et directeur adjoint de l’Institut pape Benoît XVI à Ratisbonne (cf. Zenit du 26 juin 2013).

    Le pape a rendu hommage à la trilogie « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI, qui « a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière ».

    Discours du pape François :

    Chers frères et sœurs, 

    Je vous remercie et je suis content de vous rencontrer, en signe surtout de notre reconnaissance et de notre grande affection pour le pape émérite Benoît XVI.

    Je voudrais partager avec vous une réflexion qui me vient spontanément à l’esprit quand je pense au don vraiment singulier que celui-ci a fait à l’Église avec ses livres sur Jésus de Nazareth. 

    Je me souviens du jour où sortit le premier volume, certains disaient : «  mais qu’est-ce que c’est ? Un pape ça n’écrit pas de livres de théologie, ça écrit des encycliques!... Le pape Benoît s’était certainement posé le problème, mais dans ce cas aussi, comme toujours, il a suivi la voix du Seigneur dans sa conscience éclairée. Avec ces livres, il n’a pas fait de « magistère » au sens propre du mot, et il n’a pas fait d’étude académique. Il a fait don à l’Eglise, et à tous les hommes, de ce qu’il avait de plus précieux: sa connaissance de Jésus, fruit d’années et d’années d’étude, de confrontation théologique et de prière. Car Benoît XVI faisait de la théologie à genoux, et nous le savons tous. Et il l’a mise à disposition sous une forme la plus accessible possible. 

    Personne ne peut mesurer tout le bien qu’il a fait en faisant ce don ; seul le Seigneur le sait! Mais nous en avons tous une certaine perception, pour avoir entendu dire que tant de personnes, grâce aux livres sur Jésus de Nazareth, ont nourri leur foi, l’ont approfondie,  ou se sont même approchés pour la première fois du Christ de manière adulte, en conjuguant ensemble les exigences de la raisons et la recherche du visage de Dieu.

    En même temps, l’œuvre de Benoît XVI a stimulé une nouvelle saison d’études sur l’Evangile entre l’histoire et la christologie, et c’est dans ce cadre que s’inscrit aussi votre Symposium, dont je  fais tous mes compliments aux organisateurs et aux intervenants.

    Je félicite également tout spécialement le pasteur et professeur Richard Burridge et le professeur Christian Schaller, auxquels est remis le prix Ratzinger cette année. Au nom également de mon prédécesseur – avec qui j’étais il y a trois ou quatre jours – je vous fais mes plus vives félicitations: que le Seigneur vous bénisse  toujours vous et votre travail au service de son Royaume. 

    Et qu’il vous bénisse tous, chers amis, et vos proches. Merci!

    Traduction d’Océane Le Gall

  • L'écrivain algérien Boualem Sansal ne croit pas à la démocratie dans le monde arabo-musulman

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    Lu sur Le Vif :

    "Je ne crois pas à la démocratie dans le monde arabo-musulman"

    L’écrivain algérien Boualem Sansal fait sensation avec un essai tonitruant (1) révélant les origines, les tabous et les méfaits de l’islamisation qui poursuit sa propagation mondiale.

    • Le Vif/L’Express : Quel éclairage apporte un écrivain en « regardant un sujet de manière littéraire » ? 

    Boualem Sansal : Je précise d’emblée que je ne suis pas un spécialiste de l’islam pour pouvoir parler librement. On a besoin d’auteurs de toutes sortes, mais je m’intéresse aux phénomènes de société de notre époque. C’est pourquoi j’aimerais retrouver l’engagement des écrivains d’antan. Telle une caste détachée, ils restent absents du débat public, au lieu d’en être des acteurs. Lorsqu’on est confronté à une question aussi menaçante pour la société que l’islamisation, on doit se comporter en militant. Écrire ne suffit pas pour faire avancer les choses. Ce livre vise à dépasser le simple discours politique pour examiner les mécanismes profonds. J’espère vivement qu’il provoquera un vrai débat. 

    • Comment expliquez-vous le silence des intellectuels arabes, que vous qualifiez de « vecteur d’islamisme » ? 

    Ce qui me frappe, c’est que ce silence a existé de tout temps, quels que soient les sujets qui traversent l’ensemble des sociétés (le divorce, l’homosexualité ou la crise économique). C’est lié à la structure même de la société arabo-musulmane, dictatoriale ou féodale. Au mieux, les intellos sont des troubadours répétant le discours officiel. Ceux qui vivent en Occident demeurent également muets. Comment les réveiller ? Le mouvement Ecrivains pour la Paix − que j’ai fondé avec l’écrivain israélien David Grossman − a le plus grand mal à les mobiliser car ils redoutent d’être excommuniés ou assassinés. Or le propre de l’intellectuel est de dépasser la crainte, sinon il devient soldat.

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  • Maredret, 1er novembre : concert de chant grégorien, de polyphonie et orgue

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    img_5883_dx.jpgC O N C E R T

    Vendredi 1er novembre à 17H00

    Chant Grégorien, polyphonie & orgue

    par François Houtart, orgue, composition, chant grégorien

    Avec la participation de Liliana Sallustio, soprano

    Organum Novum, asbl

    Participation libre aux frais

    Abbaye de Maredret - Rue des Laidmonts 9 - B-5537 MAREDRET

  • La laïcité, cache-sexe d'une haine du catholicisme ?

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    Lu sur Boulevard Voltaire

    Laïcité ou haine du catholicisme ?

    Pierre Van Ommeslaeghe, Professeur de philosophie.

    Monsieur Peña-Ruiz est un philosophe patenté. Je veux dire par là que non seulement il a les diplômes requis pour se dire philosophe, mais qu’en plus il pense dans les clous. D’ailleurs, il est professeur à l’IEP (Institut d’études politiques) et écrit dans Le Monde. C’est vous dire si l’on n’attend pas de pensée iconoclaste de sa part. Il était à Rodez lundi dernier, invité par la préfecture pour parler de la laïcité. Dans cette période d’opulence, on peut bien se permettre quelques libéralités pour évangéliser les péquenots de province… Je suis donc allé l’écouter, me disant que de la part du penseur officiel sur la question, je pourrais recevoir quelques lumières sur la position actuelle de la question, notamment des problèmes nouveaux qui se posent à elle du fait des revendications de certains musulmans (voile, halal dans les cantines, médecins selon les sexes, contestation de certaines matières à l’école, etc.).

    J’ai été déçu. Son discours aurait aussi bien pu être prononcé il y a cinquante ans, voire il y a un siècle. En résumé, l’Église catholique a toujours cherché à bénéficier de privilèges par une collusion avec le pouvoir politique. À l’appui de cette thèse, de nombreux exemples, depuis l’Ancien Testament (le christianisme ne revendique-t-il pas une filiation avec le judaïsme ? Si ce n’est lui, c’est donc son père) jusqu’à Galilée en passant par les croisades. Les collusions entre religion et politique en islam ? Les éventuelles violences de celui-ci (en Terre sainte, mais aussi le siège de Vienne, la piraterie en Méditerranée pour fournir les marchés aux esclaves, etc.) ? Il n’en a pas entendu parler.

    Philosophiquement, s’il reconnaît qu’il y a des textes évangéliques qui peuvent aller dans le sens d’une distinction entre le spirituel et le temporel (en fait un seul, la parabole du bon grain et de l’ivraie), c’est pour en brandir d’autres, non évangéliques, ou pour stigmatiser des interprétations et des pratiques qui vont à l’encontre. Instruction à charge.

    En face de la méchante Église se sont levés les gentils défenseurs de la laïcité, qui eux n’ont jamais été violents (défense de rire). Cette laïcité est universelle, même si elle n’existe qu’en France. Dire qu’elle devrait être « ouverte », c’est la contester. Il y a encore aujourd’hui des entorses à cette laïcité : des écoles catholiques reçoivent des subsides publics ! Pour faire du prosélytisme ! Par contre, pas un mot sur l’obligation de se marier civilement avant de le faire religieusement ; pas un mot sur la nomination des évêques qui ne peut se faire qu’avec l’aval du ministère de l’Intérieur. Ce serait reconnaître que de tout temps le pouvoir politique a cherché à contrôler le religieux, voire à s’y substituer, ce à quoi le christianisme s’oppose, s’opposant ainsi à un fondement du totalitarisme.

    C’est la conclusion qui est la plus inquiétante. Pour faire une place aux populations immigrées, il faudrait, selon M. Peña-Ruiz, en rabattre sur notre héritage culturel (sous-entendu : trop chrétien). Peut-être pense-t-il, comme Mme Bouzar, qu’il faudrait supprimer quelques jours chômés chrétiens, comme Noël ou Pâques, pour y substituer des fêtes musulmanes, juives, bouddhistes, taoïstes ou autres. Peut-être faudrait-il raser quelques monuments catholiques trop voyants, par exemple le Sacré-Coeur de Montmartre, comme le suggérait récemment un communiste parisien ? La laïcité n’est parfois que le cache-sexe d’une haine profonde du catholicisme, jusqu’à favoriser une religion qui ne connaît pas ce principe et ne pourrait que le supprimer si elle venait à s’imposer en France. Paradoxal.

  • Aller à contre-courant et choisir l'inhumation ?

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    Du P. Jean-Luc Fabre, sur son blog "Jardinier de Dieu" :

    Aller à contre courant, continuer à vouloir être enterrés !

    En ces jours de préparation de la Toussaint et de la commémoration des défunts, nous vous proposons de lire cette brève  interview du philosophe Damien LeGuay. Il aide à voir peut-être l’envers du décor de la crémation : la peur d’importuner ses proches. J’ai bien des témoignages en ce sens moi-même.  Ce chemin coupe notre solidarité ou manifeste que cette solidarité est comme morte, alors qu’en ces jours, nous fêtons la fête de tous les saints, le fait que nous accédons à la sainteté pas qu’au simple niveau individuel mais pris dans la solidarité de notre humanité. Continuons à vouloir être enterrés en pleine terre, à manifester ainsi cette solidarité qui court entre tous les hommes du premier Adam au dernier Adam, des premiers hommes au retour du Christ. Notre passage sur terre n’aura pas été sans sens. Nous aurons été acteurs du devenir de l’humanité, modestement mais réellement. Attestons-le en étant couchés en terre pour attendre le retour de Notre Seigneur, lui qui a demeuré en terre lui aussi.

    P. Jean-Luc Fabre

    LE PLUS. Les crémations prennent de plus en plus le pas sur les enterrements, plus traditionnels. Pourquoi l'état de cendres séduit de plus en plus d'individus ? Éléments de réponse avec Damien Le Guay, philosophe, auteur de "La Mort en cendres. La crémation aujourd’hui, que faut-il en penser ?" aux éditions du Cerf.

    Édité par Henri Rouillier  Auteur parrainé par Guillaume Malaurie

    Edgar Morin indique qu’un geste fut à l’origine de l’humanité : le premier ensevelissement d’un homme, il y a 100.000 ans. Une dignité lui était reconnue. L’art, la religion et la culture se sont développés pour accompagner ce dialogue entre les hommes et la mort, cette familiarité entre les survivants et les morts.

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  • La collégiale Sainte-Croix à Liège : un des monuments les plus menacés de la planète

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    sc-exter-complet.jpgLu sur La Libre - Gazette de Liège :

    Quel chemin pour Ste-Croix ?

    Un SOS mondial a été lancé pour la collégiale. Ville et Région se renvoient la balle.

    C’est une première en Région wallonne : depuis quelques jours, la collégiale Sainte-Croix de Liège figure sur la liste des monuments les plus menacés de la planète, dressée par le World Monuments Fund qui a son siège à New York. Ce n’est évidemment pas un compliment pour nos responsables du patrimoine. Mais entre la Ville et la Région, on se renvoie la balle…

    "Ce classement est un signal d’alarme, explique Mathieu Piavaux, de l’ASBL SOS Sainte-Croix, par ailleurs chargé de cours à l’Université de Namur. A Bruxelles, la maison de la Radio place Flagey et le site de Tour et Taxis ont figuré sur la liste Monument Watch et cela a contribué à les sauver. Cette fondation est comme l’Unesco ou comme Amnesty International. Elle ne donne pas les fonds pour lutter contre ce qu’elle dénonce, mais elle est une caution morale, une légitimité". Le message fera-t-il de la restauration de l’édifice médiéval une priorité ? C’est évidemment ce qu’espèrent ses défenseurs qui ont monté le dossier adressé à la fondation américaine.

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  • « Humanisme chrétien, travail et société »: Mgr Delville inaugure un nouveau cycle de lunchs débats à l'Université de Liège

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    Avec le concours du forum de conférences « Calpurnia »

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      Université de Liège, Rectorat, Place du XX août 

    Le prochain cycle de « lunchs débats » organisé à l’Université de Liège par l’Union des Etudiants Catholiques et le Groupe de réflexion  sur l’éthique sociale  aura pour thème « Humanisme chrétien, travail et société ». L’objectif est de mieux cerner le concept d’humanisme dans le cadre de l’anthropologie chrétienne et de mettre en lumière quelques conséquences pratiques pour le développement de la personne et de la société, en récusant tout déterminisme économique et social.

    De novembre 2013 à octobre 2014, six conférenciers issus du monde tant académique, que religieux,  politique, économique et social apporteront leur témoignage.

    C’est le nouvel évêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre DELVILLE, qui inaugurera le cycle par un lunch-débat sur « l’Humanisme dans l’engagement social de l’Eglise, hier et aujourd’hui » 

     

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    le mardi 26 novembre 2013 à 18h00

    à la Salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale) Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé à 18h15 : lunch à 19h débat de 19h30 à 20h30. (P.A.F : 10 € par réunion).

    Inscription obligatoire trois jours à l’avance par e-mail info@ethiquesociale.org ou tél. 04.344.10.89

    info@ethiquesociale.org  - www.ethiquesociale.org

     Union des étudiants catholiques de Liège : Jean-Paul Schyns, Quai Churchill, 42,  4020 Liège  (tél. 04 344 10 89 ; jpschyns@skynet.be)

     Groupe de réflexion sur l’éthique sociale :   Elio Finetti, Quai Orban 34, 4020 Liège (tél. 0475 83 61 61; finetti@ethiquesociale.org) 

    Calpurnia - Forum de conférences, débats :Philippe Deitz, Rue Henri Maus, 92, 4000 Liège  (tél. 04 253 .25.152515 ; calpurnia.musee@gmail.com)

  • Trois fêtes successives: 27 octobre, 1er et 3 novembre prochains

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    EGLISE DU SAINT-SACREMENT
    Boulevard d’Avroy, 132 à Liège
      

    DIMANCHE 27 OCTOBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête du Christ-Roi

    Propre grégorien de la messe « Dignus est Agnus »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s), Acclamations carolingiennes (VIIIe s.) 

    VENDREDI 1er NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de la Toussaint

    Propre grégorien de la messe « Gaudeamus omnes »

    Kyriale IV « Cunctipotens Genitor Deus » (Xe s.), Credo IV (XVe s.)

    Hymne de la Toussaint « Christe Redemptor Omnium » (IXe s.)

     

    DIMANCHE 3 NOVEMBRE 2013 À 10 HEURES

    Fête de saint Hubert, évêque de Liège

    Patron des chasseurs

    Propre grégorien de la messe des confesseurs pontifes « Statuit »,  Kyriale IV (Xe siècle), Credo IV (XVe s.)

    Airs de chasse à l’orgue

    AVEC LE CONCOURS DE LA SCHOLA DU SAINT-SACREMENT

    À L’ORGUE, PATRICK WILWERTH, professeur au Conservatoire de Verviers et Mutien-Omer HOUZIAUX, ancien organiste titulaire de la cathédrale de Liège

    Livrets à votre disposition sur la table au fond de l’église pour suivre la messe

    Plus de renseignements : cliquez ici  http://eglisedusaintsacrementliege.hautetfort.com

  • Le Père Fouettard hors-la-loi ?

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    Lu sur le site de la RTBF :

    L'ONU enquête sur le Père Fouettard, "caricature d'un Africain soumis"

    Le comité des droits de l'homme de l'ONU enquête sur le caractère potentiellement raciste du "Père Fouettard" annonçait samedi un journal néerlandais. Ce mardi, c'est la presse flamande qui s'indigne.

    Une commission du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, qui a envoyé un questionnaire aux Pays-Bas en début d'année, doit présenter ses conclusions le mois prochain, selon le NRC Handelsblad dans son édition du week-end.

    Le Père Fouettard ou "Zwarte Piet" en néerlandais, accompagne traditionnellement Saint Nicolas lors d'un festival qui se tient le troisième samedi de novembre, lors de son "arrivée" aux Pays-Bas, en provenance d'Espagne, sur un bateau chargé de cadeaux. Le personnage est très connu aussi en Belgique où la fête de Saint-Nicolas est très populaire.

    Mais le personnage de Zwarte Piet, affublé d'un costume médiéval clinquant, coiffé d'une perruque afro, et dont le visage est peint en noir, a fait l'objet d'une polémique ces dernières années, ses détracteurs le considérant comme un stéréotype raciste.

    "Selon les informations que nous avons reçues, l'image du Pierre noir perpétue une vision stéréotypée du peuple africain et des personnes d'origine africaine qui apparaissent comme des citoyens de seconde zone", selon un courrier, daté de janvier, et publié samedi sur le site web de NRC.

    Le courrier, rédigé par quatre enquêteurs de cet organisme onusien basé à Genève, a demandé aux autorités néerlandaises de clarifier la question.

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