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Culture - Page 332

  • Journée de la femme : l'Eglise, misogyne ?

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    Le site "catholique.org" pose cette question :

    "Quelles relations entre l’Eglise et les femmes dans l’Histoire ?"

    et y répond de la manière suivante :

    Quelques idées reçues...

    "C’est la mysogynie du christianisme qui explique que la femme était autrefois considérée comme inférieure à l’homme."

    Au contraire !

    Le christianisme a révolutionné les mentalités en affirmant au sein d’un monde antique pénétré par l’idée d’infériorité de la femme, l’égale dignité des deux sexes aux yeux de Dieu. Saint-Paul n’affirme-t-il pas dans son épître aux Galates (III,28) : "Il n’y a plus ni juif, ni Grec, ni maître, ni esclave ; ni homme, ni femme. Vous n’êtes qu’un dans le Christ Jésus" ? Comme le souligne Monique Piettre : "désormais le rite d’élection n’est plus le signe, exclusivement réservé aux mâles et inscrit dans la chair, qu’était la circoncision hébraique, mais un sceau invisible imprimé sur les âmes et offert à tous et à toutes : le baptême". Cette égalité de dignité était déjà affirmée dans la Genèse : "Dieu créa l’homme à Son Image, à l’image de Dieu Il le créa, homme et femme il les créa".

    Par ailleurs, Dieu a tout de même choisi de s’incarner dans le sein d’une femme (il aurait pu descendre sur terre adulte...), et tout son plan de salut était suspendu au "oui" de cette femme, la Vierge Marie, qu’Il a donnée comme mère à tous les hommes...On devrait méditer davantage les propos de Jean Guitton : "la personne la plus parfaite de notre monde moral se trouve avoir été choisie dans le sexe le plus faible".

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  • Le chemin de Compostelle

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    coquille_saint_jacques.jpgLes mois d'été approchent. Il est un chemin sur lequel beaucoup se risquent, en quête de spiritualité, et la plupart se retrouvent différents au terme de cette expérience. Certains esprits un peu étroits regretteront qu'il ne s'agisse pas d'une démarche toujours explicitement motivée de façon strictement religieuse et catholique. Mais si l'on faisait un peu confiance à l'Esprit qui souffle où il veut et quand il veut ?

    Pour "tout savoir" sur le chemin de Compostelle, ce portail : http://www.chemindecompostelle.com/

  • L'avenir du patrimoine religieux en Belgique francophone

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    A titre informatif - et sans nous prononcer sur le contenu des communications - nous reproduisons (en y étant autorisés) le compte-rendu de la conférence « Quel avenir pour le patrimoine religieux en Belgique francophone ? ». Ce compte-rendu n'a pas un caractère "officiel"; il est l'oeuvre d'une étudiante qui y a assisté (grâces lui soient rendues).

    « Quel avenir pour le patrimoine religieux en Belgique francophone ? »

    Conférence organisée par la TIARE (foi, raison et société – www.latiare.be) et le kot-à-projet « l’Amandier »

    Intervenants annoncés

    • Raphaël COLLINET (vicaire épiscopal),
    • Thomas COOMANS (professeur à la KUL)
    • Paul FURLAN (le ministre wallon, mais il sera probablement remplacé)
    • Pierre-Yves KAIRIS (historien de l’art, IRPA),
    • François MOENS (sociologue, UCL-Mons),

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  • Creuser imperturbablement son sillon

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    icareg.jpg

    Répondant à notre note "un petit blogue de rien du tout", "Tchantchès" (François, en wallon de Liége) nous écrit très finement ceci :

    "Je vous souhaite beaucoup d'égalité d'âme et de constance.

    Vous connaissez certainement ce tableau de Brueghel où l'on aperçoit Icare, dont les ailes de cire ont fondu au soleil, s'abîmer dans les flots alors qu'imperturbable le cultivateur continue de creuser son sillon.

    C'est, à mon avis, la seconde méthode qui est la meilleure pour avancer."

    Merci à notre courageuse amie de "Benoît-et-moi" qui répond également, sur son site, à ce "billet d'humeur" pourtant moins désespéré qu'on ne pourrait le croire. J'aime tout particulièrement ce passage :

    "De toutes façons, mieux vaut être lu par 10 personnes qui comptent, ou par 100 personnes en quête de vérité, que par 100 000 cornichons - comme beaucoup de ceux qui peuplent les forums, sous pseudo. J'assume la rudesse de mon propos."

  • Séries télévisées : la foi au risque de l'asphyxie

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    Il y a, bien sûr, les attaques en règle contre l'Eglise. Nous en savons quelque chose dans notre petite terre d'héroïsme où la campagne menée à la faveur des affaires de pédophilie n'arrête pas de rebondir.

    Mais il y a ces choses qui s'insinuent quotidiennement à travers la "culture" médiatique, et notamment dans les séries. Ainsi, le premier épisode ("l'affaire Sainte-Maxime") d'une série créée par le mari de Laurette Onkelinx (Marc Uyttendaele) met en scène une affaire de pédophilie dans un collège catholique; ainsi, dans un épisode lointainement inspiré par Agatha Christie, "la plume empoisonnée", la coupable n'est autre qu'une pauvre femme fanatique qui voulait à tout prix faire de son fils un prêtre catholique; ainsi encore, dans Barnaby, où une des dernières enquêtes s'effectue dans un couvent de religieuses pas si catholiques que ça.... Tout cela vient d'être programmé, coup sur coup, sur des chaînes françaises ou belges.

    Et on pourrait, bien sûr, continuer d'énumérer ces "productions" qui égratignent quotidiennement l'Eglise, distillant le doute et le soupçon, minant la confiance et suggérant le rejet. C'est ainsi que le téléspectateur lambda, sans trop s'en rendre compte, est peu à peu chargé d'énergie négative à l'égard de tout ce qui s'apparente à la foi catholique. Il faut être fort pour résister à cette propagande insidieuse qui en remet quotidiennement des couches et pour ne pas succomber à la désaffection générale qui finit par éloigner les "chrétiens sociologiques" (mais y en a-t-il encore?) des églises.

  • La pérennité de la tradiction bénédictine sous le ciel de Provence

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    Un reportage qui nous emmène à des lieues d'abbayes vides ou désertées comme il s'en trouve parfois chez nous...

    «Nous ne sommes pas plus grands que nos Pères» (merci à "Riposte catholique")

    source : 30giorni.it par Giovanni Ricciardi

    À Le Barroux, près d’Avignon, la communauté bénédictine fondée par dom Gérard Calvet fleurit depuis quarante ans, sous le signe de la stricte observance de la Règle et de l’amour pour l’ancienne tradition liturgique de l’Église

    Des fenêtres du monastère de Le Barroux, le ciel de Provence semble un drapeau bleu tendu au vent. Le monastère est battu par le mistral, parfois avec violence: certains jours d’hiver, sur les montagnes proches, il peut souffler jusqu’à trois cents kilomètres à l’heure. Les oliviers et les vignes semblent ne pas en souffrir mais, mis à part les cyprès qui ont été mis là pour rappeler que, de ces murs, on regarde vers le haut, la végétation est dans l’ensemble basse et donne au paysage son allure de garrigue. Sous le ciel, se dresse comme un cône régulier la masse sombre du Mont Ventoux...

    Lire la suite de ce beau reportage : http://www.30giorni.it/

  • Voyager au "Pays des Cèdres" avec l'Ordre Libanais Maronite du 16 au 23 avril

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    tourisme.jpg

    cliquer sur l'image pour accéder au site

  • Les "coulisses du Vatican"

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    Voulez-vous explorer les coulisses du Vatican? C'est ici (sur "Radio Vatican") :

    Les coulisses du Vatican
    ›  les coulisses du Vatican, le conservatoire de la pierre des Musées du Vatican
    ›  le chœur de la basilique Saint-Pierre
    ›  la Garde suisse pontificale
    ›  le conseil pour la promotion de la nouvelle évangélisation
    ›  le comité pontifical des sciences historique
  • La culture des mantras

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    Citant la traduction anglaise d’ un  article du magazine allemand Der Spiegel sur les musulmans allemands de 2° et 3° génération, séduits par la prédication de jeunes imams salafistes, le chanoine Eric de Beukelaer écrit :

    « Alors que les mosquées « ordinaires » rencontrent en Allemagne une désaffection de la part de la jeunesse assez similaire à celle que connaissent les églises catholiques et protestantes, de jeunes imams charismatiques apparaissent et touchent les générations montantes. Ils ne prêchent pas un islam violent, mais n’en propagent pas moins une critique radicale de la culture occidentale et de son hédonisme individualiste. Ils lui opposent la stricte obéissance à la volonté divine. « Même si Allah te dit de passer toute ta vie avec une jambe contre un mur, tu le feras – car il est ton Dieu », enseigne un de ces imams. Pareil message plaît à nombre de jeunes, car il est clair et simple – ce qui est confortable. Obtenir des réponses toutes-faites, afin de ne plus devoir se poser de questions – telle est une des tentations récurrentes de l’esprit humain.  Cela explique le succès des sectes – parfois même auprès des élites intellectuelles – mais aussi l’attrait pour le fondamentalisme. On retrouve cela dans les milices de jeunes fanatisés par les régimes totalitaires, comme chez les intégristes de tous poils. Notons que le phénomène se rencontre également parmi nombre d’occidentaux qui se disent « libérés », mais vivent engoncés dans une moite paresse intellectuelle. Combien de fois n’ai-je pas eu comme réponse « mantra », alors que j’expliquais la vision catholique sur l’avortement : « Ce que tu dis ne tient pas la route : on vit tout de même au XXIe siècle ! » Cela signifiait pour eux : échec et mat, fin de discussion. Eh bien, non. Une discussion ne se termine pas ainsi. Oui, on vit au XXIe siècle, mais cela n’empêche pas de se poser des questions et d’être critique. Cela n’interdit pas de remettre en cause l’économie-casino, la surconsommation, ainsi que plusieurs enjeux bioéthiques. Bref, cela n’empêche pas de se creuser les méninges et d’ouvrir un débat. »Voir ici :Démocratie et usage de la raison…

  • Le latin reste d'actualité

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    enluminureS.jpgL'étude du latin est en tout cas nécessaire pour les clercs. C'est ce qui ressort de cette intervention prononcée lors du congrès organisé par le Pontificium Istitutum Altioris Latinitatis à l’Université pontificale salésienne.

    "La deuxième moitié du XXe siècle a marqué — et pas seulement au niveau ecclésial — une ligne de division dans l’histoire de l’usage de la langue latine. Disparue depuis déjà des siècles comme instrument de la communication érudite, elle a résisté à l’école, comme matière d’étude dans les programmes éducatifs de niveau secondaire supérieur, et, dans l’Eglise catholique, en général, comme moyen d’expression de la liturgie et véhicule de transmission des contenus de la foi et d’un vaste patrimoine littéraire, qui va de la spéculation théo-philosophique au droit, de la mystique et de l’hagiographie aux traités sur les arts, à la musique et même au sciences exactes et aux sciences naturelles..."

    lire la suite ici : Osservatore Romano

  • Les pastels de Sabine Corman exposés à Rochefort

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  • Revitaliser le catholicisme ?

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    ...dans le monde hispano-américain; mais nous en aurions bien besoin ici.

    Cité du Vatican, 28 février 2012 (VIS). Dimanche 4 mars, les diocèses espagnols célèbrent la journée hispano-américaine. Pour l'occasion, la Commission pontificale pour l'Amérique latine, présidée par le Cardinal Marc Ouellet, PSS, leur a fait parvenir le traditionnel message, qui souligne cette année les enjeux voisins que connaît la riche tradition catholique en Espagne comme en Amérique latine, en particulier son érosion et « une sécularisation qui avance partout. Les signes d'hostilité envers l'Eglise et son message ne manquent pas. L'hédonisme et le relativisme de la société de la consommation et de l'apparence tendent à remplacer et à déraciner la culture chrétienne de ces pays ». Il convient donc de « reformuler et revitaliser la tradition catholique, de l'enraciner plus profondément...afin que resplendisse la vérité qui annonce pour tous un bonheur et un vivre plus humain ». Comme l'Europe, l'Amérique latine a besoin d'une nouvelle évangélisation.

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