19 mars 1882 : La Sagrada Familia (Herodote.net)
Vichy face à la "Solution finale" (Herodote.net)
Le génocide vendéen... et son mémoricide (Itinerarium)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
19 mars 1882 : La Sagrada Familia (Herodote.net)
Vichy face à la "Solution finale" (Herodote.net)
Le génocide vendéen... et son mémoricide (Itinerarium)
Quand les voix du King’s School de Canterbury s’unissent aux cordes du Conservatoire de Verviers et aux petits chanteurs de la chorale Sainte-Julienne
Le vendredi 23 mars prochain, à 20H00, l’église Sainte-Julienne (Verviers) accueillera, pour la seconde fois l’ensemble « Madrigalia » du King’s School de Canterbury ( http://www.kings-school.co.uk/ ) pour un concert unique, en collaboration avec l’ensemble « Scorzando » du Conservatoire de Verviers et les petits chanteurs de la chorale Sainte-Julienne de Verviers. Des jeunes musiciens d’un talent exceptionnel présenteront ainsi un programme varié de musique de la Renaissance et de la Période Baroque.
Au programme, des œuvres de JS Bach,Banchieri, Boccherini,Byrd, Haendel, Mozart,Purcell,Quantz, Scarlatti, Vittoria.
Institution dont l’origine (597) remonte à saint Augustin de Canterbury, the King’s School a reçu cette dénomination après la dissolution des monastères, sous le règne d’Henri VIII. Actuellement, le niveau musical de cet établissement jouit d’une très haute réputation.
L’ensemble Madrigalia, dirigé par Nicholas Todd, est un chœur du King’s School qui se concentre sur la musique de la Renaissance et des siècles qui la précèdent. Depuis sa fondation en 2006, Madrigalia voyage à l’étranger. En 2009, les choristes ont chanté le Requiem de Tomas Luis de Victoria dans le monastère de Santo Tomás où le compositeur lui-même avait été élève ; en 2010, à l’Abbaye du Bec-Helloin en Normandie, la chorale a interprété les Lamentations pour le Vendredi Saint de Roland de Lassus.
Scorzando est un ensemble de cordes composé de jeunes musiciens issus du Conservatoire de Verviers, qui se préparent à une carrière professionnelle, tandis que d’autres sont toujours aux études ou que d’autres, diplômés, prennent plaisir à y rester associés.
C’est à l’occasion de l’animation d’une messe radio que la Chorale Sainte-Julienne est née. Depuis lors, les choristes se réunissent chaque semaine, le vendredi et samedi, afin de répéter de grandes œuvres classiques qui seront interprétées lors des messes spéciales tout au long de l’année. La chorale a pour objectif de donner aux enfants le goût de « la Grande Musique ». Les jeunes ici présents peuvent témoigner de l’enthousiasme qui règne lors des répétitions et des prestations.
Ce concert d’une qualité qui promet d’être exceptionnelle bénéficiera de la très bonne acoustique de l’église Sainte-Julienne. L’entrée est gratuite.
Contact : Julian Todd, Rue de France 36, Verviers
Tel : 087 22 38 90 - 0473 774 844 julian.todd@live.be
L’église Sainte-Julienne est située avenue Léopold II à Verviers.
Paul Vaute, sous le titre : "Jésus-Christ sous le scalpel de l’historien", publie dans la Libre de ce 19 mars une excellente recension du livre de Jean-Christian Petitfils que nous avons évoqué sur ce blogue.
"Considérés avec ou sans la foi, les Evangiles sont une source historique solide.
Spécialiste de la monarchie française des XVIIe et XVIIIe siècles, Jean-Christian Petitfils s’était déjà échappé avec bonheur de son domaine de prédilection. Le défi qu’il s’est imposé cette fois n’en était pas moins de taille, pour ne pas dire à hauts risques : aborder la figure de Jésus en tant que sujet d’histoire, avec les méthodes de la critique historique. L’entreprise s’est révélée être un succès en librairie. C’est aussi une réussite.
Bien sûr, l’historien n’a ici ni à proclamer, ni à nier le credo chrétien. Face au surnaturel, il s’efface, ainsi qu’il s’en est expliqué dans un entretien à "La Libre" (29/2). Pas plus que Cabanis ne trouva d’âme sous son scalpel, il ne peut affirmer la virginité de Marie. Mais il constate l’existence, à l’époque, de ce vœu d’oblation religieuse, même dans le cadre du mariage. Il ne sait pas si une étoile a vraiment guidé les mages, mais il relève sa singulière coïncidence avec une conjonction astronomique dûment attestée depuis Kepler. Il n’enquête pas sur la filiation divine de Jésus, mais il souligne son originalité irréductible. Il laisse la résurrection au domaine de la foi, mais il observe que "ce troupeau de fuyards apeurés" qu’étaient devenus les disciples "s’est métamorphosé soudainement en un groupe non de fanatiques hypnotisés, mais d’hommes libres, brûlants de conviction, prêts à donner leur vie pour annoncer la Bonne Nouvelle". Et qu’on ne connaît aucun exemple dans l’histoire d’un phénomène d’affabulation ou de wishful thinking collectifs engendrant un mouvement d’une telle ampleur.
Pour le reste, le chercheur fait prudemment la part des événements authentiques et symboliques. Ces derniers imprègnent surtout les évangiles synoptiques, alors qu’à l’encontre de l’opinion commune, c’est celui de Jean, longtemps considéré comme le plus théologique, qui offre aux historiens les points d’appui les plus solides. Avare de précisions, certes, il est pourtant celui qui décrit et situe au mieux les faits.
Outre les sources écrites, y compris païennes, Jean-Christian Petitfils accorde une place particulière, qui le singularise, aux trois grandes reliques de la Passion que sont le linceul de Turin, le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil. Les techniques de pointe mises en œuvre ces dernières années ont révélé des données et des convergences telles qu’on peut conclure à "un degré d’authenticité extrêmement élevé". L’examen médico-légal du linceul a ainsi permis d’établir le modèle de fouet utilisé lors de la flagellation (un flagrum taxilatum), la position du bourreau à un mètre de la victime, "frappant le côté droit par des coups directs et le côté gauche par des coups de revers". Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.
Ces avancées de la science restent pourtant inconnues du grand public."
Jésus Jean-Christian Petitfils Fayard 673 pp., env. 25 €

C'est France Catholique qui fait cette proposition que nous relayons bien volontiers tant il est rare de trouver quelque chose de semblable dans l'univers de la culture "jeune". Il suffit de parcourir les rayons de BD dans les librairies pour en faire le constat et pour réaliser combien nos enfants sont en voie de déchristianisation complète.
Offrons aux jeunes des raisons de croire … vérifiables. Double album « les indices pensables ». (Tomes 1 et 2)
C’est la grande nouveauté et la grande raison d’espérer de ces dernières années : pour réfléchir à la question de Dieu, il y a du neuf, car désormais, nous disposons d’un bon nombre d’indices vérifiables.
Nous pouvons y voir un véritable cadeau du Ciel, car ce que demande cette génération, de plus en plus formée à la démarche scientifique, c’est précisément de pouvoir vérifier toute affirmation.
Non pas que les découvertes des sciences soient en mesure de nous parler de Dieu de façon directe, mais parce qu’elles nous y conduisent, de façon indirecte, en confirmant l’intuition de saint Augustin qui disait : il existe deux « Livres » pour connaître le Créateur. Celui de la Révélation (Ancien et Nouveau Testament) et celui de… la Création elle-même.
Le président de la commission épiscopale italienne, Monseigneur Angelo Bagnasco a affirmé, lors d’une messe célébrée dans une usine de Gênes, que «quand Dieu est oublié, l’homme aussi se perd » (Vatican Insider, 16/03/2012)
La culture du monde occidental doit revenir aux dix commandements. C’est l’exhortation adressée par l’archevêque de Gênes, Monseigneur Angelo Bagnasco, lors de l’homélie au cours d’une messe célébrée pour la troisième fois en quelques jours à l’usine Ansaldo de Gênes.
L’archevêque a parlé des « difficultés inévitables et graves dues à la globalisation ». Il a invité les fidèles à revenir aux dix commandements. Car, fait-il remarquer, « les dix commandements ne sont pas seulement un discours religieux ou confessionnel. Ils sont le fondement, la base et lorsque la base est érodée tout le reste est corrompu. L’histoire ancienne et récente nous l’enseigne ».
« Les pères de l’Europe : Schumann, Adenauer et De Gasperi, ont posé les bases du chemin européen sur les commandements de Dieu, non par ambition théocratique, mais par intelligence humaine. La culture moderne et l’homme, en Italie, en Europe et dans d’autres parties du monde, ont cru pouvoir se passer de Dieu et se gérer seuls. Nous voyons les résultats dans plusieurs domaines de la vie sociale et civile. Quand Dieu s’efface, l’homme se perd.
Les dix commandements, outre le fait de constituer un discours spécifiquement religieux, sont aussi radicalement et profondément humains. Lorsqu’il y a de bonnes bases dans la vie d’une personne, d’une famille, d’une société, d’une entreprise, d’une culture, de la politique, de l’économie, de la finance, et que ces bases sont solides, rien ne pourra les ébranler ».
C'est alors, conclut-il, « qu'il devient aisé de pouvoir résoudre les inévitables difficultés, parfois graves, que la vie, les circonstances, la globalisation suscitent ».
Le doyen Eric de Beukelaer écrit sur son blog :
Plus de 70000 exemplaires vendus, dont plus de 15000 en Belgique. Le livre « Jésus » de Jean-Christian Petitfils (éditeur Fayard) est un succès de librairie auquel sont peu habitués les spécialistes de la Bible. Aujourd’hui, il fut gratifié d’une pleine page dans le quotidien « le Soir » (p.15) – nullement moqueuse.
Suite à une interview de l’auteur dans « le Point », je suis justement en train de lire ce bouquin et ne suis pas déçu. Non, il ne s’agit pas d’un ouvrage de critique historique pointue. Mais ce n’est pas non plus une œuvre romancée ou un livre de piété. Petitfils est chrétien, mais écrit en historien. Seulement, il a l’audace de celui qui n’a pas à craindre le peer review (le regard des confrères). Ainsi, aucun exégète (théologien spécialiste de la Bible) ne baserait une partie de ses écrits sur le suaire de Turin. Petitfils, lui, ose.
Je ne dis pas que tout dans son livre est « parole d’évangile », mais son regard est rafraichissant. C’est un peu ce que j’exprimais dans mon dialogue sur l’économie mondiale avec Bruno Colmant (« La bourse et la vie » éd. Anthémis) : Quand l’économie est laissée au soin exclusif des économistes, quelque chose finit par coincer. Il faut y adjoindre le regard neuf et frais d’un outsider qui ramène à quelques évidences fondatrices. Les anglo-saxons appellent cela : to think out of the box.
Il en va de même pour les biographies de Jésus. Sans nullement discréditer les experts, il est bon et sain que des non-théologiens secouent quelque peu la poussière de l’érudition, afin de renouveler notre regard sur le Fils de l’Homme.
Nous avons déjà fait largement écho sur Belgicatho au « Jésus » de Jean-Christian Petitfils, qui bénéficie d’un succès certainement mérité et salutaire pour le public. Naturellement, pour la rigueur et la profondeur des vérités à croire, il est permis de préférer le « Jésus de Nazareth » de Benoît XVI, dont le troisième tome (consacré aux récits évangéliques de l’enfance du Christ) devrait paraître cet automne.
Cycle de Débats
|
NEUTRALITÉ OU PLURALISME Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles
|
Mardi 27 mars 2012 à 18h00
Politique et Religion dans la Pensée grecque
Présentation par
André MOTTE
Professeur honoraire à l’Université de Liège
Directeur de Kernos
Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique
La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du 20 Août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée) . Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h00. P.A.F : 10 € (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à info@ethiquesociale.org
RSVP le 23 mars 2012 au plus tard
Tél. 04.344.10.89 ou info@ethiquesociale.org
Internet : www.ethiquesociale.org
Pas du tout, comme le signale Antoine Besson sur le site de Liberté Politique
Parler de philosophie scolastique, c’est souvent déclencher une adhésion totale ou une répulsion absolue. Les uns reconnaîtront, dans cette filiation même, la certitude d’avoir la vérité et le pouvoir de la défendre quoiqu’il arrive dans un monde relativiste. Les autres refuseront toute pertinence à une manière médiévale, donc dépassée, de faire de la philosophie. Au mieux, la scolastique rencontrera l’intérêt suscité par une période déterminée de l’histoire des idées.
Et pourtant, contre toute attente – contre toute logique diront d’autres –, la Faculté de Philosophie de l’Institut Catholique de Toulouse ouvre à la rentrée 2012 un Master Actualité de la philosophie scolastique pour que des clercs et des laïcs recherchent activement la vérité par une réflexion authentiquement métaphysique. Rien ne semble plus contradictoire que cet intitulé universitaire qui rapproche actualité et scolastique ! Les maîtres se seraient-ils découvert un tout récent sens de l’humour ou bien est-ce là une filière de spécialistes réservée à une élite réduite et autosuffisante qui rumine encore et toujours des idées et concepts dépassés comme d’autres collectionneurs, chasseurs ou sportifs astiquent leurs trophées ? Cette nouveauté est toutefois l’occasion de nous arrêter un instant sur ce qu’est réellement la scolastique.
Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com

(http://www.institutsophia.org).
Chers amis,
C'est demain, mardi 13 mars, qu'aura lieu la conférence du Pr. Dominique Lambert.
Elle s'intitule:
"Création et évolution : quand Darwin secoue la foi"
Ouvert à tous
PAF : 3 €
Où ? :
Institut d’Etudes Théologiques (auditoire 2e étage)
24, Bd St-Michel – 1040 Bruxelles
Inscription souhaitée :
cycledesoireessophia@gmail.com
ou 0477/04.23.67
Nous vous y attendons nombreux !
Astrid, Jean-Baptiste, Lorène, Louise, Marie-Madeleine et Véronique
L’équipe organisatrice
Prochaine date à retenir : le jeudi 10 mai de 9h à 15h30: Journée ouverte à tous de 7 à 77 ans: "Bonjour l'Europe!". Découverte sur le terrain et au sein des Institutions européennes des enjeux qui s'y jouent.
L'information qui suit est éclairante. Alors que ceux qui prennent la posture de champions des droits de la femme ne voient d'adversaires que dans les "milieux catholiques rétrogrades", de nombreux pays musulmans piétinent allègrement les droits des femmes. Comment font ces "progressistes" pour concilier leur politique d'ouverture inconditionnelle à l'égard de l'Islam (et de racolage de l'électorat immigré) avec leurs déclarations tonitruantes en faveur des "avancées" féministes et LGBT? Hier encore, les pays musulmans s'opposaient à la tentative d'introduire la notion d'"orientation sexuelle" aux Nations Unies (voir ici). Comment comprendre cette véritable schizophrénie intellectuelle qui consiste à vouloir affranchir les individus à l'égard de toute contrainte morale et, dans le même temps, à se vouloir les meilleurs amis de la religion du Prophète? Inconscience? Malhonnêteté? Opportunisme?
(Agence Fides) - Le gouvernement afghan du Président Hamid Karzai a apporté son soutien public à un « Code de comportement » qui limite les droits des femmes, émané par l'influent Conseil des Ulémas, organisme islamique qui rassemble les principaux responsables islamiques afghans. Ainsi que l'affirme une note envoyée à Fides par la « Human Rights and Democracy Organisation », ONG de la société civile afghane, cette prise de position est une concession à la charia (la loi islamique) et aux talibans et constitue donc « un énorme pas en arrière » en matière de droits des femmes. Elle représente par ailleurs une violation de la Constitution afghane qui reconnaît l'égalité entre l'homme et la femme.
Le Code de conduite permet aux maris, dans certains cas, de maltraiter leurs épouses et encourage la ségrégation par sexe, ramenant presque les afghanes à la situation qui était la leur sous le régime des talibans. Le texte indique une série de lignes directrices que « les femmes religieuses devraient observer de leur propre initiative » : les femmes ne sont pas autorisées à voyager sans être accompagnées par un homme et ne peuvent pas parler aux inconnus dans des lieux tels que les écoles, les marchés et les bureaux. Frapper son épouse - affirme le texte - est interdit seulement « dans le cas où ce geste n'est pas accompli conformément à la charia ».
Selon les observateurs, l'appui publiquement exprimé par le Président Karzai à de telles normes pourrait être une manoeuvre pour obtenir le soutien politique des Ulémas dans le cadre des délicates négociations avec les talibans. Fatana Ishaq Gailani, fondatrice de l'ONG « Afghanistan Women's Council », indique : « Les droits des femmes ont été utilisés comme monnaie d'échange dans un jeu politique », ajoutant que « nous voulons un islam juste et non pas un islam politique ». (PA) (Agence Fides 08/03/2012)
Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :
Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?
Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.
Dossier : Liturgie
Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.
Actualités : Aux frontières de l'humain.
Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !
Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.
La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.
Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.
Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.
Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.
Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.
Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.