Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 358

  • Le mensuel « La Nef » : numéro de rentrée

    IMPRIMER

    FIC66247HAB33.jpgSOMMAIRE DU N°229 DE SEPTEMBRE 2011

    EDITORIAUX
    JMJ et… démocratie, par Christophe Geffroy
    La fin des rêves, par Jacques de Guillebon

    ACTUALITÉ
    Le luthéranisme suédois à vau-l’eau, par Michel Toda
    Un nouvel Abbé pour Fontgombault, par Christophe Geffroy
    « Les chemins de la foi », entretien avec Xavier Dufour
    et Marc Bouchacourt
    Pour trouver un emploi ciblé, entretien avec Thomas Grimaux
    Vie de l’Église : JMJ, feu de paille… feu ardent, par Loïc Mérian
    Les JMJ de Madrid : un grand moment de foi, par Christophe Geffroy
    Témoignage d’une JMJiste à Madrid, par Élisabeth Geffroy
    Reductio ad sexum et « biologisation » du droit ?,
    par Guillaume Bernard
    Vers une défense de la Vie en Europe ?,
    par Grégor Puppinck
    Chronique Vie : IVG, état des lieux alarmant,
    par Pierre-Olivier Arduin
    International : Agriculture et mondialisation,
    par François-Georges Dreyfus

    Lire la suite

  • Chine Rouge

    IMPRIMER

    walter-chine-rouge-tome-2-9782755404500_Small.jpgCollaborateur d’Alain Peyrefitte durant une vingtaine d’années, Xavier Walter a consacré de nombreux ouvrages à la Chine dont il est un spécialiste reconnu. Le rédacteur en chef du mensuel « La Nef », Christophe Geffroy, l’a interrogé sur ce grand pays à l’occasion de la publication du second volet d’une imposante fresque sur son émergence actuelle, Chine rouge.

    Extraits :

    Pourquoi le christianisme n’a-t-il pas « pris » en Chine ? Peut-il être le complément de lumière nécessaire au confucéisme ?

    « En l’an 3000, les JMJ auront lieu à Pékin », disait le P. Bro, op, revenant de Chine en 1997. Je veux bien, mais ce ne sera pas facile, en raison même du confucéisme. Lu  Zhengxiang, ministre de la République chinoise de 1912 à 1919, converti au catholicisme, bénédictin après son veuvage, mort à Bruges (2) en 1949, nourrissait une confiance totale en la capacité du confucéisme de mener les Chinois au Christ. « Le confucianisme dont les normes de vie morale sont si profondes et si bienfaisantes, trouve dans la révélation chrétienne et la vie de l’Église catholique, la justification la plus éclatante de tout ce qu’il possède d’humain ; il y trouve aussi le complément de lumière qui résout les problèmes devant lesquels nos sages ont eu l’humilité de s’arrêter, comprenant qu’il ne revient pas à l’homme de trancher le mystère du Ciel ». Je partage cette analyse. Mais il me faut reconnaître aussi que confucéisme et culture du ren, « vertu d’humanité, bienveillance envers autrui, participation de l’homme à la vertu du Ciel », prêchent une morale si saine qu’elle peut contenter l’âme chinoise plus jalouse d’ordre et de paix ici-bas que soucieuse de transcendance.

    Lire la suite

  • Philippines : ombres et lumières

    IMPRIMER

    Sans titre.jpgVoici le témoignage d'un jeune couple ami parti aux Philippines en mission humanitaire :

    "Foi et culture philippines : Paradis ou Enfer ?

    En apparence, les Philippines sont le pays le plus catholique du monde. Les Jeepney portent fièrement des énormes inscriptions “God is Good” (“all the time”), les gens vous parlent ouvertement de la foi, il ne se passe pas un jour sans que l’on croise une procession religieuse quelconque, et même le plus pauvre et le plus ridicule des quartiers possède sa chapelle tandis que Santo Niño veille sur les affaires des magasins dans lesquels il est exhibé (c'est-à-dire tous). Et tout cela pendant que les églises pleines à craquer réussisent le tour de force de réunir un public dont la moyenne d’âge est encore plus jeune que celle de la population philippine moyenne (22-23 ans, la population la plus jeune d’Asie). Qu’il est rafraîchissant par moment d’être entouré de tout plein de petits enfants débordant de vie, et en prière, quand on a été habitué à une société plus âgée, à notre métro si triste et nos églises presque sans vie !

    Lire la suite

  • Mexique : huit millions de personnes rassemblées pour la famille

    IMPRIMER

    Plus de 8 millions de personnes - adultes et jeunes - appartenant aux mouvements et organismes de laïcs rassemblés au sein de l'Association épiscopale pour les laïcs (DELAI), ont célébré leur première Rencontre nationale les 27 et 28 août derniers, proposant comme thème central la défense de la famille comme valeur sociale fondamentale, capable de générer le bien-être authentique. Dans le but de réfléchir à la participation réelle à la construction d'une société plus libre, responsable et juste, plus de 60 mouvements et associations de laïcs catholiques de tout le pays se sont rassemblés afin de confirmer leur volonté de travailler « Juntos por Mexico » (Ensemble pour le Mexique).
    Au cours de cette rencontre, les laïcs ont décidé de s'engager afin de proposer la famille comme dépositaire des valeurs et des vertus nécessaires à construire « des personnes saines, heureuses, libres, responsables et solidaires afin de continuer à construire la civilisation de l'amour ». Ils ont en outre signé un manifeste réaffirmant leur engagement dans les secteurs de la formation, de l'instruction publique, du social et de la communication afin de construire un Mexique meilleur.

    Lire la suite

  • Le "rock" (suite)

    IMPRIMER

    Sur le blog "les yeux ouverts", "le Barde" poursuit (cfr http://www.belgicatho.be/archive/2011/08/30/une-approche-de-la-musique-rock.html) son travail de discernement à propos du "rock'n roll".

    Pour en retrouver le fil, cliquer ici : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • Réticences et convergences entre le patriarcat de Moscou et Rome

    IMPRIMER

    De l'entretien publié le 31 août 2011 dans le journal serbe « Politika », avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, il ressort que le patriarcat de Moscou n'est pas très favorable à une invitation du pape en Serbie pour commémorer le 1700ème anniversaire de l'Edit de Milan, tout en convenant que catholiques et orthodoxes sont appelés à relever ensemble les défis d'une Europe en voie de déchristianisation :

    Lire la suite

  • Ce qu'est devenu le cercle du Libre Examen (Librex)

    IMPRIMER

    A propos d'une invitation adressée par le cercle du Libre examen (ULB) à l'exposition intitulée : "Pudeurs et Colères de Femmes", Allegra, sur un blog du Nouvel Obs, fait remarquer :

    "Le cercle du Librex, institution engagée dans la défense de la laïcité, qui s’est toujours montrée férocement anti-calotine dans le passé,  on dirait laïcarde selon les critères d’aujourd’hui, a désormais viré à l’islamo-gauchisme et à son corollaire, l’antisionisme virulent, et en a donné une preuve éclatante récemment en organisant une soirée-débat sur le thème de la liberté d’expression pour Dieudonné, avec projection d’un film faisant l’apologie du comique. Soirée qui s’est terminée par des prises de parole antisémites. Il y a quelques années, le cercle du Libre examen associé au cercle des étudiants arabo-européens invitait Tariq Ramadan à un débat soi-disant contradictoire.

    Le cercle du Libre examen, impitoyable quand il s’agit de contrer les dogmes de l’Église est devenu aveugle à une idéologie répressive qui opprime aussi les femmes,  et c’est ainsi qu’à l’occasion d’une prochaine conférence, il se pose même la question de savoir si le port du voile n’est pas l’expression d’un féminisme musulman."

    http://lavissauveaconditiondeclairer.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/09/03/pudeurs-et-coleres-de-femmes.html

  • Jean-Claude Guillebaud : la bioéthique est une urgence politique

    IMPRIMER
    "Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Famille Chrétienne, l’essayiste Jean-Claude Guillebaud souligne l’importance des questions de bioéthique, "les plus importantes de toutes" dans la mesure où "elles touchent directement à l’humanité de l’homme".

    Alors que la société s’aperçoit qu’elle ne peut vivre sans un minimum d’éthique, il appelle les hommes politiques à "moraliser" leur vie privée : "je continue à penser qu’un homme qui a des vices en privé ne peut avoir en même temps des vertus en public…Les Français attendent confusément que nos hommes politiques prennent cet engagement minimal." II dénonce "une nouvelle pudibonderie de type scientifique portée notamment par les techno-prophètes de la cyberculture" qui conduit nos sociétés à mépriser le corps humain et alerte sur le risque d’eugénisme de masse attaché à la pratique systématique du diagnostic prénatal (DPN). "Pour le citoyen lambda, l’eugénisme est une invention d’Hitler, note-t-il. Mais on oublie que l’eugénisme a d’abord été la pensée dominante des démocraties ! A commencer par les Etats-Unis au tout début du XX° siècle".

    Il note également l’imposture de la théorie du gender "qui est déjà récusée dans sa version radicale, celle à laquelle nous accordons encore du crédit en France" et ce notamment par Judith Butler, qui fut pourtant une des têtes de file de cette pensée.

    A l’approche de la campagne présidentielle, il constate que le débat bioéthique a été escamoté à chaque élection. "Mon sentiment, c’est qu’il ne pourra pas l’être éternellement. Tout simplement parce qu’on le prendra en pleine figure ! " affirme-t-il en notant que l’une des grandes urgences de 2012 sera pour le monde politique d’avoir à cœur de produire des argumentations claires en bioéthique."

    http://www.genethique.org/

  • Dostoïevski, le visionnaire

    IMPRIMER

    " En général, je demande de nouveau la permission de me récuser à ce sujet, répéta Pierre Alexandrovitch, et à la place, je vais vous raconter, messieurs, une autre anecdote, sur Ivan Fédorovitch lui-même, fort intéressante et des plus caractéristiques. Pas plus tard qu'il y a cinq jours, dans une société principalement féminine, il a déclaré solennellement, au cours d'une discussion, que sur toute la terre il n'est rigoureusement rien qui force les hommes à aimer leurs semblables, qu'il n'existe aucune loi de la nature ordonnant à l'homme d'aimer l'humanité et que s'il y a eu et qu'il y ait encore l'amour sur la terre, ce n'est pas en vertu d'une loi naturelle, mais uniquement parce que les hommes croyaient en leur immortalité. Ivan Fédorovitch ajouta, entre parenthèses, que c'est en cela que consiste toute la loi naturelle, de sorte que si l'on détruit dans l'humanité la foi dans son immortalité, cela fera tarir aussitôt en elle non seulement tout amour, mais encore toute force vive qui permette de continuer la vie du monde. Bien mieux : il n'y aura alors plus rien d'immoral, tout sera permis, même l'anthropophagie. Mais cela n'est pas tout encore : il conclut en affirmant que pour tout individu, tels que nous maintenant par exemple, qui ne croit ni en Dieu ni en son immortalité, la loi morale de la nature doit immédiatement devenir le contraire absolu de l'ancienne loi religieuse, et que l'égoïsme poussé jusqu'à la scélératesse doit non seulement être permis à l'homme, mais reconnu pour une issue indispensable, la seule raisonnable et presque la plus noble dans sa situation. D'après un tel paradoxe, vous pouvez juger, messieurs, de tout le reste que proclame et qu'a peut-être l'intention de proclamer encore notre cher excentrique et amateur de paradoxes Ivan Fédorovitch. (...) Et son absurde théorie, tu l'as entendue tout à l'heure : " S'il n'y a pas d'immortalité de l'âme, il n'y a pas non plus de vertu, donc tout est permis. " (Et ton frère Mitenka, à propos, tu te rappelles comme il a crié : " Je m'en souviendrai ! "). C'est une théorie séduisante pour les gredins... je vitupère, c'est stupide... pas pour les gredins mais pour les fanfarons primaires avec " une profondeur insondable de pensée ". C'est une bravache mais, quant au fond, c'est bonnet blanc et blanc bonnet. Toute sa théorie n'est que bassesse. L'humanité trouvera en elle la force vive pour la vertu, même sans croire à l'immortalité de l'âme. Elle la trouvera dans l'amour de la liberté, de l'égalité, de la fraternité..."

     

    F.  DOSTOIEVSKI, Les Frères Karamazov, traduction d'E. Guertik, Hazan T. I

    source : http://sergecar.perso.neuf.fr/documents/dostoievski.htm

  • La théorie du "gender" repose sur des présupposés non scientifiques

    IMPRIMER

    FRANCE : "La presse, nous dit généthique.org,  se penche largement sur la polémique suscitée par l’introduction d’enseignements directement inspirés de la théorie du gender dans les nouveaux manuels de Sciences de la vie et de la terre (SVT) de la classe de première ES et L (Cf. synthèses de presse du 23/05/11 et du 19/07/11 et Lettre mensuelle d’août 2011).
     
    Les tenants de la théorie du gender soutiennent que la différence sexuelle n’est pas biologique mais d’abord socioculturelle. Il n’existerait ainsi selon eux "qu’un être indifférencié sexuellement qui deviendrait homme, femme ou autre chose par la culture" comme le résume le philosophe Yves-Charles Zarka, professeur à la Sorbonne, dans un article publié dans La Croix.

    Lire la suite

  • Saint Grégoire le Grand (3 septembre)

    IMPRIMER

    052.jpgLe 29 juin 1990, Jean-Paul II a adressé cette Lettre à tous les évêques, les prêtres et les fidèles de l’Eglise, pour le quatorzième centenaire de l’élévation de saint Grégoire le Grand au pontificat :

    "Au terme de l'Antiquité et à l'aurore du Moyen Age, saint Grégoire le Grand, à la fois issu du patriciat romain et du monachisme bénédictin, s'efforce, en réglementant le présent, de transmettre au futur les enseignements du passé et l’héritage de la tradition. Au début de son pontificat (février 590), les structures de l’empire romain, bouleversées par les invasions des Goths, puis des Normands, s’écroulent, tandis que renaît l’hérésie donatiste et que l’arianisme règne encore sur la plupart des barbares ; la discipline monastique s’est généralement relâchée et le clergé, souvent démoralisé, conduit des fidèles catastrophés par les invasions barbares : « Ballotté par les vagues des affaires, je sens la tempête gronder, au-dessus de ma tête. Avec le psaume1 je soupire : Dans l'abîme des eaux, je suis plongé et les flots me submergent.2 »

    Lire la suite

  • Les "pédagogistes" sur la sellette

    IMPRIMER

    Les pédagogistes sauveront-ils l’école ?, se demande "Daniel54" sur Agoravox. On se doute que non; même si le propos est hexagonal, il vaut pour nos pédagogistes belges qui ne méritent pas mieux :

    "Qui sont-ils, ceux que l’on nomme « les pédagogistes » ? Une chose est certaine, ils font la loi à l’Education Nationale depuis plus de 20 ans . Les « Sciences de l’Education » leur servent de socle pour avancer leurs théories « fumeuses ». A vrai dire , cette science n’a de scientifique que le nom . Elle a abreuvé les IUFM (Instituts Universitaires de Formation des Maîtres) . Merci à ces IUFM , maintenant supprimés (ouf !) qui ont permis souvent aux enseignants formateurs de gravir plus rapidement les échelons que les autres. Il reste cependant qu’ils ont réussi à formater ces jeunes professeurs avant qu’ils soient jetés dans la cage aux lions !

    Lire la suite