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Culture - Page 358

  • Harry Potter : Liberté politique poursuit son travail de discernement

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    Liberté Politique poursuit son examen du "phénomène Harry Potter" :

    "À propos de Harry Potter, Mona Mikaël et la rigueur scientifique par Antoine Gazeaud" (29 Juillet 2011)

    "Dans le cadre de notre saga d’été sur Harry Potter, nombreux sont ceux qui nous ont indiqué un ouvrage qui dénoncerait l’influence maléfique de l’œuvre de J.K. Rowling. Après examen, il semble que cet ouvrage largement cité dans la blogosphère catholique ne présente pas les règles élémentaires de la rigueur scientifique. Petit aperçu d’une méthode problématique..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/


    Liberté Politique publie également son deuxième article critique sur Harry Potter :

    "Harry Potter et l’au-delà de la fiction (2/5) : Voldemort, une allégorie du mal ?"

    "Dans un second volet de notre série d’été sur la saga des Harry Potter et ses enseignements philosophiques, libertepolitique.com propose des pistes de réflexion sur la définition du mal à travers les sept tomes et tout particulièrement l’identité de l’ultime ennemi du héros : Voldemort. Cette analyse tentera de faire la lumière sur la conception du bien et du mal sous-jacente à la saga : un élément non déterminant mais essentiel pour juger d’une bonne ou une mauvaise littérature jeunesse."

    C'est ici : http://www.libertepolitique.com/culture-et-societe

  • Un enfant à tout prix ?

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    Généthique.org relaie les propos de deux spécialistes à propos de l'assistance médicale à la procréation :

    Dans un article intitulé "Le désir d'enfant peut-il aller trop loin ?", le magazine Marie Claire donne la parole à Elisabeth Belghiti, psychologue et membre du Centre d'éthique clinique de l'hôpital Cochin à Paris et à Sophie Marinopoulos, psychanalyste au CHU de Nantes.

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  • Pâque Nouvelle : l’Église existe pour évangéliser

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    pâques nouvelles 3271.jpgLes revues belges de bonne qualité destinées à la formation chrétienne de l’ « honnête homme » ne courent pas les rues. Pâque Nouvelle en est une. La deuxième livraison 2011 de ce périodique trimestriel vient de paraître.

    Dans la rubrique consacrée à la doctrine de la foi, l’abbé Serge Théate, professeur d’écriture sainte au grand séminaire de Namur, aborde le sujet de la rétribution divine du bien et du mal  (Dieu punit-il nos actes mauvais ? Les bons sont-ils toujours récompensés ?) en montrant combien cette notion s’est purifiée au fil de l’histoire biblique pour acquérir la plénitude de son sens dans la personne du Christ.  Mgr Julien Ries, ensuite, évoque les représentations de l’au-delà telles qu’elles se sont développées dans l’Église à partir des textes fondateurs du christianisme, dont il résume ainsi la doctrine en la matière : « la certitude d’un jugement pour tout homme et dont la référence est son comportement au cours de sa vie ; l’état de béatitude de celui qui se trouvera définitivement avec le Christ dans sa gloire ; la situation misérable de celui qui, librement, a choisi de se séparer du Christ de manière définitive » et précise-t-il ailleurs « le besoin de purification, exprimé dans les doctrines de la réincarnation des religions anciennes et dans la croyance de beaucoup de nos contemporains, qui trouve dans le purgatoire une expression conforme à l’amour de Dieu pour l’homme et au mystère de la Rédemption par le Christ ».

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  • "Lourdes" sur les écrans

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    Alors que plusieurs dizaines de salles françaises ont l'à propos douteux, en cette période de pèlerinages, de programmer le film "Lourdes" de Jessica Hauser (2010), c'est le moment de republier la critique qui en a été faite par Vittorio Messori et qui a été traduite sur "Benoît et moi" en février 2010.

    "Un Lourdes trop sombre pour être vrai"

    Corriere della Sera, 12 Février 2010
    de Vittorio Messori
    ------------------------
    La perspective de Jessica Hausner dans son Lourdes est déclarée immédiatement, dès la scène d'ouverture, avec le plan du réfectoire des pèlerins. Pas de fenêtres, mais une lumière artificielle faible, dans un environnement claustrophobique: noir le sol, noirs les murs où sont accrochés des crucifix noirs, noirs les jupes et les pantalons du personnel, noires les pélerines des Hospitalières avec la croix de Malte, noirs les uniformes des Chevaliers de l'ordre, noirs les clergymen des prêtres.

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  • La petite fille espérance

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    L’Espérance voit ce qui n’est pas encore et qui sera.
    Elle aime ce qui n’est pas encore et qui sera.
    Dans le futur du temps et de l’éternité.
    Sur le chemin montant, sablonneux, malaisé.
    Sur la route montante.
    Traînée, pendue aux bras de ses deux grandes soeurs,
    Qui la tiennent par la main,
    La petite espérance.
    S’avance.
    Et au milieu entre ses deux grandes soeurs elle a l’air de se laisser traîner.
    Comme une enfant qui n’aurait pas la force de marcher.
    Et qu’on traînerait sur cette route malgré elle.
    Et en réalité c’est elle qui fait marcher les deux autres.
    Et qui les traîne,
    Et qui fait marcher tout (...)

    Charles PEGUY, Porche du Mystère de la Deuxième vertu

  • Liberté ou servitude ?

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    La Libre met aujourd'hui en ligne une tribune consacrée au "consentement sexuel"; il s'agit d'une opinion de Luc VAN CAMPENHOUDT, Directeur de la Revue Nouvelle.

    Bien sûr, l'auteur n'y fait pas l'apologie des valeurs que défendent les chrétiens, les catholiques en particulier, en matière de sexualité. Son approche part du constat selon lequel le "modèle normatif" d'autrefois (basé sur des références religieuses ou sur la loi naturelle) aurait disparu pour céder la place à un "second modèle normatif n’est plus basé sur des garants méta-humains, comme les lois divines ou celles de la Nature, mais sur le consentement entre "partenaires" égaux en droit comme en dignité, qui se choisissent librement et sont amants avant d’être parents." Ce glissement d'un modèle à l'autre (propre à l'Occident) devrait réjouir les partisans de la liberté individuelle, mais voilà, ce n'est pas si simple, et c'est là que cet article est intéressant parce qu'il met en évidence les limites et les dérives de ce "modèle libéré".

    Ainsi dénonce-t-il les conséquences du contexte individualiste et consumériste qui pervertit le nouveau modèle :

    "Dans la mode, les loisirs, les vacances, le spectacle, les médias, les soins et l’entretien du corps, partout où la dimension sexuelle est potentiellement présente, une certaine industrie a vite fait de construire et d’exploiter sans vergogne une vision réductrice et trompeuse mais rentable de la libération de la femme qui n’a plus grand-chose à voir avec le projet émancipateur du féminisme.

    Il ajoute : "Souvent associée au dispositif de sexualité, la culture individualiste et hédoniste ambiante, n’est pas moins normative que la précédente; elle l’est seulement autrement. Elle impose des standards bien en phase avec ceux en vigueur dans d’autres domaines, comme les affaires, le sport ou la politique. En matière de sexualité aussi, il faut désormais être performant, c’est-à-dire sexuellement actif et capable d’y trouver un maximum de plaisir tout en prenant en compte celui de l’autre.

    Ce "culte de la performance" a pour corollaire l’angoisse de ne pas être à la hauteur et incite à recourir à des formes de dopage (psychotropes, alcool, hallucinogènes, Red Bull, Viagra ) qui désinhibent et stimulent ce qui doit l’être, dans la tête et en dessous de la ceinture. L’injonction à être libre et autonome peut conduire à ne jamais s’engager vraiment, à considérer l’autre sinon comme un objet que l’on consomme, au moins comme un tiers avec lequel on passe un contrat, chacun se sentant quitte de toute obligation à partir du moment où il en a rempli sa part, et à n’être finalement dépendant que de ses intérêts et de ses pulsions. Liberté ou servitude ?"

    Ces observations, nous les faisons nôtres même si nos conclusions ne vont évidemment pas dans le même sens. Là où l'auteur invite à repenser cette problématique dans l'optique du politiquement et culturellement correct actuel, avalisant les "conquêtes" de la libération sexuelle, nous plaidons pour l'approfondissement d'une vision authentiquement chrétienne de l'amour qui ne sacrifie pas les valeurs fondamentales (différence sexuelle, indissolubilité du mariage, accueil de la vie, défense de la famille "traditionnelle", etc) à l'air du temps.

  • Stavelot : messe des artistes le 31 juillet

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      Dimanche 31 juillet 2011 à 10h30 

    Festival Musical de Stavelot

    Messe des artistes - Église Saint-Sébastien

    Messe brève n°6 K140 (Mozart)

     

     

    (libre accès)

  • "Pourquoi les catholiques ont raison"

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    Ci-contre, la présentation sur Amazon.ca

    Il y a peu, Michael COREN, publiait un livre intitulé : "Why Catholics are right". Il fallait oser! Nous traduisons la traduction du commentaire qu'il fait à ce propos sur "Catholic Register"

    "Mon nouveau livre vient d'être publié. Il est intitulé "pourquoi les catholiques ont raison"; c'est un livre de vulgarisation dans lequel un journaliste explique et défend l'Eglise. Parmi les chapitres, il y en a qui sont consacrés aux catholiques face au scandale des abus sexuels, aux catholiques dans l'Histoire, aux catholiques et la théologie, aux catholiques et la Vie. En d'autres termes, j'ai répondu aux attaques habituelles banales, mais qui entraînent souvent l'adhésion et que l'on entend à de multiples reprises sur l'Eglise. Il est publié par une maison d'édition importante et non religieuse - la McClelland & Stewart, Random House, aux États-Unis -; ainsi je pense réellement que cela pourrait faire une différence.

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  • La chose la plus impudique

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    "Aujourd’hui rien n’est considéré comme plus impudique que de parler de sa foi. Etalez vos frasques sexuelles au grand jour, exhibez vos turpitudes et vous obtiendrez l’approbation ou, au moins, un sourire bienveillant. Mais aventurez-vous à dire Je crois en Dieu et vous jetterez un froid en plein milieu du repas. Vous dresserez contre vous la masse des nouveaux bien-pensants. Et parmi eux les plus ouverts, atterrés par votre manque de savoir-vivre et navrés pour la maîtresse de maison, vous susurreront à mi-voix et sur un ton à la fois excédé et blessé « Mais ça relève de votre vie privée, ça… »

    Alexandre Poussin sur "Le temps d'y penser" : Alexandre et Sonia Poussin : « Au fond pourquoi faudrait-il être rapide ? »

  • Harry Potter : Liberté Politique nous invite à un approfondissement de la réflexion

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    Sous le titre: "Harry Potter et l’au-delà de la fiction : les dangers spirituels de la magie", Antoine Besson commence la publication d'une série de cinq articles consacrée à la saga qui a connu le succès que l'on sait. Nous avions reproduit ici une analyse parue dans la Bussola Quotidiana que nous avions traduite; certains l'on trouvée trop optimiste. Antoine Besson nous aidera sans doute à y voir plus clair.

    "A l’occasion de la sortie du film qui clôt la saga du jeune sorcier, libertepolitique.com propose à ses lecteurs une réflexion sur l’imaginaire et les valeurs véhiculées par ce phénomène culturel au cœur du quotidien de nombreux adolescents et jeunes adultes. Cette réflexion qui fera l’objet de plusieurs articles d’été s’inscrit fondamentalement dans le domaine politique (au sens philosophique) : elle se propose d’apporter un éclairage objectif sur les valeurs et l’imagination qui façonnent aujourd’hui, à travers la fiction, le sens moral et politique des adultes de demain, et pourquoi pas les futurs décideurs..."

    Lire la suite ici : http://www.libertepolitique.com/

    On pourra verser au dossier la note (très critique à l'égard du phénomène "Harry Potter") de Jeanne Smits, sur son blog : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/07/harry-potter-une-seduisante-porte.html

  • Les affabulations anti-chrétiennes sur les sorcières

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    Au chapitre des mythes échafaudés pour étoffer la "légende noire" anti-chrétienne, il y a la sorcellerie. Je trouve sur la Bussola Quotidiana ces précisions intéressantes :

    La célèbre anthropologue Margaret Murray (1863-1963) a lancé l'idée que, derrière la «chasse aux sorcières" (depuis la Renaissance jusque dans la seconde moitié du XVIIIe siècle), il y aurait eu en réalité «un mouvement généralisé et caché de religiosité médiévale, basé sur des cultes pré-chrétiens de la fertilité, dont les pratiques auraient été similaires à celles attribués aux "sorcières" (...). Le travail de Murray a connu son heure de gloire, et elle a même écrit beaucoup à ce sujet et notamment la section consacrée à la sorcellerie dans  l'Encyclopedia Britannica. Cependant, les spécialistes les plus respectés sont maintenant d'accord avec Norman Cohn pour reconnaître que Murray a été, au mieux, "superficielle et qu'elle ne maîtrisait pas vrailent la méthode historique." ((I demoni dentro. Le origini del sabba e la grande caccia alle streghe. 1994. ndlr).

    En effet, la malhonnêteté de l'auteur a été clairement dénoncée lorsque pour induire en erreur ses lecteurs, elle omet les parties des confessions qui n'accréditent pas ses thèses; ses oeuvres sont actuellement considérées sans valeur. Il est utile de rappeler que Murray a interprété la mort de Jeanne d'Arc comme un véritable sacrifice rituel destiné à demander une bonne récolte; elle a finalement prétendu qu'à partir de Guillaume le Conquérant et durant les quatre siècles qui ont suivi, chaque roi d'Angleterre avait officié secrètement comme prêtre de ce culte des «sorcières». Voir Rodney Stark, "For the Glory of God". L'auteur demande aussi: «Si une telle chose avait réellement existé, comment cela serait-il resté inaperçu pendant plus d'un millier d'années?" (Ibid.)

    source : http://www.labussolaquotidiana.it/ita/articoli-caccia-alle-streghe-2549.htm