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Sexualité - Page 94

  • Un "digest" du "Genre démasqué" d'Elizabeth Montfort

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    gender-demasque.jpgElizabeth Montfort a accepté de réaliser un "digest" de son livre, sous la forme d’un argumentaire de 24 pages, pour vous aider à informer vos amis, vos enfants et vous permettre d’argumenter en toutes circonstances.

    Commandez-le (5€ seulement),  diffusez-le ! (pour le commander, cliquez ici)

    Communiqué de la FSP : "Cette Note n'est plus en vente. Je vous remercie d'en informer vos lecteurs et de les inviter à commander le livre lui-même auprès de l'éditeur, Peuple Libre, au prix de 12€ l'unité."


    La mode actuelle est au genre. Théorie qui avance masquée, travestie sous les traits du progrès social ou de la lutte contre les discriminations (comme l’homophobie), pour mieux tromper et séduire. Le genre se substitue au mot sexe dans les traités internationaux, les programmes scolaires, les lois dans le but de promouvoir une autre idée de l’homme et de la société. Homme ou femme ? Là ne serait plus l’avenir...

    Avec le gender, mot magique et ambigu, les féministes radicales et le lobby gay et lesbien investissent les instances internationales (ONU, Conseil de l’Europe, Parlement européen, UNESCO, etc.) pour imposer leur vision et dé-naturer des réalités structurantes comme la différence sexuelle, le mariage ou la filiation... L’objectif : construire une société où l’on choisit librement son orientation sexuelle... faisant fi du donné biologique. Et mettre fin à la domination de l’hétérosexualité. Il est urgent de démasquer l’imposture.

    Elizabeth Montfort

    Juriste et philosophe, Elizabeth Montfort est ancienne vice-présidente du Conseil régional d’Auvergne et député au Parlement européen (1999-2004), elle est aujourd’hui présidente de l’Association pour un nouveau féminisme européen et porte-parole de la Fondation de Service politique.

  • "Le Gender démasqué" sorti en librairie sera envoyé à 1000 leaders d'opinion français

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    Nouveau succès de mobilisation chez nos amis français; Dieu sait qu'on les envie!

    Thierry Boutet, directeur des publications l'AFSP se réjouit: son objectif est atteint grâce aux dons effectués par les amis de l'Association pour la Fondation de Service Politique.

    "...Le livre d’Elizabeth Montfort « Le Gender démasqué » sort aujourd’hui en librairie.

    1000 de ces livres seront expédiés dès demain  aux élus, parlementaires, ministres, responsables politiques et leaders d’opinions. 1000 leaders d’opinion vont enfin pouvoir se faire une juste idée des conséquences de l’arrivée du « Gender » dans notre société.

    Et nous allons encore plus loin : Mardi 25 octobre, sur ce même thème, nous organisons une grande Conférence de Presse à l’Assemblée Nationale, avec le concours du député de la Drôme Hervé Mariton. A cette occasion, 300 députés et sénateurs recevront le livre d’Elizabeth Montfort.

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  • La théorie du gender n'est qu'une composante d'un processus révolutionnaire mondial

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    "Marguerite A. Peeters est la directrice de l’Institute for Intercultural Dialogue Dynamics à Bruxelles. Professeur à l’Université pontificale Urbaniana, elle a publié environ 290 rapports détaillés sur les évolutions de la gouvernance mondiale. Auteur de La mondialisation de la révolution culturelle occidentale : concepts-clefs, mécanismes opérationnels (Bruxelles, 2006), elle s’est intéressée, à ce titre, aux questions de gender. Marguerite A. Peeters a participé au colloque organisé sur la théorie du gender par l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon en septembre."

    Nouvelles de France

    source de la video : http://webtvcn.fr/?p=46497

  • Rock, sexe, et révolution

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    "Le Barde" poursuit son passage au crible du phénomène "rock". C'est la huitième partie de son analyse qui paraît ici : http://www.citeetculture.com/

    En voici le fil pour ceux qui en auraient manqué l'un ou l'autre "épisode" : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • Séropositivité, préservatifs, témoignage

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    Sur : http://www.citeetculture.com/ Les passages entourés attestent du peu de fiabilité des préservatifs utilisés : "on mettait des préservatifs mais ils craquaient tout le temps...", "lors d'un rapport, la capote a craqué...".

    PRESERVATIF_10110.jpg

  • Levée de boucliers contre l'éducation sexuelle en Suisse alémanique

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    Pierre de Bellerive, dans "Nouvelles de France", partage cette information :

    Suisse : 91 000 signatures contre l’éducation sexuelle à l’école

    "Avec plus de 91 000 signatures, la pétition contre l’éducation sexuelle en Suisse alémanique fait grand bruit. Le « plan d’étude 21 » prévoit des « cours » d’éducation sexuelle obligatoires qui pourraient être dispensés dès 2014. Les pétitionnaires veulent offrir aux parents la possibilité de dispenser leurs enfants de suivre ce type « d’enseignement ». En effet, la fameuse « sex box » qui sert de support à ces « cours », contient des objets pour le moins suggestifs comme un sexe masculin en bois ou un sexe féminin en peluche. Si cette pétition a reçu le soutien de l’Union démocratique du centre (UDC), elle dépasse cet éventail politique. En effet, les services juridiques de la Poste suisse eux-mêmes ont récemment qualifié la « sex box » d’objet « pornographique » et « choquant »."

    Des détails concernant ce cours d'éducation sexuelle figurent ICI, sur un blog dont nous ne cautionnons ni toutes les prises de position ni tous les écarts de langage.

  • Le "gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles" promeut l'idéologie du genre (gender theory) dans les médias

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    GOUVERNEMENT DE LA FEDERATION WALLONIE - BRUXELLES

    Séance du 06-10-11

     Communiqué de Presse

    Egalité et diversité dans les rédactions :

    Le Gouvernement soutient le programme de l’AJP (06-10-11)

    Ce jeudi, le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles a approuvé deux arrêtés de subvention pour un montant total de 38.260 euros, en soutien à la mise en œuvre d’un programme de sensibilisation sur le genre et la diversité dans les médias d’information et dans les effectifs rédactionnels.

    Initié par l’Association des Journalistes Professionnels (AJP), ce programme prévoit :

    - La conception de deux modules de formation consacrés à l’égalité des femmes et des hommes, à la diversité et à leur insertion dans les programmes de formation des journalistes;

    - L’organisation de tables-rondes sur le genre et la diversité dans les médias, à destination des journalistes;

    - La réalisation d’une étude sur la diversité et l’égalité dans les contenus de la presse quotidienne belge francophone. Cette étude complète le Baromètre de la diversité du CSA.

    - La réalisation d’une enquête sur les logiques de fonctionnement et les facteurs susceptibles d’affecter la diversité des effectifs journalistiques à Bruxelles et en Wallonie.

    Ces différentes initiatives s’inscrivent pleinement dans la politique de promotion de l’égalité et de la diversité dans les médias initiée par le Gouvernement en mars 2010.

    Ce programme ambitieux a débuté en janvier 2011 et s’achèvera en décembre 2012.

    Plus d’infos ? Aurore Dierick – Attachée de Presse de Fadila Laanan – 0477/89.53.86

  • Pilule et sida : l'embarras de l'OMS

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    Marc Etcheverry, sur RFI.fr répercute cette information : "Sida: la contraception hormonale multiplierait par deux le risque d’infection".

    "Selon une étude américaine publiée dans la très sérieuse revue The Lancet Infectious Deseases, le 4 octobre 2011, la prise d’hormones dans un but contraceptif doublerait le risque de contracter le VIH. Un risque également accru pour les partenaires de femmes infectées utilisant ces hormones. L’Afrique subsaharienne est particulièrement concernée." (...)

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  • La loi naturelle incompatible avec la laïcité républicaine ?

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    promethee.jpgDans l’éditorial du dernier numéro (24 septembre 2011) du bimensuel « L’Homme Nouveau », Denis Sureau, directeur de la revue signe cet éditorial qui concerne une controverse française mais dont la portée est universelle :

    « Dans la bataille contre l’idéologie du « genre » dans les programmes scolaires, Luc Ferry, intellectuel et ministre de l’éducation émérite, est venu à la rescousse de son successeur, Luc Chatel. Dans une chronique parue dans le Figaro, s’opposant explicitement à l’enseignement de l’Église (et plus particulièrement à sa condamnation des pratiques homosexuelles), il dénonce la reconnaissance d’un ordre naturel comme contraire à la République. Il précise : « Depuis le XVIIIe siècle, toute la pensée démocratique s’est construite à l’opposé de ce naturalisme. Ce qui marque la naissance de l’humanisme moderne, c’est justement la conviction que la nature est tout sauf une norme morale ». La nature, ajoute-t-il, « pour les héritiers des Lumières, c’est d’abord l’ennemi » et « toute éducation doit nous en arracher pour nous faire entrer dans l’espace de la civilité, de l’Histoire et de la culture ». Conclusion : « En tant que républicain, je ne puis donc qu’encourager notre ministre, Luc Chatel, à tenir bon sur cette ligne-là ».

    Luc Ferry, de son point de vue, n’a pas tort. Le Gender n’est qu’un avatar tardif du libéralisme moderne qui, se fondant sur le désir de l’individu, exalte sa capacité indéterminée de s’autoconstruire, d’être le créateur de ses valeurs. A cette folie, seule peut s’opposer une théologie qui perçoit dans la Création les traces de son Créateur, un « plus d’être » qui ne peut venir qu’au-delà de la nature visible, et qui la tire comme hors d’elle-même. Le Genre ou la Création, telle est bien l’alternative ».

    Pour Luc Ferry et ses semblables les droits et devoirs humains n’ont rien d’imprescriptible : ils résultent d’un « contrat social » toujours amendable, selon des mécanismes « démocratiques », eux-mêmes aléatoires. Sur ce point, une controverse (au sens de la disputatio médiévale) avait été organisée, au théâtre Quirino à Rome le 21 septembre 2000, entre le cardinal Ratzinger, futur Benoît XVI, et un professeur à l’Université romaine de la Sapienza, le philosophe Paolo Flores d’Arcais, pour explorer des voies de convergence possibles. Au moment décisif du dialogue, le modérateur – Gad Lerner, journaliste à la  Repubblica – s’est demandé si des principes aussi fondamentaux que ceux du Décalogue ne pourraient pas être retenus comme base éthique commune, même par des athées (qui y souscriraient seulement « velut si [comme si] Deus daretur »). Mais cette proposition fut aussitôt rejetée par le philosophe laïc. 

    Ce dernier nia que certaines règles morales ou de droit naturel  puissent constituer des postulats, ou des acquis irréversibles, pour l’humanité : le contrat social est toujours relatif, contingent, renégociable. Ainsi, certains revendiquent-ils maintenant à l’ONU l’insertion de nouveaux « droits » (à l’avortement, à l’euthanasie, au choix du « genre » etc.) dans une Déclaration universelle des droits de l’homme vieille de 50 ans à peine (1948) ! Tout s’écoule, disait déjà le vieil Héraclite. Pareille impasse montre à quel point une définition véritablement universelle (« ubique, semper et ab omnibus ») des droits (et donc des devoirs) humains sans Dieu semble aléatoire.

     

     

     

  • Dès aujourd’hui : Benoît XVI au chevet d’une Eglise malade

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    1175877826.jpgBenoit XVI entame ce jeudi son 21ème voyage apostolique à l’étranger, le 15°ème en Europe, le 3ème en Allemagne, mais il s’agira de sa première visite officielle dans son pays natal, 6 ans après son élection. Un voyage complexe à plus d’un titre : le Pape va rencontrer une Église catholique déstabilisée par les scandales de pédophilie et les demandes de réformes et des dirigeants politiques dont la cote de popularité a chuté, en particulier en raison de la gestion de la crise économique.

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  • Des vaccins contre la grossesse administés à des fillettes de dix ans en Afrique du Sud

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    "Là, ils sont allés trop loin.
    Et les silences de l'AFP…

    Les jeunes élèves d'une école primaire de Port Elizabeth, âgées de 10 à 13 ans, ont toutes reçu la semaine dernière par injection un contraceptif de longue durée, à l'issue d'ateliers de « planning familial » organisés à l'Emzomncane Primary. Leurs parents n'avaient pas donné leur consentement et n'avaient même pas été mis au courant, bien qu'une lettre leur ait été adressée pour les tenir au courant de la tenue des ateliers, sans précision de date..."

    C'est à lire sur le blog de Jeanne Smits

  • Refusons, sous le couvert de l'instauration d'un cours d'éducation sexuelle dans nos écoles, le dévoiement de nos enfants

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    C'est ici, dans la Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/685106/imposer-des-cours-d-education-sexuelle-a-l-ecole.html et vous pouvez participer à un sondage sur le sujet. (Nos adversaires se sont déjà mobilisés de façon efficace.)

    Il faut bien se rendre compte que l'introduction de tels cours, imposés dans les écoles, constituerait un véritable endoctrinement de nos enfants, banalisant les pratiques sexuelles dès le plus jeune âge. On se rend compte, en lisant ce genre de littérature, qu'il ne s'agit évidemment pas d'éduquer à une vie affective et amoureuse dans le respect de son corps, du corps de l'autre, et en développant le sens des responsabilités. Il s'agit, au contraire, d'initier les jeunes à des pratiques sexuelles, à des techniques de contraception, etc., qui leur permettront de suivre leurs pulsions sans la moindre référence à des valeurs éthiques en vue de constituer des couples durables et des familles équilibrées. La masturbation, l'amour libre, les relations homosexuelles, le recours à l'avortement, ... tout cela fait partie de ce que ces centres de planning familial proposent aux jeunes dans le cadre des informations qu'ils diffusent, et l'on voit bien où ce laxisme généralisé conduit notre société.

    Enfin, il faut que soient respectés les choix éducatifs des familles et que l'on ne vienne pas torpiller à l'école les valeurs que les parents responsables s'efforcent de transmettre à leurs enfants.