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Société - Page 590

  • ONU : une taxe mondiale pour financer l'avortement ?

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    Une synthèse de presse bioéthique de genethique.org :

    UNE TAXE MONDIALE DE L’ONU POUR FINANCER L’AVORTEMENT ? 

    Le financement de l’ONU et de ses satellites est assuré par les contributions volontaires des Etats membres, et un contrôle des fonds est réalisé pour en assurer la transparence et la responsabilité.« Les hauts fonctionnaires de l’ONU et d’autres souhaiteraient que les Nations-Unies aient leur propre budget, leur propre flux de revenus précisément de manière à ce que leur budget ne soit pas contrôlable par des instances démocratiques vérifiant leurs comptes ».

    La taxe TOBIN, prélevée sur toutes les transactions financières internationales - soit des milliards de dollars - alimenterait ce budget autonome, destiné à des projets humanitaires. Or, l’avortement est une question humanitaire pour les bureaucrates onusiens (cf. ONU : Le secrétaire général ajoute l’avortement aux objectifs humanitaires). Ce projet de taxe est à l’ordre du jour du Sommet humanitaire prévu  à Istanbul en mai, et il est même un « des ‘indicateurs’  des Objectifs de développement durable, le document sur le développement le plus important de l’histoire des Nations-Unies ».

    Ce projet de taxe a été initié en 2011 et C-Fam, premier groupe pro-vie à l’ONU, lance une pétition  mondiale avec l’objectif de le stopper, s’impliquant  « dans les négociations onusiennes au début, et non à la fin, quand on ne peut plus rien faire ».

    Cette méthode s’est révélée efficace par le passé sur de nombreux sujets.

    Sources: C-Fam (Austin Ruse) 13/03/2016

  • Le rapport libéralisant la Gestation pour Autrui a été rejeté au Conseil de l'Europe

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    Du Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique :

    Conseil de l’Europe : rejet du rapport libéralisant la Gestation Pour Autrui

    Ce mardi 15 mars s’est tenue à Paris, une réunion de la Commission des affaires sociales et de la santé de l’Assemblée du Conseil de l’Europe afin d’examiner à huis clos, un projet de rapport et de résolution sur "Les droits humains et questions éthiques liées à la Gestation Pour Autrui" (GPA).

    Ce rapport visant à la libéralisation de la GPA en Europe a été rejeté à 16 voix contre 15, alors qu’il était soumis à de vives critiques en raison du conflit d’intérêt de son rapporteur, Petra de Sutter. Médecin pratiquant elle-même des GPA en Belgique, et formant des médecins aux techniques médicales de la Procréation Médicalement Assistée dans une clinique indienne spécialisée dans la GPA commerciale, Petra de Sutter était en effet à l’origine de ce rapport.

    Ce vote du Conseil de l’Europe vient renforcer celui du Parlement européen en décembre dernier qui demandait l’abolition de toute forme de GPA. Rappelons qu’une proposition de loi a été déposée par cette même médecin et députée au Parlement belge. 

  • Les jeunes CD&V veulent plus d'avortement, plus d'euthanasie, la légalisation de la GPA et la décriminalisation de la prostitution

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    téléchargement (1).jpgCe sont les résolutions qu'ont adoptées les jeunes chrétiens démocrates flamands durant ce week-end d'après ce que l'on peut lire dans "De Morgen". Il s'agit notamment d'instaurer un droit à l'avortement jusqu'à la vingtième semaine, d'autoriser l'euthanasie en cas de démence liée à un problème cérébral et de l'étendre aux mineurs lorsque la souffrance physique serait reconnue comme insupportable, devant durer, et qu'il soit entendu que la médecine ne puisse la guérir. Ils sont également favorables à la mise en place de mesures légales pour encadrer la gestation pour autrui "altruiste". Enfin, ils sont partisans de mesures qui décriminaliseraient la prostitution (mais tout en tâchant de combattre l'exploitation).

    Vous avez dit "jeunes chrétiens démocrates" ?

  • GPA : on aura beau se dorer la pilule, on n'évitera pas l'aliénation des femmes « porteuses »

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    Du Professeur Dominique Folscheid (philosophe, Université Paris-Est) sur le site "Bioethique.com" :

    La "gestation pour autrui" en débat

    La GPA ou gestation pour autrui n'est pas légalisée en France mais elle l'est dans d'autres pays. Quel est le problème éthique de cette technique simple de PMA ? Le professeur Dominique Folscheid, philosophe de l'Université Paris-Est, tente de donner des éclairages. 

    La définition de la « gestation pour autrui », désormais siglée « GPA »,  est la plus simple qui soit. Quelle que soit la situation des demandeurs — couples mariés ou pas, hétérosexuels ou homosexuels, ou personnes isolées —, il s'agit dans tous les cas de charger une femme, à titre onéreux ou gratuit, de recueillir en son sein, jusqu'à sa naissance, un embryon étranger préalablement conçu in vitro.

    Au point de vue strictement technique, la GPA ne pose aucun problème particulier. Alors qu'elle soulève une montagne de difficultés au niveau psychologique, psychique, symbolique, juridique, social, éthique, et pour finir politique. Mais les États récalcitrants sont soumis à de telles pressions qu'ils mènent peut-être un combat d'arrière-garde.

    Comment en est-on arrivé là ? Et pourquoi avoir remplacé la « mère porteuse » par la « gestation pour autrui » pour finir avec le sigle « GPA » ? Pour masquer une révolution anthropologique ?

    Lire la suite sur Bioethique.com

  • Le lancement de la fédération "Un de Nous" ("One of Us")

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    Lu sur le site de "La Croix" (Marine Lamoureux) :

    Défense de la vie : lancement de la fédération « Un de nous »

    Samedi 12 mars, près de 1 200 personnes se sont réunies salle Gaveau, à Paris, à l’occasion du premier forum européen « Un de nous » consacré à la défense de la vie.

    L’un de ses promoteurs, Jean-Marie Le Mené (1), président de la Fondation Jérôme Lejeune, en décrypte les enjeux.

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    Quels sont les objectifs de la fédération européenne « Un de nous », lancée le 12 mars à Paris, en présence de plusieurs personnalités (2) ?

    Jean-Marie Le Mené : L’idée de cette fédération est de poursuivre l’élan engagé en 2012, au niveau européen, en faveur de la défense de la vie et de la dignité humaine. À l’époque, une initiative citoyenne avait été lancée autour de deux requêtes : d’une part, l’arrêt des financements de l’Union européenne pour la recherche sur l’embryon ; d’autre part, la fin du soutien apporté par l’UE à certaines campagnes de promotion de l’avortement dans des pays en voie de développement, au mépris de la législation de certains États membres. Le succès avait été réel, avec deux millions de signatures recueillies. Et pourtant… rien ne s’est passé. Comme si l’Europe n’était pas prête à assumer les conséquences d’un processus de démocratie participative qu’elle avait elle-même promu… En organisant ce premier forum et en créant la fédération européenne < Un de nous >, nous souhaitons assurer une pérennité à cette mobilisation et montrer notre volonté de travailler ensemble – une trentaine d’associations est aujourd’hui impliquée. Le cadre national est trop étroit pour agir.

    Quelle est la suite ?

    J-M. L : Nous allons miser sur trois types d’action. Tout d’abord, le lobbying européen, bien entendu. Le combat sur les valeurs passe par là. Une action en justice est d’ailleurs en cours pour contester la non-prise en compte de notre initiative citoyenne de 2012. Au-delà, les sujets ne manquent pas : le risque d’extension de l’euthanasie, l’eugénisme croissant via le diagnostic prénatal, la faible mobilisation des pouvoirs publics en faveur d’une baisse du nombre d’avortements, la promotion du gender, de la gestation pour autrui, etc. Ensuite, nous allons tenter de porter notre message dans des pays aujourd’hui moins mobilisés que l’Europe latine et les pays de l’Est, dans lesquels « Un de nous » a eu de l’écho. Je pense en particulier à l’Allemagne. L’histoire tragique de ce pays peut en effet être un moteur pour s’élever contre certaines pratiques comme l’eugénisme qui sévit aujourd’hui autour de la trisomie 21. L’idée serait par exemple d’organiser là-bas un nouveau forum. Enfin, troisième piste, unir nos forces pour organiser des marches communes pour la vie et la famille, qui sont trop dispersées à l’heure actuelle.

    Samedi, un prix a été remis à Pattaramon Chanbua​, jeune mère porteuse thaïlandaise, qui avait refusé d’avorter après un diagnostic de trisomie. Quel est le message ?

    J-M. L : L’histoire de cette femme est symptomatique des nombreuses dérives de notre monde. Elle illustre tout d’abord que la gestation pour autrui est liée à l’extrême pauvreté des femmes. Ensuite, nous avons voulu saluer le courage de cette mère qui a refusé d’avorter, - comme le lui demandait l’agence de GPA -, car un des jumeaux qu’elle portait était atteint de trisomie. C’est un message très fort concernant les enfants touchés par le handicap. La remise de ce prix, à Paris, a d’ailleurs été un moment très émouvant.

    Le forum a peu été relayé dans la presse. Pourquoi ce courant de pensée a-t-il tant de mal à se faire entendre ?

    J-M. L : Je crois que l’Europe a perdu sa vision humaniste. Il y a aujourd’hui un vide de valeurs, dont s’empare le marché. Il suffit de regarder ce qui se passe en France pour la trisomie 21 : le dépistage, chez la quasi-totalité des femmes enceintes, est financé par l’assurance-maladie, c’est un marché lucratif pour les laboratoires  ! Au bout du compte, plus personne ne s’interroge sur le fait que l’on préfère éliminer in utero toute une population plutôt que de consacrer des financements à la recherche pour soigner cette maladie.

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    (1) Les premières victimes du transhumanisme, éditions Pierre Guillaume de Roux, 172 p., 19,50 € (2) Parmi elles, des eurodéputés, Katalin Novak, ministre de la famille hongroise, Alberto Ruiz-Gallardon, ancien ministre espagnol de la justice, Philippe de Villiers, fondateur du Mouvement pour la France.

  • Le transhumanisme contre l'humanité (Jacques Testart)

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    https://www.youtube.com/watch?v=AcOKL-eU_Wk&feature=youtu.be

  • "Crise des migrants" : l'Europe face à son destin

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    Lu sur le site de l'Homme Nouveau sous la plume de Thibaud Collin

    La crise migratoire : l’Europe face à son destin

    De quoi la « crise des migrants » est-elle le symptôme ? Il convient avant tout de s’interroger sur la pertinence des termes choisis pour décrire un tel phénomène. Au sens strict une crise est un moment d’aggravation d’un processus appelant une décision. Or si l’on ne peut nier la gravité de ce qui est en train de se jouer sur les îles du sud de l’Europe, on reste pour l’instant dubitatif sur la capacité des différents acteurs à poser des choix permettant de résoudre la crise. Cette impuissance politique se révèle déjà dans la manière de voir et donc de nommer un tel phénomène. Ces millions d’êtres humains sont-ils des réfugiés politiques, des immigrés économiques, des envahisseurs ? Pour éviter de catégoriser et donc de « discriminer », la bien-pensance a décidé de les nommer des migrants, mot neutre et générique. Ce terme de migration a au moins le mérite de signifier qu’il s’agit d’un mouvement de populations et non d’une simple juxtaposition de drames individuels.

    Un même phénomène peut, en effet, être abordé selon différents points de vue déterminant chacun un type d’action. Ainsi, faut-il envisager la crise des migrants comme un drame humanitaire en valorisant la singularité des itinéraires de vie, ce qui exige une prise en charge déterminée par une attitude personnelle dont la parabole du bon Samaritain serait le modèle ? Ou bien comme un problème géopolitique en considérant les volumes et les caractéristiques culturelles et religieuses des populations déplacées, ce qui exige des choix politiques posés par les gouvernements soucieux du bien commun de leur pays ? La situation est telle que la réponse est évidente. Nous nous trouvons bien devant un phénomène de grande ampleur que l’on ne peut aborder selon les seuls critères de la sphère individuelle. Comme le disait à juste titre Jean Madiran « si un réfugié frappe à ma porte, mon devoir de chrétien est de l’accueillir comme un autre Christ (selon la parole de Matthieu 25) mais si 150 réfugiés frappent à ma porte, mon devoir est d’alerter les autorités politiques ». Il n’y a donc pas deux morales, celle du chrétien gouvernée par la générosité et celle du citoyen gouvernée par la Realpolitik car il n’y a qu’une seule exigence : celle du vrai bien humain à réaliser par des choix prudents et charitables dans des circonstances singulières.

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  • Le cardinal-archevêque de Lyon victime d'un lynchage médiatico-judiciaire en grand

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    De Régis de Castelnau sur causeur.fr :

    «Affaire Barbarin»: derrière le lynchage…

    Une prise d’otage?

    Et si le cardinal Philippe Barbarin était en fait pris en otage dans un combat contre l’Eglise sur les questions sociétales? Régis de Castelnau s'interroge...

    Alors comme ça Monseigneur Barbarin, cardinal et primat des gaules, serait pédophile ? Eh bien dites donc ! Ah non, il ne le serait pas lui-même mais couvrirait les agissements de ceux des ecclésiastiques qui le sont ? Mais c’est encore plus grave ! Et comment sait-on tout ça ? Tout le monde le dit, il suffit de lire les journaux et d’écouter la radio. Dans ce cas…

    Avant d’examiner le fond de cette affaire, c’est-à-dire les faits, tels qu’on peut les connaître, leur dimension juridique et judiciaire puisqu’à nouveau la justice est saisie pour servir un combat politique, jetons au préalable un regard sur l’opération qui a déclenché la grêle. Sous laquelle se trouve aujourd’hui l’église catholique en général, et l’évêque de Lyon en particulier.

    Un lynchage médiatico-judiciaire en grand

    Nous assistons depuis quelques jours à un lynchage médiatico-judiciaire en grand comme la presse et les réseaux en raffolent. Et cette fois-ci, tout le monde s’y met, car quand il s’agit de bouffer du curé rares sont ceux qui manquent à l’appel. Les cathos se défendant comme des manches, c’est d’autant plus facile. Acteurs importants du processus de sacralisation des victimes, revendiquant la pratique de la miséricorde, la présentation de la joue gauche quand on leur frappe la droite, et accordant à la prière des vertus auxquelles ils sont les seuls à croire, ils constituent une cible confortable.

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    lire aussi : "le Monde" entre en guerre contre l'Eglise

  • Vous avez dit : "projet parental" ?

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    Lu sur "Le coin des experts" du site de Gènéthique (Benoît Bayle) :

    LE PROJET PARENTAL LÉGITIME-T-IL LA VENUE DE L’ENFANT ?

    Introduit à l’occasion des lois de bioéthique successives, le « projet parental » devait au départ préciser les conditions d’accès d’un couple homme-femme à la procréation médicalement assistée (PMA). Au fil des années, ce concept s’est de plus en plus assimilé au désir d’enfant, qui légitimerait seul la dignité de l’embryon. Gènéthique fait le point avec le docteur Benoît Bayle. 

    Le projet parental est devenu une notion clé qui étaie l’édifice procréatique : « De l’avortement aux techniques de procréations [artificielles], c’est la toute-puissance du ‘projet parental’ qui fait le lien. Confrontée à une absence de projet parental ou, aussi bien, à un projet qui se révèle décevant, défaillant, une femme avorte. Animées par un projet parental que la nature refuse de servir, des personnes vont demander à la technique la réalisation de l’enfant rêvé »[1]. C’est également au nom d’un projet parental que le couple choisit d’avoir recours à la contraception, ou décide de l’arrêter. Le projet parental constitue un incontestable fil conducteur dans la gestion de l’engendrement. Très en vogue, prolongement du paradigme de l’enfant dit « désiré », il gouverne nos mentalités, car il procède d’une sorte d’arrangement sociétal, qui permet de justifier, non seulement la pratique de l’avortement comme le suggère le sociologue Luc Boltanski[2], mais aussi, plus largement, l’instrumentalisation de l’être humain conçu depuis sa première forme embryonnaire jusqu’à des stades prénataux plus tardifs.

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  • 304 enfants à naître sauvés de l’avortement

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    40Days_podcast_750x450.pngDe "Riposte Catholique" :

    C’est la magnifique nouvelle que nous transmet aujourd’hui la coordination de la campagne des 40 Days for Life. Au 31ème jour de la campagne de Carême qui s’achèvera le dimanche des Rameaux 20 mars prochain, 304 enfants à naître ont déjà été sauvés de l’avortement ! Grâce aux vigiles qui se relaient 24 h sur 24 et 7 jours sur 7 devant les avortoirs de 273 villes aux États-Unis et dans le monde, pour prier…

  • ONE OF US lance son forum européen

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    ONE OF US lance son forum européen par KTOTV

  • La liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux

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    Lu sur ihsnews.net

    Le Saint Siège aborde la liberté d’expression et de religion à L’ONU

    « La liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux », déclare Mgr Gyhra.

    Mgr Richard Gyhra, chargé d’Affaires (ad intérim) de la Mission permanente du Saint-Siège auprès des Nations Unies et des autres Organisations internationales à Genève, est en effet intervenu à la 31ème Session du Conseil des droits de l’homme.

    Son intervention, du 9 mars 2016, à Genève, portait sur l’ « Article 3 » : «Rapport du Rapporteur spécial sur la liberté de religion ou de croyance ».

    « Pour le Saint-Siège, a-t-il notamment rappelé, la liberté de religion et la liberté d’expression sont appelées à coexister en tant que droits humains fondamentaux. Il y a cependant une vérité qui ne doit pas être négligée : à savoir, que chacun a le droit de pratiquer sa religion librement, sans offenser les autres. En outre, nous ne devons pas offenser les autres croyants, faire la guerre ou tuer au nom de notre religion, au nom de Dieu. »

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